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[RP] Un nouveau mort, et une tranche de vie plus tard.

Alleaume
[ Suite du RP Tranche de vie ]



[ Palais Jacques Coeur, bureau de la Juge. Quelques jours plus tard]

* L'enquête était relancé, et pas qu'un peu pour le coup, Alleaume avait changé dans ses fonctions, car la Prévôt Cini ne pouvait plus assumer sa charge au Conseil, et Vincent, lui, était devenu Procureur du Berry..
Quelques jours après avoir trouvé le mot au tribunal, Alleaume avait fait diligenter une enquête par ses services de polices, en vain pour le moment. La Prévôté n'arrivait pas à faire de liens et à remonter jusqu'à ses initiales que contenait la lettre..
Cela rendait le Prévôt des Maréchaux fou de rage, il ne supportait pas ce qui était en train de se passer, un homme c'était joué d'eux, et sans doute déjà deux inocents avaient été tués. Alleaume n'en tolèrerait pas une de plus, il fallait à tout prix retrouver qui avait tué la Gréffière, et qui avait tué le coupable, enfin le faux coupable pour le coup...

Il tenait dans ses mains son dossier et il remontait deux à deux les escaliers menant au bureau de la Baronne Asterie.. Elle aussi n'avait pas l'air de comprendre tout ce que ce bordel voulait dire .. Et pour cause ! La Juge avait réunit une réunion de travail avec le Procureur, le médecin légiste et lui même.. Il toqua à la porte du bureau, puis attendit qu'on lui dise d'entrer.

Une fois que cela fut fait, il entra dans le bureau de la Juge, ce n'était pas la première fois qu'il s'y rendait, le décors n'avait pas changé depuis la dernière fois, il n'avait donc rien de spécial à regarder, son regard se posa donc sur la Baronne qui se trouvait à son bureau. C'était une grande travailleuse, conseiller et Maire comme le Duc d'Argenton, ils faisaient partis de ses "vieux" qu'on ne pouvait pas sortir du circuit car ils avaient su se rendre indispensable.. Enfin, le vent peut très vite tourner, il ne fallait pas crier victoire trop vite.. Mais il pensait que la Baronne ferait une bonne Duchesse et il s'étonnait d'ailleurs de ne jamais l'avoir vu se proposer, pour sur qu'elle avait l'expérience !

Il s'avança alors un peu, et abaissa la tête par politesse. *


Baronne le bon jour à vous.. Je viens comme convenu vous tenir au courant de l'affaire qui nous préoccupe tous.. J'imagine que Maistre Urgence va être là ainsi que le Procureur ?
Je dois vous avouer que nos trouvailles sont bien maigres et que nous sommes un peu dans une impasse au niveau de l'enquête... Enfin vous en jugerez par vous même au moment venu.


* Il lui fit un sourire, puis resta debout, droit comme un "i", il regardait la Baronne, et attendait une réaction de sa part. Il espérait qu'elle abrègerait ses souffrances assez vite, il ne supportait pas rester debout de cette manière, alors qu'il avait la possibilité de se reposer dans un fauteuil des plus confortables. Le confort c'est bon pour rester en bonne santé et vivre très longtemps ! Si si je vous le jure. *
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Asterie
[ Palais Jacques Coeur, bureau de la Juge.]

La juge se trouvait dans son bureau, elle était perplexe, l’affaire Mariza l’intriguait cela faisait maintenant quelques jours que la fin du procès du meurtrier présumé de la greffière avait été prononcé.
Un homme avait été assassiné, c'était en rapport avec l’affaire. Elle avait réuni le procureur et le prévôt immédiatement après pour s’entretenir de la conduite à tenir devant ce rebond de situation.
Il avait été décidé que Maistre Urgence examinerait le corps de l’homme assassiné et que l’on réquisitionnerait le fameux coupable. En faisant très attention qu’il ne soit jamais seul et surtout sous bonne garde. Il n’avait rien dit durant son interrogatoire, et avait préférer la roue plutôt que de parler.
Connaissant le bourreau pour sa subtilité dans ses interrogatoires … Intrigant à moins qu’il ait des complices et qu’il soit sur de s’en sortir ou …Elle soupira ...Elle se remémorait le parchemin se demandant ce que voulait bien dire celui –ci et qui était la personne qui se cachait derrière ses initial ZDC.
Elle avait demandé au nouveau procureur, et prévôt ainsi que Maistre Urgence de passer ce matin au palais Jacques Cœur dans son bureau, pour mettre à profit ce dont ils avaient recensés depuis ce fameux jour.
Plongée dans ses réflexions elle entendit frapper.


Entrez !

Le prévôt venait de franchir le pas de la porte. Elle se leva pour le saluer s’inclinant rapidement.

Bien le bonjour votre Grâce merci de vous êtes déplacé.

Elle lui sourit
oui en effet le procureur devrait ne pas tarder et j’ai fait convoquer également Maistre Urgence.
Je vous en prie prenez donc place, ne restez point debout.


Elle lui sourit le prévôt ayant eu un problème de santé il l’avait remplacé .C’était un très bon choix de la part du Duc du Berry le duc d’Argenton était très compétents.

Je vous proposerais bien quelque chose pour vous désaltéré mais c’est peut-être un peu tôt. J’ai par contre si vous le désirez des confiseries que le Baron Nathan de Palluau sur Indre m’a fait parvenir. Cela s’appelle des macarons, je vous avouerais que le Baron m’intrigue, il arrive toujours à me surprendre, entre ses binocles rose et maintenant ses confiseries. Il ferait se pavaner d’envie beaucoup d’intrigants à Paris imaginé un peu. Elle rit doucement ...
Hum pardonnez-moi ce n’est pas le sujet .


Je suis assez intriguée je vous l’avoue ce parchemin... cet homme mort... et l’accusé .Elle soupira...

D’ailleurs en parlant de surveillance est ‘il toujours dans une cellule avec un garde qui surveille ses gestes, je ne voudrais pas qu’il nous joue un tour de derrière les fagots.
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Alleaume
* Alleaume se touchait la barbe, comme si la toucher lui donnerait la réponse aux questions qu'ils se posaient.. A priori non, vu qu'il resta silencieux un bon moment, les yeux perdus par la fenêtre.. Il ne comprenait plus rien à cette affaire, et c'était pour le moins dommage, vu qu'il avait en charge maintenant de mener l'enquête.
En même temps il fallait dire que rien n'était logique dans cette histoire.. Une femme tuée sans raison apparente, un homme qui s'accuse à tord du meurtre et se laisse aller au supplice final.. Et pour finir un nouveau cadavre entre les mains avec un mots retrouvés su la scène du crime...
Voila tout les éléments qu'ils avaient en main, un mystérieux ZDC avait certainement commandité le meurtre qu'il y avait eu, et peut être même les deux meurtres.

A l'invitation de la Baronne, Alleaume prit place dans un fauteuil en face de la Juge, ils pourraient ainsi converser plus simplement.. Elle avait la mine grave, et cela se voyait qu'elle était tout aussi embarassée que lui. Cela n'allait pas être simple.. Peut être que Maistre Urgence et le Procureur aurait une idée par la tête.. *


Les macarons je veux bien ! Cela fait quelques temps que je n'en ai pas mangé, c'est vraiment un délice, comme ce cher Baron de Palluau !

* Il eu un petit rire, avant de prendre la friandise qu'elle lui tendait.. Voila que ça devenait interessant, on allait travailler tout en mangeant, c'était la meilleure des actions possible pour le Duc d'Argenton.. Il aimait manger et les bonnes choses... Enfin c'était peut être les bonnes choses qui aimaient Alleaume. *

Je suis d'accord avec vous, Nathan me surprend souvent aussi, il ne lui manque plus que la sagesse pour en faire un homme parfait ! Il a encore beaucoup la fougue de la jeunesse, esperons qu'il ne la perdra pas et qu'il saura la transformer en sagesse. Mais oui vous avez raisons, le Baron n'est pas dans les raisons qui me porte à vous, vous vous en doutez.

* Il lui fit un sourire, il fallait se concentrer sur l'enquête à présent.. Il faudrait tout reprendre du début, et ça allait être fatigant, alors autant manger autant de macaron que possible !
Le Duc d'Argenton sortit de sa besace quelques vélins ou les différentes explications de l'enquête étaient écrites dessus. Il les posa sur le bureau, afin que Astérie en prenne connaissance. Il faudrait que Maistre Urgence les éclairs un peu sur tout ce qui touchait aux corps des victimes.. *


Vous savez, c'est sans doute une des affaires les plus tordues que j'ai eu a instruire.. Les rebondissements sont tel que l'on arrive plus à dicerner le vrai du faux..
Concernant l'accusé ne vous en faites pas, il est sous bonne garde de deux kefs maréchaux, il ne partira pas, ou il ne tentera pas de mettre fin a ses jours ! Il nous faut le faire parler, c'est le seul lien qu'il nous reste dans cette enquête... Lui et le bout de papier que nous avons trouvés..

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Asterie
La juge se leva elle avait besoin de bouger pour pouvoir réfléchir pourquoi ,c’était une question qu’elle ne c’était jamais vraiment poser mais quand quelques chose la préoccupait et qu’elle avait besoin de mettre ses idées en place, elle réfléchissait en faisant quelques pas...parlant également à voix haute mais pur cette fois allait s’abstenir il ne faudrait pas que le Duc d'Argenton la prenne pour une original .
Certes elle avait déjà bonne réputation d'être un tant soi peu particulier mais n'en rajoutons pas.

Elle s’arrêta devant la fenêtre tournant le dos au Duc. Ce n’était pas un geste irrespectueux juste le mouvement et la continuité de son interrogation , un réflexe comme ci en regardant par la fenêtre…le temps était magnifique .

Son bureau avait vu sur la place Jacques cœur du monde s’y afférait, aussi bien des gueux que des nantis, des marchands …En regardant par cette fenêtre trouvera t’elle ce qui pourrait lui donner un indice …
Elle sourit et se retourna vers le Duc soupira en haussant les épaules.


En effet votre grâce, cette affaire est très particulière et je vous avoue que même certain de mes cas de patients sont moins, comment dire , moins compliqués.
Ah les hommes que ce soit dans la maladie ou bien dans la justice, ils restent toujours un mystère. Mais ce mystère à un nom un certain ZDC .Et on le découvrira.Je n'aime pas du tout rester sans réponses.
Et puis ce fameux prisonnier. Espérons que Maistre Urgence nous en dira plus c’est un très bon observateur et un chirurgien hors pair.

Je sais je ne suis pas vraiment magnanime sourit. Il m’a enseigné l’art de la petite chirurgie et grâce à lui j’ai beaucoup appris. Le procureur ne devrait pas tarder non plus il nous aidera surement à trouver quelques indices. En attendant
, elle s’approcha et pris un macaron rose sourit …

Quelqu’un frappa à la porte.

Ah ! …Entrez !
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Maistreurgence
[Quelques jours auparavant dans son office]

**Maistre honoré urgence était dans son office lorsqu’il reçut une missive du tribunal.
La juge Asterie d’Ambparé lui demandait de venir dans son bureau à propos de l’affaire de la greffière.
Au début il fût un peu étonné puis il comprit, il se rappela que l’homme qu’il avait assisté lors des interrogatoires n’était pas le meurtrier présumé.
Il avait également examiné l’homme assassiné aux abords du tribunal ,il avait pourtant donné son compte rendu. La juge avait surement besoin de plus de détails. Il répondit qu’il s’y rendrait...**

[Au palais Jacques Cœur dans le bureau de la juge.]

**Arrivé au palais Jacques cœur Maistre Urgence se présenta pour se rendre dans les bureaux de la justice en particulier celui de la juge Asterie d’Ambparé. Le garde le reconnu et l’accompagna .
Après avoir remis sa tenue pour être présentable, il frappa il attendit.**

Entrez !

**Il entra et vit la juge , le prévôt était également présent .**

Mes hommages votre honneur, il s’inclina, puis se tourna vers le Prévôt, votre grâce. Il s’inclina également.
Zelgius
Le Berry s'était passé du Dément depuis quelques mois déjà. Mais le Dément, lui, ne s'était pas passé du Berry. Il avait fait préparer une chasse pour son retour : une dizaine de personnes qu'il "libérerait" sur ses terres pour les chasser. Après tout, il n'y avait meilleur gibier que l'Homme.

Mais tout ne se déroula pas comme prévu ! L'un des hommes qui travaillait pour lui, lui avait fait savoir que leur kef Skorm avait dépassé les limites imposées par le Champlecy. Il avait tué. Et pas n'importe qui. Il avait tué une greffière. Lorsque Zelgius avait donné ses ordres, il eut pourtant été clair : "Ne prenez que des voyageurs. Aucun berrichon, qu'il soit connu ou non ne devra craindre pour sa vie.". Apprendre cela ne fit pas la joie du Dément, la chose fut évidente.

Ainsi, il avait ordonné que Skorm et son plan "parfait" soient offert à la justice berrichonne en réparation de la mort d'une greffière avec qui il avait certainement travaillé. Non que cette mort l'eut dérangé, mais que le Berry, l'endroit où il avait monté sa vie de toute pièce, soit à la recherche d'un éventuel meurtrier ne lui plaisait pas.

Une fois son retour en Berry effectué, l'une des premières choses qu'il fit fut de se rendre là où Skorm vivait, bien évidemment l'endroit fut vide. En revanche, lors d'un arrêt en taverne pour faire savoir son retour, bien que cette nouvelle l'avait devancé de quelques jours, une discussion avec sa marraine lui permit de se faire une place dans l'enquête officielle du Berry. Sa "connaissance" des bas-fond berrichon s'avéra une nouvelle fois une aide qu'il pensait pourtant officiellement morte.

Ainsi, il se rendit dans le bureau d'Asterie à l'heure convenue. Frappant à nouveau à cette porte qu'il avait bien souvent vu lorsqu'il était Procureur du Berry plusieurs mois plus tôt.

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Asterie
La juge salua Maitre Urgence.

Bonjour Maistre Urgence comment se porte votre personne .Je vous ai fait quérir pour l’affaire de Mariza la greffière vous vous en doutiez je suppose.
En tant que Barbier Chirurgien et consultant de notre prison Jacques Cœur .Et également par rapport à votre expérience sur l’anatomie humaine ayant été sur les champs de batailles vous savez reconnaître les blessures.


La juge Asterie connaissait bien le Chirurgien cela faisait un moment qu’ils travaillaient ensemble et cela n’avait pas été des plus facile au départ , celui –ci ayant un grande expérience et elle venant de passer sa maitrise de médecine.
Elle avait été le voir pour qu’il l’aide pour certaine petites chirurgies , il lui avait presque claqué la porte au nez .
Un médecin qui osait venir sollicité un certain savoir alors qu’en général ceux-ci ignoraient et même méprisaient les barbiers , et barbiers chirurgiens ne leurs accordant que le fait d’êtres des bouchers et des saigneurs , eux se prenaient pour l’élite les seuls à maitrisé et connaître les humeurs et accusant les barbiers chirurgiens de faire mourir leur patients dans de terribles souffrances.

C’est après avoir sauvez sa fille de l’accouchement que celui-ci était revenu sur sa décision non sans avoir été des plus difficile . Mais d’un caractère assez têtu Asterie avait réussi à avancer dans ce domaine. Celui-ci travaillant comme Chirurgien au dispensaire de Bourges.Certes chacun restaient dans son domaine mais il y avait tout de même une certaine complémentarité . Depuis ce temps il faut dire qu'en Berry une entende avait été faites entre les deux congrégations , une aide précieuse lors des guerres.


J’aimerais tout d’abord que vous nous relatiez rapidement le premier examen que vous avez pratiquer sur la pauvre Mariza , je ne vous demanderais pas les détails sur certain points mais juste la façon dont les coups ont été porté et avec quels genre d’armes . Ainsi que l’autre personne retrouvé assassiné peu de temps après la fin du procès.
Cela nous aidera peut-être car nous sommes un peu dans une impasse et il est bien entendu hors de question que ce meurtre reste impuni.

Nous attendons encore le procureur, je ne sais s’il a reçu ma missive sinon je demanderais à un garde d’aller le quérir, j’avoue avoir quelques petits problèmes avec mes pigeons, le manque de viandes peut être certain n’arrivent pas à destination.

En attendant assoyez-vous.


On frappa à la porte , un garde entra et lui dit le Vicomte Zelgius c’est présenter aux portes et demande à êtes reçu.
La juge le regarda,
le Vicomte zelgius mais, Norf de norf ! Oui bien sûr dite lui d’entrer.

Puis se tourna vers le prévôt
, je l’avais complètement oublié. Je lui avais demandé de passer, il connait beaucoup de monde et fût un temps où il avait quelques indicateurs dans les bas-fonds de Bourges, je pense qu’il pourrait être d’une aide.

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Zelgius
Lorsque l'argousin annonça au Champlecy qu'il était effectivement attendu -d'un autre côté, même si il ne l'avait été, il se serait tout de même fait présence pour une telle affaire-, il passa la porte pour y découvrir la juge et le prévôt. Asterie, sa marraine, ne connaissait de lui que ses quelques contacts dans les bas-fonds berrichons. Alleaume, le Conquérant, avait agi de concert avec le Dément pour ne pas voir le Berry être détruit par le feu et les armées Royalistes alors que ce dernier n'avait pas grand chose pour se défendre.

Il avait, lors de cette période, dû contenir ses envies d'assauts généralisés pour pouvoir rester tel qu'il était vraiment : une ombre sous la lumière.

Le Champlecy s'avança donc dans le bureau pour se laisser choir dans un fauteuil qui semblait l'attendre. Lui ou quelqu'un d'autre...


Attendons-nous encore quelqu'un ?

D'un signe de tête il indiqua la porte qu'il venait de fermer.

Le procureur peut-être ? Sinon, vous allez pouvoir m'expliquer plus avant ce qui a valu ma présence ?

Son oeil se porta alors sur les macarons présent devant eux. D'où venait donc cette mode ? Certainement de Nathan...

Cette affaire ne vous coupe pas l'appétit, c'est déjà une bonne chose.

Ou comment se rattraper d'une absence de "Bonjour".
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Alleaume
* Le Prévôt des Maréchaux prit place dans un fauteuil que la Baronne venait de lui indiquer. Il se laissa tomber lentement dessus, afin de profiter au maximum de l'instant présent. Il fallait dire que la Juge avait des fauteuils bien plus moelleux que ceux du Prévôt.. Jaloux ? Un peu tout de même, un fauteuil confortable permettait une meilleure productivité au travail, cela était prouvé soit disant..
Zieutant par dessus le bureau le fauteuil de la Baronne, il se demanda si son séant ne pourrait pas un jour aller sur celui ci.. Alors qu'il réfléchissait à des choses futiles, le Médecin urgentiste entra dans le bureau, suivit du Vicomte Zelgius, sans que le Duc d'Argenton ne s'en rende compte au premier abord.

Lorsqu'il entendit la voix du Vicomte, il eu un petit sursaut qui le fit revenir à la réalité. Ils étaient là pour une réunion de travail, pas pour se prélasser dans un fauteuil voyons ! Il salua d'un geste de la main Le Dément et le grattifia d'un petit sourirede politesse. Ils n'avaient pas le temps d'en dire plus, un autre jour.
Il ne manquait en effet plus que le Procureur à présent.. Il poussa un léger soupir, avant de prendre la parole.. *


Peut être devrions-nous commencer sans l'attendre ? Je lui rendrai compte de notre entrevue s'il ne vient pas, Vincent est quelque peu occupé en ce moment, il ne faut pas lui en vouloir. Il n'est pas facile d'être procureur débutant..

* Il eu un petit rire à la dernière phrase de Zelgius. Il est vrai qu'ils avaient vu tellement de morts sur les champs de batailles, qu'ils semblaient tous rodés. Il en fallait plus pour couper l'appétit du Duc. Il croisa les bras et regarda tour à tour Asterie,Zelgius, puis le medicastre. *

Messire medicastre, je pense que vous pouvez commencer.
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Asterie
Le Vicomte entra. La juge se leva pour le saluer. Elle ouvrit la bouche mais celui-ci parlant. La juge le regarda fronça les sourcils. Elle commençait à le connaitre depuis le temps il ne s’embarrassait pas de préliminaires droit au but.

Elle lui sourit. Bonjour Vicomte je vous en prie prenez place. Je vois que même le fait de ne vous avoir revue depuis un certain temps vous ne changez pas mon cher filleul.
Mais tout de même, je ne pense pas que la ou vous étiez vous avez oublié vos bonnes manières, certes c’est en tant que juge que je vous ai convoqué mais tout de même, je suis votre marraine et n’ai-je pas pour ce fait droit à un petit bonjour.
Sourit.

En effet nous attendu le procureur et je vous ai conviez pour une affaire dont vous avez surement entendu parler l’agression de notre greffière Mariza , nous avions le coupable et il s’est avérer qu’il était innocent .
Un homme a été assassiné et il détenait une lettre le prouvant. Et comme vous aviez quelques connaissances disons quelques indicateurs qui travaillaient et je suis certaine travaillent toujours pour vous.


Elle connaissait suffisamment son filleul pour savoir qu’il avait trempé dans quelques affaires louches, elle était peut être naïve de croire certaine choses mais, elle était également Médecin dans un dispensaire et aidait les indigents, cela était plus facile d’entendre certaine choses…Qui ne devait pas se savoir … Et il était utopique de croire que tout était simple et que les gueux des bas-fonds de Bourges était sans protection. Parfois pour avoir quelque chose il fallait bien regarder ailleurs…
Et là à savoir pourquoi …elle se doutait que le Vicomte savait quelques choses…


J’ai fait également quérir Maistre Urgence que vous connaissez peut être de réputation, Barbier Chirurgien, il travaille pour le duché à la prison de Jacques Cœur c’est lui qui à examiner le corps de Mariza et le corps de l’homme retrouver assassiné, il va nous faire part des résultats de ses examens cela nous permettra peut-être de trouver quelques indices sur l’assassin ou sur le commanditaire.

Elle sourit en le regardant. Et non en effet cela ne me coupe personnellement pas l’appétit question de survie, de gourmandise peut être. En voulez-vous .Asterie tendit la main vers les macarons.
Vous avez raison Messire , nous allons commencer si le procureur arrive , on lui fera un résumé.
C’est à vous Maistre.

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Vincent07
Arrivée au palais Jacques Cœurs

Frappe à la porte et entre.

Que de beau monde dans ce bureau

Arrive et voie le juge le prévôt et un messir qu’il ne connaît pas, zel était déjà dans les lieux, visiblement il attendait quelque’ un espère seulement que c’est pas lui , arrive en total décontenance .

Bonjour à tous j’ai croisé quelqu’un qui m’a dit que j’étais attendu en ces lieux, dite moi tout je vous écoute maintenant que nous somme complet.

Les regarde tous tour à tour.

On attend quelqu un d’autre ?

Puis attend ce demandant toujours qui est le sir avec eux.
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Asterie
Maitre Urgence allait parler lorsque l’on frappa à la porte.

Entrez !

Messire le Procureur entrez, nous n’attendions que vous, je vous en prie preniez place.
Vous connaissez sa Grâce Alleaume notre Prévôt, Le Vicomte Zelgius et je vous présente Maîstre Urgence Barbier Chirurgien de son état.
Il est au service du Berry c’est lui qui nous aident pour les prisonniers et qui a examiner le corps de notre pauvre Mariza, ainsi que celui de l’homme assassiné peux après le verdict du supposé tueur.

Nous nous sommes réunis pour assemblé tout ce que nous avons pour découvrir qui se cache derrière tout cela.
Et maître Urgence allait justement nous rappeler les faits sur les deux victimes.
Vous pouvez commencer Maîstre, je pense que nous ne serons plus déranger tout le monde est au complet.

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Maistreurgence
Maistre Urgence se leva pour saluer le Vicomte s’inclina puis resta un instant debout ne sachant que faire.
Pas qu’il était impressionner par l’homme qui venait d’entrer mais plus par la juge. Sacré caractère !. Il sourit en se remémorant leur première rencontre. Il n’avait pas été des plus tendre à son encontre, comment avait ‘elle oser lui demander de l’initier à la chirurgie et de pouvoir faire quelques travaux sur des cadavres.

Elle un médecin et en plus une femme et noble par la même occasion. Si elle avait pensé pouvoir s’amuser c’était de pas le connaître.
Puis il l’avait vu sur les champs de batailles, une épée à la ceinture et dans sa besace des instruments de chirurgie et des linges pour panser quelques plaies en attendant que les blessés soient rapatriés vers les tentes de soins ou lui-même opérait .Elle aidait à soigner les blessés, osait se salir les mains !

Jusqu’au jour où elle sauva la vie de sa fille durant son accouchement .Et puis il faut dire qu'elle était plutôt obstinée combien de fois elle était venu le voir, fait quelques expériences en catimini ! Il l’avait pensé futile et orgueilleuse comme ses confrères qui se prélassent dans leurs fonctions en dénigrant les Barbiers chirurgiens ne les considérant que comme des saigneurs et des bouchers.
Comment ne pouvait ’il en être autrement quand il y avait une amputation à faire il fallait faire vite et non pas tergiverser se posant des dizaines de questions et si ... .Il faut dire que quelques uns de ses confères avaient la main et la scie facile...
Il s’était demandé comment son mari pouvait accepter cette situation non seulement une femme médecin , mais en plus qui voulait faire de la chirurgie ...C'est qu'elle apprenait vite la bougresse mais il était hors de question de revenir en arrière, il avait son honneur à préserver et puis les médecins ne se mélangeaient pas avec les Barbiers chirurgiens ! Un jour le destin les avaient réunis , ils avaient du travaillé ensemble et par la suite comme elle avait bonne réputation …
Cela valu de part et d’autres quelques remontrances …

Il allait commencer lorsque l’on frappa à la porte. Le procureur se présenta celui-ci avait l’air surpris d’être là .Il l’avait rencontré mais n’avait pas eu l’occasion de lui parler. Maintenant c’était chose faite.


Monsieur le procureur il s’inclina rapidement puis se tourna vers la juge et sourit.

Merci Madame.

J’ai pu examiner cette pauvre femme, j’ai pu constater quelques contusions importantes sur tout le corps on l’avait battu. Puis des plaies sur quelques parties du corps, elle a dû être trainée au sol car, j’ai pu en extraire quelques brins de pailles, de bois, de petits cailloux et de boue.
Elle avait également dans les cheveux des brins de pailles et de la boue. C’est à un autre endroit qu’elle a été tuée pas là où on la retrouver car, y avait pas de paille comme ceux qu’elle avait dans les cheveux. Et puis pas beaucoup de sang, parce que vous savez vous hein que les hommes y ont beaucoup de sang c’est comme les cochons quand on les égorge ben.


Maistre s’il vous plait je vous en prie …

Ce n’est pas pour vous mais pour
, il désigna le procureur, le Vicomte et le Prévôt.

Ne vous inquiétez pas Maistre Urgence, je suis certaine que notre prévôt c’est de quoi vous parler sans mettre plus de détails ainsi que les deux autres personnes dans cette pièce.

Oui et puis j’y ai regardé un peu plus près et j’y ai vu des bleus entre les cuisses et hum, il y a eu abus Madame le Juge.

En la trouvant nu il était facile de l’imaginer…

Pour la chemise. Il prit la chemise et la déploya comme j’l’ai déjà dit elle est tacher de sang, le sang de la victime c’est sûr. Et le couteau c’est bien cela qui à tuer la pauvre femme.
Je peux dire comment je sais ?


Oui bien sûr aller y Maîstre nous n’attendons que cela.

Ben j’y ai remis le couteau dans la plaie et y rentrait sans faire d’efforts donc c’était bien celui-là. Un gaucher !

Pourquoi pensé vous que c'est un gaucher ?

Et bien une fois j’ai dû rendre un rapport, j'ai fais comme d’habitude, c’était une blessure avec une épée et comme je me suis couper à la main droite, je ne pouvait pas le faire avec cette main, j'ai donc fait avec la main gauche , et bien cela rentrait très bien. Alors j’ai réfléchit et j’ai demandé à un de mes aides et vous me croyez pas mais ça n’allait pas j'en ai conclu que c'était de la main gauche et non de la droite.

Ensuite le procureur d’avant.
Il désigna le Duc Alleaume m’avait demandé de voir si le prisonnier serait au procès après avoir été questionné.
Je n’ai pas pu voir s’il était gaucher ou pas. Et il n’a rien dit juste que c’était lui…


L’autre homme lui comme j’vous le disais a été tué par un homme qui l’a fait avec la main gauche, la main du diable ! Et sans hésitez ce n’est pas la première fois qu’il doit faire ça. Je vais vous montrer.

Vous êtes sur …


Ne vous y inquiétez pas Madame le Juge. C’est à la gorge qu’il a été assassiné et pas au ventre.

Il regarda autour de lui et aperçu le buste d’une statue…
regarder. Il prit un couteau. Je vous montre de la main droite et de la main gauche.

Tout le monde le regardait et ne voyait pas vraiment de différence.


Je l’ai fait sur un cochon quand vous vous planter le couteau c’est profond et vous remonter vers le l’autre côté c’est plus fin. Et c’est pareille de la main gauche et comme c’était plus profond du côté gauche vers la droite. C’est un gaucher que vous cherchez.
Vincent07
Un gaucher a tué les deux personne, la greffière a était tues et violer dans de la paille, sont corps a était trainer , il a était déplacer ce qui veux dire une grange ou quelque choses du même genre.

Une question maitre urgence.

Est-ce que par rapport à la blessure causer sur la femme et sur l’homme on peut déterminer la taille de ce tueur ?

Dans ce cas-là on aurait encore des éléments afin d’identifier au mieux l’assassin.

Au faite ou avons nous retrouver les corps de ces deux personne ?

Si y eu déplacement sa veux dire que le traite travaille dans c est bureau et qu’il possède la clef non ?


Il fit une pause a fin de rassemblé toute les pièce a conviction.
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Maistreurgence
Maistre Urgence. Réfléchit à la question du procureur. Et bien je dirais Monsieur le procureur que ce n’est pas une femme, elle n’en aurait pas eu la force, et par expérience, je sais que les femmes préfère le poisson que les armes blanches. C’est plus subtil et c’est moins salissant. Une femme aurait peut-être frappé mais avec une arme improvisé pas comme cela.

Il se sourit à la juge qui leva un sourcil. Ensuite pour la première victime, je dirais un homme avec de la force . Je pense même qu’ils étaient plusieurs, cela a été assez rapide et pour la déplacer sans être vu. Elle a du se défendre.Dans le quartier ou on la trouver. Le prisonnier aurait pu corresponde au tueur.

Puis se souvient d’autres détails.

Elle s’est défendu, j’ai pu voir également des blessures défensives, deux ongles cassés. Donc l’homme a surement été griffé.
Si vous me le permettrez Dame Asterie j’aimerais montrer sur votre personne une ou deux choses.


La juge le regarda sourit.

Me retrouver victime attention Maistre vous êtes en présences de représentants de la loi.
Mais je veux bien me prêter à votre démonstration.
Ce n’était par ailleurs pas la première fois le Chirurgien aimait montrer en visuel pour mieux expliquer. Ayant été son élève elle avait pu le voir travailler sur des malades et lui expliquer le pourquoi …

Voyez… il posa la main au niveau du cou de la juge et mima un coup de couteau. Dame Asterie comment vous défendriez vous ?

Et bien difficile à dire mais dans cette position j’essayerais de me dégager en vous griffant. Coup de pieds, coup de poings … Le visage ou tout ce que je pourrais trouver pour m’extraire de votre contrainte. Je crierais également sauf si on me bâillonne.

Le Chirurgien remercia la juge puis continua.

Par contre pour l'autre victime il ne s’y attendait pas, l’assassin à une très bonne agilité, il doit être plus grand et plus fort caché près à agir. Je pense que c’était prémédité mais je ne suis point un expert.
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