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[RP] Bureau du Procureur de Lorraine

Carlotta_isabel
On se dit Lorrain mais, on se cache derrière l'Empereur, c'était une partie du discourt qu'elle retenait. Littéralement elle se faisait limite agresser en paroles puisque même si les deux hommes étaient apparemment calme, les mots eux étaient sans appels. C'était ses premiers mots doux ceci dit en tant que procureur, elle aurait presque pu avoir la larme à l'oeil si elle n'avait pas l'impression d'être une potiche, coincé entre deux sièges, les fesses faisant quasiment mal. Donc on résumait la situation, il y avait des accusations contre eux, un dossier vide puisqu'aucune preuve ne lui avait été transmises et que les seules personnes à sa connaissance pouvant apporter un semblant de lumière n'était pas disponible. Un haussement de sourcils mais, attention uniquement de celui de gauche, comme pour manifestement un étonnement, de surprise, m'enfoutisme. En tout cas bingo, la courtisane elle savait qu'il s'agissait de Silanie, surtout vu l'échange concernant son rapprochement avec eux il y a quelques minutes et oui, elle suivait un peu la poupée.

Que répondre à ça ?

C'était dit sur un ton léger, presque avec une pointe d'humour, oui de l'humour c'était mieux plutôt que de s'emporter, de tout mal prendre et les envoyer chier.

Si vous estimez n'avoir rien à me dire, n'avoir rien a vous reprochez vis à vis de la Lorraine, je ne vous retiendrais pas plus longtemps. J'ouvrirais une nouvelle enquête afin d'avoir le début et la fin de cette histoire et si une personne, quelle qu'elle soit m'a fait perdre mon temps, sanction il y a aura.

Cela s'adressait à eux comme aux deux précédents ducs qui avait donc crié haut et fort aux loups sans laisser de note sur le pourquoi du comment. Elle aimait bien Ardarin mais, du coup, il recevrait une petite missive de sa part afin d'avoir plus d'informations, ce qu'elle aurait dû faire avant de les recevoir mais, comment se douter qu'ils n'étaient pas eux-mêmes au courant de ce qu'ils avaient pu faire en Lorraine ou bien se douter qu'en lui écrivant, ils ne passeraient pas aux aveux ! Cela aurait été trop beau, trop facile, trop pas Carlotta. Ses yeux passèrent de Gabriel et Louis, ils ne lui avaient pas écrit pour jouer aux cartes et elle n'avait pas répondu pour prendre le thé. En tout cas, eux venaient d'ajouter preuves à son dossier personnelle "Les hommes ce n'est pas pour elle" avec un bon paragraphe sur "Il m'a brisé le coeur, j'ai failli me foutre en l'air à cause de lui" ce qui pour le coup répondrait très bien à la question de Louis sur sa virginité mais, dire à un homme inconnu qu'elle était aussi pure qu'au jour de sa naissance, ce n'était pas vraiment dans les convenances.
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Le_g.


L'impératrice pour qui ils bossaient était régente de Lorraine, et ils avaient aidé à la protection de ce qu'ils appelaient leur "havre". Mais cette procureure, et ces documents publics les menaçant faisaient qu'ils en avaient ras-le-casque d'aider sans avoir rien en retour. Mercenaires un jour, mercenaires toujours, on ne se refait pas. Ils avaient payé le prix fort pour leur installation en Lorraine, s'étaient plié à pas mal d'exigences, mais des excuses, fallait pas trop y compter, du moins, à en juger par leurs manières en cet instant.

Louis regarde Lest, comme pour le rassurer, il sait que son jeune cousin n'est pas forcément à son aise, pas plus que lui, même s'il a plus de vécu que son amant.


On n'a pas prétendu être des saints, on l'a jamais prétendu, mais on estime avoir payé notre dette envers la Lorraine. Maintenant, si vous savez pas la teneur de cette dette, pas de notre faute.


Il esquisse un léger sourire, prend le temps de regarder par la fenêtre, une enquête... elle allait faire une enquête... Certaines choses risquaient fort de refaire surface. Après quelques instants à admirer la course des nuages, il la regarde de nouveau, puis Lest, et lui fait un clin d'oeil à son roux.

Une seule chose.... Une femme de Vaudemont... vêtue de blanc, jeune je crois... Une gamine... Elle était sur les remparts... un soir d'hiver... et j'ai entendu dire qu'elle avait été blessée. J'aimerais lui faire parvenir une bourse de 100 écus.

Pas que ce soit des aveux, mais juste une dette à régler, et il a pas l'intention de lui en dire plus à la procureure.


Puisque vous allez faire une enquête, nul doute que vous trouverez le nom de celle à qui j'aimerais faire parvenir cette bourse.

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Lglvh
Je me tortillais la moindre sur mon siège en grognant. Je me souvins du traitement pas de faveur qu'on avait eu droit, tout ça parce que Louis se tenait à côté d'une affiche Fatum.
Il avait été passé à tabac par des gardes lorrains.
Pelagius et moi avions fini littéralement cloué au mur à coups de fléches.

souvenir douloureux

Je frottais mon épaule qui avait été longue à guérir.

Je marmonnais


C'plutôt les lorrains qui nous doivent des excuses.

Je me calmais rendant son clin d'oeil à son cousin

Dites, avec tout s'qu'on a piocher à la mine hein! Pas facile hein avec une épaule ancienn'ment déboitée..J'fatigue vite, mais l'travail est quand même fait !

Je commençais à me sentir à l'étroit et à étouffer dans ce bureau
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Carlotta_isabel
Attrapant le dossier qui n'était pas si vide que ça mais, la procureur avait voulu voir de quoi était fait les deux hommes devant elle. S'il était normal pour ainsi dire qu'ils ne passent pas aux aveux, elle aurait pu penser que vouloir se faire une place en Lorraine, que le fait d'avoir prit comme ils disaient contactes avec le cardinal Uriel leur aurait fait prendre la mesure des choses, de leurs actes. Ce fut à la référence de la femme, gamine, cette nuit sur les remparts que Carlotta eue presque un sourire aux lèvres, cependant elle garda le visage parfaitement fermer et de sa voix qui sans être haussée ce fit plus dur.

Vous dites qu'une personne a été blessée ? Effectivement. J'ai ici l'enquête mener oui, je l'avoue, j'ai fait quelques recherches avant de vous recevoir. Il apparait clairement que nous avons un témoin dans l'affaire qui nous concerne ici, à savoir la prise de Vaudemont dans la nuit du 27 au 28 janvier par Fatum où quelques-uns des écorcheurs auraient participé. Niez-vous les faits une fois encore ou bien devons-nous aller dans un tribunal et régler cette affaire sans tenir compte de vos mois de services de bien en Lorraine comme vous dites ?

Poursuivant toujours calmement et s'adossant pleinement à son siège.

Vous savez, les Lorrains peuvent vous accepter comme vous dites et comme vous dites, c'est l'Empereur qui vous a fait venir, pas les Lorrains. Donc si les Lorrains doivent être reconnaissant comme on dit de vos services ici dans ce duché, les Lorrains méritent la vérité, ne pensez-vous pas ? De cette femme, gamine qui a été laissée pour morte, à ses parents qui auraient pu perdre un enfant, à la ville de Vaudemont qui a connu souffrance après cette prise.

Poussant presque un soupire, s'ils ne faisaient pas la part des choses, elle ne pourrait rien faire et le prochain Procureur, le prochain règne apporterait justice d'une autre façon surement.

Faites un pas de plus...insistant vers le "plus"... vers la Lorraine et la Lorraine fera un pas vers vous. Des excuses ne me semblent pas insupportable lorsque la faute est bien là, des excuses pour mettre fin à cette affaire.
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Le_g.


Comme il l'avait imaginé, elle avait un minimum de choses dans le dossier. Il ne bronche pas, impassible, lorsqu'elle parle de la gamine, même si intérieurement, ils savent, l'un comme l'autre, qu'ils ne voulaient pas blesser une gamine, et que même le chef de Fatum n'avait pas voulu ça, et pensait que les remparts seraient vides, plutôt que de risquer des blessures inutiles. Il l'écoute, puis regarde son cousin, qui comme lui, se sent sans doute sur le grill. Pas très confortable, cette position. Le ton de la gamine ne lui plait absolument pas, et il fronce légèrement les sourcils. C'est qu'elle lui donnerait presque des ordres, cette petite pimbêche.

Enfin vous nous donnez l'accusation... pas trop tôt.

Le Gaucher esquisse un sourire en coin, non sans l'observer, pas vraiment surpris.

Si vous aviez de quoi nous envoyer devant un tribunal, vous l'auriez déjà fait, je pense. Si vous ne l'avez pas fait, c'est que ce ne sont que des... témoignages, donc sujets à caution.

Mouais, pas vraiment enclin à demander le pardon, on dirait bien. Faut dire qu'ils ont déjà payé la note, très lourdement, et qu'il ne reste que cette gamine, alors les excuses publiques, elle va pouvoir s'asseoir dessus, son honneur le lui interdit, de s'excuser d'avoir fait ce qu'il a fait, alors qu'on peut l'avoir entendu s'excuser pour des lapsus ou des broutilles, voire pour des erreurs lorsqu'il ne maîtrise pas un sujet, pour des actes commis, il n'est pas enclin à obtempérer.

Si, et je dis bien SI... Si nous faisions les aveux que vous demandez.... Ca apporterait quoi de plus ? rien du tout, les faits sont passés. Moi, j'ai une question... pour les pauvres parents éplorés : Comment se fait-ils qu'ils ont laissé une gamine, toute seule sur les remparts, alors que d'après vos propos, c'était toute une armée qui menaçait les remparts ??? Pourquoi ne l'ont-ils pas protégée en la gardant à la maison ?

Après tout, il a certainement pas l'intention de présenter des excuses pour avoir aider un ami, et ça, il va falloir que ça rentre dans la tête de la petite procureure. Tout comme il ne s'est pas excusé devant Hida de protéger la Lorraine dernièrement, il ne va pas s'excuser d'avoir aidé Fatum.

Une autre gamine était dehors, blessée elle aussi, sur la route entre Nancy et Vaudemont... Serait-il possible de savoir comment elle se porte ? Et la prochaine fois qu'une armée se présentera pour piller la Lorraine, j'ose espérer que les parents seront un peu plus responsables pour garder les enfants à la maison !

Nan mais bientôt, il va demander des excuses aux parents qui ont laissé les gamines dehors hein ! Vrai quoi ! y'a pas idée de laisser les enfants dehors la nuit quand il y a danger !

Le Gaucher regarde son cousin, et esquisse un sourire plus doux, comme si la seule présence de Lest suffisait à le calmer, malgré la position plutôt délicate dans laquelle ils sont.


Des excuses ne sont pas envisageables. Je refuse de présenter des excuses, et encore moins publiques, alors que les parents sont fautifs d'avoir laisser une gamine dehors en pleine nuit. Ce sont des parents indignes, on devrait leur retirer la garde de leur enfant.

Le solde de cette dette, c'est ce que je vous propose.


He beh voilà, on y est : c'est la faute des parents ! Bon en même temps, les parents en question se sont bien gardé d'aller sur les remparts, et ils ont laissé une gamine toute seule pour garder les remparts de la ville, comme s'ils ne se doutaient pas que la pauvre gamine pouvait y laisser la vie... Des aveux pourtant, il reconnait qu'ils y étaient...






Cette phrase exigée par jd Carlotta est retirée : "Un règlement de la dette, parce que oui, j'y étais, on y était. Nos amis nous ont suivi, ils n'ont pas à en payer le prix. Nous, on a déjà réglé une bonne partie de notre dette... " Elle peut clore le rp si ça lui chante comme elle m'a menacé de le faire déjà.

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Lglvh
La situation semblait prendre un tournant très rond et sans issue. On allait en plein dans l'impasse et les esprits n'allaient pas tarder à s'échauffer.

J'aurais bien volontiers sauté de mon siège en hurlant que j'étais innocent et que tous les autres avaient tort, que la vérité elle-même se trompait, que c'était comme ça et pas autrement.

J'estimais en avoir fait plus qu'assez pour ce duché et je n'avais pas l'intention de demander pardon pour une faute que je ne pensais pas avoir commise. En janvier, les écorcheurs avaient crevé la dalle, sans compter les longs jours à camper dans une lorraine glaciale à ne pas mettre un canard dehors.

Exédé, il me fallait me dégourdir les jambes afin de ne pas vorciférer des miasmes que j'aurais à regretter par la suite et surtout, pour ne pas faire honte à mon cousin.

J'pense qu'le padré Uriel pourrait nous aider à trouver un accord.


Je m'apprêtais à me lever, interrogeant Louis du regard
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