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Quand Mars rime avec Mariage , union d'Ysaoth et de Sunburn

Sofio.de.valmonte
La cérémonie touchait à sa fin, elle se retrouva forcé de prendre en main, le bouquet de fleurs, et devait avoir un air bête de jeune fille qui suivent les mariés, lui manquait plus que la traine a la main, la bouche en coeur et elle en aurait pour des années à s'en remettre en suivant une thérapie. Les anneaux échangés, la question restée en suspens pour Ysa était toujours d'actualité à savoir le cout des alliances,simple curiosité de femme....

Fou? Sun le traitait de fou, déjà? ben il avait le temps à présent de s'en rendre compte, et pia pia pia, l'amour, la vie, le bonheur , les fleurs...c'est bien beau tout ca, mais à la fin, les mariés, ils avaient intérêt d'avoir prévu de quoi boire et manger, surtout que son époux à elle, l'adage de vivre d'amour et d'eau fraîche, il n'en avait que cure...et elle se risqua a jeter un œil derrière, avait t'il mis son idée d'aller nourrir Aeryn dehors, le trouvant pas, elle se concentra sur le bouquet, commençant a l'effeuiller de ses pétales, les unes après les autres....je 'aime...un peu..beaucoup..

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Anselme
Le secrétaire particulier de l'évêque regardait le marié d'un air de dire..... mais c'est quand qu'il le prend c't'anneau, on va pas y passer tout le printemps... il avait beau lui tendre la boite sous le nez, l'homme semblait figé dans la contemplation de sa belle !

C'est que l'évêque avait encore à conclure le mariage par la phrase rituelle et les inviter à sceller cette union par LE baiser ! Celui que tout le monde attendat et qui en général faisait rougir les mariées et permetait aux fidèles de laisser ensuite exploser leur joie et leurs commentaires plus ou moins grivois...
Hulrika
Deux petites questions auxquelles les futurs mariés répondirent Oui, sans grande surprise.
C'était donc ça un mariage? Dire oui.
Ça lui parut d'un coup tant de préparatifs et de solennité pour pas grand chose.
C'était si simple de dire oui. Aussi simple que de dire non.

Néanmoins, elle savait que ce oui voulait dire beaucoup, c'était pas comme dire oui j'ai bien dormi, oui j'ai mangé, oui j'ai fait caca.
C'était un engagement, un engagement l'un envers l'autre, devant leurs amis et devant Dieu.
Un sacré oui! Ils avaient intérêt à y avoir réfléchi et à savoir dans quoi ils s'engageaient.

Elle sourit les regardant. Ils avaient l'air confiants et déterminés.

Les alliances... Un symbole aussi. Avant de s'intéresser à un homme, elle avait pour habitude de regarder s'il en portait une ou pas. Ça, elle savait ce que ça voulait dire.

Elle ne disait un mot bien que des questions elle s'en posait. Elle regardait les presque mariés.

Sun prit la parole, elle écouta sans tout comprendre mais savait que c'était une déclaration d'amour à Ysa.
Elle sourit encore, tendant un peu le cou et l'oreille histoire de n'en perdre une miette.

Cependant, rester assise si longtemps et surtout si silencieuse commençait à lui être difficile. Elle délassa ses chausses non sans avoir jeté un œil et à gauche et à droite qu'on ne la surprenne et libéra ses pieds qu'elle avait lavé pour l'occasion. Quelques mouvements des orteils, pieds passés sous le banc devant et Hul se sentit mieux.

Elle reposa un regard plus concentré sur Sun et Ysa, heureuse pour eux.

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Ysaoth
D'une certaine façon, avec l'esprit pragmatique et par moment dépourvu de tout romantisme d'Ysa, on pouvait considérer que l mariage était une formalité quasi administrative qui permettait de se rapprocher de sa belle. Vivre selon les concept sociologique, culturel et donc, religieux de son époque, c'est s'offrir des opportunités que seules les conventions peuvent vous offrir. Sinon, vous êtes un paria et...c'est bof. Ysa a déjà goûté à cette vie là. Il ne regrette rien, et comme souvent il aurait tendance a dire que les errances d'avant lui ont permis ses choix actuels et futurs. Parmi les années d'errance, y'a eu de bons moments, de moins bon, et c'est ce parcours, initiatique, qu'il était en train de célébrer aujourd'hui avec cette femme qui allait l'accompagner pour le reste de sa vie.

C'est en ça qu'était importante la cérémonie de ce jour. Il sourit aux mots de sa blonde, se demandant s'il arriverait à être aussi inspiré qu'elle...mais à vrai dire, c'était pas un concours, et la plupart des gens qui étaient présents le connaissaient suffisamment pour savoir que le jeune homme était pas trop un poète. Il prit la bague qui était réservée à sa chérie. Plus fine mais dans le même genre que celui dont il vient de voir sa main orner.

Il prend la main de Sun et lui passe la bague au doigt sans l'avoir quitter des yeux.


Que dire...Lorsque je t'ai rencontré, je n'avais aucun plan, je n'avais rien préparé, mais je pensais maitriser les choses... et en fait... je crois que je me suis fait piéger...piégé par ta folie, par ton petit côté à la fois sérieux et décalé, distant et chaleureux... et je suis bien content aujourd'hui de m'être fait avoir de cette façon...alors que je pensais avoir le contrôle...j'ai rien contrôlé du tout... et quand je me vois ici devant tout le monde...bah j'me dis que c'est loin d'être une mauvaise chose. Moi aussi j'adore ça, et je t'aime.
Ivrel
L'échange des anneaux effectué, Ivrel allait pouvoir sceller définitivement cette union par des paroles qui bien que sonnant comme définitives, finissaient par une joyeuse promesse et c'est donc d'une voix forte qu'elle parla...

Par les pouvoirs qui me sont conférés par l’autorité du Tout Puissant et avec la bénédiction de Dieu, je vous déclare unis par les liens sacrés du mariage.

Vous pouvez embrasser la mariée.
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Cardinal-évêque de Clermont
Capitaine du Voitloin
Dame de Tournoël
Co-fondatrice de la Manufacture du Luern
En grève de bannière (mais pour faire plaisir aux héraults) -> http://img155.imageshack.us/img155/6285/bannireivrel11qm1.gif
Arthurdayne
Fidèle aux vieilles habitudes, il avait sorti un morceau de bois grossier, un couteau de charpentier usé, et s'était affairé à tailler dans le bois, à la recherche, qui savait, d'une forme originale à faire apparaître. D'une oreille, il écoutait les froufrous intérieurs, guettant les différentes étapes de la cérémonie. D'un oeil, il observait les retardataires se précipiter sur le parvis, sourire en coin.

Bref, il assistait au ballet du monde, comme s'il était sur le bord du chemin, spectateur de la marche des choses sans en être réellement partie prenante. Comme s'il était du côté sauvage, en quelque sorte... Qu'il aimait cette place...

Mais une retardataires vint percer sa petite bulle et le relier au monde réel. Elle passa devant lui et lui glissa un écu dans la main.


Tiens mon brave, mange et bois à ma santé, je sais ce que c'est qu'avoir faim.

Mouarf... Il la suivit du regard gagner l'abri de la cathédrale puis, machinalement, passa le dos de sa main sur sa joue, puis ses doigts dans ses cheveux en bataille. D'accord... pas rasé, coiffé approximativement... Baissa les yeux sur ses vêtements. Bon, pas d'habits de cérémonie, certes... Mais pas non plus des haillons, hein. Juste la tenue d'un villageois normal...

Hmm... ça devait bien arriver, de toute façon, à force de s'asseoir ici et de s'amuser de la comparaison avec un mendiant... Bref, ça ferait un écu de plus dans les caisses de Moulins.

Il en était là de ses considérations quand une ombre se dressa devant le soleil. Levant les yeux, il découvrit une Ninon toute sourire en contrejour.


Coucou toi ! Alors, la journée a été bonne ?

Coucou! Ma foi, je n'ai jamais gagné un écu aussi facilement... J'en gagne un autre, et on va se payer une chopine!


Sourire en coin et regard vers les grandes portes de bois, d'où les sons leur provenaient étouffés.

J'crois bien que ça a commencé... Tu n'entres pas?
Ysaoth
ha, voila le moment intéressant de la chose...quand il faut embrasser la Dame...et ce moment est d'autant plus facile lorsque la Dame en question est aussi belle que la petite blonde qui se tient devant lui.
Pour le coup Ysa ne se fera pas prier. Il comble le petite espace de réserve qui était entre eux deux pour la cérémonie et lui prend d'abord le visage entre ses mains se penchant vers elle pour lui donner ce fameux baiser. Simple au départ, les lèvres se posent sur celle de Sun, doucement, bien qu'une certaine envie puisse être décelée dans les gestes du jeune homme. Puis rapidement, es bras passent autour de la taille de Bouton d'or et il la soulève pour la mettre a son niveau et continuer le baiser de façon sensiblement plus passionné qu'il ne l'avait commencé, laissant le petit jeu durer quelques instants, certainement longs pour l'assemblée, mais qu'importe. Ce jour est un jour égoïste entre tous, et il était enfin uni a celle qu'il aimait plus que tout.

L'avenir s'ouvrait devant eux, tranquillement, sans trop de nuages noirs. C'était pas mal.
Il la reposa, désolidarisant ses lèvres de celles de Sun pour la regarder un instant, avec un petit sourire de contentement, de bonheur, sur le visage, les yeux noir plantés dans ceux d’émeraude de la belle,.

Il se tourna vers l'assistance alors, des amis ou des connaissances, et leur sourit de la même façon, ne pouvant faire autrement.
Sunburn
Une brève lueur taquine traversa son regard alors qu'Ysaoth prononçait ces quelques mots , vite remplacé par l'amour profond qui le liait à lui , illuminant ses prunelles .
Heureuse qu'elle était d'avoir su ébranler la maitrise de cet homme , bien que ce fut de manière totalement involontaire et imprévisible fut le devenir de leur relation .
Elle se retint d'effleurer sa joue du bout des doigts au terme des paroles émouvantes , se contentant de lui sourire avec tendresse .
A l'annonce du baiser qu'elle allait recevoir , enfin , tant l'attente lui avait paru longue car sa patience avait fini par s'amenuiser , l'anticipation du moment délectable à venir lui fait rosir les joues , le trop plein d'émotions en étant la cause .
Ses lèvres s'entrouvent légèrement d'elles-même à l'approche des siennes , accueillant le baiser avec un plaisir plus qu'évident , les doigts s'enlaçant contre sa nuque le temps de celui-ci et un cri de surprise est heureusement étouffé quand il la soulève aisément , ses pieds alors ne touchant plus le sol .
Mais qu'importe , elle se sent merveilleusement bien , pressée enfin contre lui , ses lèvres s'en ouvrent davantage , réceptionnant l'élan passionné qu'Ysaoth lui communique , le partageant avec la même conviction que lui , longuement , ressentant l'ivresse que procure une telle étreinte .
C'est troublée qu'elle se montre à lui lorsque ses pieds retouchent le sol ferme , les lèvres tremblantes s'étirent en un sourire radieux , le visage l'est tout autant , ô combien fière d'être devenue sa femme aux yeux de tous .
A l'identique , elle oriente son visage vers tous , arborant toujours son sourire de ravissement .

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Eloso
Anneaux, affirmation péremptoire d'un mariage validé, roulage de galoche en règle. Bon, ben, les choses avancent.

De là, deux options : Soit ils font un petit sur l'autel, là tout de suite, mais ça l'étonnerait, parce que l'Eglise n'a pas pu évoluer aussi vite. Soit tout le monde évacue le lieu, et va boire un coup à la santé des mariés. Qui, consequemment, iront faire leur petit ailleurs, ce qui évitera d'affoler les ventres desséchés des vieilles rombières.

Notez qu'ici, on en trouve peu dans les mariages. Les vieilles tantes, les voisines ridées, la nounou aux seins flasques, on ne les voit jamais. Même les arrières grands -mères, les douairières, les reines-mères, les matriarches, sont dans ce monde jeunes et belles, le sein haut et ferme, la croupe affriolante, la lèvre pulpeuse. Merveilleux monde, n'est-il pas ? Pas une dent qui manque, pas une ride, pas un ongle incarné. Pas une seule vraie vieille, qui sente la naphtaline et la soupe froide.

Or donc, nonobstant la profondeur de la reflexion ci-devant exposée, concentrons-nous sur une autre profondeur, bien plus hospitalière. Celle sur laquelle se penche notre soldat, plongeant ainsi, des yeux seulement rassurez-vous, dans le decoletté de sa voisine. A sa décharge, elle est idéalement placée pour cela, juste à la hauteur requise. Il le sait, pourtant, qu'on ne parle pas à des seins, en théorie, mais à une oreille. C'est pour cette raison, d'ailleurs, qu'il redresse in extremis la course de sa bouche, pour venir trouver le délicat ourlet de l'ouie vicomtale :

Ils auraient du penser au tabouret... Parfois c'est pratique d'être à la même altitude.
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Zoyah
Qu'il était heureux de voir deux êtres, dont l'un était son meilleur ami, consacrer devant le Très-Haut l'amour fidèle qui les unissaient depuis longtemps.
Le bonheur irradiait de leurs visages et ils n'avaient jamais semblé aussi beaux qu'en cet instant aux yeux de la brune.
L'émerveillement de leur sourire quand Monseigneur Ivrel les uni sembla leur redonner l'éclat de l'enfance, celui si émouvant de l'innocence. Bien que les mariés étaient loin d'être innocents...

Zoyah, bouleversée, laissa couler une larme d'émotion. C'est dans des instants comme celui-ci qu'elle pouvait mesurer toute l'étendue de sa solitude. Elle s'était faite toute petite durant la cérémonie, chuchotant plus qu'elle n'avait prononcé le crédo et le moment était venu où elle devrait vraisemblablement posé sur un acte sa signature déliée.

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Beths
[Un poil avant la cérémonie]

ça pour sûr ... pour une malchance, c'était une malchance. Pourquoi eut-il fallu que son Intendant alla trouver sa camériste avec la robe qu'elle comptait porter au mariage de Sun et Ysaoth, pour un dernier point de couture, tout en passant par l'écurie ? Statistiquement parlant les chances d'un tel évènement était ... réduites ... pour ne pas dire inexistantes.
Et pourtant ...
Et ... puisque nous étions dans les probabilités, quelle chance, enfin quel risque, y avait-il, si l'évènement précédemment décrit se produisait, que son Canasson décida à ce même moment, sans doute intrigué par un tel dérangement, qu'il attrapa le doux et soyeux brocart pour en faire son quatre heure ? Aucun risque. Enfin, un risque infime, infiniment petit.
Et pourtant ... là encore ...

Et Eudes, son Intendant, eut beau hurler, vociférer, clamer, sauter .... rien n'y fit, le tissu ne s'en déchira que plus, et la robe n'était plus que triste souvenir.
Le pauvre homme dut bien se rendre à l'évidence ... il lui fallait prévenir la Duchesse.

Et ce fut donc une Beths qui dans un premier temps explosa de rire entendant l'excuse la plus pitoyable qu'elle avait pu entendre, avant de se rendre compte que l'homme ne plaisantait pas, et que, déjà guère en avance pour se parer et vêtir convenablement pour le mariage, elle serait totalement et définitivement en retard.
Certes, certes, elle était Duchesse et avait donc toute une panoplie de tenues, de robes et de taffetas, mais sans sa camériste ... D'ailleurs ou était-elle ?

Se plaçant dans l'encadrement de la porte de sa chambre, d'un long haussement de voix qui fit arriver son fils avec un sourire jusqu'aux oreilles pensant que sa mère l'invitait à quelque jeu, elle se rendit compte que point de camériste ....
Décidément quand cela ne voulait pas ... cela ne voulait pas.

Aidée d'une autre soubrette, elle tentant, tant bien que mal, de trouver une tenue décente et suffisamment digne de son rang, tout en galopant à travers les pièces pour reprendre des mains de son fils, parures, rubans, ou divers objets dont elle avait besoin.
Ce fut même une Beths essoufflée qui arriva devant le cabinet de son époux, les bras chargé de leur enfant prodige, du fruit de leur amour, et qu'elle déposa son adorable et bruyant paquet récalcitrant dans les bras de l'heureux père, afin de pouvoir, enfin finir de se préparer avec presque une heure de retard sur son emploi du temps initial. En gros ... la cérémonie était commencée.

Rattrapant retard comme elle pouvait, ce fut une Duchesse a moitié débraillée et coiffée qui se précipita dans un carrosse, car avec une robe, impossible de se mettre en selle sur une longue distance. Peste soit des carcans féminins !



[L'église, enfin!]

Pour être en retard, elle l'était. Elle passa en trombe devant Arthur et Ninon qui, comme usuellement tapotaient Causette sur le parvis de l'église. Sauf que cette fois, à la différence d'un précédent mariage, elle ne décida pas de rester avec eux.
Elle se contenta d'un bref


'jour vous deux ! qui pouvait passer pour un 'jour les gueux ! car elle avait parlé si vite qu'elle avait pu manger quelques syllabes.

Arrivée devant les portes closes, un instant d'inspiration, avant de les pousser avec, elle l'espérait, discrétion.
Entrée dans les lieux, s'installant aussi vite qu'elle le put, elle aperçu au niveau de l'autel, Ivrel qui bénissait l'union de Sun et Ysaoth ... elle arrivait donc ... à la fin.
Toutefois le bonheur semblait irradier à travers tout l'édifice, notamment grâce aux deux protagonistes du jour, et Beths ne put que sourire devant un bonheur évident ...
Elle avait longuement hésité à venir en cette journée. Elle n'avait jamais pu oublier Ptit, et même si elle savait que Sun devait tourner la page, et devait retrouver le bonheur et la joie de vivre, Beths se demandait comment elle réagirait. En constatant qu'un immense sourire étirait ses traits, elle savait qu'elle était juste ravie et heureuse de la béatitude, du ravissement lisible de Sun et d'Ysaoth qu'elle avait appris à connaître et apprécier.
Et rien que pour être témoin de ce bonheur, Beths était contente d'être là.

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A faire
Ysaoth
Embrasser sa chérie c'est bien...et surtout lorsqu'on est pas certain de la suite des événements et que personne ne vous interrompt. La blonde toujours calée dans les bras, ils alternent les regards amoureux et les baisers passionnés en attendant qu'il se passe quelque chose.
Sandino
...Déjà présent à d'autres noces, Sandino s'était toujours demandé la raison pour laquelle les cérémonies religieuses duraient si longtemps.

Laissait-on ainsi aux époux un dernier long moment de réflexion ?

la configuration de l'édifice prenant alors toute sa signification en laissant libre un espace direct de l'autel aux portes de l'église pour permettre à la promise ou au promis la possibilité de fuir au plus vite.

Ou bien faisait-on durer pour que les participants soient plus généreux dans leurs dons en étant prêts à payer le plus possible pour pouvoir sortir ?

Des théories le bohémien en avait fondé quelques-unes la lenteur du rituel aidant, pour l'heure il pensait à ce qui aurait pu se passer s'il s'était levé quand Ivrel avait demandé si d'aucun avait une réserve à faire sur les épousailles. Plus d'une fois l'envie l'avait titillé en pareille circonstance, par respect pour les époux il n'avait jamais osé, pour autant ce genre de situation lui plaisait bien et c'était toujours avec un petit regret qu'il laissait passer l'occasion.

Faute de pouvoir s'amuser il regardait en souriant le marié essayer sans grand succès de ranimer son épouse.

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Lulue
Non non elle n'avait pas dormi, contrairement à ce qu'on aurait pu croire. Elle avait tout bien suivi la cérémonie, la Brune. Même que l'idée de faire une blague et d'élargir son cercle "d'amis," l'avait bien effleurée et titillée. Comment? Tout simplement en se levant lors du silence qui avait suivi la question fatidique, concernant le passage sur l'opposition de l'union entre les deux Auvergnats.

Lucie ne doutant point que le Barbu lui aurait violemment exprimé son manque d'humour de l'instant, malgré leurs amitié de longue date, s'était donc abstenue. Une sorte de repli stratégique quoi. La Blanche était donc restée religieusement sage, bien que cela ne lui ressemblait pas vraiment. Espérons que l'effort fut remarqué !

Une fois la cérémonie terminée, et avant qu'il prenne l'envie à Ysaoth de montrer à tout le monde comment on faisait les bébés - devant un public médusé - le Chevalier se leva afin de quitter l'édifice. Prendre un peu l'air avec les jumelles en attendant que tout ce petit monde se décide, ne pouvait pas lui faire de mal.
Les félicitations de mise viendraient un peu plus tard.

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Ivrel
Et voilà l'union était scelllée, la cérémonie terminée ou presque, il ne restait que les parchemins à donner.
L'assistance avait été très sage, pas un cri de joie, un commentaire grivois lors du baiser...

Tendant un parchemin à Ysaoth, Ivrel dit aux 2 époux.


Je vous souhaite tout le bonheur du monde, et pleins de petits aristotéliciens pour l'avenir... à moins que vous ne vous soyez déjà entrainés un peu avant et qu'ils arrivent avant 10 lunes.

Conclu l'évêque avec un clin d'oeil...

Citation:
Moi, Ivrel, cardinal-évêque de Clermont atteste par la présente avoir célébré l'union aristotélicenne de Messire Ysaoth et de Dame Sunburn en l'abbaye thomiste de Clermont en ce jour du 13 mars 1460.

Fait et scellé de ma main


SE Ivrel

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Cardinal-évêque de Clermont
Capitaine du Voitloin
Dame de Tournoël
Co-fondatrice de la Manufacture du Luern
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