Lglvh
Lenfant terrible se calme, ferme les yeux et se laisse aller contre le torse musclé de son cousin.
Je lavais blessé, jen étais conscient.
Je lécoutais, sa voix était ferme mais douce et je fermais les yeux, mordant mon pouce .
Je men voulais de ma réaction démesurée : Jétais resté mal quand Louis avait pris la fuite, simaginant que Sarah et moi étions en plein ébat. Jétais tout aussi impulsif que lui et la colère était vite retombée, laissant place à des remords.
Mon menton coincé entre ses doigts, je plongeais mon regard clair dans celui ambré, un peu penaud.
Amour, on scomprend pas sur un point, là..
Bien sûr quon a des envies, tous les deux, des bsoins. Jte dmande pas ça..pas ça du tout. Jveux pas tmettre des chaînes. Tu dois vivre, profiter dla vie.
Je le regardais, intensément, mais légèrement peiné quil puisse croire que je veuille le couper du reste.
Pour mon frère, ça ma vexé quvous ayez savouré sans moi. Mais cest arrivé et si ça doit sreproduire, je tle ferais pas payer, promis. Jai agi sous lcoup dla colère, mon Lou tu méritais pas ça et jte dmande pardon. Tu as bien fais de mle dire, on doit rien scacher .
Un baiser échangé, à la fois tendre et fougueux, je glissais jusquà son oreille lui murmurant :
La seule chose, Lou..tlaisse pas enfiler par un autre. Ca. Ca mrend nerveux. Jveux qu on garde ça, rien quà nous.
Je redressais la tête
Le reste
Je lui souris amoureusement
Ton coeur est à moi et le mien à toi alors profitons des plaisirs qunous offre la vie. On va pas rpousser djolies courbes si ?
J't'aime à la folie, mon doux cousin, mon roi..mais j't'aime, heureux de vivre, pas contraint. J'veux te voir souriant et bien, moi.
Je mabandonnais dans les bras de mon aîné, profitant de ses caresses avec un soupir de satisfaction. Contre lui je me sentais renaître. Je grandissais, choyé, même si je nétais pas toujours conscient de lêtre, entre mon frère et mon cousin.
Une envie, une idée germait dans mon esprit . Mon visage reposant sur le torse, un doigt samusant à dessiner le pourtour du nombril.
Tsais, cette lubie dmariage de Tib, jai pas trop envie moi. Lseul truc qui mintéssrait se srait davoir un mini-roux, un jour.
Tcrois quune fille acceptrais dporter mon enfant pis mle donner après, si jpaie bien ?
Pas envie dme compliquer la vie avec une épouse, moi. Jai assez vu sque ça donnait avec Suz et Déa.
Jentrecoupais mes phrases par de légers baisers déposés sur le ventre de mon cousin, le mordillant par endroit.
Je lavais blessé, jen étais conscient.
Je lécoutais, sa voix était ferme mais douce et je fermais les yeux, mordant mon pouce .
Je men voulais de ma réaction démesurée : Jétais resté mal quand Louis avait pris la fuite, simaginant que Sarah et moi étions en plein ébat. Jétais tout aussi impulsif que lui et la colère était vite retombée, laissant place à des remords.
Mon menton coincé entre ses doigts, je plongeais mon regard clair dans celui ambré, un peu penaud.
Amour, on scomprend pas sur un point, là..
Bien sûr quon a des envies, tous les deux, des bsoins. Jte dmande pas ça..pas ça du tout. Jveux pas tmettre des chaînes. Tu dois vivre, profiter dla vie.
Je le regardais, intensément, mais légèrement peiné quil puisse croire que je veuille le couper du reste.
Pour mon frère, ça ma vexé quvous ayez savouré sans moi. Mais cest arrivé et si ça doit sreproduire, je tle ferais pas payer, promis. Jai agi sous lcoup dla colère, mon Lou tu méritais pas ça et jte dmande pardon. Tu as bien fais de mle dire, on doit rien scacher .
Un baiser échangé, à la fois tendre et fougueux, je glissais jusquà son oreille lui murmurant :
La seule chose, Lou..tlaisse pas enfiler par un autre. Ca. Ca mrend nerveux. Jveux qu on garde ça, rien quà nous.
Je redressais la tête
Le reste
Je lui souris amoureusement
Ton coeur est à moi et le mien à toi alors profitons des plaisirs qunous offre la vie. On va pas rpousser djolies courbes si ?
J't'aime à la folie, mon doux cousin, mon roi..mais j't'aime, heureux de vivre, pas contraint. J'veux te voir souriant et bien, moi.
Je mabandonnais dans les bras de mon aîné, profitant de ses caresses avec un soupir de satisfaction. Contre lui je me sentais renaître. Je grandissais, choyé, même si je nétais pas toujours conscient de lêtre, entre mon frère et mon cousin.
Une envie, une idée germait dans mon esprit . Mon visage reposant sur le torse, un doigt samusant à dessiner le pourtour du nombril.
Tsais, cette lubie dmariage de Tib, jai pas trop envie moi. Lseul truc qui mintéssrait se srait davoir un mini-roux, un jour.
Tcrois quune fille acceptrais dporter mon enfant pis mle donner après, si jpaie bien ?
Pas envie dme compliquer la vie avec une épouse, moi. Jai assez vu sque ça donnait avec Suz et Déa.
Jentrecoupais mes phrases par de légers baisers déposés sur le ventre de mon cousin, le mordillant par endroit.