Evanaelle
Mais quelle charmante dame. Son sourire si chaleureux et sincère rendait confiante la jeune Eva qui se sentit à laise parmi ces personnes si accueillantes.
Elle étreint la main de la propriétaire qui de plus sera la future épouse de son acheteur. Quel beau couple !
Sans plus attendre Andréa disparut pour y revenir encore plus souriante. Pourtant la brunette se surprit à lentendre annoncer « Puisque vous ne restez pas, j'vais pas vous mettre d'assiette, j'voudrais pas vous retarder. » suivit dun « Han mais non vous dérangez pas, pourquoi vous dites ça ?! »
Il ny a pas une petite contradiction dans ses paroles? Ma foi peu importe, la berrichonne nétait là que pour finir la vente de son potager.
Puis suffisait de regarder son volatile entouré de quelques petits pois ratatinés pour que lappétit se coupe pour un bon moment.
Dun ton poli, tel inculqué dans son éducation, la jeune fille sadressa à la proprio.
Ma dame, je ne voudrais surtout pas mimmiscer et déranger votre hôte qui sapprêtait à gouter votre délicieux met accompagné de votre futur.
Je peux revenir plus tard ou alors demain si sire Dodi le désire.
Son doux regard acier se porte alors vers Ddodie, son acheteur, tout en espérant quil approuve, cela lui éviterait dingurgiter un pauvre pigeon parsemé de petites crottinettes vertes.
Pitié, faites qu'il retarde la transaction !
Elle étreint la main de la propriétaire qui de plus sera la future épouse de son acheteur. Quel beau couple !
Sans plus attendre Andréa disparut pour y revenir encore plus souriante. Pourtant la brunette se surprit à lentendre annoncer « Puisque vous ne restez pas, j'vais pas vous mettre d'assiette, j'voudrais pas vous retarder. » suivit dun « Han mais non vous dérangez pas, pourquoi vous dites ça ?! »
Il ny a pas une petite contradiction dans ses paroles? Ma foi peu importe, la berrichonne nétait là que pour finir la vente de son potager.
Puis suffisait de regarder son volatile entouré de quelques petits pois ratatinés pour que lappétit se coupe pour un bon moment.
Dun ton poli, tel inculqué dans son éducation, la jeune fille sadressa à la proprio.
Ma dame, je ne voudrais surtout pas mimmiscer et déranger votre hôte qui sapprêtait à gouter votre délicieux met accompagné de votre futur.
Je peux revenir plus tard ou alors demain si sire Dodi le désire.
Son doux regard acier se porte alors vers Ddodie, son acheteur, tout en espérant quil approuve, cela lui éviterait dingurgiter un pauvre pigeon parsemé de petites crottinettes vertes.
Pitié, faites qu'il retarde la transaction !