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[RP] Un Mariage Angéliquement Maygique

Jacquotte
(dans l'appartement à Orléans)

Jacquotte remet en place une mèche à droite, une à gauche, vérifie dans la glace sa chevelure, quand elle entend un bruit soudain.

Rhoo, Oceana, tu pourrais faire attention, tu dois apprendre à ne pas être aussi impétueuse!! Et ton Popa, il est où, encore en train de rêvasser.

Ary chéri, tu es où? tu ne vas encore pas être prêt!!! Dépêche-toi, j'entends les cloches sonnées.

Il faut que nous soyons à l'heure pour le mariage de notre Maygique et de son Ange.

Si seulement, tu pouvais être comme notre fillette, tu serai toujours prêt en heure et temps, mais non il f aut toujours que tu rêvasses.^^


Elle prend donne un bisou à sa fillette tout en lui remettant ses cheveux en place.

Allez ma chérie va chercher ton popa d'amour et ramène -le ici!

Jacquotte sourit en regardant Oceana partir en courant, telle une fusée et pense

elle tient de moi cette petite pour ne pas tenir en place , mais chutt, il ne faut pas lui dire car ce serait encore pire.

Avec soulagement, elle voit Ary tout fringuant

Ha, Océana t'a ramené rapidement dis donc!
Elle est avec toi?


Elle le regarde en attendant sa réponse et en se disant qu'il est vraiment beau
Elisaabeth.
    [ Avranches, dans l’auberge des filles, venant de découvrir qu’elle a perdu … ]

MON CHIEN !! OÙ EST MON CHIEN !!
Je … je … euhh … I don’t kn…
Ahhh non, hein ! Ca va pas recommencer ! OÙ EST MON CHIIIEN ?!
Je l’avais vu … euh… sous votre lit et ensuite, je … I don’t know …
Mais tu ne sais jamais rien ! Tu me fatigues !!! TIIICKLLLLLE !!!
Milady …
Non, tais-toi ! Tu e fatigues ! Rends-toi utile, cherche le chien ! … Ti-ckle ?

Claquant un peu trop violemment la porte, elle se mit en quête de chercher son chien qui avait la fâcheuse manie d’avoir la poudre d’escampette. Mon Dieu mais quelle idée, aussi, d’avoir pris le chien, hein ? Si elle avait su, elle l’aurait laissé en orléanais puisqu’apparemment, personne ne l’aime, pauvre bête à sa môman. Ahem, hem. La gaffe ! Vous ne saviez pas que la jeune femme parlait à son chien comme si elle parlait à un enfant ? Oui bah écoutez, ça peut arriver. Surtout quand on ressent le besoin de materner – ce qui finalement, ne devrait pas tarder à arriver, vu son énorme ventre –, quelle catastrophe ! Peut-être était-il entré dans l’une des chambres par inadvertance ? Très probablement, voire même fort possible mais ce n’est pas une raison ! Elle finissait par se dire qu’elle allait lui accrocher une petite clochette à son cou. Comme cela, elle saura où il est, l’énergumène ! Elle ouvrit la première porte, au hasard et ne découvrit personne, pas même un chien ! Pas la bonne porte, apparemment !

Elle essaya donc une deuxième porte et si elle savait ce qu’il se tramait derrière cette porte, jamais elle ne l’aurait ouverte. Enfin, vous me direz, ce n’est pas « Mademoiselle Gaffe » pour rien ! Donc, pour vous dire qu’elle avait découvert deux personnes dans … humm … voilà quoi ! Elle pouffa un rapide : «
Pardon, désolée. Pas fait exprès ! Je cherche mon chien ! » avant de refermer la porte. Elle rit, passant une main sur son visage ; il fallait bien que ça tombe sur elle, tiens ! Puis elle continua de faire sa quête parce que bon, le chien commence sérieusement à l’agacer à faire des coups pareils. Elle fit face à la troisième porte, elle toqua bien fort et hurla bien fort avant d’entrer dans la pièce « Bon, je rentre, hein, il faut que je cherche mon chien ! Désolée si je vous dérange ! ».

Pas de réponse, décidément, les gens sont malpolis, quand même ! Elle referma la porte et se mit à chercher son chien, pas sous le tapis (quoique cela se verrait quand même !), pas caché derrière une chaise, ni derrière un fauteuil, pas caché non plus sous le lit. Pestant de rage, elle se releva difficilement puis, écarquilla les yeux en regardant qui se trouvait dans le lit – ou du moins, qui avait uniquement la tête sortie des draps – et finit, par lâcher un :


Clotaire ?!

Ouiiii ! C’était lui. Mais comme d’habitude, il dormait. Agacée, elle mit les mains sur ses hanches, prenant un air totalement mécontent puis, secoua aussi fort qu’elle le pouvait son frère endormi : Mais crotte Clotaire !! RÉVEILLE-TÔÔÔAAAA !!! MON CHIEN A DISPARUUUUUUUU !!! CLOTAIIIIIIIIIIIIIIIIRE !!!

Puis, comme il ne se réveilla pas encore, elle décida de le taper. Oui bon certes, avec un peu de douceur mais elle tapa sur son frère : CLOTAIIIIIIIREEEUHHH !! Crotte de bique, tu vas te réveiller, oui ? Je vais être en retard au mariage de ma filleule par ta faute !... Et celle du chien !! Espèce de vieux rabougri d’auvergnat radin ! RADINNNN !! Mais réveille-toiiiii !!!
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Elenwe
Frobbie sortit précipitamment de la chambre de Maywenn et courut dans la sienne. Le temps commençait à presser, la mariée était presque prête. Elle posa sa cape sur le lit puis enleva ses braies, sa chemise et détacha ses cheveux. Elle empoigna la cruche remplie d’eau, en versa un peu dans la petite bassine posée devant un miroir et entreprit de se rafraichir.

Un petit sourire aux lèvres, elle se dirigea ensuite vers une petite malle où se trouvait la robe, sa robe faîte exprès pour l’occasion. Elle tira le couvercle, LA sortit et LA posa délicatement sur le couvre-lit. Elle passa doucement la main dessus, pensant en même temps à Leo…Ils ne s’étaient pas revus depuis tellement longtemps…La jeune femme avait tellement hâte…Son visage, ses mains, ses bras, tout son être lui manquait terriblement…

Elle enfila sa tenue, l’esprit vers son Leo, coiffa du mieux qu’elle le put sa chevelure un brin rebelle, et finit son habillage en se ratatinant les pieds dans des chausses neuves.
S’admirant dans le miroir, elle hocha doucement la tête. Le résultat lui plaisait. Elle n’avait juste pas l’habitude…Elle attacha autour de son cou le collier assorti à son habit.


Elle retourna ensuite dans la chambre de May pour voir où en était son amie.
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Ael.de.penthievre
En retard il etait en retard... May la maygnifique serait May la maychante s'il ne se dépéchait pas un peu... déjà qu'il avait raté son baptème , rater son mariage ce serait.... Elle lui couperait la tête... l'eviscererait ou pire encore... En fait non elle n'était pas ainsi mais pour sur... Il perdrait surement l'une de ses meilleures amies... Il ne pouvais pas lui faire ça...

Il chercha la tenu qu'il avait fait faire dans l'urgence... Enfin l'urgence... le mariage avait été repoussé du coup il avait eu sa tenue a tant mais sinon le pauvre.... Il serait allez déguisé en ... heu non en fait non trop choquant...

Et puis il parait que le costume c'est pour après... Bref il était quand même tant de se presser la... Nanie viendrais peut-etre le rejoindre... Il en avait parler de ce mariage mais n'était pas entrer dans les détails. Et elle était très occupée... Mais il aurait aimé qu'elle soit la. D'autant plus qu'il est possible qu'il revienne en Orléannais s'installer mais ça c'est une autre histoire...

Bref, la tenue... le costume... la nourriture pour la route... Tout y est ? Ha non... Pas tout... Il manquais le cadeau... Il alla le chercher et l'ajouta a son paquetage... Il scella son cheval et partit précipitamment... Avec de la chance il serait pas en retard.... les gens mettait souvent du temps a arriver... Sauf que lui il avait un peu de route tout de même...
Aryvon
Il arrivait à la porte de l’appartement quand il évita de justesse Océana qui en sortait comme une trombe.
Océana !! Où vas tu ? Tu me cherchais ?
Mais l'enfant lui fit un signe de la main et continua sa course.
Il entra un peu étonné, il aperçu sur la table un velin, il reconnu immédiatement l"écriture encore malhabile d'Océana .
il retrouva Jacquotte qui était là comme d’habitude très active, il s’attendait bien à quelques reproches, pourtant il avait fait aussi vite que possible, et était presque à l’heure.
Mais au lieu de cela il entendit
"Elle est avec toi ?"
Il embrassa son épouse adorée et dit dans un sourire :

Non! elle a filé vers l'église et regarde elle a laissé un mot. Elle n'en fait vraiment quà sa tête!!!! Ne t’inquiète pas ma chérie !! Je n’en ai pas pour longtemps.Nous allons la retrouver la bas

Il passa rapidement dans le baquet où l’eau le rafraichit, puis enfila prestement son vêtement de cérémonie préparé avec soin par son épouse.
Me voilà Prêt.

Ta robe te va à merveille ma chérie, nous pouvons partir pour l’église !! Les cloches commencent à sonner et sans nous presser nous ne serons pas en retard

Il finit ces derniers mots en riant.

Par un beau soleil ,ils prirent donc la direction de l’église, main dans la main comme l'avait prédit Océana.
Eleo.
Éléonore écoutait les salutations du ballet des proches de Maywy, elle se sentait un peu comme un cheveu sur la soupe là. Avec le p’tit boudin à la léchouille facile, qui se collait lui et son odeur de… de chien TROP propre contre elle. Elle continuait à le caresser quand May se tourna vers elle, tout à ses cheveux et lâcha :

Citation:
Ma chérie tu veux bien lâcher cet horreur et m'aider à mettre mon voile ?
Mais euh... tu te laves les mains avant, il y a encore de l'eau dans l'aiguière.


Elle jeta un œil à la boule de poil sur ses genoux, qui devait entamer sa mue printanière parce que, sa jupe était pleine de poils ! Certes, il était moche mais de là, à lui vouer une haine si féroce, pauvre petite saucisse !... Elle le remit par terre et jeta un œil à ses mains, en riant, de voir May si horripilée, et si maniaque…. La fébrilité post-matrimonium, à coup sûr ! Mais aujourd’hui, elle avait toute les excuses, c’était son jour, leur jour alors… ! Et de la voir comme ça, c’était si inhabituel que s’en était rigolo en fait !

Oui, bien sûr ma belle ! J’arrive !

Se pinçant les lèvres malicieusement, versa de l’eau dans le bassin, et laissa couler l’eau de l’aiguière, avant d’y plonger ses mains ; les tamponnant ensuite d’un linge immaculé, puis se retourne vers son amie.

La propreté de mes mains te sied-elle désormais ?

Elle explose de rire, et va chercher le voile tout fin, posé sur le lit, se munit d’épingles, toutes fines et dispose le voile sur la tête de son amie avec délicatesse, concentrée pour ne pas lui piquer le crâne avec les épingles. Ça ferait désordre, des tâches de sang…

Ce dernier petit détail réglé, elle se recule et admire Maywenn, un sourire radieux aux lèvres.


Te voilà fin prête, ma Maywy ! As-tu besoin d’autres choses ?

La porte s’ouvre de nouveau.

Ah ! Je te laisse entre les mains de ton amie. À mon tour d’aller me pomponner !

Et de se sauver aussi vite qu’une étoile filante, pour revêtir une robe moins… poilue !^^
_________________
Maywenn
[ L'Auberge des filles...]

    La propreté de mes mains te sied-elle désormais ?

    Elle inspecta ses mains avec le plus grand sérieux. Se pinçant les lèvres pour éviter de rire.

    C'est bon, je t'octroie le droit de toucher mon voile immaculé.

    Déclara t'elle d'un ton solennel avant de se mettre à rire et de se laisser faire aux mains habilles de son amie.

    Entrez entrez...

    Dit elle, après avoir entendu frapper. C'était la douce Mamaion talonnée de près par la petite princesse Oceana.
    Diantre, c'était pas une garde rapprochée qu'elle avait, mais une véritable armée !


    Bonjour les filles, vous êtes magnifiques !

    La Frobbie arriva....Eleo s'en alla...

    Ah ! Je te laisse entre les mains de ton amie. À mon tour d’aller me pomponner !

    Oui oui vas y file, c'est bientôt l'heure, je n'ai plus qu'à mettre mes chausses !

    Elle lia les actes à la parole et alla près du lit, elle prit une et ....et ?
    Elle fronça les sourcils et plissa les yeux. Elle souleva un pan de sa robe et se mit à genoux, rien sous le lit... elle se mit debout et regarda autour d'elle... aucune trace de la chausses droite.
    Elle se massa les tempes histoire de se rappeler se qu'elle aurait bien pu faire de cette maudite chausses....mais rien ...rien du tout.
    Elle grimpa sur le lit, ne demandez pas pourquoi ....


    Bon les filles oooon ne panique paaaaas !!!!

    Dit elle en paniquant.
    Surtout qu'elle entendait au loin les cloches signalant qu'elle avait intérêt à se grouiller.

    Il me manque une chausse !!! Comme celle ci !!!
    Si on s'y met toute on a plus de chance de la retrouver vivante !!!
    Dispersion !!!


    Les demoiselles présentent passèrent au peigne fin la pièce pourtant pas bien grande, chaque meuble était soulevé, les malles déplacés, tout était méticuleusement retourné pour retrouver la chausse perdue.
    La panique commença à monter, la gamine était de plus en plus angoissée, elle se savait maudite, mais pas à ce point !!


    Mais c'est pas possible je l'ai vu tout à l'heure je ne suis pas folle !!!!

    Il ne manquait plus qu'un fauteuil. Ne voulant pas se donner la peine de se mettre à genoux pour regarder en dessous, elle le tira vers elle pour regarder derrière celui ci ....


    AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!


    Hurla t'elle.
    Puis un silence lourd s'installa dans la pièce.
    La gamine se tenait droite comme un i. Et plaça ses mains en prière devant sa bouche.
    Une atmosphère inquiétante s'installa dans la pièce, celui du calme avant la tempête...Elle se contrôla, une envie rageuse de commette un meurtre circula dans la moindre petite veine.


    Dite moi que je rêve ... Ce maudit chien...ce....ce...ce fils de sa chienne de mère est entrain d'abuser de ma chausse !!!!



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Lora1
[Quelque part sur la route]

C’était au départ de l’Italie dans la région L'Aquila, capitale du Provincia degli Abruzzi, que Lora et Anzy avaient pris la route pour se rendre dans le duché ou se tenait le mariage.

La route n’étais pas facile, il fallait trouve des relais le soir, chose pas toujours facile, c’est avec un peu de difficulté qu’ils arrivaient a ce faire comprendre. Mais elle lui avait dit qu’elle sera là alors … elle serait là.
En retard peut-être, mais pour le moment la route était agréable.

[A l’entrée de la ville]

Après ce long ce chemin, enfin là à une distance assez court, la ville pointait le but de son nez, elle avait réussis, elle ne serait pas dans les dernières arrivé, enfin pas encore.
Ben oui il fallait trouver une auberge libre. Elle n’avait qu’une envie un bain avec des plantes pour soulager tous ces muscles meurtris par tous ces kilomètres.
Il fallait aussi trouver une tenue qui devait être quelque part dans les malles.

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Cerrydwenn
[ A l'auberge , oui oui on arriveeeeeeeeeee !!]


C'est une renarde fébrile qui avait prit la route avec son époux .
Se rendre à ce mariage lui nouait le ventre , pas parce qu'elle portait à nouveau vie mais bel et bien par l'angoisse de revoir son ami après tous ces mois .
Lui qui était partit sur un coup de tête après une sombre période de leur vie .
Elle qui n'avait pas répondu à ses missives mais bon quand on la connait on sait qu'elle ne répond que rarement aux missives .
Parfois elle est aidée car les pigeons se font bouffer en route et donc elle ne puis les recevoir hein .

La pulpe de ses doigts chahutait avec les boucles de feu alors qu'elle se perdait dans ses pensées .
En son esprit revenait leur toute première rencontre alors qu'elle était encore toute jeune , maire D'auch et lui débarquait en haillon , affichant ses belles cuisses et ce fessier dans lequel toutes les femmes voulaient mordre .
Mais naturellement un lien s'était tissé entre eux .
Un lien que beaucoup ont jalousé et qui pourtant n'a jamais été coupé .
Mis de côté oui mais pourtant c'est à elle qu'il a pensé pour être son témoin en ce jour si particulier .

La main de son époux vient se glisser sur sa dextre libre , la renarde lui décoche un sourire .
La route est longue pour le capitaine et la vice comtesse mais cela leur permet de prendre du temps pour eux ..
Obliger de s'arrêter régulièrement pour cause de pipi ou de vomissements ...
Doucement elle finit par glisser contre son époux et s'endort contre son torse , sa main gantée sur son coeur qui donne les notes de sa berceuse apaisante .

Arrivé à Avranches ..Moretecouille qui aurait cru que la bretonne retournerait sur les terres paternelles , elle qui haissait viscéralement les normands , leur cidre de pacotille , leur camembert de merdasse ...rahhh les normands c'est comme les blonds : Faut les abattre à la naissance tudieu !!!
Mais là elle va se contrôler , pour lui mais franchement il va l'entendre l'Ange de lui faire un tel affront !
Une auberge qu'il avait retenu depuis un moment avec des exigences propres aux époux , tel que des brioches à la cannelle pour madame , de l'espace pour les molosses baveux de monsieur mais surtout un large baquet pour deux avec de l'eau chaude et parfumée à la fleur d'oranger pour tous les deux !

Ainsi l'époux lavera son épouse oui oui , vous n'aurez aucun détails bande de curieux , puis l'aidera à se sécher , s'habiller puis la laissant à la camériste pour la coiffure .
Un simple brossage des boucles de feu puis s'enfile une peigne de nacre et de perle afin de les remontées sur un côté .

La renarde passe alors le pas de la porte à la rencontre de son époux :

" Je suis prête mon adoré , nous pouvons y aller , il me semble entendre les cloches sonnées et pour une fois ce ne sont pas celles des PARaSites ..."

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Elenwe
Frobbie remettait un peu en place ses cheveux, le front légèrement perlé de sueur après avoir aidé à déplacer les malles et autres affaires, quand le AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!! de May fit presque trembler toute l'auberge. La jeune femme sursauta, regarda les deux autres femmes présentes et en un rien de temps de retrouva à côté de la future mariée.

Citation:
Dite moi que je rêve ... Ce maudit chien...ce....ce...ce fils de sa chienne de mère est entrain d'abuser de ma chausse !!!!


Ben... penche la tête à droite mmh... penche la tête à gauche je confirme qu'il est en train de faire des choses à ta chausse...Tu crois que si on lui enlève il va mordre ? Mais bon...je sais pas si il y a grand chose à enlever en fait...on dirait...ah oui c'est pas des trous là qu'on voit devant ?...

Frobbie prit la main de son amie et murmura :

Du calme, du calme, du calme. A chaque problème une solution hein...heu...tu chausses du combien ?
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Ael.de.penthievre
Ael arrivée en ville fonça littéralement a l'auberge loué une chambre s'installer défaire son paquetage, se laver se changer, se coiffer, pour bref après avoir courru partout filer a l'eglise... Si si il est pressé se croyant en retard...

Il se rendit donc a a l'eglise les cloches ayant déjà sonné il les avaient entendu... Sauf que stupeur... Une fois arrivé sur le lieux... Pas de carosse pas d'attroupement... C'était-il trompé? Etait le bon jour, la bonne ville? Pourtant tout etait bon il était certain. Il vit Irella qur le parvis et s'approcha... Ne sachant trop comment l'appeler, Mère, soeur ou autre il se contenta de lui dire simplement :

Bonjour.

Il sourit bien que inquiet de ne voir personne... Serait-il possible que pour une fois il ne soit pas en retard et pire... Le premier arrivé? Cela releverait du miracle... En plus il y'aurais tout plein d'ami a lui... Wallou Salim... Eléonore et surement d'autre.... Comme Cocotte et Ary ...

Gaugericus
Gaug, l'esprit ailleurs n'avait pas entendu l'arrivée d'Irella.


Quelle belle et douce journée, May aura de la chance.


Gaug sentit une présence derrière lui, il se retourna brusquement


Ahhhhhhh, bonjour ma soeur ou ma mère, je suis toujours perdu quand je m'adresse à vous.


Comment allez-vous depuis nos longues études d'arabe et votre départ en Artois conjugé au mien à Toulouse
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Leovigild
[Jour de fête, on retrouve SA promise.]

Parti depuis plusieurs jours de Laval Leo se réveilla avec un sourire aux lèvres, il plissât légèrement les rayons du soleil qui avaient réussi a transpercer le feuillage des arbres s’écrasait sur son visage. Un réveil d’une extrême douceur, cela faisait longtemps qu’il n’avait pas eu le cœur aussi léger.
En fait depuis qu’il avait retrouvé frobbie un soir, et que la magie avait à nouveau opérer, cette complicité qu’y il y avait La petite plume qui vole aussi vite que le vent n’avait pas changé, toujours aussi belle, aussi gentille, attentionné, marrante, c’est à ce moment de la soirée qu’il c’était rendu compte que pendant des années il avait eu le Graal juste à ses côtés et qu’il s’en était pas aperçu ou bien était ce des personnes qui le lui cachaient ? A y réfléchir cette solution était la bonne.

Leo finassa son morceau de pain, rassembla ses affaires et repris la routes il ne restait plus beaucoup de chemin, il avait décidé de les faire d’un trait, et en faisant galoper Bigouden son fidèle cheval.

Cela faisait quelques heures qu’il galopait, la ville était proche on pouvait voir les premiers toits, un sourire encore plus grand s’afficha sur son visage. Il fouetta le flanc de son cheval avec le talon pour qu’il mette ce qui lui restait d’énergie dans les derniers hectomètres qui le séparait de SA lumière.

Voilà l’auberge, qu’il avait trouvé il se rendit dans sa chambre, admirant le soleil se lever au-dessus des toits de la ville, il fouilla sa besace et sourit en voyant ce qu’il tenait, ça serai aujourd’hui. On frappa à la porte la femme de l’aubergiste apportait de l’eau chaude pour le baquet. Le baquet rempli, Leo se déshabilla, il entra dans le baquet et soupira d’aise. Nettoyage et se prélasser était de bon augure après ce voyage.

Il prit sa plus belle tenue et l’enfila, il fallait être le plus beau possible pour le mariage de l’amie de frobbie et surtout … bref… il fallait être beau.
Leo regagna la ville, et la place de l’église, il s’asseyait sur un mur attendant de la voir, de voir frobbie, son cœur battait à tout rompre après tant de mois a ne s’être pas vu les retrouvailles promettaient d’être bouleversante.
Tomrone
[Avranches, Avranches, terminus, tout le monde descend !]

Enfin il était arrivé à Avranches. La route fut sans encombre et il avait hâte à présent de pouvoir participer au plus beau des mariages.

Arpentant la ville doucement sur sa monture, une question lui vint. Le marié serait-il déjà parti à l'église ou serait-il encore en train de se préparer.

Plusieurs auberges longeaient les ruelles d'Avranches et il était bien difficile de savoir dans laquelle se trouvait Angel.

Arrêtant un passant les bras bien chargés, il osa lui poser la question. Avec un peu chance, peu d'être aurait-il croisé Angel.


Bien le bonjour mon brave ! Veuillez m'excuser, mais voilà je recherche un homme du nom de Silverangel. Il se marie ce jour à l'église d'Avranches et doit être encore quelque part dans une auberge. Seriez-vous m'aider ?

Ohhhhh ! Ben ben siur que j'le connais le ptit ! Il est dans mon auberge ! Celle du vieux bouc ! Chambre 12 ! Je reviens justement du marché et j'retourne à l'auberge. Suivait moi !

Pour une chance, s'en était bien une.

Enfin à l'intérieur de l'auberge, Tom monta l'étage et toqua à la porte de la chambre de son ami pour voir si celui-là était bien encore là. Pas le temps d'attendre une réponse, il poussa doucement la porte et passa sa tête.


Il y a quelqu'un !!!
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Irella
[Du soleil dans les yeux, des cloches plein la tête...]

............................................................. DING! dong! DONG! dong!DING! dong! DONG! dong!

Il n'y a pas à dire! Le petit rayon de soleil qui lui faisait de l'œil était du plus appréciable après ces longs mois d'hiver. Bientôt l'on pourrait ouvrir grand les portes des maisons et y faire le ménage de printemps qui s'imposait. Les taverniers installeraient quelques tables sur le devant de leur estaminet et l'on pourrait imiter les lézards qui farnientent sous les rayons de midi.
Irella en étant quasiment là dans ses pensées, les yeux fermés à écouter le doux son des cloches...


Ael.de.penthievre a écrit:
- Bonjour.


C'est qu'il lui avait légèrement fait peur le bougre! Elle connaissait cette tête... Qui était-il déjà? Où donc l'avait-elle déjà vu?... Quel était son nom? ... Elle avait beau chercher ça ne lui revenait pas.

............................................................. DING! dong! DONG! dong!DING! dong! DONG! dong!

- Ah! Bonjour! Je suis contente de vous voir.

Elle aurait pu dire "contente de vous REvoir!", mais un instant elle douta l'avoir déjà rencontré. C'est qu'elle n'était pas des plus physionomistes, l'abbesse. Parfois ce petit défaut la mettait dans l'embarra, aussi "Je suis contente de vous voir!" laissait porte ouverte à tous les cas de figure.

Gaugericus a écrit:
- Ahhhhhhh

- AAAHH! répondit-elle en sursautant de nouveau.

Irela posa la paume de sa main sur son cœur comme pour le calmer et sourit à celui qui lui parlait.


Gaugericus a écrit:
- Bonjour ma soeur ou ma mère, je suis toujours perdu quand je m'adresse à vous. Comment allez-vous depuis nos longues études d'arabe et votre départ en Artois conjugué au mien à Toulouse.


............................................................. DING! dong! DONG! dong!DING! dong! DONG! dong!

Lui, elle n'avait pas besoin de se demander si elle le connaissait. Elle le reconnaissait pour sûr! Mais ce bougre-là venait lui donner du "ma mère" et la vouvoyait. Pour sûr qu'il voulait la taquiner.

- Le bon jour Gaug! Mon frère, mon fils! Et ce n'est pas parce que ne nous sommes vus depuis nos derniers salamalecs à l'Université que tu dois me donner de ma mère! Moi qui ai tout juste l'âge d'être ta petite sœur! Et ma foy, pour ce qui est de ma forme, regarde! Je me porte comme un charme!

Il est des questions qu'on se doit de poser non pas par politesse, mais parce qu'elle s'était faite pas mal de mouron à son sujet. Aussi se pencha-t-elle vers lui.

- Comment va Annick? Et votre petit Loïk?

S'il ne souhaitait pas répondre à la première au moins, elle lui permettait de se rattraper sur la seconde.

............................................................. DING! dong! DONG! dong!DING! dong! DONG! dong!
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"Vous pouvez voir le mauvais critique à ce qu’il commence par parler du poète et non du poème." Ezra Pound
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