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[RP]Eux,Elle

Fleur_de_songe
Le coude sur la table,son menton qui repose sur sa main.
Elle patiente...
Et si le gamin lui avait menti?

Des pas lourd dans l'escalier attirent l'attention de Fleur.
Un frisson,une pensée lui traversent le corps:la faucheuse doit ressembler a ça.

Son regard se pose dans la rue,par la fenêtre crasseuse,elle voit l'enfant.
Mais bien sûr!
L'homme qui descend,c'est lui!

La blondinette l'observe de nouveau,il est là,près du gros Jean qui n'en mène pas large.
Elle hésite...Y' allait ou pas?
Fleur ne l'imaginait pas du tout comme cela.

L'homme mystérieux se dirige vers la porte.
Il faut qu'elle se décide,elle ne sait si il reviendra ou pas.

Plusieurs questions lui viennent:
Et si ce n'était pas lui?Elle aurait l'air idiote.
Et si il lui faisait du mal?Elle n'aurait aucune chance face à cet homme.

Il est sorti...Trop tard pour se questionner.
Fleur se lève,l'homme seul au comptoir,lui adresse la parole.

-C'est la mort Dame...N'y allait pas!

Elle jete un oeil vers lui...Il ne fait rien pour la rassurer!

Dehors,il est là sur son cheval noir,l'aubergiste ramasse sa pièce et file en la bousculant pour rentrer.

Fleur s'approche du destrier,prenant doucement une des rênes entre ses doigts pour ne pas effrayer l'animal déjà nerveux.
A ce moment là,la blondinette relève son regard vers l'homme,elle ne distingue pas son visage,il lui fait peur.

-C'était vous à la maison de l'Abbé...Pourquoi?
Pourquoi m'avoir sauvé?
Qui êtes-vous?


Fleur resserre plus fermement sa main sur les rênes,le cheval relève la tête nerveusement mais elle ne le lâche pas.

_________________
L_ombre_d_alix
L'Ombre tourna la tête vers la jeune femme.
Il s'inclina doucement.
On pouvait distinguer que sous sa cape il était couvert de cuir noir. Des vêtement sombres, finement travaillés, mais pas de fioriture.
Il avait une respiration sonore.
Tous ses gestes étaient lents. Il semblait vivre au ralenti.

Marie avait dit qu'il était très rapide...

Et puis sa voix... Rauque, caverneuse.


La fille a besoin de sa mère...

Ce fut la seule réponse qu'il donna aux questions de Fleur.

Et dès que sa phrase fut achevée, son cheval se cabra.
Cela fit lâcher la bride à Fleur.
Mais le cavalier absorba le mouvement de la monture sans broncher.
Et aussitôt ils s'élancèrent en bousculant tout ce qui était sur leur passage.
A la ceinture, L'Ombre portait une épée. Longue et probablement lourde.
Une arme assez rare.
Carabas
D'où il était posté, Carabas avait pu voir le ténébreux personnage sortir.
Aussitôt il lui revint en mémoire l'homme que la sœur avait décrite dans la demeure de Chinon...

Fleur n'avait décidément peur de rien !
Elle devait chercher des réponses. C'est vrai qu'il lui avait sauvé la vie.
Elle voulait savoir sans doute. Qui, pourquoi...
Alors elle était venue le chercher... Et elle l'avait trouvé !

Elle sembla lui parler, elle n'avait pas l'air rassurée.
Et puis il partit comme un orage.

Alors, Carabas estima qu'il était temps de se montrer.
Il sortit de sa cachette et s'approcha de la jolie blonde.

Il masqua sa voix et prenant l'air d'un mendiant il l'accosta.


Hey ma belle ! T'aurait pas une p'tite pièce ?
Fleur_de_songe
Fleur est impressionnée lorsque l'homme se penche un peu et cette voix ...Cette voix qui semble venir d'ailleurs.
Le cheval se cabre,il est parti...

La blondinette le suit du regard,restant plantée au milieu de la rue,se répétant la phrase:"la fille a besoin de sa mère"...

Hey ma belle ! T'aurait pas une p'tite pièce ?

Elle réfléchit...Et une chose qu'elle déteste,c'est qu'on la dérange quand elle pense.
Fleur sort discrétement sa dague,la plaçant sous la gorge du mendiant,elle le regarde à peine.

-Alors là...Tu vois...C'est vraiment pas le moment,suis pas d'humeur.
A ta place,j'irais voir ailleurs si j'y suis.

_________________
Carabas
Carabas sourit, il se redresse et laisse tomber sa cape crasseuse.
Puis, reprenant sa voix.


Dommage jolie Fleur, tu pouvais m'avoir pour pas très cher !

Puis, il l'enlace fougueusement et l'embrasse avec passion.
Fleur_de_songe
Fleur,surprise,se retrouve sous l'étreinte de son époux.
Mais très vite,elle le repousse en se pinçant le nez.

-Oh...Mais...Tu pues!

Elle regarde la cape par terre avant de hausser un sourcil vers Aurèle.

-Mais dis-moi...Tu ne m'aurais pas suivi par hasard?
Na mais je dis ça...Je dis rien!


Elle regarde dans la direction où le cavalier a disparu.

-Tu l'as vu,alors?
Je lui ai demandé pourquoi il m'a sauvé...Il m'a répondu que la fille a besoin de sa mère...En gros,sans Isil,je ne serais pas là en ce moment.


Fleur fait la moue.

-Je peux remercier notre petite princesse.

Et d'un coup,elle se met a sautiller au milieu de la rue .

-Oh...Oh!
J'ai remarqué quelque chose!!
Ses habits...Quand il s'est incliné...C'était du cuir mais pas celui que tu peux trouver à chaque coin de rue!
Pis sa voix...Elle fait peur.


Une ombre d'inquiétude passe dans son regard.

-Pourquoi il veut protèger Isil?
Ca va être le même cauchemar avec notre prochain bébé?


Fleur caresse doucement son ventre avant de plonger ses yeux dans ceux de son époux.

-J'ai peur Aurèle...
Peur que quelqu'un touche à notre fille...Peur pour notre bébé...Peur pour nous.


La peur,Fleur ne la connait pas plus que cela,agissant toujours avant de réfléchir mais là,c'est différent,elle porte la vie,toute son âme de mère se réveille comme après un long sommeil.

_________________
Mathilde_de_mornay
Mathylde de Mornay revint à l'auberge des Morlieu.

Elle voulait les revoir. Elle voulait la revoir.
Elle avait pour eux des informations. Mais la raison profonde de sa venue était plus insidieuse.

Elle entra dans l'auberge. C'était plutôt modeste, elle était mal à l'aise.
Elle n'osait rien toucher... Elle craignait de se salir...

Elle demanda où résidait la famille de Morlieu.
On lui indiqua qu'elle occupait tout l'étage.
Alors, elle monta.

Là, Adénor et Célia étaient sortis avec les filles. Il n'y avait qu'Augustine.
La Dame de Mornay frappa à la porte.
Augustine vint ouvrir et fut surprise de la voir. Elle se demandait surement ce qu'elle faisait là, qui elle était.

Mathylde se présenta.
Et en entendant son nom, la nourrice, impressionnée baissa la tête, humblement.
Mathylde esquissa un petit sourire méprisant.
Puis, apprenant que les Morlieu étaient sortis, elle voulu bien attendre.
Elle eut alors tout le temps d'observer la brune qui faisait du ménage.
Elle remarqua que la jeune femme était d'une beauté outrageante.
On avait décidément bon gout chez les Morlieu !


Excusez moi...

Elle se leva et la regarda de haut.

Venez ici... Vous êtes à leur service depuis longtemps ?
Parlez-moi d'eux...
Leur couple...
Leurs amis...
Leurs habitudes...


Elle finit par mettre la jolie brune en confiance.
Elle finit par apprendre beaucoup de choses. Elle se montra gentille, caressante. Elle félicita Augustine pour son courage, pour son physique.
La jeune femme avait besoin de se confier.
Mathylde s'était de nouveau assise.
Elle Fit asseoir sur le sol la nourrice. tout près d'elle.
De là, elle avait une vue plongeant sur la poitrine de la jeune femme elle la dominait.


A vous écouter... on pourrait croire que vous avez... sur le comte des vues... particulières...

Augustine finit par tout lui dire. Son amour irraisonné, passionnel...
Elle pleura.
Mathylde alors, arrivée à ses fins lui posa doucement la main su la joue et sécha ses larmes.


Ils ont été durs avec toi...
Pourtant tu mérites... ça se voit... tu es une belle personne.


Elle posa alors sa mains sur sa poitrine dans un geste sans équivoque.
Le cœur d'Augustine se mit à battre très fort.
Elle prit peur. Elle leva sur la blonde des yeux effarouchés.
Mais celle-ci la rassura.


Ne craint rien... Tu verras... Je peux t'aider.
Si tu es... gentille... Je te le donnerai ton comte...
Mais... il te faudra m'aider... Et... M'obéir.

Augustine n'en revenait pas. Mais elle était fragilisée. Elle avait envie de croire.
Alors... Elle obéit...


C'est bien...

Mathylde remonta sa robe sur ses cuisses.
Elle prit à deux mains la tête d'Augustine...
Elle l'amena jusqu'entre ses cuisses.


Montre moi petite... Montre moi ce que tu peux faire avec ta langue....
C'est ça qu'elle t'a demandé ?
Montre moi.


Augustine hésita. Mais la pression se fit plus forte.
Alors, elle embrassa la fente douce de la jeune noble.


Voilà...

Puis, elle passa sa langue sur les lèvres humides de la blonde.
Mathylde ouvrit ses cuisses un peu plus et commença à gémir doucement.


Continu petite, continu.

La langue se fit plus douce, plus inquisitrice, plus appliquée.
Augustine se prit au jeu peut-être. Elle y mit tout son cœur. Elle enfouit sa langue dans les plis charnus de la blonde et lu donna tout le plaisir qu'elle put.

Quand la blonde eut atteint le paroxysme du plaisir, elle relâcha son emprise.
Elle reprit ses esprits.
Puis, remettant sa tenue en ordre elle regarda à ses pied la jeune femme qui baissait les yeux, honteuse peut-être.


Alors, elle la releva et lu parla doucement.
Voilà ce que tu vas faire... Je veux que tu séduise le comte.... Puisque tu as l'autorisation... fais en usage... tu es magnifique...
Charme-le... Et fait en sorte que la comtesse te voit....
Moi... je la veux elle... Tu comprends ?
Alors... il faut les séparer. Et si je peux l'avoir elle... alors le comte te tombera dans les bras.


Elle s'apprêta alors à partir laissant la pauvre nourrice embarrassée.


Fait ce que je t'ai dit... Et tiens moi au courant. Viens me voir... J'aime beaucoup ta langue petite...
Et ne t'inquiète pas, tu l'auras ton mâle !

Elle prit alors la bouche de la jeune femme et lui caressa la langue de la sienne.
Elle put ainsi avoir une idée du gout suave de sa propre liqueur intime.
Elle apprécia particulièrement l'idée que la brune garderait encore un moment cette saveur en bouche.

Elle passa la porte et dit encore :


Ah oui ! Prévient les : Auguste a déserté son régiment... Il sera surement bientôt là...
Carabas
Carabas réfléchit longuement tandis que tous les deux ils s'en retournaient vers leur auberge.

Ils étaient silencieux mais ensembles, unis, rien ne semblait pouvoir les séparer, les atteindre.

Arrivés devant l'auberge, Carabas arrêta Fleur, toujours sans un mot, il la plaqua doucement contre le mur de pierre.
Il se pressa contre elle et l'embrassa fougueusement. Se mains dans ses cheveux blonds, sa poitrine écrasant celle de la jeune femme. Son ventre contre celui de la belle et fière blonde. Contre ce ventre d'ordinaire si tendu, si tonique. Ce ventre qui manifestement s'arrondissait.
Mais d'une rondeur séduisante, une rondeur profondément belle.
Fleur ne disait pas non. Carabas avait envie d'elle.
Quand il décolla ses lèvres de celle de son épouse il lui dit quelques mots.


Un Auguste qui va vouloir se venger... Une blonde qui ne nous dit pas tout. Un mort vivant qui pourrait bien être... enfin qui nous suit et protège Isil. Et donc, un autre danger potentiel... Pourquoi protéger une enfant si elle n'était pas menacée ?

Alors mon amour... il va nous falloir du renfort... Si tu as des amis... C'est le moment de te rappeler à leur souvenir.
On se serre les coudes. On se lâche plus. Je veux qu'on en finisse avec tous ces problèmes !
Fleur_de_songe
Fleur se laisse emporté par ce baiser,par cette étreinte,son corps réagit au contact du sien.
Et puis elle l'écoute...Presque à regret quand leur lèvres se séparent.

-Des amis?...Bien sûr,tu as raison!
Viens!


La blondinette l'entraine dans l'auberge,à l'étage.
La porte de la chambre de la nourrice s'ouvre.

-Monsieur,Madame...Dame de Mornay est venue pendant votre absence...

Fleur hoche la tête.

-Je vais écrire un courrier,je te laisse voir avec Augustine,Aurèle.

Avant d'entrer dans sa chambre,Fleur murmure à l'oreille de son époux.

-Tout compte fait...Je retire ma permission,tu n'es qu'à moi.


La blondinette fait un sourire à la nourrice avant de refermer la porte .
Elle s'installe sur la petite table et commence à écrire:




Mon Cher Feijian,

Cela fait très longtemps que je n'ai pas pris de vos nouvelles.
Veuillez m'en excuser mais la vie,parfois,nous laisse peu de temps pour faire des choses que l'on apprécie.

J'ai appris par Toinette que vous vous fréquentiez.
Vous m'en voyez heureuse.

Maintenant,je souhaiterais vous demander une faveur.
Cela est sûrement impolie mais j'ai besoin de vous ainsi que de mon amie.

Un homme mystérieux protège ma fille.
Pourquoi?Nous ne le savons pas mais nous sommes très méfiants à son sujet.
Un autre homme veut venger la mort de son frère,ilva très vite penser que c'est nous.

Pas facile de coucher les mots pour vous expliquer.
Mais vous devez savoir que si je fais appel à vous,c'est que je ne peux assurer la sécurité de mon enfant,seule avec mon époux.

Amicalement.

Fleur.


Elle plie soigneusement la lettre pour aller la donner à un coursier,se posant plein de questions.
Comment allait il réagir?
Allait il lui répondre?...

_________________
Augustine_
Devant son miroir,Augustine se regarde.
Alors on ne l'aime que pour son corps et non pour ce qu'elle est vraiment?
Pourtant,elle voudrait tellement le contraire...
Elle se remémora les instants avec cette Dame Mathilde...
Comment avait t'elle pu faire ça?!
Son amour pour le Comte la rendait vulnérable,prête à tout pour l'avoir juste à elle.
Et puis,les images avec Dame Fleur...Ces instants avec le Comte quand il la prise sans ménagement.
Elle se dégoûta.
Augustine soupira en regardant par la fenêtre.
Le couple était justement là en train de s'embrasser avec passion...Elle ne le supportait pas,jalouse de cette blonde qui prenait l'homme de ses rêves.

Dans le couloir,elle arriva face à eux.

-Monsieur,Madame...Dame de Mornay est venue pendant votre absence...

Fleur s'éclipsa,laissant le champ libre à Augustine.
Elle s'approcha du Comte,le cordon de son bustier était mal serré,laissant apparaître la naissance du bout de ses seins.
Sa peau de nacre laissait un parfum discret à chacun de ses mouvements.
Posant son regard doux dans celui d'Aurèle,elle ajouta:

-Elle me fait vous dire que Auguste a déserté son régiment,qu'il sera bientôt là.

Ses joues se mirent a rosir,elle avait envie de lui...Là...Maintenant.
Envie qu'il glisse ses mains sur sa peau.
Envie qu'il l'embrasse avec passion.
Envie d'être aimé.

Augustine frôla sa main à la sienne comme une invitation à la suivre dans sa chambre.
Au pas de sa porte,elle s'arrêta,le fixant de ce regard d'une femme folle amoureuse,détachant le petit lien de son bustier,laissant apparaître sa poitrine généreuse.
Ses yeux lui parlaient:"Viens...Aime-moi".
Carabas
Carabas trouva la plantureuse brune changée.
Elle semblait troublée, comme indécise.
Mais il retrouva chez elle cette ferveur dans le regard, cet espoir.
Elle s'approcha de lui. Elle était tellement sensuelle. Il comprenait qu'elle était simplement amoureuse de lui. Que c'était plus fort qu'elle. Et qu'elle n'y pouvait rien et lui non plus.

Il baissa les yeux sur son décolleté outrageant. On lui devinait le bout des seins.
Mais cette femme était tellement belle !
mais doucement il releva les yeux. Fleur était partie.
Imperceptiblement, elle l'entraîna vers sa chambre. Il eut l'impression qu'elle voulait lui prendre la main.
Il la suivit sans résister.
Il ne pensait à rien.
Alors elle dénoua son bustier. Elle baissait les yeux. Un dernier lien retenait sa poitrine affolante.
Elle plongea son regard dans les yeux verts du comte de Morlieu.
Ses seins jaillirent de leur carcan de tissus.
Et ses yeux envoyèrent au comte un message sans ambiguïté.
Aime-moi...

Carabas soutint le regard.
Un instant il eut une envie folle de prendre ces seins à pleines mains...
Il chassa ces pensées de son esprit.
Il prit les mains de la jeune brune sulfureuse.
Il l'entraîna ave douceur dans la pièce principale.
Fleur pouvait arriver, Célia, Adénor...
Il ne voulait pas se cacher, s'enfermer avec elle.
Elle le suivait pleine d'espoir mais elle dut vite comprendre.
Il s'assit et l'invita à s'asseoir près de Lui.
Il prit les lanières de son bustier et tandis qu'il lui parlait, il réajustait le vêtement avec une grande douceur.


Augustine... Je sais ce que vous pensez, ce que vous ressentez. Augustine.
Je vous dois toutes les excuses possibles.
Augustine. Vous êtes une personne merveilleuse. Et vous êtes... Vraiment vraiment très belle...
Je... ne puis pas répondre à vos attentes. Ce serait malhonnête de vous dire autre chose, de vous laisser croire.
Augustine. Je suis marié. A une femme que j'aime. Et qui m'aime.
Je vous en prie...
Vous méritez l'amour. La considération. L'estime...


Il finit de nouer son bustier et décida fermement d'abandonner cette poitrine interdite. Sans remord.

Il prit son visage entre ses mains. Il posa un baiser sur ses lèvres. Elles avaient un gout étrange...
Il la regarda.


Il ne faut plus y penser.

Puis il se leva. Il se sentait bien. Il ne la désirait plus. Il était guéri. Il pensait à son épouse.

Je vais essayer de prendre un bain... J'ai vu une bassine.
Fleur_de_songe
En revenant à l'étage ,Fleur cherche son époux.
Tombant nez à nez avec Augustine.

-Dites-moi,où est Aurèle ?

La nourrice la regarde pourtant elle a l'air d'être ailleurs.

-Euh...ça va Augustine?

-Oui...Madame.

Une étrange lueur éclaire son regard,Fleur la dévisage,un peu agacée.

-Bah alors il est où Aurèle?

-Il vient juste de me quitter pour aller prendre un bain.

-Ah d'accord.

Augustine fixe Fleur,un sourire sur le bord des lèvres.

-Bon...Quoi?Vous voulez me dire quelque chose?

-Oui,Dame Fleur.

La nourrice s'approche de l'oreille de la blondinette.

-Monsieur le Comte ne voulait pas que vous le sachiez...Mais je ne peux vous le cacher...

-Rhoo et bien parlez alors!

-Pendant votre absence...Nous avons...Fait l'amour.

Fleur se recule,ouvrant de grands yeux,surprise.

-Pardon?...J'crois pas non...Aurèle savait que je ne voulais pas...

-Je...C'est pas ce qu'il m'a dit en me prenant par la main pour m'emmener dans ma chambre.
Oh...Dame,je suis désolée...


Augustine la regarde tristement,lui prenant la main dans un geste de consolation.
Fleur sent la colère qui monte en elle...Apparemment,pas assez pour la brunette.

-Il m'a couché sur le lit,s'allongeant sur moi,tout en remontant ma robe...
Il m'a embrassé avec tendresse,ses mains ont glissés sur mes cuisses...


La blondinette la fixe,la petite étoile dans son regard s'enflamme.
Augustine sourit intérieurement.

-...Et puis...Il m'a fait l'amour...
Oui...Il m'a avoué qu'il m'aimait...
Il fallait que je vous le dise...Pardon.


Fleur respire profondément,essayant de garder une voix calme et posée.

-Et qu'à t'il dit encore?

-Qu'il...Qu'il me voulait plus souvent près de lui...

La blondinette part sans rien dire sous le regard d'Augustine qui jubile.
Elle ouvre la porte,il est là,en train de se détendre dans un bain.
Elle...Son visage...Tout son corps exprime la colère.

-Je te tue maintenant ou j'attends que tu m'expliques ?

Sur ses mots,Fleur sort la dague de sa botte.

-T'as pas pu résister!Il a fallut que tu couches avec elle!!

_________________
Carabas
Carabas fit chauffer de l'eau rempli la baignoire après y avoir plongé un linge blanc.

Une fois l'eau versée, il se déshabilla. Un corps svelte, sculpté.
Il entra dans l'eau très chaude avec souplesse. et en ressorti aussitôt !
Il ajouta un peu d'eau froide et recommença...
Quand enfin il fut installé, il s'allongea, il reposa sa tête contre le rebord de bois et ferma les yeux.
Il avait envie de se bain depuis longtemps... Il s'apprêtait à savourer l'instant.

Mais la porte s'ouvrit avec fracas !
Fleur entra comme une furie et Aurèle sursauta, glissa dans le fond de la baignoire et bu la tasse !


Citation:
-Je te tue maintenant ou j'attends que tu m'expliques ?


Aurèle ouvre de grands yeux effarés !

Citation:
-T'as pas pu résister ! Il a fallut que tu couches avec elle!!


Là Aurèle n'en revient pas. Son visage un instant exprime une sincère incompréhension.

Mais... De quoi tu parles ?

Puis il fronce les sourcils, chez lui, ça signifie qu'il réfléchit... Il essaie d'imaginer ce qui s'est passé... il va vite... Il comprend...
Fleur est rentrée... Elle a croisé Augustine... Elle a cru que... Non... C'est Augustine qui a dû lui dire !


Ooooh la garce !!!
Non mais !! qu'est ce qu'elle t'a raconté ?


Là, Cara va pour sortir de la baignoire et se prend le pied dans le linge ! il manque de s'étaler et se rattrape in extremis.

Non mais Fleur ! Je sais pas ce qu'elle t'a dit mais tu vas pas la croire ! Mais qu'est-ce qui lui passe par la tête !
Alors que justement je lui ai... Mais c'est ça ! Je croyais qu'elle aurait compris ! Bon sang ! Ca alors... Elle a dû être vexée... je sais pas. Alors elle est allée te raconter n'importe quoi ! Il s'approche de Fleur et se retrouve la poitrine appuyée sur la pointe de la dague. Fleur n'est pas Mathylde, elle sait tenir une arme !
Mais il avance sans s'en soucier. Il Sait Que Fleur lui fait confiance et il ne lui a jamais menti.


Je lui ait dit qu'il ne pouvait rien se passer même si elle était très belle ! Je lui ait dit ça et je suis venu prendre un bain ! Avec ces aventures dans les bas fonds... je voulais sentir bon pour te retrouver !
Voilà !


Il regardait Fleur doit dans les yeux et ni sa voix, ni son regard ne trahissait le moindre doute. Il était franc comme toujours.

Il était là nu et dégoulinant devant elle
.

Tu sais ? Là je crois qu'il va falloir la punir !
Fleur_de_songe
Fleur le fixe,l'écoute,ne baissant pas sa dague lorsqu'il s'appuie sur la lame.
Et puis un simple clignement des yeux,son regard qui descend sur le corps de son époux avant de remonter dans ses yeux.

La blondinette laisse tomber sa dague pour l'embrasser avec passion,venant lui mordiller la lèvre.
Elle retire ses vêtements,se serrant contre lui.

Une envie de lui.
Glissant sa main vers son bas ventre,elle le caresse,ne laissant aucun doute sur ses intentions.

Son regard ne quitte pas le sien.
Son autre main vient se perdre sur son épaule,là,elle enfonce ses ongles,le griffant légèrement.

La pointe de ses seins viennent le frôler comme une ultime provocation.

Lui seul connait ce regard qu'elle lui lance pour l'avoir déja vu le premier soir de leur voyage vers Montélimar.
Elle le veut,elle le désire sans préliminaire...Comme des amants.

Une pulsion.
Son triangle d'or humide se frotte contre lui,emmener par des mouvements de bassin langoureux.

Elle glisse sa langue à la sienne dans un jeu sensuel.
Sa peau frémit.

Fleur gémit doucement sous l'excitation.

_________________
Carabas
La poitrine de Fleur sur son torse. la brûlure de ses baisers sur ses lèvres.
Il la sent contre lui. Il sait ce qu'elle veut. Elle sent sa réaction... Elle le prend dans sa main.
Il frémit sous la caresse explicite.
Alors, il est pris d'un élan sans équivoque. Quand Fleur maintenant aussi nue que lui se colle contre lui, quand il sent son bassin qui le désire...
Il l'embrasse fougueusement. leur langue se mêle.
Il passe ses mains sur ses hanches se colle plus encore à elle.
Puis il laisse glisser l'une de ses mains sur la fesse de la blonde. A pleine mai, il empoigne cette partie charnue de la jeune femme puis glisse un peu plus bas.
Elle plie son genou et monte sa cuisse contre celle de son époux.
Sur sa cuisse, carabas peut sentir la douceur des lèvres de Fleur... Des lèvres humides. Fleur se frotte contre sa cuisse. C'est irrésistible !
Il la soulève, il l'enlève, il l'emmène sur une table. il la bascule.
il glisse sa min entre les cuisse de la jeune femme et plonge immédiatement ses doigts dans son intimité humide.
Il prend de son autre main sa chevelure blonde et rapproche son visage du sien. Il l'embrasse à nouveau passionnément tandis ses doigts la fouillent.
Elle soupire, elle gémit et se contorsionne.
elle se cambre et le griffe, elle le mord.
Elle est farouche et elle finit même par le faire saigner.
Il se recule un instant, porte un doigt à sa lèvre...
Fleur le regarde d'un air provoquant. Ses yeux brûlent littéralement. Ses yeux... Le désir les enflamme.
Alors il prend ses main et l'attire à lui...
Puis, brusquement il la fait se retourner.
Là, toujours en lui tenant les mains, il se place entre ses jambes.
il la pousse à se pencher en avant. Elle lui offre sa croupe.
Et là, il la prend.
Il la prend d'u coup, profondément, intensément.
Il tire sur se bras et elle se cambre.
Il butte contre ses fesse. Encore et encore.
Proche de l'extase, il finit par lui lâcher les bras. Il se penche sur elle.
il prend sa chevelure et lui fait tourner la tête.
Mais plus doucement cette fois
Leur bouche sont toutes proches.
Ils se respirent...
Mais lui, continu ses vas et viens...
Encore un peu...
un cri... il s'affale sur elle...
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