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[RP]Inscription à la course d'août

Brunehautdartois
Le 8 , elle aurait préféré le 7 chiffre de la chance par excellence, mais elle n'était pas à ce point superstitieuse, et le dossard remis fut collé sur la dos du lévrier avant de le confier à l'un des valets en charge de le positionner, petite tape sur les fesses pour l'encourager, celles de l'animal pas du valet, bien qu'elle ne serait pas à ça près, et de se tourner vers le petit groupe, répondant d'abord à Rosalinde.

J'en ai fait l'acquisition il y a peu, crois tu que mon époux aurait pu songer à m'en offrir un en guise de cadeau de noces...plus bas souriant en coin, vois comme il reste muet de me voir en ce lieu, à mon avis ça ne doit pas être pour lui plaire, mais vaille, j'ai bien envie de m'essayer moi aussi aux paris, j'ai une bague qui pourrait faire envie.

Sortant la dite bague gagnée un jour contre Judas
Souriant à ce dernier suite au furtif et non moins chaste baise main.


Gardez moi une place Judas, je suis persuadée que vous n'êtes pas venu sans emporter de boissons pour nous hydrater.
Ma hâte d' assister à cette course n'a d'égale que l'assèchement de mon gosier
.

Quand on connait l'attrait de la brune pour l'alcool on peut allègrement imaginer son impatience au lancement de la course.

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Judas
Dire que lui , avait offert en dot à sa femme poutr leurs noces dix levrettes qu'elle n'avait jamais daigné ne serait-ce que regarder! Non loin la bague avait accroché le regard du Frayner. La seule bague qu'il n'avait jamais laissé perdre au jeu. Désormais les mains nues sous les gants de toute bague d'apparat, ne restait que l'alliance. Dépouillement Breton d'un jour, nudité moite sous le cuir promise pour encore un moment. C'est que les bijoux ne tombent pas du ciel, contrairement à ce qu'il a pu laisser croire à Rosalinde ... A ce propos il serait judicieux de le gagner de nouveau, cet or fuyard... Continuant de marcher vers la fraicheur d'une place ombragée Judas se laissa emboiter le pas. Il ne dit rien pour l'anneau ouvragé. Tout vient à point à qui sait patienter.

Je viens avec une outre de Bourgogne en général, après l'époux je peux volontiers le partager avec l'épouse.

Il la portait au ceinturon, et dieu savait combien elle avait délié les langues des deux hommes la dernière fois. Tant et si bien que le Duc avait, dans sa liesse, tenté un pari ridicule. Brunehaut était plus raisonnée dans son genre, nul doute qu'elle ne ferait pas preuve d'idiotes audaces. L'index de cuir pointa le coté gauche des gradins.


Installons-nous là bas, vous me raconterez les dernières dépêches de Moulicent et de son maitre...

Judas, ou l'ami des dames.
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Parait que celui qui a les yeux ouverts sur ses propres défauts verra son âme acquérir une force nouvelle...
Sabaude
- Si je gagne, Lug, tu....

Ces pas, ce parfum qui magnifie l’artésienne qu'elle est, ce peau à peau qu'il connait bien... Inutile de regarder pour savoir à qui il a affaire. Avec délicatesse le poignet de la belle est saisi puis la fermeté prend place tant dans le geste qui suit pour l'amener face à lui que dans le contact.
Ses carmines libèrent les siennes, son doigt suit l'ovale du visage jusqu'à remettre une mèche folle en place. L'intermède prend fin et il rend la brune à son public.


- Ma douce, tu devrais savoir que nul homme sain d'esprit n'offrirait à sa femme la clef de son collier.

C'est dit sur un ton et un air mi-figue mi-raisin. Pourquoi lui aurait-il offert un lévrier alors qu'il aspire à venir seul aux courses? Les femmes devraient se contenter de la broderie, des cancans autour de pâtisseries, de crier des ouiiiii sur la couche... Une plaisanterie en huis-clos avec pour seule spectatrice sa conscience? Peut-être...
Il hausse les épaules et laisse volontairement la suite lui échapper. Comme ce regard qu'il échange avec le von Frayner. En viendront-ils un jour aux mains ou plutôt aux poings? Quelque chose couve entre eux, et un jour cela devra éclore. Un jour...

AmantE répond-il au "parions sur un amant". Ce sera tout, comme le laisser avec sa femme sans mot dire. La fidélité est un accord tacite entre eux qui n'a pas attendu un mariage pour prendre corps. La confiance en l'un devra compenser sa méfiance en l'autre.

La laisse du lévrier est raccourcie.


-En piste Judas. Si tu ne veux rentrer en courant à côté du coche, tache de gagner cette fois!

La tête est tapotée, puis la bête confiée.
Retour à Lug .


-...tu me devras un service. En attendant je vais t'en demander un hors du cadre du pari. Garde un oeil sur les deux rousses.

Et d'une puissante tape dans le dos il pousse l'alençonnais devant Rosalinde.

- Rosi, Rosi, Rosi, comme le veut la tradition des trois fois bien connue de tous, vous devez désormais m’obéir! Voici Lug qui vous mènera jusqu’au meilleur gradin et répondra à tous vos caprices ou presque. Parfait! Le nez, le nez! Non on ne bronche pas, on ne pipe mot, on fait sa femme parfaite, on se tait! Voilà!

Si elle obéit , chapeau bas! Inutile de rester pour se faire invectiver. Le voilà de retour auprès de la Bâtonnière, une main tendue paume vers le haut en guise d'appui.

- Si ma chef préférée veut bien me laisser la mener jusqu'à la place de son choix et lui tenir compagnie.
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Elisabeth_stilton
La blonde n'est plus dans les mondanités depuis un moment et cela se voit elle tarde à répondre. Cependant l’œil vif revient à la surface et prime sur la dépression de temps à autres, elle note les regroupements, les alliances, les personnes présentes, attrape des noms ici ou là, etc ... La mémoire, elle ne flanche jamais, c'est un bien un de ses problèmes du moment même si c'est un avantage en temps normal. Dans ses moments de déprime elle se ressasse tout ce qu'elle pense avoir fait de mal, et la blonde est loin d'être l'ange qu'elle parait être.

C'est donc le dossard 7 dont elle échoie. Curieuse coïncidence vu le nom de son animal. Elle remercie l'organisatrice et note qu'il y a donc une victoire pour Sabaude et une pour Judas, vous remarquerez que ça marche autant pour les maîtres que pour les chiens. A ce demandez qui était le plus intelligent des deux dans cette histoire ? En temps normal, elle aurait dit Sabaude l'humain, parce que c'est un de ses dragons et qu'ils sont forcément plus intelligent que la norme. Forcément hein. Et par conséquent elle accepte bien volontiers le bras tendu et la compagnie du renard.


Ma foi une place qui me permette de voir Chance depuis une place assise, je crains de ne pas pouvoir me lever. Quand à la clé de la cave, elle est et restera dans mes affaires personnelles.

Ba ouais té. Non mais elle est jeune et dépressive mais faut pas pousser non plus.

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Daemon.watson
Indeed, je suis attendu, j’ai reçu un petit mot couvert d’une écriture qui m’est désormais familière, et je suis venu, bien évidemment, je me fous de ces courses de lévriers comme de ma première maitresse, quoique, elle je m’en souviens un minimum. Et s’il n’y avait pas la chute de rein affolante de la rousse, je n’irais certainement pas me faire crâmer sous le soleil d’été à regarder ces chiens moches comme tout courir après je ne sais quoi, en arrivant au cynodrome, je ne peux pas m’empêcher de penser que c’est une occupation de noblieaute cruchasse. Mais peut-être pas après tout, c’est pas vraiment le genre de la rousse, je suis de toute façon d’excellente humeur, c’est l’été, la guerre est finie, mes affaires angloises se règlent, je vais bientôt pouvoir consacrer tout mon temps au Lord et à ses projets dans lesquels je suis largement associé.
Je me ramène donc, tranquille et souriant, comme tout anglois digne de ce nom et je tente de repérer qui je dois dans tout ce monde, incroyable ce que ça peut attirer comme monde de voir des bestioles galoper, je me dispense du passage au milieu des gens, propriétaires de chiens ou simples curieux, je l’ignore, et je suis trop loin pour voir que ma cousine et la sœur de sang du Lord sont là.
Mon regard bicolore cherche celle qui m’a fait venir et une fois repérée, je m’approche d’elle, léger claquement de bottes et petite courbette, après tout, elle est titrée la Dame.


« My lovely Belette, je suis tout à vous, du moins dans les limites de la décence que ce lieu bien trop public exige. Votre voyage fut bon ? Sur quel animal dois-je parier ? Dites-moi que le vôtre n’a pas un de ces noms imbéciles comme Caramel ou Tartopommes… »

Je la détaille légèrement, elle a pris du ventre, la Belette, l’héritier commence à prendre de la place, il paraît que les femmes grosses sont particulièrement sensibles au toucher et que leur corps réagit à la moindre caresse, et tout en la regardant, je tente de me rappeler si j’ai déjà expérimenté pareille chose.
Une coiffe de hibou et un bras absent attirent cependant mon attention.


« Minah, quel plaisir ! J’ai hâte de te voir défiler dans tes nouvelles tenues, un enchantement pour les yeux certainement. »

Nope, je ne flatte pas, ou si peu, ou si mal, elle n’y croira pas, mais je lui fais mon plus charmant sourire, je l’aime bien la manchotte, et pour avoir la maitresse, il faut toujours se montrer attentif à tout ce qu’il y a entre elle et vous, en l’occurrence, Minah, j’aurais pu tomber sur plus terrible.

Indeed = en effet
My lovely Belette = ma charmante Belette

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Plus que débordé jusque vers la mi-août. Minimum syndical d'ici là. Désolé.
Scath_la_grande
L’austère face à l’approche de l’anglois se mue en un museau mutin, sourire friand ourlant sa lippe impudente.
Voyez le bel œil qu’elle lui donne, l’éclipsant furtivement en abaissant sa paupière alors qu’elle ploie son cou en une très légère inclinaison de sa tête.


« Allons, maïe diiire – et elle en est fière de cet accent là – pas besoin de ces manières entre nous. Baillez-moi donc votre bras et menez-moi à ce coin d’ombre vers les gradins que je vois, la course va bientôt commencer et les meilleurs places seront tôt prises. »

La silhouette encore gracile malgré le frais embonpoint est comme happée vers Christopher, sa main gantée vient prendre appui sur le bras offert, lui procurant un délictueux et non moins délectable frisson.

« Le voyage ? Ma foi, fort ennuyeux. Pour ce qui est de ma bête, je l’ai nommé Amer-Honey. Minois espiègle tourné vers l’anglois, sourire de connivence en appât. Un hommage que je rends à un ami bien spécial. »

Les doigts affermissent leur prise sur le bras. Puis désignant d’un mouvement de menton le groupe récemment quitté, elle confie à voix basse et l’air amusé.

« L’homme aux long cheveux de jais avec son petit air morgue, c’est mon cousin Judas. Je suis prête à parier qu’il doit être persuadé que nous avons gaudriolé ensemble. Se retient de rire. La rousse présente, a épousé un irlandais et coquelique avec ce Nicolas fait roi, ne lui tournez pas aux alentours j’ai déjà à son encontre des griefs longs comme mon bras.

Ah ! Et j’y ai vu aussi madame votre cousine, triplement plus rondie que moi. »


Avisant gaiement ses deux écuyères en charge du massif lévrier.

« Minah ! Zehanne ! Mettez-lui son dossard et amenez-le au départ, la course s’annonce. Interrogeant l’insulaire. Vous connaissez mon écuyère numéro deux ? C’est la cousine du maître d’arme de votre ami Enzo. Le géantin Brekthas. »

La Frayner attend un peu que s’éloignent les deux mômes pour se pencher à l’oreille de Chris.

« Mon joli diable… votre absence m’a été une plaie. Vous ai-je au moins un peu manqué ? Puis se redressant. Qu’allez-vous gager avec moi sur cette course ?
Mmmmh ? Une sieste en ma compagnie cette après-midi ? »


Petite rire qui s’écourte dans un audacieux regard qu’elle lui coule.
Proposition sérieuse ? A voir.
Rien n’est jamais gagné d’avance avec la Bertrix.

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Rosalinde
Sabaude. Elle aurait pu écrire un roman rien que pour se plaindre de son comportement, et s'en amuser tout à la fois. Voilà qu'il s'était mis en tête de lui trouver un compagnon pour la course, et lui jetait un Alençonais aperçu à son mariage sur les bras. Elle n'aurait pas été contre s'il lui avait présenté les choses différemment, là... Bien entendu, son sang ne fit qu'un tour et monta directement au cerveau, qui par là même put tranquillement entrer en ébullition. Les yeux lancent des éclairs, et elle regrette de ne pas avoir Nicolas sous la main pour qu'il défende vaillamment son honneur au cours d'une trépidante bataille de tabourets. D'ailleurs, elle y aurait bien pris part elle-même, à cette bataille - Dieu qu'éclater des meubles sur la tête du Renard devait être relaxant ! - mais hélas point de mobilier à sa disposition pour le moment.

Faute de violence physique (pas folle, la guêpe, elle sait bien qu'avec ses petits bras de mouche elle ne lui ferait pas bien mal), elle se résout à l'envoyer proprement bouler.


- Sabaude, Sabaude, Sabaude - moi aussi je le dis trois fois, voyez - allez vous faire fou... voir. Chez les Grecs.

Mais déjà il se sauve, pfeu ! Qu'il revienne quand il en aura dans les braies !

Tête tournée vers Lug, à qui elle adresse un sourire désolé, mais non elle ne peut plus désormais le laisser l'escorter, ce serait donner satisfaction au Renard, et cela c'était absolument hors de question.


- Je connais le chemin, merci.

Bleu descendue de ses bras et confiée aux valets en charge des départs, et hop, se dirige vers les gradins, sans même un regard pour la Belette, ni celui qu'elle attend. La curiosité viendra plus tard sans doute.
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