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[RP] Allégeances du Franc Comte Krän d'Ormerach

Riese
Riese assistait impuissante à cela. La blonde remettait les gens en place. Dont le ptit lion d'Ilays. Quand un pigeon, un de plus, à croire que les nobles ne voulaient pas venir déranger le FC en pleine "drague".
Elle nourrit la bête, lui donna à boire. Faut dire qu'elle avait ce qu'il fallait vu le peu de gens qui se déplaçaient.

Elle ouvrit, lu et alla le déposer sans demander son reste à côté du FC.


Citation:
A SG Krän d'Ormerach, Franc-Comte
De SG Greenwarrior Adams de Mélincour,

Allégeance

Nous, Greenwarrior Adams de Mélincour, dict le Baron Rouge, renouvelons notre allégeance et nous jurons aide, conseil et service armée à la Franche-Comté pour nos terres de Rougement et d'Amancey.

Fait au Castel de Dole le 10 août 1461

Greenwarrior Adams de Mélincour

Comte de Montbéliard
Vicomte d’Amancey
Baron de Rougemont

_________________
Kran


A peine terminé que la Dûchesse s'y met déjà. Fallait s'y attendre, la compassion, c'était vraiment pas son truc, même avec les gosses. Il sourit intérieurement en regardant d'un oeil fourbe la Dûchesse à l'oeuvre avec le petit de la Vicomtesse. Une leçon de vie faite à un régime digne d'un ordre militaire, et d'une manière assez sèche. C'est que la Duchesse, elle fixe directement les limites et balaye le reste.

Le petit tourne la tête vers la Dûchesse, visiblement sans trop comprendre ce qu'elle lui veut. Là, Krän s'imagine le petit recommencer , petit à petit, le geste après geste son action, selon les ordres de la Duchesse. Le pauvre petit, en se disant que le pauvre gosse, il en aurait bouffé..

C'était amusant... Ilays se tenait derrière son petit cette fois, et il était certains qu'elle ne prendrait pas bien les paroles de la dûchesse, aussi, alors que Krän ajouta sa petite touche dans l'histoire avec un "Voyons, Vostre Grâce, je tenais simplement à vérifier que vous mêmes montreriez une éducation sans faille, et je constate avec joie qu'il n'est toujours nul matière dans laquelle vous n'excellez pas!", Ilays, vive comme l'éclair répliqua à la Duchesse ses plus profonds remerciements pour cette belle leçon de vie. Aussi, Krän, toujours friand d'être spectateur des petites disputes, laisse Sa Vassale parler Sans dire mot. Après tout, il semble que cela soit leur problème. Et chose amusante, c'est que la Vicomtesse semblait avoir réussit à laisser la Duchesse sans voix durant un petit moment, temps qu'elle profita pour poser pied à terre.

Aussi, et puisque la Duchesse ne dit rien, il fit lui même le retour de serment. Sans doute, à présent, La Duchesse avait jugé bien de laisser faire l'acte officiel avant de repartir de plus belle, rester bouche bée n'étant pas dans ses habitudes.

Nous, Krän d'Ormerach, Franc Comte, vous jurons Subsistance, Conseil et protection pour vos terres de de Chaussin. Vous pouvez vous relever.
Pour ma part, je ne reviendrai pas sur ma parole non plus.

Puis la question bateau, alors que ça puait le retour à la querelle: "alors ces galettes"? Qui fit presque rire le Franc Comte.

Très bonne, Vicomtesse!.

Mais, comme il s'en douta, la Duchesse rempila face à la Vicomtesse pour la remettre à sa place. Il s'en voulu de ne pas avoir prévu un petit encas pour observer la scène. Aussi, il se dit qu'il en profiterai plutôt pour répondre aux derniers courriers. Il donnerait son petit mot par la suite.

Citation:
A l'intention Sa Grandeur Alexandrine de Réaumont-Kado'ch ,

Nous, Krän d'Ormerach, Franc Comte,

Vous jurons en retour conseil aide et subsistance pour vos les terres de Dampvalley-Saint-Pancras

Respectueusement,

Krän d'Ormerach, Franc Comte.


Citation:
A l'intention de la Baronne Léandra d'Arcy,

Nous, Krän d'Ormerach, Franc Comte,

Vous jurons en retour conseil aide et subsistance pour vos les terres de Mouthe.

Respectueusement,

Krän d'Ormerach, Franc Comte.


Citation:
A l'intention de Jasona de Mazière von Riddermark

Nous, Krän d'Ormerach, Franc Comte,

Jurons en retour conseil aide et subsistance pour le Vicomté de Villersexel, appartenant à nostre cousine, Lysiane d'Ormerach.
Respectueusement,

Krän d'Ormerach, Franc Comte.


Et tout en notant cela, il nota dans un coin de sa tête qu'il aurait un courrier à envoyer à Lysiane, afin de quérir de ses nouvelles, elle envers qui il serait toujours redevable pour beaucoup de choses.

Citation:
A l'intention de Sa Grandeur Greenwarrior

Nous, Krän d'Ormerach, Franc Comte,

Vous jurons en retour conseil aide et subsistance pour vos terres de Rougement et d'Amancey.

Espérons que vous vous portez bien, mon ami.

Respectueusement,

Krän d'Ormerach, Franc Comte.


Et enfin le dernier courrier qui avait volté dans ses mains:

[quote="Gwenaelle_Marie"]
Citation:
Par la présente, Nous,  Gwenaelle_Marie de Sparte, venons prêter allégeance pour notre Seigneurie de Mélisey à Vous, Krän d'Ormerach, légitime régnant de Franche Comté.

A ce titre, nous vous reconnaissons comme notre suzerain et vous jurons fidélité, aide et conseil.

Si un conflit venait à vous opposer à notre Empereur, nous serions contrainte de prendre fait et cause pour lui. Si un conflit venait à vous opposer à un tiers, nous prendrions bien évidemment fait et cause pour vous.

Fait et scellé à Marseille,
Le 9ème jour du 8ème mois de l'an de grasce 1461




Citation:
A l'intention de la Dame Gwenaelle_Marie de Sparte

Nous, Krän d'Ormerach, Franc Comte,

Vous jurons en retour conseil aide et subsistance pour vostre Seigneurie de Mélisey

Respectueusement,

Krän d'Ormerach, Franc Comte.


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Ilays
Son allégeance finie et à peine après avoir reçu en retour les paroles du Franc comte que déjà celle qui se croyait en Franche comté comme à la maison avait ... ri a gorge déployée.

La tête penchée sur le côté la lionne se dit qu'en fait cela ne pouvait être que ça, la duchesse était folle. On ne riait pas vainement après s'en être prit à son petit lion.
Quand elle se stoppa le regard foudroyant de la duchesse partit au contact des ébènes de la blonde.
Un combat de n'oeils avant le très loooong monologue de sa grâce.
Elle en aurait eu de quoi répondre, elle aurait même pu se battre là en salle d’allégeance mais la courageuse semblait vouloir en rester là et telle les femmes de son rangs chassait ses fidèles sujets d'un geste de lassitude.
Sauf que la blonde n'était pas sa fidèle ni son sujet.

Une petite (forte) voix retentit à travers la pièce.

MA'AIIINE !
'YANNN !


Ilays sourit en voyant sa seconde rousse préférée arriver en galopant à leur rencontre. Elle la serra dans ses bras et lui déposa un baiser sur le front. Prenant un enfant dans une main et l'autre de l'autre, elle ajouta en s'adressant à la duchesse.


Nul doute que votre vie et votre éducation doivent être meilleures que la mienne.

Un sourire narquois se dessina sur son visage avant de partir avec ses petits bouts la tête droite et fière telle la lionne qu'elle est et sera toujours.

Maintenant qu'elle avait trouvé une rousse fallait trouver la seconde. Restait à savoir dans quel état elle serait.


Alors ambre, maman va bien ?

Un rapide coup d’œil à la porte lui fit constater qu'il n'y avait pas une mais deux surprises.
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Fredyanne
Fredy restait interdite aux côtés de sa super collaboratrice Riese en chambre de noblesse ,dont elle était présidente, qui en fait assistait aussi à la scène entre "Sa Grâce" et Ilays qui ne se laissait pas faire .Elle avait bien raison .

Après tout les allégeances étaient ouvertes à tous les nobles francs-comtois avec leur enfants ou pas ! surtout que le petit garçon d'Ilays était venu pour porter un présent au Franc-comte ,qui après coup le prit gentiment mais "sa Grâce"se permettait pas mal de choses qui ne se faisaient pas ,entre autre celle de faire fuir les nobles qui se présentaient et qui en voyant ce qui se passait préfèraient laisser un parchemin plutôt que d'aller s'agenouiller devant LEUR franc-comte et personne d'autre .Et de donner des leçon d'éducation au bout de chou d'Ilays là elle était mal tombée .

Fredy salua aussi les membres qui se présentaient ,et les regardaient remplit leur formulaires au lieu de prêter allégeance comme il se devait elle soupira en regardant Riese ,en fait elle bouillait de ne pas intervenir mais fallait pas qu'elle continue car elle le ferait avec grand plaisir ,elle chuchota à Riese



Non mais si ça continue je vais aller mettre les pieds dans le plat ! "Grâce "ou pas ! cette "Dame" n'a rien à faire ici ! il y a d'autre lieux de rencontres et de plus les leçons vis à vis des enfants et famille d'Ilays ne me plaisent pas ! Si elle ne me connait pas elle sera vite au fait je vous assure !

Fredy tapotais des doigts sur le bureau du heraud,ce qui n'était jamais bon signe chez elle
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Fiancée de Artaban,gouverneur et médaillé de Lotharingie
Cassandre_louna
L’allégeance se passait plutôt bien, elle aimait le lieu, l'ambiance qui n'était pas soporifique contrairement aux allégeances habituelles.
Bon il fallait bien avouer qu'à elle seule elle mettait l’ambiance dans toute la cérémonie.
Il fallait bien avouer que même si la blonde vicomtesse avait osé lui répondre et prendre parti pour son fils, ce qui faut bien l'avouer et plutôt normal, mais qui par le biais n'était pas resté à sa place en face de la duchesse, sa manière de se rebeller tout en restant polie et en respectant l'étiquette lui plaisait.


Citation:
Voyons, Vostre Grâce, je tenais simplement à vérifier que vous-mêmes montreriez une éducation sans faille, et je constate avec joie qu'il n'est toujours nul matière dans laquelle vous n'excellez pas


Elle ne put que sourire quand le FC s'accrocha aux branches, il fallait bien avouer qu'il faisait son possible pour plaire à la blonde et que cela commençait à avoir son petit effet. Elle répondit néanmoins :

Certes, mon éducation fut dure, avec peu de joie de vivre, et dans une méthode purement noble qui consiste à faire grandir l'enfant à la cour pour lui faire apprendre les meilleures façons de vivre dès son plus jeune âge. Aussi je comprends que la vicomtesse n'est pas envie d'avoir aussi lourde charge, mais cela n'empêche pas que l'éducation reste une chose importante dans la vie d'une enfant.

Puis regardant la Monmouth , elle ajouta :

Vous avez raison Vicomtesse, elle fut meilleure , mais je ne néglige pas votre méthode pour autant, bien que celle-ci moins efficace.

Ceci est un compliment ! Un compliment venant de la Duchesse c'est rare ! Le fait qu'elle ne néglige pas la méthode, est signe de considération pour la duchesse. Considération qu'elle n'a que rarement.
Elle entendit ensuite un petit chuchotement sur le côté. Elle se fichait bien de ce que pouvait raconter les gens à son sujet. L’impact que pourrait avoir ses paroles était *aussi intense que l'émotion qu'elle pouvait ressentir à la mort de clochard : Néant donc* .


* Inspiré de Jd Philip de Talleyrand
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Qu'on parle de moi en bien ou en mal, peu importe. L'essentiel, c'est qu'on parle de moi !"
Fredyanne
Fredy entendit la réponse faite à Ilays par sa "Grâce" .Elle attendait la suite .

[i]Ilays n'allait pas tarder à répondre seulement Fredy vit qu'elle avait attiré l'attention de "sa grâce" quand elle avait émis le chuchotement à Riese.

Elle verrait ce qu'il adviendrais en entendant d'intervenir si il le fallait .




(Edit pour correction de cohérence avec le RP de LJ de Cassandra-Lou )
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Fiancée de Artaban,gouverneur et médaillé de Lotharingie
Dolgar
Bilan de la journée. Une cérémonie atypique, vu qu'on lui avait dit que les allégeances c'était aussi chiant que d'avoir la dysenterie. Il avait de la morve séchée sur une manche, mais bon ça ça se lave hein. Mais le clou du spectacle fut de voir un affrontement verbal entre une duchesse qu'il aurait comparé à une paonne et la vicomtesse Ilays.

Une paonne contre une lionne. Coup de bec suivi d'un coup de croc. Bilan 1 à 0 pour la lionne. Il en aurait presque applaudi. Sauf que là fallait qu'il reste à sa place et surtout, surtout qu'il la ferme. Finir pendu ce serait bien dommage, il avait évité la pendaison pendant huit années, c'était pas pour finir tout sec à Dole.

Et là vlouf ! Une bousculade, qui eut pour résultat de lui faire porter la main à sa dague. Si jamais c'était encore un pécore qui tentait de toucher à sa vicomtesse, il allait déguster.

Sauf que c'était pas un pécore. Juste une gamine. Il se détendit un poil. L'avait l'air de connaître la patronne, alors bon ça irait.

Il se demandait quand même si ce genre de cérémonie se passait toujours comme ça où si c'était une occasion spéciale. Parce que selon les rumeurs des serviteurs, la plupart du temps les nobles semblaient avoir un manche dans le fondement.

Là on se serait presque cru en taverne. Enfin les gueux en moins, et surtout la gnôle en moins. M'enfin il était pas à l'aise lui. Il pensait à un plan au cas où une attaque de plusieurs types surviendraient.

"Faut faire comme avec les scorpions qui se suicident quand ils sont entourés par le feu, faut faire un feu en forme de cercle, autour d’eux, comme ça ils se suicident, pendant que nous on fait le tour et on lance de la caillasse de l’autre côté pour brouiller." *

Mouarf plan pourri. Le comte serait un poil fâché de voir sa salle du trône cramée.

Au pire il repenserait à une technique de combat : on se bat à moitié à mains nues, et à moitié avec du calcium. **

Bah, il improviserait au pire. Il manquait de calcium. Quoi qu'il se rappelait une technique au chapelet de saucisses.
Il pouvait en faire une utilisation périmétrique en s'en servant comme d'un fouet.***

On verrait bien, dès fois qu'il y ait un chapelet de saucisses dans le coin.


* Inspiré de Kaamelott épisode Heat livre I
** Idem sauf que c'est l'épisode Dux bellorum livre VI
*** idem épisode Unagi IV livre IV
Ilays
Alors qu'elle avait pris congé et qu'elle allait surtout à passer à autre chose la voix de l'autre belle blonde retentit encore.

"Vous avez raison Vicomtesse, elle fut meilleure , mais je ne néglige pas votre méthode pour autant ...

Il était rare d'avoir de vrais adversaires.
Elle n'avait pas reconnu qu'elle avait tord ou insisté sur le fait qu'elle avait raison. Elle soulignait simplement que l'une et l'autre avaient leur méthodes.

bien que celle-ci moins efficace."

Un sourire franc se posa sur le visage d'ilays. Décidément elle lui plaisait bien la duchesse. Elle au moins elle avait le mérite de dire les choses en face.
Pour le moment le contact est des plus tendus et il vaut mieux.
Imaginez la lionne et la diplomate (étrange surnom ceci dit) devenir proche, tellement proche qu'elles en seraient amies ...

La FC à feu et à sang ? Nooooon peut être pas autant.
En revanche ça donnerait à certains l'occasion d'en faire leurs nouvelles conversations préférées et ainsi pimenter leurs vies monotones.


Au plaisir votre grâce !

Et elle était sincère.

Un sourire à fredy qui semblait tendue aux côtés de dame riese puis un coup de tête vers son garde en lui murmurant.


Allons voir ce que fait sa mère.
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Dolgar
De penser à des chapelets de saucisses, ça lui inspirait une onomatopée du genre "akala miam miam" *

Mais c'était pas l'heure de manger. Avec de la chance il serait encore debout au milieu de la nuit. M'enfin pas grave il finissait par s'y faire.

En plus vlà une mission pistage qui s'annonçait. En même temps une gamine toute seule, c'était un peu bizarre. Elle avait quand même pas cavalé jusqu'au château toute seule si ?

Encore qu'il connut une histoire d'un nain capable de courir vite et de voyager loin. **

Mais c'est pas le cas d'une enfant. Donc fallait vérifier les entrées et sorties du château. Voire même pister une éventuelle odeur, mais fallait un clébard et il en avait pas.

Ptet voir avec le palfrenier dès fois que la dame voyageait à cheval. C'est parfois chiant le pistage notons. Mais la traque, c'est sympa aussi. On piste, on suit et parfois on dépouille, égorge, ou accueille avec une bonne bouteille c'est selon.

Dans ce cas il optait pour l'accueil à la bouteille. T'façon faire couler du sang ça tâcherait les murs et fallait quand même penser aux grouillots qui faisaient le ménage hein.

Donc tout ce qu'il trouva à répondre à sa vicomtesse ce fut un truc du genre :


A vos ordres. Sa mère doit pas être bien loin.

Il s'approcha des gardes postés à l'entrée. Histoire de vérifier s'ils avaient vu un truc. Il posa sa question à voix basse pour pas trop perturber la noblesse qui l'était déjà bien assez.

Psst l'ami ! T'aurais pas vu une dame qui s'rait la mère de la ptite rousse ? Elle lui r'ssemble. Impossible qu'elle soit venue sans sa mère.

* L'ogre dans le donjon de Naheulbeuk
** Chanson "Mon ancêtre Gurdil" du Naheulband

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Riese
Fredyanne a écrit:
Non mais si ça continue je vais aller mettre les pieds dans le plat ! "Grâce "ou pas ! cette "Dame" n'a rien à faire ici ! il y a d'autre lieux de rencontres et de plus les leçons vis à vis des enfants et famille d'Ilays ne me plaisent pas ! Si elle ne me connait pas elle sera vite au fait je vous assure !


Riese sourit à Fredy et lui fit un signe lui disant tout simplement.

Laissez, vous ne ferez rien de bon à intervenir. Elle n'est pas trop dans son droit de se poster à ce siège mais elle est l'invitée de notre Franc Comte nous lui devons le respect. Même si....
Riese se tut. Son poste ne lui permettait pas de dire ce qu'elle pensait. Elle sourit et laissa malheureusement la scène continuait. Elle savait vu ce qu'elle venait de voir que la Vicomtesse de Chemin ne se laisserait pas faire. Et ravie de voir cela d'ailleurs.

Elle tapota la main de Fredy et lui fit signe de laisser passer.

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--Sarani_harmonie
Il était temps d'y aller. La Fiole troqua son armure pour une tenue plus agréable à porter. Elle enfila ses bonnes vieilles braies ainsi que sa chemise rapiécée habituelle. Elle rattacha sa crinière en vrac, et s'empara  de sa besace, d'une bouteille supplémentaire pour la route, et l'autre main saisit délicatement celle de sa mini-rouquine.

Pendant la route, elle disserta sur les allégeances, le protocole, tout ça, tout en lustrant sa lame afin qu'elle soit impeccable pour l'occasion. Il y avait bien entendu peu de chances pour que la petite, vu son âge, ne comprenne quoi que ce soit. Peu importait à Sarani, en fait. Elle préféra mettre un point d'honneur sur ce qu'elle considérait comme être le plus important.


Entendons-nous bien, jeune fille, tu restes près de moi, pas de cri et pas de bêtises.

L'espoir fait vivre, n'est-ce pas ? Le chariot s'arrêta devant l'auberge. Après s'être renseignées, elles arrivèrent donc devant la porte d'une chambre. Elle enquilla une dernière rasade d'eau de vie avant de frapper.


Ce que Père veut de sa fille, Père obtient. Le chef de famille Dumb n'a pas pour habitude qu'on lui dise non et encore moins quand il demande des services à ses enfants. C'est munit de la lettre scellée qu'il lui avait remise qu'elle était sur Dole pour prêter allégeance, tout du moins pour apporter le courrier qui lui le ferait.

Dans son auberge pour ce jour, elle avait revêtu sa plus jolie robe, celle-là même qu'elle avait porté le jour où sa sœur l'avait anoblie, sur sa tête de poupée de porcelaine trônait la couronne de Vicomtesse qui lui semblait parfois trop grande pour elle. Sur son visage son sourire était à nouveau celui de l'harmonie, de nouveaux horizons s'ouvraient à elle.




Trop habituée à ses semaines de solitudes avant sa rencontre avec Héli, devant le miroir elle se donnait du courage.

Tout va bien se passer Harmonie, tout va bien se passer ...

Se convaincre que tout allait bien, que tout irait bien, était devenu un rituel de tous les jours. Aussi c'est d'un pas presque décidé et lettre en main qu'elle s'en alla vers la porte de la chambre ou elle avait posé baguages.
Le bruit sourd du bois sur lequel on tape la freina dans son élan.


Porte qui tousse agace la rousse.. Non, c'est pas ça.. Porte qui roule amasse la.. Enfin, tout ça pour dire, Sara cogna une seconde fois à la porte, s'en cogna d'attendre quelconque réponse, et ouvrit en souriant.

Bonjour, Harmonie, comment allez-vous ?


C'est avec une surprise non feinte que la blonde se retrouve bouche ouverte et yeux ronds.

Dame Sarani, non, Sarani tout court, enfin Sarani, que faites-vous ici ?


Et la rouquine de hausser un sourcil. Il y avait comme un truc qui n'était pas prévu au programme. Elle qui pensait être bien reçue, se trouva fort dépourvue, quand la bise fut ven.. D'accord, d'accord, laissons là les expressions qui, d'ailleurs n'ont strictement rien à voir, pour nous recentrer sur l'histoire. Point de bise, mais un bel effet de surprise.

Et bien, je viens vous chercher pour les allégeances. Votre père ne m'a pas dit grand-chose, donc je ne savais pas trop si l'on devait se retrouver directement là-bas ou s'il fallait que je passe vous prendre.


Ah, et bien heu ...

Furent les seuls mots prononcés par la mini Dumb sur l'instant.

A vous dire vrai, il ne m'a rien dit non plus.

Du Leif von Dumb tout craché, j'ordonne vous exécutez et surtout vous vous débrouillez.

Une fois l'effet de surprise passé, elle sourit à la jolie rousse qu'elle n'avait pas revue depuis des lustres. En fait qu'elle n'avait pas revu depuis qu'elle était partit vivre en Lorraine.


En tout cas je suis ravie de vous voir, Père a eu une riche idée que de nous faire y aller ensemble.

Plus bah elle lui ajouta sur le ton de la confidence.

Je ne suis pas très assurée dans ce genre de cérémonies très protocolaire et je dois dire qu'un coup de main d'une Grande Dame tel que vous ne sera de trop.


La confession de la jeune femme correspondait parfaitement au pourquoi de sa présence, car la seule chose que son suzerain lui ait expliqué, c'est que sa fille était plutôt réservée et qu'il préférait la savoir sous bonne garde. Bon, restait à savoir si le choix qu'il avait fait en s'adressant à elle était le plus judicieux possible. D'ailleurs, elle ne comprenait jamais pourquoi il lui faisait confiance sur bon nombre de choses alors qu'il connaissait une bonne partie de ses nombreux défauts, chose que sa progéniture, a contrario de lui, ne semblait toujours pas avoir intégré. Elle était donc venue pleine de bonne volonté, et avait réellement envie de la rassurer, mais elle ne put contenir son fou rire en entendant la fin de sa phrase. Encore fallait-il que la jeunette ne s'en vexe pas, surtout après ce qu'elle venait de lui confier. Mais elle riait bien trop pour pouvoir articuler le moindre mot et donc lui expliquer le pourquoi de son hilarité, à savoir se voir affublée du titre de « Grande Dame ».

Etonnée de cette subite hilarité, Harmonie regarda ses pieds. Elle avait bien dû dire encore quelques choses qu'il ne fallait pas mais elle ne savait pas quoi. Du coup comme elle était sure que c'était sa faute elle fît ce qu'elle s'avait faire de mieux c'est à dire s'écraser, présenter des excuses et puis sourire pour que ça passe mieux.

Vous voudrez bien m'excuser Dame Sarani ? Je ne voulais pas.


Ne vous en faites pas..Tenez, buvez une gorgée ou deux, ça va vous aider. Mais pitié, une grande dame, celle-là, on me l'avait encore jamais faite.

Elle lui tendit sa bouteille en écrasant de l'autre main les quelques larmes qui s'étaient échouées sur sa joue, puis ébouriffa rapidement sa mini-rouquine.

Détendez-vous un peu, ce n'est jamais qu'une formalité. Allez, en route mauvaise troupe !


Qu'est-ce que cela ? Aurait dû être la question à poser au lieu de docilement prendre la bouteille et la porter à ses lèvres pour en boire deux grandes goulées. Les azurs pâles, devenus larmoyant par le breuvage, de la jeune fille se pose sur Sarani. Un léger hoquet retendit alors à travers la pièce. Ca fait chaud en dedans, ça c'est sûr.
C'est donc plus docilement qu'elle ne l'est d'habitude qu'elle suit la rousse vassale de son Père.


[Un peu plus tard, à l'extérieur de la salle d'allégeance]

Le pas de la Fiole est assuré, elle tient toujours la main de sa fille. Tout se passe bien jusqu'à ce qu'elle tourne la tête en direction de la blonde. Le minois semblait différent, peut-être un effet second de l'alcool, heureusement qu'elle n'avait pas bu plus.

Vous êtes sure que vous vous sentez bien, Harmonie ?


Pour toute réponse elle lui tend avec rapidité le parchemin scellé dans un "Tiens" qui montre bien que pour tutoyer elle n'est pas dans son état normal. Le bébé refilé à Sarani la blonde entreprend de repartir loin dans sa Lorraine adoptée qui lui manque et dont elle n'aurait jamais dû partir.

Juste le temps de hausser un sourcil, et de dire à sa fille :

Surtout, bouge pas d'ici mon cœur, maman revient de suite !

Ce qui ne fut pas la plus brillante des idées, et la rousse de presser le pas pour rattraper au plus vite la fuyarde, la main se tendant en direction de son épaule.

Hey, Harmo, tu m'fais quoi là ma grande ?!

Le langage était plus familier, soit par réflexe d'adaptation, soit par surprise de ce qui se jouait là.


Je ne veux pas y aller.

Sachant que ça ne suffirait pas elle ajouta.

Il y a Sa Grâce Cassandre Louna. Je suis sûre qu'elle me déteste. J'étais sa Dame de compagnie et j'ai préféré rester en Lorraine.

Résumé très résumé de ce qui c'était passé réellement mais elle n'avait pas envie de plus tant elle voulait fuir, vite loin et s'en ce retourner.


Elle avait effectivement cru apercevoir au loin l'intéressée, sans y prêter plus attention que cela, parmi les présents. A ses souvenirs revint le jour où on lui avait proposé d'être dame de compagnie. A l'époque, elle n'avait aucune idée de ce que cela signifiait, et avait gentiment suggéré à la demoiselle en question de faire l'acquisition d'un chien afin de lui tenir compagnie. Elle fronça les sourcils et força le ton.

Il suffit maintenant, jeune fille, vous allez me faire le plaisir de reprendre cette foutue lettre et de rentrer dans cette salle faire votre devoir !
Une von Dumb ne fuit pas et c'est pas une bonne femme qui va vous octroyer un orifice supplémentaire. Croyez-moi, votre fondement en ressortira aussi frais qu'il y était.
Pis elle a pas l'air si mauvaise que ça, non mais vraiment ! Allons mon bouchon, concentrez-vous sur le Franc Comte si elle vous effraie tant que ça.


Oui Madame.

Enfin se concentrer sur le Franc Comte ce n'était pas ce qui la mettrait forcément la plus à l'aise possible étant donné qu'ils avaient été plus ou moins promis à un moment donné. Sarani était une femme de poigne et elle était déjà, elle, sa robe bleu et se foutu courrier dans la salle.


Ça c'était réglé. Elle tourna donc les talons pour retourner vers la salle quand elle se rappela qu'il lui manquait quelque chose, du genre un petit morceau de viande roux qui devait faire approximativement la hauteur d'une table. Grand moment de solitude durant lequel elle sentit son cœur étouffer dans sa poitrine en faisant plusieurs tours sur elle-même.

Ambre ? Mon cœur, c'est pas drôle, tu fais peur à maman. Ambre, reviens ici tout de suite !

Rien à faire, aucune trace de l'enfant. C'est la terre qui semblait se fissurer sous ses pieds. Elle l'avait déjà maintes fois cherchée sous des tables en taverne, ou dans l'enceinte du château de Saint Loup quand la gamine s'improvisait des parties de « tache-tache », mais jamais encore elle ne l'avait égarée en extérieur.
Gwenael
[Montbozon]

Grande agitation au manoir, le Maître devait se rendre aux allégeances, il ne fallait pas traîner ! Pascaline vérifia que tout était prêt et se rendit dans la chambre. Elle tira les double-rideaux, ouvrit tout grand les fenêtres laissant entrer les premiers rayons du soleil et se retourna.

Debout, il est grand temps de vous préparer si vous ne voulez pas être en retard !

Un grognement lui répondit, Gwenaël s'était couché très tard et il n'entendait pas quitter de suite son lit. Il cacha sa tête sous son oreiller.

Allez, ne traînez pas, la route est longue jusqu'à Dole... Ce sont les allégeances vous avez oublié ?

Au mot "allégeances" Gwenaël sauta à bas de son lit.

Tu as raison, je me dépêche. Préviens Thomas de me préparer mon cheval, cela ira plus vite qu'en voiture...

[Dole]

Gwenaël arriva enfin aux portes de Dole. Il s'arrêta dans une petite auberge afin de se rafraîchir et de laisser son cheval à l'écurie.
A quelques pas de la salle des allégeances il aperçut deux jeunes femmes et une petite fille ... Un sourire se dessina sur ses lèvres. Elle lui tournait le dos mais il l'aurait reconnue entre mille. Il accéléra le pas...
Ambre_de_benoic
'Yan c'est trop mon toupain. Avant même que j'arrive à sa hauteur il me tend déjà un cadeau. Sûrement que je dois le mériter ce cadeau, après tout je suis par-fai-te. Des galettes de ma'aine et pa'ain, miam je vais me ré-ga-ler.
Tatie elle fait du parlage j'en profite pour commencer à boulotter ce présent tombé du ciel enfin des mains de ma moitié de moi. Je suis en pleine dégustation quand elle veut me faire un bisou et un câlin. Je lui aurait bien dit :

Tu pé'mais je manch.

Mais elle est trop rapide pour moi, alors je l'enlace et prends soin de laisser quelques miettes sur sa magnifique robe rouge en lui disant.


Bonchour ma'aine !

Quoi ? Pas fait exprès moi, comme toujours ceci dit.

'Alors ambre, maman va bien ?'


Bois de n'eau pa'dis va ben !Furent mes premières pensées mais là encore lily a été plus rapide et d'une main directrice elle me guide vers la porte.
Un regard en arrière pour voir qui parle encore, mes petites pieds suivent, tati répond encore. C'est looong, j'aime pas quand c'est long.
Donc quand j'entends, 'Allons voir ce que fait sa mère.'
Je tire, tire, tire pour amener tout le monde y compris le monchieur qui semble suivre ma'aine partout vers 'man et celle qui parait qu'elle est harmonieuse.
Mes émeraudes se posent sur lui et je vais lui lancer mon si connu :

T'es ti toi ?

Quand ma'aine dit me coupant encore et balançant doucement en avant sa main qui me tiens.


T'as pas perdu un truc là sara ? Et je parle pas de ta 'teille.

Un sourire d'ange, on parle de moi. Mais non 'man elle m'a pas perdu ...

Joue à tache tache amb'e.

Puis je pousse Khyan de toutes mes forces avec les deux mains et maintenant on ...

Joue à loup ...

Pour une enfant de Saint-Loup quoi de plus normal et maintenant ... C'est parti !
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Flora_


[Dole, premières heures du matin, en mon appartement]

J'étais arrivée depuis peu dans la capitale pour accomplir mon devoir. Les choses n'étant pas pressées de bouger, j'en avais profité pour acquérir un appartement. Cela me semblait plus aisé, surtout si je devais faire de nombreux allers-retours au petit bonheur la chance entre Saint-Aignan, le village où je résidais et entretenais mon commerce, et la Franche-Comté. Bien entendu, j'aurai pu séjourner en ma baronnie, seulement je trouvais qu'en cas d'urgence, cette dernière était à quelques distances trop éloignées à mon goût de la capitale. J'imaginais mal galoper à tombeau ouvert dans la rase campagne pour rallier la capitale en moins de quelques minutes. Voilà pourquoi acquérir un pied à terre directement à Dole avait été important pour moi. Je venais de finir de le rendre douillet. C'est donc tout à fait fraîche et reposée que j'ouvris les yeux. Le soleil filtrait à travers les lourds rideaux qui étaient sensés faire sombrer ma chambre dans la noirceur. Mais ce matin, cette luminosité ne m'incommodait pas, bien au contraire, elle me fut salutaire. J'entrepris après m'être étirée de sortir de la chaleur de mon lit. Je me demandais ce que je pourrai bien entreprendre ce matin ou si des ordres me parviendraient. Je m'enveloppais d'une robe de chambre légère avant de filer faire bouillir de l'eau tant pour ma toilette que mon thé matinal. Mon oeil fut attiré par une enveloppe qui avait été glissée sous ma porte. Elle portait le sceau de l'Hérauderie. Je la décachetais à la hâte et la lut attentivement. Je souris. Dame Riese s'inquiétait de ne pas avoir reçu mon courrier en vue de mon allégeance envers le nouveau Franc-Comte. Cela voulait donc dire que la cérémonie était en cours et donc que je pouvais y assister en personne. Mon programme venait donc d'être fiscellé en un tour de main. Je me demandais si ce serait long. Si c'était le cas tant pis. Je me mis donc à chercher dans mes bagages une robe de circonstance bien que je n'avais pris que des tenues de voyages ou de combat si besoin était. Je repensais à ma commande à l'atelier des Doigts d'or qui avait été annulée car l'artiste à laquelle je l'avais commandée ne cousait plus d'adaptation pour une période indéterminée. À cette pensée, je m'attristai car cette commande représentait un lien avec ma douce maman, elle qui vantait cet atelier de couture à tout va. Je chassai cette pensée mélancolique et me mis à me préparer pour me rendre illico presto à la cérémonie, espérant y arriver avant la fin.

[Dole, arrivée à la cérémonie d'allégeance]

Je me souvenais du chemin mais j'avais tellement peur de me perdre que j'avais dû demander mon chemin dix fois si ce n'était pas une. Arrivée sur les lieux, une vague de timidité me prit. Décidément, à la première cérémonie à laquelle j'avais prêté allégeance à sa Grandeur Imladris, j'avais trituré mon mouchoir, et voilà qu'à la seconde cérémonie à laquelle je pouvais assister, mes genoux s'entrechoquaient tant tout ce flafla m'intimidait. J'avais comme une impression de ne pas être à ma place. Je pris une grande respiration, et j'entrai. Je vis Dame Riese et je reconnus Dame Fredyanne. Je me dirigeai vers elles pour les saluer. Ma voix fut presque inaudible, mais dans une révérence impeccable, je finis tout de même par lâcher :

"Bien le bonjour Mesdames, je ne pensais pas voir autant de monde ici. Comment allez-vous?"

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Harmonie_von_dumb.



- Oui madame.

Après quoi elle était entrée dans la salle d'un pas décidé, ne remarquant même pas sur son passage sa Tante, son petit cousin, la tornade rousse et le garde. Ses azurs pâles fixaient le trône comme seul et unique objectif ne pas faire de boulettes et déposer le courrier. Vite fait, bien fait.

Arrivée face au Franc Comte, elle n'avait pas regardé qui était présent dans la salle. La place était libre et puis après tout elle était fille de Comte et porter sa lettre d'allégeances.
Un regard furtif vers celle pour qui elle avait été un court temps la Dame de compagnie, avant de reporter son attention sur celui pour qui elle était venu.


- Monseigneur ...

Bon pour la non boulette c'était loupé, on repassera.

- Pardon, Vôtre Grandeur.

Il fallait bien dire qu'elle l'avait connu Vicomte. Quand au temps jadis ils avaient décidés pour elle qu'elle l'épouserai. Quand au même temps encore il l'avait conduite au mariage de Ilays et Kalvin. Quand sa jeune personne et son innocence se troquait dans des discutions ou elle n'était jamais convié. Mais ce temps était révolu.

La Vicomtesse de Flachgau lui sourit, après tout il n'y était pas pour grand chose et elle l'aimait bien. Toujours poli, toujours courtois et puis surtout il avait toujours eu un mot gentil ou un compliment pour elle quand il l'a voyé ou qu'il lui écrivait.

Exécutant une parfaite révérence, elle lui tendis de ses doigts fins le fameux courrier cause de temps de tracas pour elle.


Citation:
De nous, Comte de Sochaux, Vicomte de Chemin, Rochefort-sur-Nenon et de Valentigney,
À vous, Franc-Comte, Pourfendeur des Crânes et Prince des Marmottes,


Salutations amicales.

Renouvelons par la présente notre allégeance à la Franche-Comté.
Nous vous jurons obsequium, auxilium et consilium au conseil, au Comte et à la Franche Comté.

Notre présence au sein de la cérémonie, ne pourra avoir lieu au risque comme vous en doutez bien, de vous faire de l'ombre. Nous préférons donc vous laisser dans cette lumière qui vous revient, et par conséquent, vous écrire notre besogne nobilaire par la voie épistolaire.

Sachez cependant que je vous envoie comme représentant de ma personne, un de plus beaux joyaux à ma disposition, douce et harmonieuse, ma fille Harmonie.
Elle sera accompagnée de mon meilleur vin, de vierges romaines et de fois gras, je vous recommande donc de ne point abuser de tout ces mets.

Amicalement,

PS : A notre dernier rendez-vous d'affaires, vous avez malencontreusement, mon ami, oublié un boulet de canon. Que dois-je en faire ?



    Sochaliennement Vôtre.

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