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[RP] L'affaire Alise de Warenghien

Mendoza
Les yeux fermés il écoute les questions du messire sans trop faire attention, en faite...

Il fronce les yeux comme sentant entendre Alise, mais c'est impossible elle est morte, l'odeur qui est présente l'atteste..

Mais il a l'impression de qu'elle essaie de lui parler..

Un flash lui arrive en pleine tète, un souffle sur sa joue il croit entendre sa bouche sortir son nom: Mendozaaa aaa aaaa

Il ouvre les yeux faisant un pas en arrière accrochant la table ...
Sa lame tombant au sol, il la recupere aussi vite qu'elle était tombée.

Se retourne vers le messire...

Elle a parlé vous l'avez entendu , elle a parlé et et et elle ma touché...

Le messire le regarde et regarde alise..

Vous voyez bien qu'elle est morte , alors vous me repondez????

Mendoza regarde le messire , une goutte de transpiration coulant sur sa joue..

Quoi, que voulez vous savoir....

Le messire lui repose les questions...

Evidemment que je la connais...voyagez seule, je ne pense pas elle n'aimait guère les voyages en faite...
Suicidaire non, elle était d'une force que même moi je ne possède, pour le reste cela fait fort longtemps que je ne l'avais pas vu ou eu de ses nouvelles..
Je ne l'avais jamais revu depuis ce avait eu une histoire avec un messire quand je l'ai quitté ..


Mendoza se rapproche d'elle et referme les yeux essayant de ressentir ce qu'il a senti il y a quelques instant.....

Alize c'est moi c'est mendoza...
Il sentait ce qu'il avait ressenti le jour ou il avait perdu son frère avec cette attaque d'ours ....

Mais plus rien , avait il tout simplement rêvé ou cru en cela...

il déposa sa main dans celle d'Alize...
Vahanian_dit_jule
[Les fameux dix jours plus tard environ – aux alentours de la ville de Bergerac, dans le Périgord]
 
Cela faisait trois jours qu’il voyageait avec Lonie, dans un silence quasi-religieux. Le brun était parti du Limousin dès qu’il s’était senti en état de le faire. Même si son épaule tirait toujours. Même si ses côtes le faisait toujours un tantinet souffrir. Même si une ou deux plaies perduraient. Au bout de trois jours de marche, il apercevait enfin les remparts de la ville. Voilà qu’il était enfin proche de la vérité. Proche des réponses.
 
Il tourna la tête et son regard se posa sur la silhouette brune et rouge, non loin de lui. Peut-être aurait-il également l’occasion de lui parler ? Lonie. Lonie jolie. Son cœur se serra un peu. Elle lui manquait. Cela pouvait paraître stupide et ridicule, puisqu’elle était là, toute proche. Mais en réalité elle était tellement loin. Elle lui paraissait inaccessible. Leurs discussions et leurs échanges lui manquait. Son rire et son sourire également. Il déglutit et détourna les yeux avant qu’elle ne se rende compte qu’il l’observait un peu trop fixement. La langue résonna sur son palais lorsqu’il la fit claquer. Ponator, docile, accéléra un peu son pas pour le calquer sur celui du brun.
Quelques heures plus tard les huit pattes pénétraient dans la cité.
 
 
[Bâtisse des maréchaux de Bergerac – plus tard dans la journée]
 
Ponator était dans un pré municipal, attaché à un arbre. Non, il ne craignait pas de se le faire voler. Même s’il aurait peut-être dû. Lonie quant à elle, vaquait à ses occupations, peut-être en quête de ce fameux Alfred dont elle espérait les retrouvailles ici. Vahanian, quant à lui, s’avançait en direction des forces de l’ordre de la ville.
 
Sans attendre, sans frapper le bois de la porte, sans prévenir de quelque façon que ce soit, il entra. La pièce n’était pas bien grande. En même temps, Bergerac n’avait rien d’une capitale, ni d’un carrefour marchand. Ce n’était qu’une petite bourgade sans histoire, calme, peut-être trop, bien qu’un peu moins que Rochechouart. Une vague odeur désagréable flottait dans l’air. Cependant le brun, habitué à sentir la merde et le sang, n’y prêta guère attention.
 
Embrassant la pièce de ses havanes, il finit par accrocher le regard d’un type et se dirigea droit sur lui, sans se laisser le temps de réfléchir.
 
- ‘Jour. J’suis attendu d’un certain…
 
Il dut faire un petit effort de mémoire. Les noms et lui… C’était une grande histoire. Mais il avait déjà reçu deux courriers, qui l’avait interpelé, de cet oiseau de malheur. Alors il retrouva sans trop de mal les lettres, dans le bon ordre en plus.
 
- Soren. L’chef maréchal si j’ai bin saisis.
 
Le type le regardait d’un air demeuré, pas très réactif, comme s’il lui manquait une information cruciale. Un muscle tressauta sur la mâchoire du Berrichon, tandis qu’il serrait les dents. Il soupira finalement.

 
- J’m’appelle Jule.
 
Ce n’était pas tout à fait exact. Mais pas tout à fait faux non plus. Visiblement c’est ce qu’attendait cet abruti pour s’agiter et faire quelques connexions dans son cerveau.
 
- Il est occupé.
 
Le ton était détaché, je-m-en-foutiste. Cela hérissa le poil du brun. La réaction fut un tantinet disproportionnée mais immédiate. Vahanian claqua violemment son poing sur le bureau qui trônait non loin avant de pointer un index furieux sur l’homme qui lui avait servi cette réponse.
 
- Ecoute bin c’que j’vais t’dire mon gars… Commence pas à m’emmerder et va l’chercher. I’m’a convoqué, j’suis là. ‘lors bouge ton putain d’fion et ramène l’Soren ici ou j’vais sérieus’ment m’énerver ! … J’me suis pris une armée, j’ai failli perdre deux personnes chères, j’me suis fadé trois jours d’marche sans arrêt, et on m’prétend qu’une amie est morte ici ou pas loin… ALORS VA M’CHERCHER CE PUTAIN DE CHEF MARECHAL !!! Capich’ ?!
 
Un peu sous tension le Vahanian ces derniers temps ? Non, si peu…
Vahanian_dit_jule
[Les fameux dix jours plus tard environ – aux alentours de la ville de Bergerac, dans le Périgord]
 
Cela faisait trois jours qu’il voyageait avec Lonie, dans un silence quasi-religieux. Le brun était parti du Limousin dès qu’il s’était senti en état de le faire. Même si son épaule tirait toujours. Même si ses côtes le faisait toujours un tantinet souffrir. Même si une ou deux plaies perduraient. Au bout de trois jours de marche, il apercevait enfin les remparts de la ville. Voilà qu’il était enfin proche de la vérité. Proche des réponses.
 
Il tourna la tête et son regard se posa sur la silhouette brune et rouge, non loin de lui. Peut-être aurait-il également l’occasion de lui parler ? Lonie. Lonie jolie. Son cœur se serra un peu. Elle lui manquait. Cela pouvait paraître stupide et ridicule, puisqu’elle était là, toute proche. Mais en réalité elle était tellement loin. Elle lui paraissait inaccessible. Leurs discussions et leurs échanges lui manquait. Son rire et son sourire également. Il déglutit et détourna les yeux avant qu’elle ne se rende compte qu’il l’observait un peu trop fixement. La langue résonna sur son palais lorsqu’il la fit claquer. Ponator, docile, accéléra un peu son pas pour le calquer sur celui du brun.
Quelques heures plus tard les huit pattes pénétraient dans la cité.
 
 
[Bâtisse des maréchaux de Bergerac – plus tard dans la journée]
 
Ponator était dans un pré municipal, attaché à un arbre. Non, il ne craignait pas de se le faire voler. Même s’il aurait peut-être dû. Lonie quant à elle, vaquait à ses occupations, peut-être en quête de ce fameux Alfred dont elle espérait les retrouvailles ici. Vahanian, quant à lui, s’avançait en direction des forces de l’ordre de la ville.
 
Sans attendre, sans frapper le bois de la porte, sans prévenir de quelque façon que ce soit, il entra. La pièce n’était pas bien grande. En même temps, Bergerac n’avait rien d’une capitale, ni d’un carrefour marchand. Ce n’était qu’une petite bourgade sans histoire, calme, peut-être trop, bien qu’un peu moins que Rochechouart. Une vague odeur désagréable flottait dans l’air. Cependant le brun, habitué à sentir la merde et le sang, n’y prêta guère attention.
 
Embrassant la pièce de ses havanes, il finit par accrocher le regard d’un type et se dirigea droit sur lui, sans se laisser le temps de réfléchir.

 
- ‘Jour. J’suis attendu d’un certain…
 
Il dut faire un petit effort de mémoire. Les noms et lui… C’était une grande histoire. Mais il avait déjà reçu deux courriers, qui l’avait interpelé, de cet oiseau de malheur. Alors il retrouva sans trop de mal les lettres, dans le bon ordre en plus.
 
- Soren. L’chef maréchal si j’ai bin saisis.
 
Le type le regardait d’un air demeuré, pas très réactif, comme s’il lui manquait une information cruciale. Un muscle tressauta sur la mâchoire du Berrichon, tandis qu’il serrait les dents. Il soupira finalement.
 
- J’m’appelle Jule.
 
Ce n’était pas tout à fait exact. Mais pas tout à fait faux non plus. Visiblement c’est ce qu’attendait cet abruti pour s’agiter et faire quelques connexions dans son cerveau.
 
- Il est occupé.
 
Le ton était détaché, je-m-en-foutiste. Cela hérissa le poil du brun. La réaction fut un tantinet disproportionnée mais immédiate. Vahanian claqua violemment son poing sur le bureau qui trônait non loin avant de pointer un index furieux sur l’homme qui lui avait servi cette réponse.
 
- Ecoute bin c’que j’vais t’dire mon gars… Commence pas à m’emmerder et va l’chercher. I’m’a convoqué, j’suis là. ‘lors bouge ton putain d’fion et ramène l’Soren ici ou j’vais sérieus’ment m’énerver ! … J’me suis pris une armée, j’ai failli perdre deux personnes chères, j’me suis fadé trois jours d’marche sans arrêt, et on m’prétend qu’une amie est morte ici ou pas loin… ALORS VA M’CHERCHER CE PUTAIN DE CHEF MARECHAL !!! Capich’ ?!
 
Un peu sous tension le Vahanian ces derniers temps ? Non, si peu…
Poissac, incarné par Soren
Poissac n'a rien d'un homme bien finaud. Essayer de deviner la vérité au travers de gestes, de sentiments perçus, du ton de la voix, il ne connaissait pas. En réalité, il n'avait même jamais mené un interrogatoire. Il faut dire qu'en temps normal Bergerac est une ville bien tranquille du Périgord, une ville où les seuls débordements dangereux sont ceux de Cunégonde Sarfati. Alors, l'affaire Alise de Warenghien, en l'absence du maréchal, il ne savait comment la traiter.

- J'vous r'posions la question sieur. Du temps où vous la connaissiez, à part vous, avait-elle un amoureux? Des amants? Des personnes qu'auront pu êt' ben jaloux d'elle? Avait-elle emprunté une forte somme d'argent à des usuriers? Fréquentait-elle les bordels pour gagner d'l'argent? Ou bien… vous avait-elle confié qu'elle savait des s'crets sur des hommes haut placés? Des choses qui pourraient mettre la carrière d'un arriviste en danger?

En fait il ne savait pas ce qu'il cherchait. Peut-être n'y avait-il rien à trouver. Alise de Warenghien était morte tuée sur la route dans un brigandage qui avait mal tourné et rien de plus! Dans ce cas, Poissac doutait qu'on arrivât un jour à mettre le grappin sur le malandrin… comme tant d'autres, il échapperait aisément aux griffes de la maréchaussée.

- J'vais et' ben franc avec vous. L'maréchal MacFadyen vous voit comme l'suspect numéro un dans c't'histoire… parce qu'un brigand qu'on a croisé nous a donné vot'nom. Il nous a dit qu'vous êtiez dans les parages et… on a trouvé des tas d'lettres portant vot' nom dans la maison d'la défunte.

Il avait dit ça en gardant une main sur la poignée de son épée, nonchalamment, sans y prêter une trop grande attention, un peu comme le font les vieux baroudeurs… Et il en était un. Un baroudeur des villes. Un homme du guet! Un manteau d'or et de sang comme on disait par ici. Oui, à Bergerac, comme sans doute ailleurs dans le comté, les hommes de la maréchaussée étaient vêtus d'une cape distinctive d'Or et de Sang, les couleurs du Périgord et de l'Angoumois.

- Moi, j'ne doutions pas un instant qu'vous gagnez vot'vie en prenant les richesses des aut' sur les routes. C'que j'voudrions savoir, c'est c'que vous savez vous! Vous d'vez ben connaitre les brigands, leurs noms, leurs habitudes. Alise était une amie du maréchal. J'suis sûr qu'il trouverait un moyen d'payer vos services si vous vouliez nous aider à r'trouver la crapule qu'a tué c'te brunette.
Soren
L'homme l'avait impressionné. Lui, il n'était qu'un simple scribouillard venu ici à la demande du Prévôt Plumenoire pour essayer de mettre un peu d'ordre dans les dossiers de la maréchaussée de Bergerac. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que c'était le fouillis total. Les maréchaux ici n'avaient pas le sens de l'ordre, ça, c'était évident! Le travail à faire était monumental. Les rapports du guet trainaient sur le bureau, les plaintes n'étaient pas archivées. Comment vouliez-vous vous y retrouver? Même une souris ne retrouverait pas ses petits dans un foutoir pareil!

Roger leva la tête, anxieux et chercha Poissac du regard. Le garde était dans la pièce voisine en compagnie d'un suspect... et du corps d’une morte. Mais ça, il ne voulait pas le savoir, c'étaient les affaires de la maréchaussée, et ça n'avait rien à voir avec l'administratif. Lui, il ne s'occupait pas de classer les cadavres.


- Je… Euh… Un instant vous permettez?

Il n'avait qu'une envie : se débarrasser de l'inconnu convoqué et replonger son nez dans les vélins. Ça avait une bonne odeur les vélins... pas comme les cadavres ou les malandrins qui arpentaient les routes pour détrousser les bonnes gens. Il avait pu discuter un instant en aparté avec le garde de la maréchaussée… Poissac qu’il s’appelait… Celui-ci lui avait transmis l’information qu’il désirait. Roger revint dans la salle principal, bafouillant et bredouillant devant celui qui s’était présenté sous le pseudonyme de Jule.

- Je… Euh… Encore Un instant vous permettez?

La porte claqua derrière lui. Plus vite il en aurait fini et mieux il se sentirait. Il en parlerait au prévôt de cette histoire! Ce n’est pas à lui à faire l’accueil des visiteurs au bureau des maréchaux! Il faut qu’elle le sache et qu’elle règle ça! Sinon, elle se passera de ses services la prochaine fois. Il n’acceptera des affectations que pour Angoulême ou Sarlat. Là au moins, on est tranquille! Quand le bureau est géré par des femmes, c’est bien mieux ordonné!

Il ne lui avait pas fallu beaucoup de temps pour la trouver là où Poissac le lui avait indiqué, lui expliquer la situation. La jeune femme blonde à l’accent guttural du nord de l’Europe lui emboita le pas, direction la maréchaussée.


- Bonjour Sieur, je suis Solveig Olofsdotter, la conseillère particulière du maréchal Seurn MacFadyen Eriksen. On m’a dit que vous désiriez le voir?
_________________
Mendoza
Le blond regardait le messire qui avait pris un ton différent..
Mendoza pris une chaise et s'assis devant le messire...
Je vais être honnête moi aussi:

Les lettres correspondent a une période ou j'ai aimé alise.
Son père avec de haute fonction mais il est décédé je crois..
Alise ne peut avoir de personnes qui lui en veuille, elle était d'une douceur exquise.

Elle a redonné calme a ma vie, avant que je ne reprenne la route.
Oui j'ai était brigand , mais j'ai servi aussi la bonne cause en tant que maréchal .

Je n'ai pas tué Alise, je vous l'assure je ne touche jamais aux femmes.
Je suis prêt a vous aider pour retrouver le chien qui a ôté la vie d'Alise.

Puis je couper une mèche de ses cheveux en souvenir???


Mendoza, regardait le messire les yeux rouges remplient d'émotion, car il avait eu avec Alise , des moments qu'il ne pourrait jamais oublier.

J'aurai du rester a ses cotés et je l'aurais sauvé je m'en veux terriblement, mais vous savez, on a la vie qu'on mérite messire, la mienne n'est faite que de mort et de sang...
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