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[rp] Grand Banquet et Bal en l'honneur de la Visite Royale

Martymcfly
Une missive d'invitation était parvenue jusqu'à lui. Sa vassale avait pensé à tout, même à inviter personnellement son suzerain. Clothilde devait avoir fort à faire entre le passage de la Cour en Bourbonnais-Auvergne et ses contractions, sans doute de plus en plus douloureuses. Malgré tout, elle semblait gérer de front ces deux événements avec la plus grande efficacité.

Marty avait quitté Thiers il y a peu, après quelques jours à surveiller les remparts du village ou envoyer quelqu'un travailler à la mine de pierre pour lui. Mais surtout après ces quelques jours passés en la compagnie la plus divine qui soit. Elle lui avait avoué ses sentiments, il n'avait rien répondu. Quel idiot...

Jusqu'à cette lettre, reçue alors qu'il préparait ses dernières affaires. Elle voulait venir à son bras. Elle tenait à paraître à ses côtés, de surcroit vêtue d'une robe. Mais ?! Serait-ce un moyen de le tenir ? De le retenir ? Elle n'avait pas besoin de cela, loin de là. Le Duc de Billy s'était empressé de lui répondre, se livrant à son tour. La perspective de paraître accompagné de Beths à la salle de bal le réjouissait. Bien évidemment il décida de la pénétrer ensemble. La salle devait regorger de monde et du beau monde de surcroit.

C'est ainsi que le Duc de Billy avait rejoint la Dame de Gondole devant ladite salle. Ce serait la première grande réception où ils s'afficherait ensemble et Marty se contrefichait de ce que l'on pourrait dire. Au pire, Beths ferait entendre sa douce voix et il savait comment la faire taire. C'était un moyen fort peu aristotélicien mais tant pis...

Sa Dame était, comme annoncée, habillée d'une robe resplendissante, d'un corset qui tenait magnifiquement ses formes et d'une coiffe qui la rendait magnifique. Non ce n'était plus la même Beths qu'il y a quelques jours. Quelque chose avait changé et Marty était fier d'en être la cause, du moins il aimait à le penser.

Emerveillé par tant de beauté qui s'offrait à lui en ce jour béni du Très Haut, Marty lui donna un tendre baiser avant de lui offrir son bras pour entrer dans la salle.

Quelques pas les séparaient de l'entrée... Chuchotements à l'oreille...


Tu es magnifique Chaton, je t... Il s'était retenu... je t... Raaaaaaahh !! Il ne pourrait pas lui dire encore, l'écrit avait été suffisant mais il voulait pourtant lui dire de vive voix. je t'espère à l'aise à mes côtés.

Il lui sourit et reconnut le héraut du Comité des Fêtes ducal. Marty s'adressa alors à lui.

Veuillez annoncer la ravissante Beths, Dame de Gondole et Prévost Royale des Provinces Vassales, accompagnée de Sa Grâce Martymcfly de Montfort-Balmyr, Duc de Billy et Seigneur de Terves, je vous prie.

Une délicieuse odeur s'échappait de l'intérieur... Cela fleurait bien bon... Forcément avec tous ces nobles. Fallait-il rappeler que la noblesse sentait bon ? Mais ce n'était pas cela cette fois... C'était quelque chose de plus délicat qui avait le don de faire gargouiller son estomac. Marty avait omis qu'il s'agissait d'un grand banquet ! S'il avait su il aurait mis vêtement plus ample pour avoir le loisir de s'adonner à son plaisir de déguster.

Ce qui était certain c'est qu'il allait faire des rencontres. Ne dit on pas que la table est l'entremetteuse de l'amitié ?

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Tiadriel
Tiadriel avait longtemps hésité à demander à Rick de l'accompagner à ce banquet en l'honneur du Roy. Poussée par son désir de Le "rencontrer" enfin et sa peur de se sentir de trop à cette soirée. La curiosité avait fini par l'emporter. Après tout, quand elle était entrée au Saint Esprit, c'était pour Lui. Elle était partie deux fois défendre Son Honneur, laissant tout derrière elle pour son Roy. Se triturant parfois l'esprit entre soigner un ennemi ou laisser mourir un homme...

Mais c'était loin tout ça. Elle avait choisi de se ranger pour sa famille à elle. Elle ne regrettait pas son choix, mais elle voulait Le voir.
Elle avait donc choisi sa plus belle toilette pour cette grande exception, doutant fort de pouvoir égaler celles des grandes dames. Mais l'essentiel était toujours de participer. Elle avait hésité sur sa coiffure. Chignon ? Hum, non, elle avait finalement opté pour les laisser flotter sur ses épaules. Elle avait simplement ramené deux mèches, prises sur les côtés et tressées derrière la tête. Elle avait accroché ses pendants d'oreilles, ceux offerts par Rick, puis après un dernier regard dans le psyché, elle avait rejoint son époux.

Ils s'étaient mis en route et étaient... en retard... La jeune mère avait eu du mal à confier son fils pour la soirée. Mais maintenant qu'il faisait ses nuits, cela les laissait un peu plus libre de profiter de ce genre de soirée.
Elle laissa son époux les annoncer au héraut posté là à cette occasion pendant qu'elle jetait un oeil à la salle de réception, magnifiquement décorée pour cette grande occasion. Elle n'écouta donc pas la façon dont ils devaient être annoncés.


Dame Tiadriel, et Son Excellence Rick

Dame ? Elle manqua s'étouffer, se demandant ce que Rick lui avait raconté. Elle lui jeta un regard interrogateur et devant son air, en déduisit qu'il n'y était pour rien. Elle respira un grand coup et reprit contenance.

Ils s'avancèrent dans la salle, elle, avec son regard curieux, cherchait le Roy. Elle se demandait à quoi Il pouvait bien ressembler. Elle finit par L'apercevoir, puis Le voir. Elle fut impressionnée, s'avança et se perdit en une grande révérence devant sa Majesté. Son expérience dans la diplomatie lui avait au moins appris à faire cela comme il fallait.

Elle se releva et chercha ensuite du regard un visage connu. Kory ! Elle entraîna Rick vers elle. Elle faisait partie du Comité des Fêtes, elle devait avoir du travail, mais pas grave. Elle avait envie de la saluer. Elle s'approcha et lui fit la bise.


Bonsoir Kory ! Il y a du monde, c'est impressionnant !
Tu vas bien ? Pas trop fatiguée par tous les préparatifs ?

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Beths
Une malle qui s’ouvre, un désespoir devant le contenu d’un trousseau exempt ou presque de toutes robes, jusqu’à présent la jeune femme ne s’était jamais inquiété de la chose, ne s’intéressant point à la mode, et préférant par-dessus tout sa tenue de maréchale, ample, confortable, qui lui permettait tous mouvements dont au besoin courses les vils individus épée au poing.
Mais aujourd’hui … une fébrilité certaine gagnait la jeune femme. Pour la première fois de sa vie, elle souhaitait être présentable, réellement présentable. Non aux yeux de leurs Majestés, même si elle aurait certainement fait un petit effort en passant sa tenue de membre de la Grande Prévôté, mais non, ce jour c’était pour une toute autre raison, ou plutôt pour d’autres yeux qu’elle désirait être belle. Une Gondole doucement prenait l’eau sous le doux regard de celui qui avait su conquérir son cœur.
Elle grimaça, quel choix avait-elle ? Remettre la seule robe qu’il avait déjà vu, la plus élégante, ou bien une autre, déchirée et pleine de terre, n’ayant point eu le temps de s’en occuper depuis son annoblissement, ou bien encore une dernière propre et simple, qui ne lui avait servi qu’une seule fois, pour des joutes, malheureuse idée qu’elle avait eu là. Vaste dilemme qui la laisserait pantoise et qui l’aurait bien fait rire quelques semaines auparavant.
Depuis sa Noblesse, elle ne s’était guère préoccuper de trouver tenue adéquate. Attrapant la dernière robe qu’elle avait vue, elle la plaça devant elle, n’était-elle point trop simple pour un bal où le Roy serait présent : velours et voile ? Elle était de sa couleur préférée, mais elle ne faisait ni honneur à son Roy, ni à son blason en ne portant pas de bleu, mais de bleu, elle n’en avait point.
Elle se décida donc pour cette robe qui mettait en valeur sa taille fine, mais qui à la différence de la précédente, ne laissait rien qu’à peine imaginer la naissance de sa poitrine. La jeune femme rougit, et sa pudibonderie chassa toutes ces folles pensées de son esprit. Elle dénicha ensuite un peigne dans ses affaires, elle ne souvenait même pas en avoir un, peigne qu’elle usa pour domestiquer un peu ses cheveux. Elle tenta d’élaborer un chignon. Las, soit il pendait trop d’un côté, soit de l’autre, soit … Une coiffe, humpf … elle n’aimait pas et n’en avait pas. Ses cheveux resteraient libres, ils seraient son plus bel atout. Réfléchissant un instant, elle plongea au fond de la malle. Des peignes, anciens, qu’elle avait acheté à un marchand ambulant, pourquoi pas, ils seraient … sa coiffe. Elle les plaça dans ses cheveux. Elle était prête. Elle jeta un regard sur son épée, et main tendue en avant allait la prendre. Non ! Pas ce soir. Elle lissa doucement sa robe. Non ce soir, elle ne serait pas maréchale. Son épée, resterait chez elle, autant que cela puisse lui coûter.

Elle se présenta alors au château de Clermont. Était-il déjà là ? Son cœur cognait avec ferveur dans sa poitrine. Un sourire s’était affichée sur ses traits, et elle se demanda, si cette fois, il la reconnaitrait.
La nuit tombait, et passant devant l’une des nombreuses baies vitrées qui menaient à la salle de bal, son image lui fut renvoyée. Oui décidément, Beths était métamorphosée.




Elle allongea le pas et arriva à proximité de la porte du bal, et ses yeux s’arrondirent de ravissement. Il arrivait lui aussi. Timidement, elle s’approcha de lui. Il l’accueilla d’un tendre baiser qui la fit délicieusement rosir. Le sourire qu’il lui adressa fit une nouvelle fois chavirer son cœur. Délicatement, elle posa sa main sur son bras, et levant ses yeux vers lui, lui sourit.

Tu es magnifique Chaton, je t... je t'espère à l'aise à mes côtés.

Le rose devient rouge, et son regard encore plus amoureux s’il en était, elle hoche la tête en une affirmation heureuse.

Il l’entraina alors vers la salle de bal, précisant leurs noms et titre à l’annonceur.
Aussi droite que la justice pourrait, l’être, au bras de celui qu’elle aimait, la jeune femme pénétra dans la salle de bal.
La salle est déjà pleine, la plupart des visages qu’elle croise lui sont familiers, Marty la conduisait vers Sa Majesté Lévan III et Son Altesse Armoria et la Cour. Révérence devant le Roy puis la Princesse. Les présentations étaient requises


Vos Majestés, mes respects. Je suis Beths, Dame de Gondole, votre Prévost Royal des Provinces Vassales. C’est un honneur que de vous recevoir dans notre Duché.

Un doux sourire accompagne sa déclaration qu’elle avait faite d’une voix calme et sereine. Incontestablement, Beths était toujours Beths, mais elle avait été transformée.
Puis il disposèrent et Beths se laissa conduire par son cavalier vers la foule présente.

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Apolonie
La rencontre fut fortuite, ne s'attendant pas à croiser celui qui est ce soir son cavalier lorsqu'elle avait franchi la porte de l'auberge montbrisonnaise. Presqu'un an depuis leur dernier échange. L'azur de la demoiselle s'est assombri au cours de cette année, les traits sont plus creusés, le ton est plus rude. Tout ce qu'elle a perdu, gagné, vécu, vu, ces deuils, les exactions qui s'en sont suivies, la vie de voyageuse et les combats ont modifié la jeune fille naïve qu'elle était alors. Il semblerait que le temps en ait fait de même avec son cavalier.

Lorsqu'ils avaient devisé la veille, elle avait cherché en lui le souvenir qu'il lui avait laissé l'an passé. Un jeune homme qu'elle trouvait alors arriviste, un duc qui avait brillé par son absence à l'époque, elle n'avait pas cherché à le connaitre plus avant, l'impression avait été mauvaise au départ. Mais aujourd'hui, lui aussi, dans son ton, son allure, porte les stigmates d'une vie de voyageur, son regard l'éclat sombre de celui qui a tué, blessé, combattu et vu tomber les siens. Les deux jeunes gens avaient beaucoup changé entre l'année dernière et cette soirée qu'ils ont choisi de passer l'un avec l'autre. Le sourire d'Apolonie n'est pas feint, elle est ravie d'être en sa compagnie.


Bien entendu, nous goûterons même à tous ces mets s'il le faut Dame Apolonie.

Plissement de nez désapprobateur lorsque le mot "dame" vient frapper ses oreilles. Elle l'avait pourtant prévenu qu'elle n'aimait pas être nommée de la sorte. Le sourire se glisse en coin, la lueur malicieuse dont le jeune Von Frayner avait fait les frais aux festivités de Billy s'éclairant dans ses yeux.

N'en faisons pas une obligation, Vicomte, mais un plaisir. Ajoutant un ton en dessous: Mais si vous répétez ce dame, vous devrez le faire seul.

Un verre trouve rapidement le creux de sa main, comme le sourire le pli de ses lèvres alors que galamment Alayn lui propose de gouter le vin. Il lève sa coupe, elle imite le geste. Recueille le murmure, inclinant poliment la tête et y répond doucement:

A votre retour en Auvergne, à cette surprenante rencontre et à cette soirée en votre compagnie !


Laissant l'azur planté dans le regard du vicomte, elle porte la coupe à ses lèvres, carmin en glissée savoureuse dans la gorge assoiffée par le voyage, le goût un peu âpre du vin auvergnat réveillant les papilles, qui s'affolent avec les effluves échappées des plats présentés.

Ainsi donc vous comptez rester longtemps sur vos terres ?
Une envie de se relancer en politique ou le simple désir de profiter de l'Auvergne calmement ?


[Edit pour faute de frappe.]
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Co-fondatrice avec Amberle du fan club de Constant Corteis.
Diane.
Diane aperçut Caporalescu un peu plus au loin entrain de deviser avec une charmante dame, s'excusant auprès de jariane et de Fur, elle s'approcha du couple.

Bonsoir Caporalescu, Madame permettez que je vous l'emprunte quelques minutes, Capo je voudrais te présenter Jariane le capitaine de la COBA et Messire Fur de Chéroy.

Elle prit le bras du GM puis retourna auprès de sa famille.

Duchesse, Fur je vous présente Caporalescu des Corinthiens, spécialiste des glissades.

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Caporalescu
Capo eût à peine le temps de faire un sourire à Somy, qu'il était face à la Duchesse et au Baron. Capo fît une profonce révérence.

Vôtre Grâce... Baron... honnoré de faire votre connaissance... bien qu'il me semble que nous nous sommes déjà vu en taverne Baron.

Capo esquissa un sourire en repensant à cette soirée...
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Alayn
Imitant ma cavalière, je prend une gorgée de ce vin délicieux qui nous est offert, et je me perd dans son regard azuréen lorsqu'elle m'interroge sur mon retour en Bourbonnais-Auvergne.

A dire vrai, je n'ai encore pas eu le temps de me rendre sur mes terres. Peu après mon retour je suis allé voir mère sur celles qui étaient, il y a encore quelques temps, à son époux, le Vicomte Jazon, à Sainct Maurice.
En l'absence de Jazon, j'ai décidé de l'aider à s'installer sur les terres de nostre famille, à Viverols, nous nous y rendrons très prochainement.


Je porte à nouveau ma coupe à mes lèvres, puis entame une marche, le bras d'Apolonie toujours sous le mien, nous nous mélons un peu plus dans la foule.

La politique... vaste sujet. On n'arrête jamais vraiment la politique lorsqu'on aime. On peut s'en éloigner, mais elle vous rattrape plus vite qu'on ne peut imaginer.
Aujourd'hui je vous répondrais que non, je ne compte point me replonger dedans, mais on ne sait jamais, un jour peut-être.

Et vous ? Comptez-vous poser vos bagages longtemps ? Pour en avoir fait l'expérience, je sais aussi que lorsqu'on a goûté à l'aventure, il est difficile de tenir en place.

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Clothilde
Rodrigue, après avoir salué les nouveaux venus d'un respectueux signe de tête, annonça :



Beths Dame de Gondole et Prévost Royale des Provinces Vassales accompagnée de
Sa Grâce Martymcfly de Montfort-Balmyr, Duc de Billy et Seigneur de Terves







Clothilde se tenait aux côtés de Rodrigue, pour lui transmettre le parchemin scellé contenant le nom du second mets-mystère.
Aussi, fut-elle aux premières loges pour accueillir son Suzerain et la cavalière de celui-ci.
Grand sourire sur le visage de la Dame de Laveissière et de Bost.
Deux raisons particulières à ce sourire : tout d'abord, elle était visiblement ravie de la présence de son Suzerain.
Et puis, elle jubilait intérieurement de constater que son intuition féminine ne l'avait pas trahie. En effet, lors du Bal donné au domaine de Billy par son ami Marty, et malgré sa présence écourtée par quelques menues contractions, qui lui avaient gagner sa chambre, Clothilde avait surpris des regards, des sourires, qui ne trompaient point.
Sincèrement heureuse de tout cela, elle accueillit ses deux amis.
Ravissante révérence adressée à son Suzerain. Ornée d'un non moins ravissant sourire à partager entre Marty et Beths.

Votre Grâce, Ma Dame... soyez les bienvenus tous deux icelieu. Je suis sincèrement ravie de votre présence parmi nous ce soir !!
Bonsoir Marty, bonsoir Beths !! je vous souhaite à tous deux une excellente soirée, le bal débutera après le service des potages. De quoi répondre je l'espère à tes deux petits péchés mignons, mon ami.


Petit clin d'oeil complice, avant de déposer furtivement une bise sur la joue de Marty et sur celle de Beths, ni vu ni connu. Ce petit geste dénué de tout protocole, étant masqué des regards des convives par la bienveillante et imposante stature de Rodrigue, dont le silence était d'or.

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jtm
Korydwen
Korydwen avait été chargé par Clothilde de vérifier quelque chose, seul problème, elle ne se souvenait pas de ce qu'elle devait faire, la chaleur de la pièce l'ayant un peu étouffée, elle était sortie prendre un peu l'air et en revenant, elle se rendit compte que tout était parfais, les plats distribués, les menus et la phrase mystère, elle ne participerait pas, ayant vu les plats, enfin elle se souvenait les avoir vu.

Elle déambulait dans la salle, toute seule, un peu perdue, faisant quelques révérences par-ci, par-là, écoutant les annonces, mais pas de prévost de son coeur, plus tard certainement.

Elle finit par trouver Tiadriel, elle sourit.


Bonsoir Kory ! Il y a du monde, c'est impressionnant !
Tu vas bien ? Pas trop fatiguée par tous les préparatifs ?


Bonsoir Tiadriel, Rick.

Elle sourit.

Oui beaucoup de monde, je suis perdue... Et vois-tu Clo voulait que je vérifie quelque chose, mais j'ai oublié... Elle s'en sort comme un chef ! Ca va bien et vous deux ? J'espère qu'Al réussira à se libérer pour venir... Les préparatifs ça a été nous sommes un bon petit groupe, alors tout fonctionne très bien...
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Institut de Médecine du BA
Lunedor
C'était presque trop facile.

Si vous gardez votre nom secret, messire l'Homme en Vert, je trouve normal de vous rendre la politesse. Pour vous, je serai Nuèch car les ténèbres sont mon royaume.
Mais je ne devrais sans doute pas vous parler, -a-t-on jamais vu la nuit entretenir les hommes hormis pour les conduire au hasard d'un chemin détourné peuplé de coupe-jarrets?
Croyez-vous que je veuille votre perte mon vert damoiseau?
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Tiadriel
Kory semblait chercher quelque chose...

Bonsoir Tiadriel, Rick.

Oui beaucoup de monde, je suis perdue... Et vois-tu Clo voulait que je vérifie quelque chose, mais j'ai oublié... Elle s'en sort comme un chef ! Ca va bien et vous deux ? J'espère qu'Al réussira à se libérer pour venir... Les préparatifs ça a été nous sommes un bon petit groupe, alors tout fonctionne très bien...


Peut-être que si tu demandais à Clo de te rappeler ce que tu dois vérifier, cela pourrait t'aider, non ?
Oui, elle s'en sort vraiment bien. J'espère qu'elle ne se fatigue pas trop, pour elle et le futur bébé.

Oui, nous allons bien. Je suis un peu impressionnée, je n'avais encore jamais vu le Roy !
J'espère aussi qu'Al pourra se libérer, ça lui ferait du bien de faire un peu la fête, il travaille trop...


Elle marqua un petit temps d'arrêt. A force de parler, elle allait se déssecher sur place.

Tant mieux si tout va comme vous voulez. En tout cas, ça sent terriblement bon. J'ai hâte de goûter aux petits plats.
Tiens, d'ailleurs, tu sais où nous pouvons nous installer ? Je crois avoir vu Aigue, d'ailleurs, tout à l'heure...


Elle jeta un oeil en même temps pour voir si elle apercevait la Dame de Sarliève.
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Apolonie
La pupille pétille à l'évocation de la Sentinelle. Elle ne l'avait pas vu depuis un moment, mais l'absence n'empêche pas l'amitié, et Jazon fait partie de ceux sur lesquels on peut compter, en toute circonstance. Droit, fier, il était la sentinelle avec laquelle elle avait tissé le plus de liens. Il lui avait conservé sa confiance quand la demoiselle avait suivi d'autres chemins, la loyauté en point commun.

J'ai appris pour le départ de Jaz'. J'espère qu'il nous reviendra entier.
C'est un homme bon, et je crois qu'il forme avec votre mère un beau couple.
Et c'est très aimable d'aider Gypsie à s'installer sur vos terres familiales.


Une pression sur le bras et le pas s'entame, elle le suit entre les convives, dans un parcours aléatoire, prêtant une oreille attentive aux propos de son cavalier.

La politique... Oui, vaste sujet.
Et bien espérons que si elle vous rattrape elle vous réussira.
Pour ma part... mes bagages je viens de les faire. Entre ma blessure et mes mandats de maire, j'ai été retenue deux mois à Moulins. Mon plus long séjour quelque part cette dernière année...
Je viens juste de prendre la route. Pour faire une première halte dans votre ville. Qui se prolonge...


Elle acquiesce en souriant quand il parle du sentiment que tout voyageur connait... L'appel des chemins et de l'inconnu, l'aventure, et la douce sensation du vent poussiéreux sur son visage, le claquement des sabots sur les routes du Royaume.

Croyez-vous que vous tiendrez vous même longtemps en place ?
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Co-fondatrice avec Amberle du fan club de Constant Corteis.
Pyrotess..
Pyrotess sourit à son filleul

Merci Dide, cela fait plaisir a entendre même si tu es un flatteur comme toujours d'ailleurs je ne porte que la tenue de l'ordre tu le sais fort bien.

La jeune hospitalière était d'humeur fort taquine, souriante comme a son habitude connaissant son filleul elle s'étonnait qu'aucune dame n'essaie de le charmer pour éviter que l'on ne pense que celle ci était sa douce comme son tendre l'avait pensé la première fois ou elle l'avait rencontré avec Dide tant elle et Dide se chamaillait souvent la jeune femme s'approcha de lui et lui souffla

Mon cher je te laisse avec de jolie damoiselle et je m'éloigne afin que je ne te fasse point ombrage a ta jolie tenue mais j'aurais tout de même préférée te voir arborer nos couleur enfin maintenant je peu te repérer de loin

Pyrotess sourit avec un air regardant tout autour voir si elle connaissait des personnes présentes

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Martymcfly
Le Duc et sa Dame venaient d’entrer dans la salle de réception, remplie, comme il s’y attendait. Le Héraut Rodrigue, ce cher Tonton avait annoncé l’arrivée d’un Gondole rougissante en sinople et d’un Billy fier en azur. L’annonce de leurs patronymes fut aussitôt ponctuée par la venue de la rondelette maîtresse des lieux, Présidente du Comité des Fêtes ducal. Son sourire la trahissait. Elle se doutait bien de quelque chose entre les deux, en même temps elle n’avait pas tort. Une Gondole au bras d’un Billy cela ne passe pas inaperçu.

Marty savait que Clothilde ferait des merveilles de cette salle qui était comme toujours magnifiquement décorée par des tentures aux armes royales. D’azur aux trois lys d’or. Sa Majesté avait fait l’honneur de sa présence sur les terres auvergnates mais aussi bourbonnaises, chères au coeur du Duc de Billy. Evidemment il faudrait aller le saluer. Peut-être que son ancien suzerain se souviendrait de lui ? Peut-être aussi son Altesse Armoria se rappelait du Duc Marty ? Sûrement même. Il irait la voir pour quelque affaire, missive qu’il lui avait fait parvenir quelques jours avant la fin de son dernier règne.

Que de monde ici ! C’était même terrible… Heureusement qu’il ne fallait pas saluer toutes les personnes présentes ici, sinon on y passerait la soirée. Quoique le protocole le vaudrait bien.

Rapidement il fit le tour des personnes déjà assises, goûtant les premiers mets servis. Zut ! On avait raté le début du repas. Il fallait devoir se rattraper ! Le Duc reconnut bien évidemment Apo. Il irait la voir pour lui dire. Maintenant il fallait l’appeler Apolonie la Directe. Tel en avait décidé les Moulinois. Sourire en coin. Marty savait qu’elle n’aimerait pas. Il la vit discuter avec le Vicomte d’Ambert, ce qui ne manqua pas de l’étonner. Regard se tourne vers les autres personnes présentes. Il y avait également bon nombre de notables du Duché. Le Duc lui-même avait quitté la salle du Conseil, de même que quelques uns de ses conseillers, pour assister à ce banquet qui s’annonçait comme l’un des plus mémorables de l’histoire du Bourbonnais-Auvergne.

Certains noms entendus alors qu’il passait la porte ne manquèrent pas de le faire hausser le sourcil. Principalement celui du Sieur Caporalescu. Il se souvenait très bien d’une de ses missives. Sur le moment, il avait pesté contre lui mais au final il avait comprit très aisément ce qu’il voulait lui signifier. Cet homme était un vaillant soldat qui débordait d’énergie, ou d’aspirations, peut-être d’ambition. Le Duc voulut aller le voir, probablement entre le fromage et le dessert.

Son ancien Chambellan était parmi les convives, ainsi que les organisatrices du Comité, le Baron d’Usson et son épouse, la Dame de Sarliève, les Saint-Nectaire aussi, de même que… son Intendante ?! Mais que faisait-elle là la Gandrelina ? Peut-être était elle venue pour trouver un cavalier. C’est vrai que Billy souffrait du manque de palefrenier ces temps-ci. Mais c’est vrai aussi qu’elle devait s’ennuyer la pauvre, seule dans ce grand château… Surtout s’il n’était pas présent en ces terres. Car c’est vrai que depuis qu’il avait reçu son fief de retraite, Marty avait parcourut plus les routes entre Moulins et Thiers que de se reposer dans ses appartements. Sans compter son travail de Poursuivant d’Armes ou d’Assesseur à la Chambre Législative… Pfff… Finalement c’était pas une retraite que celle-ci, quoiqu’il aimait à apprendre, principalement exercer de nouvelles activités, jusque là jamais testées. Gandrelina avait bien raison de venir s’amuser ici, ce n’est pas le Duc qui lui interdirait. Elle avait amené un peu de vie dans son domaine quand il fut veuf, si elle pouvait ramener un coquin ce ne serait pas plus mal.

Une bise vint sonner alors sur sa joue. Grand sourire de sa vassale.


Votre Grâce, Ma Dame... soyez les bienvenus tous deux icelieu. Je suis sincèrement ravie de votre présence parmi nous ce soir !!

Que c’était formel tout cela !

Bonsoir Marty, bonsoir Beths !! je vous souhaite à tous deux une excellente soirée, le bal débutera après le service des potages. De quoi répondre je l'espère à tes deux petits péchés mignons, mon ami.

Elle le connaissait bien sa Porte Parole et savait très bien comment contenter Marty.

Je vois que tout a l’air parfait comme toujours ma chère Porte Parole. Tu t’es surpassée ainsi que le Comité des Fêtes, j’espère que tu n’es pas trop exténuée, du fait de ta grossesse. Ce n’est pas très sérieux tout cela.

Ton qui sonne comme une morale envers sa vassale enceinte. C’est qu’elle comptait repeupler le Bourbonnais-Auvergne à elle seule ?! Son regard se porta vers celle qui l’accompagnait, puis à nouveau vers Clothilde.

Merci pour ces festivités Clothilde. Mais promets qu’après le passage de la Cour, tu iras te reposer. Tu pourrais venir quelques jours à Billy si tu veux. Je ferai en sorte que tu sois bien.

Puis le Duc de Billy tint fermement le bras de sa cavalière et se dirigea vers le trône où siégeait le Roy, et auprès duquel la Princesse et Grand Maître de France veillait.

Votre Majesté. Inclinaison de tête. Je demeure votre dévoué. Soyez le bienvenu en terres du Bourbonnais-Auvergne. Puisse votre séjour vous être des plus agréables.

Se tournant vers Armoria.

Votre Altesse, vous honorez nos terres par votre présence. J’espère que vous vous plairez. J’ose me permettre de vous ennuyer quelques instants en vous demandant si vous aviez nouvelle d’un aboutissement éventuel quant à une lettre que je vous avais envoyée il y a quelques mois maintenant, et concernant une demande de grâce de la part de notre bien aimé souverain.

Ce n’était certainement pas le moment, mais le Duc souhaitait savoir et l’occasion était trop belle pour ne pas la saisir. Parler travail alors que les réjouissances gustatives commençaient à peine devait être chose inqualifiable. Peut-être que la Princesse n’en savait rien de l’évolution du cas mentionné. Peut-être même qu’elle ne s’en souvenait pas. Elle devait tant avoir à gérer et à faire.

Il lui sourit avec le plus grand respect, espérant une réponse.

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Chevalier_dide
Belle demoiselle Nuèch, je suis enchanté d'avoir le plaisir de vous rencontrer.

La nuit n'effraie point l'homme, quand l'homme porte en lui la lumière en son Coeur.

Je ne crois point, que vous voulez ma perte Demoiselle, mais mesme si cela était le cas, bien rien que l'idée de suivre Vostre beauté vers un destin tragique ne me dérange point.

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