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Quand Mars rime avec Mariage , union d'Ysaoth et de Sunburn

*atalante
des lieues et des lieues de cavalcades, de poussière, de pluie, de neige, de boue, de soleil, plusieurs jours et enfin se dessinent les volcans à l'horizon, passer la vallée de la Sioule après avoir traverser les combrailles.....puis Rioms et les faubourgs de la capitale Arverne.
Je suis en retard, mais bon, hein, si je l'avais su plus tôt, j'aurai peut être pu partir plus tôt, mais non, je ne le pense pas, les affaires du royaume avant et cela mon amie saura me le pardonner.

S’arrêter dans une auberge, quelques soldats s'occupent des chevaux, moi, je donne rapidement quelques ordres pour qu'ils se remettent en condition puis sans prendre le temps de me changer car je suis déjà trop en retard, je m'en vais gagner la noce....
Leello
ElOso a écrit:
Ma soeur... Voilà la reine du jour.


Leello sourit en se levant en même temps que son vieil ami, avec le temps ils étaient presque synchro, sauf qu'elle était beaucoup plus souple. Non parce qu'il disait à tous qu'il se levait doucement parce qu'elle somnolait sur son épaule mais en fait c'était bel et bien pour cacher .... le craquements de ses articulations.

Une fois dépliée, elle regarda la future mariée, elle était radieuse. C'était un réel plaisir que d'être présente pour cette journée.

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Arthurdayne
Clermont. Cathédrale. Le voici arrivé devant le parvis, Arthur. A la bourre, évidemment. Mais peu lui en chalait, au maire de Moulins, il avait un truc infaillible pour éviter de se taper l'affiche en arrivant en retard à un mariage... Il ne rentrait jamais dans les lieux saints. De l'avantage d'être un original... Ou d'être en rogne après les dieux. Quoi qu'il en fût, original ou non, en rogne ou pas, il était des évènements qu'il n'eût manqué pour rien au monde, et pour lesquels il marquait le coup de sa présence, malgré tout.

Et la cathédrale de Clermont, il la connaissait bien. Enfin, il en connaissait bien le parvis, du moins... Et alors que les derniers retardataires trottinaient, engoncés dans des robes splendides et des vêtements fastueux, Arthur grimpa tranquillement les marches de pierre et alla retrouver sa place fétiche. A droite des portes. Enfin, à gauche plutôt, puisqu'il s'adossait au mur, pour faire face à la place. Il aimait à croire qu'à force de venir se poser là pour y suivre cérémonies maritales ou baptismales, la pierre avait pris la forme de son séant... Comme si l'imaginaire pouvait rendre l'assise plus confortable...

Il restait que, lorsque le brouhaha intérieur se calmait, que les invités gagnaient leur place, et que le silence se faisait, Arthur pouvait suivre, de sa place à la limite de la mendicité, par des sons étouffés le déroulement de la cérémonie. C'était presque comme s'il était à l'intérieur. Le grand air en plus.
Lady.blueeyes
Main tendue saisie par la baronne, celle-ci mis pied sur la marche et descendit du coche. Un regard vers son amie, la robe est parfaite, la voilette bien en place, le bouquet entre les mains, Lady tendis son bras à Sun. Une légère pression de celle-ci démontrait à Lady l'impatience de la belle à être devant celui qui avait réussi à la faire revivre.

Elles firent leur entrée. Immédiatement le regard des invités se posa sur la future mariée. Lady reconnue quelques personnes, léger sourire à ceux-ci; plusieurs autres visages lui étaient inconnus. Il y avait si longtemps qu'elle se reclusait chez elle à ne point sortir...

Un pas...un autre...tout doucement pour que Ysaoth puisse admirer sa belle. Les yeux de Sun, si brillants...si amoureux. Il était bon de revoir son amie sourire ainsi à la vie, à l'amour. Lady avait conduit avec joie sa vieille amie devant l'autel. Elle laissa celle-ci devant Ivrel et Ysa non sans les avoir salués d'un léger sourire. Une bise sur la joue de Sun, Lady pris place au côté des autres invités.
Edwald
Ed assista à l'entrée de la mariée et ne pu s'empêcher de sourire en voyant sa "maman" Sun habillée d'une robe qui lui allait à merveille. Il était arrivé plus tôt et s'était installé dans le fond de l'édifice religieux, préférant assister discrètement à la cérémonie. Pour l'occasion il avait revêtu ses plus beaux vêtements, ceux qu'il portait du temps où il était seigneur de Louvaines dans la noblesse Angevine. Autant dire qu'ils étaient sacrément poussiéreux, voir puants.

L'invitation lui avait fait grand plaisir, surtout qu'il savait qu'il retrouverait à un moment ou à un autre sa rouquine venichaussette histoire de piller le banquet à la fin de la cérémonie. Étant arrivé un peu en retard, il n'avait pas eu le temps de regarder qui se trouvait précisément dans l'abbaye.

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Aiguemarine
Regarde mon ange.
Là-bas au fond, ce sont Zeze et Sandino. Nous les avons connu quand nous vivions au BA. Ce sont de grands voyageurs, ils ont même visité l'Italie et les terres Angloyses.
Et par ici, tu peux voir Sofio, ex-Duchesse du BA. L'âme plutôt militaire et belliqueuse, elle ne mâche presque jamais ses mots.
De ce côté, il y a Linoa. Tu la connaissais mieux que moi. Nous l'avons principalement croisée en chambre des nobles et nous avons aussi escorté sa fille Blanche entre la Bourgogne et le BA. Une jeune fille fort agréable.


& de relever doucement ses azurs vers les personnes qu'il lui désigne.
Heureusement que Nic est là. C'est son double, sa mémoire vivante, le temps qu'elle récupère ses souvenirs.
& avec des visages, y'a pas à dire : cela simplifie quand même un peu la chose.
D'ailleurs, grâce à Nic & à son idée de génie que de l'emmener revoir les endroits où ils ont vécus, ça semble plutôt pas mal fonctionner.

Le regard se fait chaleureux envers Zeze, Sandino & Linoa.
Un peu plus dur à l'adresse de Sofio & de Morphey.
Léger clignement des yeux & Aiguemarine "s'envole" l'espace d'une fraction de secondes dans ses souvenirs : Une fin de semaine, une taverne Murataise...Des phrases laissées en suspend...Puis, plus rien. Le néant total.
Un arrière-goût d'inachevé.

Elle secoue la tête la brune, laissant échapper un court soupir tandis qu'un choeur se met à entonner un cantique.
Aiguemarine se retourne franchement vers l'entrée pour assister à l'entrée de Sunnychou/delight (rayez la mention que vous aimez le moins), remontant l'allée accompagnée d'une femme afin de rejoindre son promis.
Y'a pas à dire : elle en jete un peu la Ha(r)ppy-future-Mariée dans sa robe...

Serrant toujours la main de son époux, Aiguemarine lui adresse un sourire complice à l'évocation des prénoms potentiels de sa Harpie.

& de lui murmurer tout de go :
"J'en sais fichtre rien de ses autres prénoms, mais Désirée, ça lui irait bien, oui !

Puis, elle se tut, réalisant enfin que tous les protagonistes - du moins, les principaux - étaient arrivés & que la cérémonie n'allait pas tarder à débuter.

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[
Craquette
Pas en avance, mais pile poil au bon moment pour voir Sun arriver.
La jeune fille souria en voyant le visage radieux et les yeux pétillants de la future épousée.
Comment ne pas resplendir lorsque l' on va s'unir devant le Très haut et les hommes a celui qu'on aime.
Discretement, si tant est que ce soit possible avec tout le monde qui était présent, Craq pénétra dans la cathédrale et prit place dans le fond de l'édifice.
Ascyla
Te tenir, l'ailes, te tenir l'ailes et puis encore... J'en ai rien a foutre moi du paraitre hein. Je rentrerais dans cette abbaye comme je suis ou je ne rentrerais pas du tout.

Baisse moi ton bras le Fan et cesse tes jérémiades on n'y va on est surement déja en retard.

C'est que le chemin jusqu'à l'Abbaye, c'était passé sans encombre certes. Encore faut-il partir du principe que le Fan n'est pas une encombre hors rien n'est moins sur. Maintenant que la rouquine se trouvait sur le parvis, elle pouvait difficilement faire marche arrière et lorsqu'elle donna un bref coup d'oeil à l'intérieur de l'abbaye elle eut un haut le coeur.

Par Averroes et par l'Unique. Fan, tu as vu tout ce beau monde dit, ça n'arrête pas d'en pleuvoir des hauts et des beaux, y'a que ça. De quoi on va voir l'air pffffffffffffffff, grumphhhhhhhhhh.
Ah merci maman Sun du cadeau tiens...
Bon on s'y jette y'a plus que ça à faire, se jeter et prier l'Unique de sa clémence. En espérant que je ne vomisse pas avant la fin.
Puis toi aussi t'a vu comme tu es fringué, raaaaaaaaa chte jure, tu m'aides pas du tout, grumphhhhhhhh
.

La rouquine pris une profonde respiration puis s'engouffra dans l'abbaye un poil avant l'arrivée de Sunichette elle eut tout juste le temps d'apercevoir sa robe que Fan la tiré par le bras vers le fond de la salle.

Oui, bon ça va, j'ai compris tire moi pas comme ça, chte jure celui là.

La rousse pressée par un Fan encore plus pressée qu'elle de se cacher dans un coin, percuta un morceau de tissus fort beaux et qui sentait bon. Elle gromelle et se retient de vociférer.

Vous pouvez pas faire attention non, c'est pas vrai d'être aussi plamplam voyez pas qu'on est pressé, jvous jure.

Veni lève alors les yeux sur le morceau de tissus et croise le regard de Ed. Ses yeux s'écarquillent alors qu'elle tousse bruyamment. Elle fixe alors le Ed de la tête au pied et plonge dans ses yeux mimant une envie de vomir.

Ed ???? Par l'Unique, d'ou tu sors un tel accoutrement, pouarkkkk, j'en reviens pa là.

Hey, Fan c'est Ed
.
Edwald
Ed aggripa Veni afin qu'elle se pose vite fait bien fait, avant de lui marmonner avec un certain agacement...

Dis donc toi, tu pourrais prévenir quand tu te barres comme ça à l'autre bout du royaume. Pi hey mon accoutrement il t'emmerde tiens toi bien y'a sunipouet qui débarque.


Regard vers Venitia et l'inconnu qu'il ne connait pas ( c'd'une logique..)..

Tin moi qui voulait être discret. Allez installez vous à coté et pas un mot. Elle est dingue de t'avoir invité tu arrives toujours à faire une connerie ce qui te rend encore plus détestable aux yeux des autres invités. Dingue.

Ed marmonna un moment à lui même, de telle façon qu'on ne pouvait rien comprendre à ce qu'il disait. Le marmonnement typique du mâle agacé. Il tendit alors une petite bourse en cuir vide de tout écu à véni..

Tiens si il te prend une envie de vomir, et évite de toussoter ou autre. Bref , chut. On parlera au banquet.

Son regard était assassin, car pour la petite histoire la rouquine s'était cassée en Provence rejoindre ce fameux inconnu et ce sans prévenir le Ed qui un jour, alors qu'il glandait à Montauban en comptant les mouches, se rendit compte qu'elle n'était plus là.
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Sofio.de.valmonte
Des bruits de voix dehors, elle jette un oeil discret, manque de pousser un cri d'étonnement, apercevant une rousse chevelure connue, l'homme à ses cotés, lui semble être....elle fronce les sourcils le contraste de lumière entre le dedans de la chapelle et l’extérieur si lumineux lui donne un moment de réflexion, pourtant la stature.. l'allure, Ed! premier mouvement d'humeur , réaction puérile, le Roux de Venitia n'est surement pas aussi naturel que le sien, il doit être terne et ne pas passer dans le soleil, mais pas le temps de s'attarder sur la fausse rouquine et le charmeur des chemins de traverse, la cardinale semble chercher partout les alliances, elle les retirent de son corsage et s'avance vers le couple Ysaoth Ivrel leur tendre l'écrin ne sachant plus a qui les donner, un peu troublée, la mariée semble se rapprocher.

Les alliances.?

Elle qui n'a même pas pensée à ouvrir le coffret aurait voulu avoir la primeur, un soupir elle se penche vers Ysaoth pour lui murmurer.

Tu t'es ruiné?
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Ysaoth
Sur le coup des alliance, Ysa eu le coeur qui s'arrêta de battre...fichtre, les alliance, pourvu que la rouquine y ai pensée... Rapidement rassuré de la voir se pointer avec le petit coffret qui allait bien il regarda le Cardinal.

Votre Eminensce les voici... prenant le petit coffret noir, il le remit a Ivrel avec précaution afin qu'elle puisse faire ces petites affaires spirituelles avec.

Il sourit a la remarque de Soso, mais au moment de lui répondre, il resta muet, son regard se portant alors vers le rayon de soleil qui arriva en bout d'allée...après tout, ne s'appelait elle pas "Sun" ?
Estefan



- Baisse moi ton bras le Fan et cesse tes jérémiades on n'y va on est surement déjà en retard.

- Euh... le bras, c'est juste pour t'éviter de t'étaler sur les marches... Passke au rythme où tu cours sans regarder où tu mets les pieds... m'étonnerait pas que je doive te ramasser !

En retard ?... Certes non,à en juger les équipages qui arrivaient encore, mais c'est vrai que, arriver au beau milieu d'une cérémonie alors que tout baigne dans une ambiance sereine de recueillement et de béatitude... ça le fait pas trop. Surtout quand on a une gueule patibulaire... ou patibulaire que ça, après tout, on aurait tendance à vouloir passer inaperçu.

- Par Averroes et par l'Unique. Fan, tu as vu tout ce beau monde dit, ça n'arrête pas d'en pleuvoir des hauts et des beaux, y'a
que ça. De quoi on va voir l'air pffffffffffffffff, grumphhhhhhhhhh. Ah merci maman Sun du cadeau tiens...
Bon on s'y jette y'a plus que ça à faire, se jeter et prier l'Unique de sa clémence. En espérant que je ne vomisse pas avant la fin.
Puis toi aussi t'a vu comme tu es fringué, raaaaaaaaa chte jure, tu m'aides pas du tout, grumphhhhhhhh.

- Désolé ma belle, j'ai pas eu le temps de dévaliser un notable à ma taille pour lui emprunter ses atours... faudra te contenter de moi comme je suis... Pis si ça te plait pas... j'peux t'attendre dehors aussi ! Sinon... viens par là... fait sombre dans ce p'tit coin... personne nous remarquera.

- Oui, bon ça va, j'ai compris tire moi pas comme ça, chte jure celui là.

Et bon... la v'la pas qu'elle se télescope avec un quidam !... Bravoi... C'est réussi la discrétion Veni... Tsssssssss

- Vous pouvez pas faire attention non, c'est pas vrai d'être aussi plamplam voyez pas qu'on est pressé, jvous jure.


J'allais intervenir lorsque :

- Ed ???? Par l'Unique, d'ou tu sors un tel accoutrement, pouarkkkk, j'en reviens pas là.
Hey, Fan c'est Ed.


Pas le temps de réagir, l'inconnu, connu de la Rouquine, la chope et l'attire près de lui. Y a pas... je suis l'deuil :

- Dis donc toi, tu pourrais prévenir quand tu te barres comme ça à l'autre bout du royaume. Pi hey mon accoutrement il t'emmerde tiens toi bien y'a sunipouet qui débarque.


Le dénommé Ed - puisqu'il faut l'appeler par son nom - me lance un regard peu amène, sinon suspicieux. Je prends le parti de ne pas m'en formaliser outre mesure, me réservant le droit, en d'autre lieu de remettre les cadrans solaires à l'heure. Car déjà, il enchaîne :

- 'Tin moi qui voulait être discret. Allez installez vous à coté et pas un mot. Elle est dingue de t'avoir invité tu arrives toujours à faire une connerie ce qui te rend encore plus détestable aux yeux des autres invités. Dingue.

L'épisode de la bourse m'amusa beaucoup plus, par contre et me rappela derechef que, peut-être non loin de nous, y en aurait une ou deux autres à soulager. Mais le regard de Ed ne m’encouragea pas à poursuivre mes investigations... d'autant que je sentais peser sur nous d'autres regards nettement plus détestables.

J'éprouve une réelle jouissance à me laisser passer pour un imbécile, ça me permet de voir et entendre des choses qui pourraient passer inaperçues... Par exemple... Cette rouquine au museau chafouin ... bin, je ne la connais ni des lèvres ni des dents, mais je sais déjà qu'elle est une source d'emmerdes potentielle... pareil le toutou qui semble lui servir de paravent, à défaut d'être crédible dans celui de garde du corps - qu'elle a fort avenant, ma foi.


- Tiens si il te prend une envie de vomir, et évite de toussoter ou autre. Bref , chut. On parlera au banquet.


Sans bien comprendre ce qui met Ed en pétard, sa remarque a cependant le don de m'exaspérer un peu.

La Veni m'avait embarqué dans je ne sais quelle histoire sous prétexte de m'escorter... alors qu'on m'avait dit qu'elle cherchait un compagnon de voyage... déjà, faudrait savoir ! Pis là, in de ses acolyte me regardait de travers en lâchant des remarques peu amènes... C'en était trop pour ma patience légendaire.

Je viens me planter entre eux et d'une voix sourde et rauque leur assénai en leur chopant l'aile d'une main amicale mais ferme :

- Dites donc les tourtereaux, si vous voulez vraiment qu'on se fasse jeter, faudrait voir à essayer de rester à carreau... Déjà qu'y a une rouquine chafouine qui vient de nous r'garder d'travers... J'vous connais po moi... j'suis sensé être un p'tit truand de banlieue, discret qui bosse incognito... et en solo la plupart du temps... Alors si vous tenez pas trop à ma compagnie, continuez comme ça et dans deux secondes je fais tourner la bride à mon bourrin... vu ?... On essaie de s'tenir comme des civilisés ou on se barre... mais surtout, on se calme !



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Jujudu3333
Juju regardait avec emmerveillement les mariés, elle était émue, mais elle aurait aimé assiter à ce mariage avec la personne qu'elle aime
Hulrika
Regard fixé vers le parvis, son intuition de se tourner à cet instant avait été bonne, car elle vit arriver Sun.
Hulrika se leva.
Quelle ne fut sa stupeur lorsqu'elle détailla la robe. Osée!
Sun était magnifique, et ce qu'elle montrait déjà laissait présager une nuit de noces mémorable au futur marié. Qu'il avait de la chance cet Ysaoth!
Hulrika se dit qu'elle devait mettre en émoi les jouvanceaux de l'assemblée et souria amusée que Sun ait choisi telle tenue. Nul doute que si message il y avait, il n'était adressé qu'au marié.

Passée la surprise, Hulrika suivit des yeux la montée de l'allée de la mariée, au bras d'une dame, pas à pas vers Ysaoth avec comme seuls bruits un chant religieux, et les froissements légers de la robe. Sun était rayonnante, et elle ne regardait que lui.

Hulrika imagina qu'à cet instant, elle et lui devaient se sentir seuls au monde portés par leur amour. Elle secoua la tête un instant. Arf, elle devenait sentimentale. Boh, tant pis, si ça n'durait que le temps du mariage, ça s'rait pas bien grave.

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Silec
Le voyage c'était bien déroulé, depuis le Bourbonnais Auvergnat. Ils avaient voyagé de jour en carrosse. L’invitation reçue ils n’avaient pas hésité d’aller assister au mariage de leurs amis.
Mathilde, Silec approchaient de l’abbaye. Enfin arrivé, des palefreniers s’empressent de venir tenir les chevaux.
Silec descend en premier aidant son épouse à descendre du carrosse.
Silec, accompagné de sa mie entre en l’abbaye.
Distinguant nettement maintenant que ses yeux ce sont fait à la luminosité de la grande salle, il aperçoit enfin les sièges et bancs. Ils se dirigent vers les places qui leurs sont affectées, saluant au passage les personnes déjà présentes.

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