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[RP] Un Mariage Angéliquement Maygique

Jacquotte
Jacquotte et Aryvon, mains dans la main, activent le pas en entendant les cloches sonner; Ils avaient peur d'être en retard, mais en arrivant sur le parvis de l'église ils aperçoivent Irella qui attendait les arrivants.

Bonjour, soeur Irella,vous allez bien? Ne vous dérangez pas nous allons nous installer dans un coin discret.

Ils se dirigent vers un banc un peu en retrait et attendent les mariés à venir.

Nous mettons là Ary?

Jacquotte après avoir scruté si elle apercevait Oceana, se penche vers Ary et lui demande

tu ne m'avais dit que notre fillette nous attendait à l'église ou alors j'ai mal compris?


Eleo.
Laissant Maywy entre de bonnes mains, Eléo regagna fissa sa chambre pour enfila quelque chose de plus propre et surtout de plus approprié.
Elle se rafraîchit une nouvelle fois, dénoua ses cheveux avec le plus grand soin, puis les enroula en chignon à grand renfort d’épingle.

Lorsque vint le moment fatidique de l’enfilage de robe. Bon en soit, ce n’est pas vraiment le problème ; c’était que les agrafes pour la fermeture se trouvaient dans le dos et à moins d’être élastique… eh bien, pas facile de le faire seule, n’est-ce pas ! Qui a dit que c’était ingénieux ça, personne évidemment ! Et c’était encore plus idiot, de ne pas réfléchir au fait, qu’il n’y aurait personne pour les lui fermer !


Rhhaaaaa ! Merd*,merd*, merd*, merd* !!
Jurant, et se contorsionnant dans tous les sens, pour arriver à ses fins, sans résultat.

............................................................. DING! dong! DONG! dong!DING! dong! DONG! dong!

Et puis, voilà que les cloches se mettaient à sonner.

Elle tournait en rond dans la pièce, faisant turbiner son cerveau à toute allure pour trouver une solution à ce… fameux petit problème ! Elle ne pouvait pas sortir, le dos dénudé jusqu’aux reins !!!


............................................................. DING! dong! DONG! dong!DING! dong! DONG! dong!

Continuant sa ronde frénétique, pieds nus, soulevant ses jupes d’une main et mordillant le bout de son pouce de l’autre.

Ce manège aurait pu durer un siècle et un carême jusque finalement EURÊKA !! Il fallait absolument qu’Eléo trouve Élisabeth, ou… quelqu’un d’autre susceptible de pouvoir l’agrafer correctement !


............................................................. DING! dong! DONG! dong!DING! dong! DONG! dong!

Sortant de nouveau comme une bombe, courant sur le vaste palier, les poings serrés sur le tissu de la robe, essayant de se souvenir dans quelle chambre était Eli… Pas là !... celle là non plus… Là c’était May qui…

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!! devait avoir un p’tit problème elle aussi !

Ah voilà ça devait être celle-ci puisque la pauvre Adriana était en train de se faire agonir… encore !

Et oooh surprise… ! Ce n’était pas la chambre de sa cousine blonde, mais celle de Clotaire ! Fronçant les sourcils, tant pis on fera avec.


Bonjour, bonjour euhm… Excusez-moi d’interrompre votre joyeux tintamarre mais Eli, je … j’ai urgemment besoin de tes services !

Se retournant, oubliant la présence de son cousin, dévoila son dos, et devant le cri oh shocking ! de la dame de compagnie, leur jeta un coup d’œil par-dessus son épaule, haussa un sourcil en se retenant de rire !

Eh bien ! Aidez-moi au lieu de pousser de pareils cris !

Adriana obtempéra dare-dare attachant avec dextérité les quelques agrafes-causeuses-de-tracas !

Chose faite, elle remercia l’anglish et repartit enfiler ses chausses… bottes… arf : autre dilemme.


[Parvis de l’église]

Arrivée après bien des encombres, pas seulement ceux de l’auberge non ! Elle avait failli se faire renverser par une charrette, marcher dans la fange, et… on va s’arrêter là, hein ?

La brunette entra et après avoir salué sœur Irella.


Bonjour ma sœur ! Heureuse de vous revoir en ce merveilleux début de journée!

Souriante, elle franchit la porte sous le Ding dong enthousiaste des cloches, et alla dire bonjour aux invités qu’elle connaissait plus ou moins bien, mais n'osant ni, ne voulant déranger les conversations, Eléo alla prendre place sur un des bancs, puis attendit patiemment, en regardant les ogives savamment sculptées de l’édifice.
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Guy_de_dampierre
Guy sourit nerveusement à sa femme alors qu'il sentait son doigts glisser sur le dernier bouton de son justaucorps, ne parvenant pas à le refermer.

Oui, je ne suis pas sourd!

C'est bon, ils n'étaient qu'en retard... rien de bien exceptionnel. Déjà que traverser la France en cette période, c'était franchement délicat. Mais bon, c'était pour Angel... et que n'aurait pas fait sa femme pour Angel? Et qu'est ce que Guy n'aurait pas fait pour sa femme? Il en avait de la chance, ce jeune marié.

Il proposa son bras à Madame et l'emmena vers l'église d'Avranche, jolie petite ville typiquement normande aux rues étroites. Bientôt, l'édifice religieux laissa apparaitre sa façade gothique et il pénétrèrent dedans.

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Ael.de.penthievre
Il sourit a Irella que déja les invité arrivait de partout... Greg ne semblait pas l'avoir reconnu ... ce n'etait point grave apres tout le temps passait. Suivi encore du monde et toujours du monde jusqu'a ce qu'arrive la charmante Eléonore. Il esquissa un sourire.

Bonjour, Eléonore, comment allez vous depuis le temps? En effet il ne l'avait pas revu depuis plusieur semaines voir mois... Tout commele reste de ses amis....

Enfin Lui même n'était pas très sur de rester en armagnac... L'orléanais il s'y sentait bien mais le choix ne lui appartenait pas entierement. Devant cet afflut de monde et d'une cocotte qui passa en trombe visiblement très pressée d'entrer dans l'église... Il se mis légérement en retrait n'aimant pas trop les foules et puis... Ce n'était surement que le début... Il y en aurait beaucoup plus a venir...
Clotaire_ac
    Je dormais. Affirmatif, je dormais tranquillement, pénard … après avoir vidé deux bonnes bouteilles de calva. Evidemment que j’étais là pour le mariage de mon amie Maywenn, quoi que je ne connaissais pas son futur époux mais peut-être aurais-je la chance de faire sa connaissance? Du moins, je l’espérais. J'avais pas pu croisé ma soeur, Elisabeth, la veille. Etant arrivé un peu tard dans la nuit, je pouvais pas non plus réveiller tout le monde pour leur montrer que j'avais fait la route du Saint Empire pour le mariage d'une copine. Je pris une chambre dans l'une des auberges qui fut réservée pour les invités (d'après ce que j'ai pu comprendre), puis m'installai dans ma chambre louée afin de pouvoir .. noyer ma tristesse! Après avoir vidé les bouteilles d'alcool, non content de ne pas mettre déshabiller, au moins la chemise, je me couchai dans le lit, enroulé dans les draps. Je dormis ... longtemps ... très longtemps!

    Je fis un rêve. Un rêve vraiment très étrange. Je ne m'en souvins pas très bien mais ce rêve fut vraiment étrange. A part quelques brides, impossible d'en dire plus: je me fis attaqué par une armée de belettes! N'était-ce pas dingue? Une armée de belettes! Ces belettes étaient étrangement blondes. Blondes vénitiennes, qui plus est! Je suis sur que vous aussi, vous auriez fui, devant ces belettes blondes vénitiennes! J'essayais de me débattre, au mieux, puisqu'elles semblaient être par milliers et se faire attaquer par des milliers de belettes blondes vénitiennes, essayez de vous en dépêtrer, vous! Je continuais à essayer de m'en dépêtrer, jusqu'au moment où j'entendis quelque chose qui ressembla à «
    J'ai perdu mon chihuahua!»

    Chihuahua? Qu'est-ce donc? Un nouveau vêtement à la mode? Je fronçais les sourcils, quand même assez étonné d'entendre un tel nom! Je cherchais inconsciemment ce que pouvait être un chihuahua mais impossible de trouver. C'était quelque chose qui ne devait pas exister, j'en étais certain! S'en suivit d'une autre chose qui ressembla à ceci: «
    Ma filleule va se marier à cause de toi!»

    Aurais-je brisé le coeur d'une pauvre jeune fille? Et bien décidément, heureusement que j'allais à l'église aujourd'hui! Peut-être que Notre Créateur accepterait de me pardonner? Fallait-il prier pour cela! Quand soudain, j'entendis quelque chose de bien plus nette que les phrases précédentes: «
    Espèce de vieux rabougri d’auvergnat radin ! RADINNNN !! Mais réveille-toiiiii !!! »

    Insulté! J'étais insulté! J'ouvris de grand yeux qui découvrirent une Elisabeth allumée, entrain de me taper dessus. Ainsi donc c'était pas une armée de belettes qui me tapaient dessus mais bel et bien ma soeur! Maudite soit-elle! je la fusillai du regard et essayai de me débattre avec les couvertures auxquelles j'étais enroulé comme un roulé aux fraises:


    M'enfin Lisa! T'as complètement perdu les neurones, ma parole! Arrête de me taper immédiatement ou j'te jure que tu vas te retrouver dehors avec un coup d'pied au ... mais t'es rien grosse!

    Au moment où j'eus laché cette phrase, mes yeux s'écarquillèrent encore plus, j'allais finir par ne plus avoir d'yeux! Je hurlais presque aussitôt:

    Mais c'est ça que t'as caché au mariage de Camille! Mais ... mais t'as pas hoo...

    J'eus pas le temps de finir qu'une cousine fit son entrée, pas n'importe laquelle: Eléonore! Sortant les bras des draps, alors que la pauvre brunette s'excusait de nous interrompre, je lachais mécontent:

    Vu qu'c'est la fête, une en plus ou en moins, j'vois plus la différence!

    Le problème de ma cousine était un problème de robe. Haaa les filles et les froufrous, heureusement que les hommes étaient là pour relever le niveau! Puis soudain, une angloise fit son entrée pour lacher un "Shocking". De plus en plus mauvais, je leur montrai mon mécontentement grandissant. Hooo que oui, j'étais très énervé! Y'avait des jours où fallait pas m'énerver! Voilà que la cousine montre son dos nu, il nous manquerait plus qu'elle se mette à chanter «déshabillez-moi»! Je décidai de rester indifférent! Quand elles eurent finies, Eléonore sortit, laissant Elisabeth et sa suivante dans ma chambre. Je fronçai les sourcils et fusillai les deux femmes d'un regard mauvais:

    Maintenant, z'allez sortir ou sinon, j'vous vire par les cheveux et j'vous jure que ça va pas aller du tout, hein!!

    Quand elles sortirent, je sautai enfin de mon lit, commençant à me préparer pour le ... le ... mariage!

[Eglise, le grand saut ou quand on passe la corde au cou à sa moitié]

    J'avais décidé d'attendre Elisabeth en dehors de l'auberge. Quand elle sortit, je l'emmenai avec moi jusqu'à la chapelle. Il fallait impérativement que nous ayons une discussion des plus sérieuses. Je savais que j'aurai pas toutes les explications ce jour là et c'était pas le jour, en plus. Arrivé à la chapelle avec Elisabeth, il y avait des personnes qui s'y trouvaient déjà, je saluai soeur Irella que j'avais déjà croisé au baptême de Maywenn puis saluant les personnes déjà présentes d'un hochement de tête, j'emmenai toujours en tenant le bras de ma chère soeur jusqu'à un banc, là où personne ne viendrait aussi s'installer puisque nous devions parler ensemble, Elisabeth et moi. J'installai un peu de force ma soeur, m'installant après et je chuchotai à ma soeur:

    Tu peux plus fuir! Alors maintenant, tu vas m'expliquer parce que j'ai raté quelque chose ... une très longue période et j'aime pas pas comprendre! J'écoute, vas y. Crache les morceaux!

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Leanore


Léanore avait fait le voyage vers cette jolie province qu'est la Normandie.

Elle avait décidé de se rendre directement à l'église. Celle-ci se remplissait petit à petit, chacun discutant joyeusement et faisant des pronostics quant à la tenue des mariés.

Léanore entra et chercha une place où elle pourrait suivre facilement l'office. En scrutant l'intérieur elle crut reconnaître son cousin Guy.

Ce n'était pas le lieu des mondanités mais elle se promit d'aller le saluer dès la fin de la cérémonie.

POur l'heure elle se mit à prier en attendant l'arrivée des héros de la fête.

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Eleo.
Perdue dans la contemplation des vitraux et des ogives, se remettant de ses mésaventures, la brunette n’avait pas prit garde aux invités installés sagement sur les bancs de bois.
Entendant qu’on s’adressait à elle, Éléonore reporta son regard vert d’eau et regarda son interlocuteur, cherchant le temps d’une seconde en fronçant le nez ; puis son visage s’illumina.


Ah ! Ael ! Bonjour. Je suis contente de vous revoir ! ça faisait longtemps…

Cherchant dans les méandres de sa mémoire, à quand remontait au juste, la dernière fois qu’ils s’étaient parlés, mais.... peine perdue ! Bref. Revenant à sa question :

Je vais très bien, merci. Vous semblez vous porter à ravir également… dit-elle en souriant amicalement.

Puis la brune se rassit dans un raie de lumière bleue, jetait à travers les vitraux colorés, lissa sa robe sur ses genoux, et replaçant une mèche de cheveux qui s’était fait la malle de son chignon.

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Maywenn
[ L'Auberge de la peur ]

    je confirme qu'il est en train de faire des choses à ta chausse...Tu crois que si on lui enlève il va mordre ? Mais bon...je sais pas si il y a grand chose à enlever en fait...on dirait...ah oui c'est pas des trous là qu'on voit devant ?...

    La gamine regarda son amie. Elle l'admira plutôt. Comment pouvait elle parler avec un tel calme... Comme si, c'était pas grand chose.

    Non mais même si on la récupère, je ne vais pas l'enfiler !! Elle est pleine de ....de ... de lui quoi....

    Elle tenta au mieux de garder au minimum un langage correct, il y avait une enfant quand même....Elle toisa avec haine l'Abomination à 4 pattes, en ce demandant se qu'il avait entre les deux pattes arrières pour pouvoir effectivement faire des trous dans le cuir !!!

    J'aurai dû me débarrasser de lui quand j'en ai eu l'occasion ...

    Marmonna t'elle la gamine.
    Pour la petite histoire, il faut savoir, qu'une nuit, le fornicateur de godasse, s'était perdu dans la ville d'Orléans. Et, par le plus grand des hasards, Maywy et sa copine Popotame, bien imbibée d'alcool, le retrouvèrent après avoir fuient une horde d'ivrognes dégoûtants en colère...bref...une longue histoire...
    Plus elle y pensa plus elle s'imagina déjà entrain de lui faire sa peau à ce maudit chien. Après avoir songé en moins de quelques secondes à une dizaine façon de lui ôter la vie dans d'atroces souffrrrrrances, elle posa ses mains sur sa tête avant de dire dans un grand désarrois...


    Mais comment je vais faire !!!! Je suis maudite, je suis maudite .... C'est ....c'est ... Et j'entends les cloches... Au secouuuuuuuuuuuuuuuurs !!!!

    Elle s'assit, abattue sur le lit.

    Du calme, du calme, du calme. A chaque problème une solution hein...heu...tu chausses du combien ?

    Pourquoi ? Tu en as une réserve ? Des jolies chausses assorties à ma robe ?? Et à la taille de mon petit pied ???
    Cette journée devait être PAR-FAITE !!! et là ....


    Elle se massa le crâne et ferma les yeux. Les cloches continuèrent à résonner....

    Bon. Tant pis !!!
    Je vais pas en plus arriver en retard ... Les filles, nous partons !!!



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Silverangel
Son regard bleuté perdu au loin, c'était définitivement une autre atmosphère qui régnait sur cette auberge au nom bien hasardeux qui heureusement en avait pas l'odeur ... Sinon pas sur que sa féérique aimée ait daignée l'approcher jusqu'à l'autel et encore moins l'embrasser. Bref, ça aurait été une autre histoire.

Il se remémorait nostalgiquement, la première rencontre au bord du lac qui les avait amené à s'intéresser l'un à l'autre pour en résulter sur ce mariage. Ils étaient tout deux dans une partie de leur vie qui n'avait rien de bien réjouissant, sombre et ténébreuse, cette vie qui ne leur avait pas fait de cadeaux bien des fois. Après une once de curiosité, une conversation qui s'installe et les voilà tout deux à se rendre compte qu'ils partagent nombre de points communs qui ne cessait de grandir au fil des mots échangés et un lien qui se tisse petit à petit jusqu'à en devenir indestructible aujourd'hui. Il se souviendrait toujours de cette course dans tout le royaume, totalement à l'opposé. Elle au nord, Lui au sud, parcourant les lieux avec assurance, faisant définitivement fi des dangers de la route, une urgence qui prévalait surtout, un appel du destin peut être à réunir ses deux âmes qui ne font qu'une seule et magnifique ?
Depuis cette réunion, les jours, les semaines ... les mois avaient défilés sans discontinuer, le charme était toujours bel et bien présent sans une seule poussière de lassitude qui aurait pu s'installer comme bien souvent dans les couples. Non pas eux, un coup de foudre avec une alchimie savamment distillée qui cassait leur routine qui aurait pu menacer de s'installer. Ils étaient fait l'un pour l'autre, s'en était une certitude, c'est pourquoi il brulait d'impatience de lui dire Oui.

Un coup à la porte interrompit sa rêverie et coupa la fil de ses pensés. Il n'attendait personne à dire vrai. Il tourna la tête en direction de la porte entrebâillée et y vit TomTom qui l'interpella.


-Oui oui , je suis bien là Tom, que fais donc tu ici ? Pas encore installée sur les bancs de l'église ? Tu sais ... Je n'ai pas caché le buffet dans ma chambre hein ?


Riant doucement, il alla lui donner une accolade amicale pour lui souhaiter la bienvenue.
Tomrone
Il y avait donc bien quelqu'un dans la chambre n°12... Voilà un mystère de moins à résoudre ! Son ami Angel était bien là et le pauvre au lieu de voir une jolie femme de chambre rentrer dans sa chambre ne put qu'à la place avoir un Tomtom.

Tom pénétra donc dans la chambre espérant tout de même ne pas voir Angel à peine sortir de son bain dans une tenue des plus légères...

Mais non plus de peur que de mal ! Il était bien heureux de le retrouver et lui fait à son tour une accolade amicale pour le saluer.


Comment vas tu mon ami !? Pas trop stressé ??? J'espére en tout cas que je ne dérange pas hein.

Je me suis dit que peut être tu ne serais pas encore à l'église alors je suis passé par hasard, puis voilà tu es là.


Tom ne put se retenir de rire quand il l'entendit parler du buffet.

Comme ça tu ne cache pas le buffet ici ! Mais bon n'en disons rien sinon l'on va encore dire que je suis gourmand !

Bon sinon tu veux venir avec moi jusqu'à l'église où préfères-tu peut être rester encore un peu seul et y venir après ?

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Oceana.
Regarde autour d'elle et se met sur les chausses de tom pour lui faire ses deux bises sur la joue...bien qu'elle ait 8 ans la rouquine doit encore prendre un peu de hauteur.

Saluera le reste des filles quand elles seront plus calmes.

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Elisaabeth.
    [ À l'auberge ; entre retrouvailles frère-sœur et/ou la panique générale ]

M'enfin Lisa! T'as complètement perdu les neurones, ma parole! Arrête de me taper immédiatement ou j'te jure que tu vas te retrouver dehors avec un coup d'pied au ... mais t'es rien grosse!

Ohh bah … c’est charmant, je te remercie ! Quelle entrée en matière !

La balafrée regarda son frère à son tour, sauf qu’en voyant la tête qu’il tirait à ce moment-là, elle se souvint qu’elle avait « omis » de lui avouer un détail … ce détail : sa grossesse. Sentant qu’il était prêt à exploser – enfin, c’est compréhensible, avec un tel réveil ! –, elle ouvrit la bouche, lâchant entre temps : Je .. Clotaire, ne t’énerves pas

Mais c'est ça que t'as caché au mariage de Camille! Mais ... mais t'as pas hoo...

Il n’eut pas le temps de finir que la sauveuse de la belette – j’ai nommé, leur cousine Éléonore ! – fit son entrée dans la chambre du Courden. Elle aurait bien sauté dans ses bras, se réfugiait derrière elle, lui disant que ce n’était pas le moment d’énerver le jeune homme quand, à son tour, elle commença à déblatérer : Bonjour, bonjour euhm… Excusez-moi d’interrompre votre joyeux tintamarre mais Eli, je … j’ai urgemment besoin de tes services !

À peine eut-elle le temps de se retourner pour montrer le problème actuel quand Adrianna tombée du ciel, ou plutôt, arriva d’on ne sait trop où, ce qui provoqua un froncement de sourcils de la jeune femme qui garda les bras croisés, pas très, très, très contente de voir sa suivante déboulait, comme ça, dans n’importe quelle pièce. Elle oublia très vite qu’elle avait fait cela, quelques instants auparavant. La suivante aida donc Éléonore dans le problème de robe ou plutôt, le problème d’agrafes. D’ailleurs, même pas le temps de dire un mot en plus que la jeune fille partait. Affichant une moue boudeuse, elle se tourna alors vers son frère qui, lui, sembla prêt à sauter sur sa sœur. Elle, Élisabeth, sa propre sœur. Pas totalement rassurée, elle commença à tourner les talons vers la sortie quand ce dernier les menaça de les faire sortir en leur tirant les cheveux. Empoignant le bras d’Adrianna, elle sortit dare-dare de la chambre du Courden et referma très vite la porte. Elle lui demanda, à la jetée, si elle avait retrouvé le chien. La jeune anglaise lui fit signe que non, toujours pas de chien.

Il n’a tout de même pas disparu comme ça, quand même … bon, je vais voir par là !

Emmenant toujours avec elle sa suivante, elle arriva dans la chambre de sa filleule, elle toqua avant d’entrer puis, elle entendit Maywy dire « Cette journée devait être PAR-FAITE !!! et là .... »

La jeune femme allait lui dire « Mais enfin ma belle, cette journée sera merveilleuse, pourquoi ne le serait-elle pas, humm ? » quand tout fut chambouler : le chien était là. Sauf que la blondinette ne pouvait voir que son chien était devenu un fornicateur de chausses, puisque ce dernier avait abandonné sa victime pour aller vers sa maîtresse. Elle se baissa un peu pour l’attraper puis, avec grand sourire aux lèvres, elle lâcha comme un cri de joie :


Tu sais que tu m’as fait peur, vilain chien ! Il ne faut pas partir comme ça. Imagine si je t’avais perdu, hein ? Je n’aurai pas pu te remplacer, tu es trop mignooon !

Enfin, elle ne dirait pas la même chose si elle savait ce qu’elle avait fait à la chaussure de sa filleule. D’ailleurs, cette dernière lança le top départ pour filer droit à l’Eglise. Elle lui claqua un bisou sur sa joue, comme pour l’encourager et adressa un sourire à la jeune femme qui était avec Maywenn et leur dit avant de confier le chien à la suivante :

C’est vrai que ce serait ballot d’arriver en retard à son propre mariage ! À tout de suite … à l’Église, hein !

Ahhh … que c’était bien innocent, tout ça.

    [ À l’Église, ou faisons une kidnapping-party ! ]

En effet, le frère d’Élisabeth avait attendu cette dernière à l’extérieur de l’auberge mais à peine sortie qu’elle fut kidnappée par son frère. Absolument ! Kidnappée ! Alors que la pauvre ne demandait que le calme, la volupté, le luxe, tout ça … ahh non, pardon, on s’est un peu emporté. Elle souhaitait seulement être en compagnie de son frère chéri, dans le calme et la gaiété ; or le Cloclo ne sembla pas être du même avis que sa sœur. D’ailleurs, durant le chemin qui les mènerait vers la chapelle, ce dernier ne cessa de préciser qu’ils devaient parler urgemment. La jeune femme finit par lui dire, de temps à autre : Mais doucement, calme-toi, enfin !

Dans l’Église, il y avait déjà des personnes et la pauvre belette eut tout juste le temps de leur dire bonjour. Prenons cet exemple : la jeune femme, toujours très aimable, salua – mais alors, très rapidement – Sœur Irella avec un léger sourire : Bonjouuur ! Belle journée, vous ne trouvez paaas ?... Mais Cloclo !

Ce dernier lui tirait toujours le bras, l’emmenant à un banc tranquille. Elle fut installée plus vite que son ombre et regarda son frère s’installer à ses côtés, il profita même – ohh le bougre ! – de lui chuchoter : Tu peux plus fuir! Alors maintenant, tu vas m'expliquer parce que j'ai raté quelque chose ... une très longue période et j'aime pas pas comprendre! J'écoute, vas y. Crache les morceaux!

Mais enfin Cloclo-Chou … ahem, hem. Calme-toi, s’il-te-plaît. J’aime pas quand tu es en colère …, dit-elle en affichant une moue triste et boudeuse. Elle profita même de jeter un regard désespéré à celui ou celle qui comprendrait, à commencer par sa cousine qui semblait bien rire avec un jeune homme. Oui bon bah … plus moyen de trouver une échappatoire, une discussion s’imposait. Pourtant, ce n’était pas le jour mais alors, pas du tout ! Elle le regarda, genre « me tapes pas dessus, sitôplaîîît. » et lui chuchota, à son tour : En plus, tu crois vraiment que c’est le moment d’en parler ? Tu aurais quand même pu attendre un peu. Nous devrions prier pour demander pardon à Notre seigneur et créateur au lieu d’essayer de tout étaler … dans une Église, de surcroit, le jour du mariage de MA filleule. Viens passer un séjour à Orléans ! Tu verras, c’est magnifique, là-bas ! On s’y amuse bien, les gens sont supers, là-bas, je t’assure !...

Verdict ? Cela l’arrêtera-t-il ? Du moins, le temps du mariage ? Ou tout aussi tête de mule que ses sœurs, il persisterait ?
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Irella
Voilà des têtes qu'Irella reconnaissait également dans aucune hésitation. Il faut dire que ces deux là, elle les avait baptisés et mariés. Il aurait été inquiétant qu'elle ne s'en souvienne. Jacquotte était magnifique et Aryvon ne s'accordait parfaitement avec son épouse.

Jacquotte a écrit:
Bonjour, soeur Irella,vous allez bien? Ne vous dérangez pas nous allons nous installer dans un coin discret.

- Bonjour vous deux! Oui bien sûr, entrez vous installer!

La demoiselle qui s'avançait, ça, elle savait où elle l'avait rencontrée. C'atait au mariage de Maywenn. Quant à dire son nom... C'était le désert, l'abysse amnésique.

Popotame a écrit:
Bonjour ma sœur ! Heureuse de vous revoir en ce merveilleux début de journée!

- Bonjour ma fille! Moi aussi!

En fait, voilà, il était bien pratique qu'elle puisse tous les appeler "mon fils" et "ma fille". Et puis ce fut un couple, enfin, ils en avait tout l'air. Le jeune homme la salua. Elle reconnut ce sourire. Lui aussi devait être au baptême. Par contre, elle reconnut très bien la femme qu'il tenait par le bras. 2tait-ce donc son époux? son compagnon? son frère?
Elisabeth_courden a écrit:
Bonjouuur ! Belle journée, vous ne trouvez paaas ?... Mais Cloclo !

- Bonjour Elisabeth! Une journée parfaite! et ce n'est que le début!

Ce devait être son époux... Et peut être bien une scène de ménage... Irella leur sourit et les suivit du regard quand ils entrèrent.


Je ne suis pas certaine de pouvoir me connecter pendant la semaine qui va suivre. Dans le doute, mon Irella prend la direction du couvent. Je continue le rp dès que possible. Bon jeu à tous!

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"Vous pouvez voir le mauvais critique à ce qu’il commence par parler du poète et non du poème." Ezra Pound
Maya...
Maya s'esquive rapidement elle s'est trompée de mariage
Silverangel
Comme ça tu ne cache pas le buffet ici ! Mais bon n'en disons rien sinon l'on va encore dire que je suis gourmand !

Bon sinon tu veux venir avec moi jusqu'à l'église où préfères-tu peut être rester encore un peu seul et y venir après ?


Esquissant un sourire amusé à la remarque précédente, il vérifia rapidement que sa tenue était bien mise, que sa chevelure était bien en place avant de s'estimer satisfait, après tout, il voulait être le plus beau pour Celle aux yeux de saphirs qui allait se poser sur lui et qui n'allait sans doute plus le quitter, étant déjà la même chose pour lui. Le moment était enfin venue, et il ne fallait pas faire attendre la mariée !


-Allons-y, je suis prêt. Les cloches sonnent, on n'attend plus que nous je suppose. Alors ne faisons pas plus tarder les gens pour la cérémonie. Cela serait dommage de les voir piquer du nez avant...

Il laissa Tomrone prendre les devant et les suivre, en route pour une journée qui s'annonce Angéliquement Maygique pour son plus grand bonheur et celle de sa dulcinée.
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