Mathilde_de_mornay
La comtesse écouta, observa...
Elle n'aimait pas le moine et fit en sorte qu'il ne s'intéressa pas à elle...
Elle était bien trop mêlée à des histoires de sorcellerie, et elle avait des murs bien trop condamnable pour attirer sur elle l'attention.
Elle était vive. Elle compris très vite l'embarras dans lequel se trouvaient les Morlieu. Elle comprit aussi tout l'avantage qu'elle pouvait tirer de la situation.
Elle échafauda donc un plan très simple et le mit dès le départ de Fleur à exécution.
Si elle réussissait dans son entreprise... Elle ôtait une épine douloureuse au jeune couple.
Elle aimait se trouver dans ce genre de situation... Elle saurait bien en tirer parti.
Alors, une fois les Morlieu sortit, le moine regarda vers l'Ombre et esquissa un mince sourire espérant avoir fait ce qu'on attendait de lui et pouvoir sortir sans plus de déconvenue.
Mais Mathylde se plaça entre lui et la porte. Elle fixait l'Ombre de manière provoquante mais s'adressait au moine...
[b]Mon père... Ainsi... Vous êtes en quelque sorte un inquisiteur ?
Quelle abnégation, qu'elle courage... Traquer de pauvres femmes...
Vous devez être fier.[/b]
Le moine ne s'attendait pas à une telle attaque, il ne sut que répondre mais surtout, la menace de l'Ombre derrière lui ôtait tous ses moyens.
Vraiment... Ce doit être un spectacle grisant que de voir brûler une femme... Quand vous les condamnez, vous prenez du plaisir à voir la détresse dans leurs yeux ?
Moi, ça me plairait beaucoup !
Mais dites-moi ? Vous chassez de plus gros gibiers ?
Une Reine ? Un Ombre ?
Imperceptiblement, l'Ombre s'approchait...
Une Reine... ça vous irait comme trophée... Dans votre tableau de chasse...
Cette Reine ? Vous allez la tuer ? Dites-moi donc !
Vous êtes bien moins bavard soudain !
Le père Vlad voulut alors s'enfuir Mais la main gantée de l'Ombre s'abattit sur lui.
Il était trop tard...
Il ne put articuler un mot. Le colosse l'avait soulevé de terre et sortait son épée de son fourreau...
Mathylde découvrit son ventre pour qu'avant de mourir le moine vit le pentacle qu'elle avait là gravé au fer... Pour qu'il sache qu'elle vengeait toutes celles qu'il avait fait assassiner... Puis elle sortit et tomba nez à nez avec Carabas !
Elle comprit ce qu'il venait faire... Elle réagit immédiatement... Il ne fallait pas qu'ils se compromettent !
Elle l'entraina dehors.
Quand le moine fut exécuté, elle pressa le pas, tirant presque les Morlieu pour les éloigner du lieux du crime au plus vite. Elle était ravie !
Fleur, mon amie ! J'ai chez moi quelque chose pour vous ! Je crois que vous apprécierez !
Quand à vous messire Aurèle ! Je viens de vous tirer d'un bien mauvais pas ! êtes vous sûr qu'en tuant un moine pratiquement devant tout le monde vous améliorerez la situation ?
Vraiment.... Ces hommes ! Enfin... vous me devez un fière chandelle...
Alors...
Vous ne verrez pas sans doute d'objection à ce que Fleur me rejoigne cette nuit ?
J'en ai tellement envie !!!!
Je vous en prie ! Vous me devez bien ça !
Mathylde était enjouée, tout à fait contente d'elle ! Les Morlieu semblaient effarés par son détachement.... Ils ne trouvèrent sur le coup rien à dire !
Elle n'aimait pas le moine et fit en sorte qu'il ne s'intéressa pas à elle...
Elle était bien trop mêlée à des histoires de sorcellerie, et elle avait des murs bien trop condamnable pour attirer sur elle l'attention.
Elle était vive. Elle compris très vite l'embarras dans lequel se trouvaient les Morlieu. Elle comprit aussi tout l'avantage qu'elle pouvait tirer de la situation.
Elle échafauda donc un plan très simple et le mit dès le départ de Fleur à exécution.
Si elle réussissait dans son entreprise... Elle ôtait une épine douloureuse au jeune couple.
Elle aimait se trouver dans ce genre de situation... Elle saurait bien en tirer parti.
Alors, une fois les Morlieu sortit, le moine regarda vers l'Ombre et esquissa un mince sourire espérant avoir fait ce qu'on attendait de lui et pouvoir sortir sans plus de déconvenue.
Mais Mathylde se plaça entre lui et la porte. Elle fixait l'Ombre de manière provoquante mais s'adressait au moine...
[b]Mon père... Ainsi... Vous êtes en quelque sorte un inquisiteur ?
Quelle abnégation, qu'elle courage... Traquer de pauvres femmes...
Vous devez être fier.[/b]
Le moine ne s'attendait pas à une telle attaque, il ne sut que répondre mais surtout, la menace de l'Ombre derrière lui ôtait tous ses moyens.
Vraiment... Ce doit être un spectacle grisant que de voir brûler une femme... Quand vous les condamnez, vous prenez du plaisir à voir la détresse dans leurs yeux ?
Moi, ça me plairait beaucoup !
Mais dites-moi ? Vous chassez de plus gros gibiers ?
Une Reine ? Un Ombre ?
Imperceptiblement, l'Ombre s'approchait...
Une Reine... ça vous irait comme trophée... Dans votre tableau de chasse...
Cette Reine ? Vous allez la tuer ? Dites-moi donc !
Vous êtes bien moins bavard soudain !
Le père Vlad voulut alors s'enfuir Mais la main gantée de l'Ombre s'abattit sur lui.
Il était trop tard...
Il ne put articuler un mot. Le colosse l'avait soulevé de terre et sortait son épée de son fourreau...
Mathylde découvrit son ventre pour qu'avant de mourir le moine vit le pentacle qu'elle avait là gravé au fer... Pour qu'il sache qu'elle vengeait toutes celles qu'il avait fait assassiner... Puis elle sortit et tomba nez à nez avec Carabas !
Elle comprit ce qu'il venait faire... Elle réagit immédiatement... Il ne fallait pas qu'ils se compromettent !
Elle l'entraina dehors.
Quand le moine fut exécuté, elle pressa le pas, tirant presque les Morlieu pour les éloigner du lieux du crime au plus vite. Elle était ravie !
Fleur, mon amie ! J'ai chez moi quelque chose pour vous ! Je crois que vous apprécierez !
Quand à vous messire Aurèle ! Je viens de vous tirer d'un bien mauvais pas ! êtes vous sûr qu'en tuant un moine pratiquement devant tout le monde vous améliorerez la situation ?
Vraiment.... Ces hommes ! Enfin... vous me devez un fière chandelle...
Alors...
Vous ne verrez pas sans doute d'objection à ce que Fleur me rejoigne cette nuit ?
J'en ai tellement envie !!!!
Je vous en prie ! Vous me devez bien ça !
Mathylde était enjouée, tout à fait contente d'elle ! Les Morlieu semblaient effarés par son détachement.... Ils ne trouvèrent sur le coup rien à dire !