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[RP]Eux,Elle

Carabas
D'abord inquiet que Fleur le demande, Carabas se rassure quand il la voit bien portante.
Mais son air quelque peu déconfit l'intrigue.
Sans un mot Fleur lui tend une lettre qu'il lit très vite.

Les félicitations de Mathylde...
Méfiance !
Qu'elle veuille voir l'enfant... Méfiance également...
Mais la signature... Qu'en penser ? Que signifie ce Mathylde-Fleur ?
Carabas se gratte la tête. Il s'interroge.
Fleur ne le quitte pas des yeux. Elle attend sa réaction.

Ce n'est qu'après qu'il ait levé les yeux de la lettre qu'elle lui tend une mèche de cheveux blonds. Cara ne comprends pas immédiatement...
D'abord, il cherche sur la tête de Fleur à voir ce qu'elle a fait à ses cheveux, mais comme rien n'a changé.... Il se rend à l'évidence : Mathylde a coupé ses cheveux !
Qu'est-ce qui a bien pu la pousser à faire cela ?



Ma Fleur... Tout cela ne me dit rien qui vaille. Je crains que la comtesse n'ait perdu la tête !
Je vais essayer de me renseigner.
Tu devrai lui répondre... Dis lui que tu es très faible, fatiguée... Que tu ne peux le recevoir maintenant.
Je vais essayer de savoir où elle en est.
Ah... Et... Mieux vaut éviter qu'elle ne croise les enfants. L'Ombre était après elle !
Ca doit vouloir dire que ses intentions ne sont pas louables !

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Feijian
Feijian avait été invité par la comtesse qui lui demandait des leçons d'escrime.
il avait d'abord trouvé sa curieux mais il ne se trouvait pas de raison de refuser.
Il accepta donc la demande et se rendit chez Mathylde de Mornay de beau matin.

Il avait emporté une canne pour toute arme.
Quand il vit la comtesse dans sa nouvelle tenue, il la prit un instant pour Fleur tant la ressemblance était frappante !
Mais les expressions du visage, la couleur des yeux ne pouvait pas le tromper !
Fleur était très particulière. Elle avait de nombreuse mimiques qui n'appartenaient qu'à elle et qui participaient sans doute à son charme. et son regard était... captivant !

Alors, la surprise passée, Fei prit le parti de faire celui qui trouvait cela tout à fait normal et il se concentra sur la leçon.

La comtesse se donnait entièrement et restait très attentive et disciplinée. ais elle était tout à fait novice.
Très vite ses force déclinèrent.
Fei voulut écourter la leçon mais elle refusa.
La séance se prolongea donc assez tard et à son terme, Mathylde était véritablement épuisée.
Feijian ne pouvait qu'admirer sa persévérance et son engagement.
Il lui promit donc de revenir chaque jour. Afin qu'elle se perfectionne.

Il était sur le départ, lorsque Mathylde lui demanda des nouvelles de Fleur et du bébé.
A cet instant, son regard était mouillé. Elle essayait bien de se contrôler mais elle avait du mal et l'émotion tendait à la submerger.
Elle dut détourner quelques instants le regard quand Fei lui répondit que tout allait bien.
Mais ce qui lui parut étrange, c'est la question qu'elle lui posa du bout des lèvres alors qu'il la quittait : Elle lui demanda si toutes les Fleurs avaient des fruits...
Il s'arrêta alors et réfléchit un instant.
Il se contenta alors de répondre que tous les fruits avaient une Fleur...

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Fleur_de_songe
Fleur hocha la tête...Mais déjà une curiosité naissait en elle.
Elle ne fit rien voir.
La patience,il lui en a fallut...
Quelques jours plus tard,la blondinette avait retrouvé la forme.
Lou dormait paisiblement,Isil jouait avec ses poupées,Aurèle était occupé dans le bureau au milieu des papiers.
Discrétement,elle fit venir la nourrice,lui précisant que si Lou s'éveillait,il fallait le nourrir mais qu'elle n'en avait pas pour longtemps.

Fleur enfila sa dague dans sa botte et quitta la demeure sans un bruit,direction Mathilde.

Elle ne prit pas la peine de se faire annoncer,elle traversa les couloirs jusqu'au bureau de la Comtesse où elle y entra sans hésitation.

Sa surprise fut grande quand elle la vit,une impression de se voir dans un miroir.

-Bonjour Mathilde.

La blondinette se laissa tomber dans un fauteuil,tout en la fixant.

-Alors...Qu'est ce qu tu prépares comme mauvais coup?
...Tes habits...Tes cheveux...Et cette signature en bas de ton courrier.
Je te l'ai dis,je ne veux pas que tu approches de ma famille!
Toi et moi,c'est fini,c'est pas plus compliqué que ça a comprendre!


Sans laisser paraitre aucune émotion,Fleur l'observait...Elle n'avait qu'une envie malgré le mal que Mathilde avait pu faire...L'embrasser...Glisser sa langue à la sienne,promener ses mains sur son corps,l'entendre gémir à ses caresses.

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Mathilde_de_mornay
Mathylde fut très surprise de voir débouler Fleur dans son bureau.
Fleur était imprévisible. Et toujours directe et franche. Mahylde, rompue aux discussions de salon et aux intrigues de cour avait de suite remarqué le rouble qu'avait ressenti Fleur à la vue des changements qu'elle avait opéré. Evidement, la guerrière s'était ressaisie immédiatement. Mais Mathylde voulait la faire réagir... et cela avait fonctionné.
Il n'en restait pas moins que Fleur était menaçante et que la comtesse de Mornay n'était pas sûre du tout qu'elle n'allait pas lui sauter à la gorge !
Alors, de derrière son bureau, Mathylde sort une dague qu'elle tient fermement dirigée vers Fleur.
Les leçons intenses de Fei donnant déjà quelques fruits, elle tient l'arme avec beaucoup plus d'assurance qu'elle ne l'aurait fait auparavant. La main est assurée et l'intention est juste...
N'importe quelle personne censée se méfierait en de telles circonstances...
Fleur se rendra surement compte qu'il n'y a pas que la tenue qui a changé...
Mathylde ne souhaite pas en découdre avec Fleur. Elle veut juste se prémunir d'une attaque.
Elle ne lâche pas son regard et quelques instants se passent sans qu'elle ne dise un mot.
Fleur attend des réponses...
Mathylde finit par lui répondre.


Je... Je veux être toi.
Je veux prendre ta place.
Si je ne peux t'avoir...
Je veux vivre ce que tu vis.
Sentir ce que tu sens.
Je veux aimer pour toi.
Faire tes enfants...


Mathylde la regarde toujours et attend avec curiosité sa réaction...
Elle la trouve décidément belle.
Et tandis qu'elle lui parle, elle tente d'imiter son expression agressive et assurée.
Elle y parvient assez bien.
Elle lui offre en miroir une image d'elle même.
Fleur semble quelque peu abasourdie par ces révélations, alors avant qu'elle n'explose, Mathylde ajoute crânement :


Dis-moi que tu n'aimais pas ça quand je m'occupais de toi ! Dis-moi que les cris que tu poussais était simulés !
Dis-moi que ton plaisir était feint !
Je n'ai jamais vu une femme prendre autant de plaisir ! Je sais que tu aimes ça !
Alors...
Ne te ment pas à toi-même !
Et si tu ne veux pas que je m'approche des tiens...
Viens à moi !


Mathylde la fixe maintenant avec un air de franche provocation.

Tu ne sais rien encore des plaisirs que nous pouvons partager.
Laisse-moi te faire l'amour encore chaque jour... Tu connaitras des plaisirs que tu ne soupçonnes pas !

Laisse-moi te guider. Viens m'entreprendre. Mon corps te réclame. J'ai faim de ta peau. Je veux pétrir ton corps. Je veux...
Je te veux.


L'arme est toujours dressée. Les yeux de Mathylde brillent d'une lueur lubrique et déterminée.
Pour une fois, elle ne dissimule pas. Elle parle sans détour. Elle dit ce qu'elle pense.
Fleur_de_songe
Fleur,les coudes posaient sur les accoudoirs du fauteuil,les mains jointes,les index contre son menton,elle écoutait Mathilde ,un haussement de sourcil au moment de la vue de la dague et surtout sa mâchoire qui se serre à ses mots.

Quand la Comtesse eut finit,la blondinette laissa tomber ses mains sur les accoudoirs,paumes tournées vers le haut et d'une voix calme et posée:

-Mathilde...As-tu peur de moi au point de sortir une dague?
Regarde...Moi,non.


Fleur se leva doucement,allant vers la fenêtre ,s'adossant à cette dernière.
Son regard était posé sur Mathilde comme celui d'un prédateur guettant le moindre faux pas de sa proie pour pouvoir attaquer.

-Ma pauvre....Tu as perdu la raison,tu ne peux être moi mais juste une pâle imitation.
Oh je ne le nie pas,tu m'as apporté beaucoup de plaisir et je suis sûre que tu peux m'en apporter encore beaucoup.


Ne la lâchant pas du regard,juste un plissement des yeux et sa voix venant un peu plus ferme.

-Par contre,tu as commis une erreur...Menacer ma famille.

Fleur guette....
Une seule mimique,une seule réaction...Elle le sait,Mathilde est douée pour cacher ses émotions mais en la touchant,en la blessant avec ses mots...Seulement là,elle pourra frapper...Pas avant.
La blondinette ne laisse rien paraitre,le temps s'égraine lentement,sa voix est douce:

-Rien que pour cela,je ne reviendrais pas près de toi.
Je ne suis pas ton objet de plaisir...
Tu dis m'aimer?Mais sais-tu vraiment le sens de ce mot?ça signification?
Toi qui a toujours tout obtenu sous la menace.
Je ne conçois pas aimer ...T'aimer dans de telles conditions...
Vois-tu...Tu me fais pitié.

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Mathilde_de_mornay
Mathylde ne pouvait supporter les mots de Fleur. Leur dureté, leur froideur.

Elle ne laissa rien paraitre et pourtant, si son visage était impassible, sa main armée, doucement flancha. Elle posa, presque délicatement la dague sur le bureau.
Puis, sentant qu'elle ne pourrait plus tenir longtemps, elle se retourna.
Elle baissa la tête, défaite et elle sera ses bras en croix sur sa poitrine.
Son ventre resterait vide et sa poitrine ne se gonflerait pas du lait nourricier...
Mathylde prit une longue inspiration et dissimula mal un sanglot.


Je ne leur ferait pas de mal, tu as ma parole.
Maintenant...
va-t'en...


Ses derniers mots se perdirent dans un souffle et furent presque inaudibles.
Elle regardait sans rien voir la fenêtre qui donnait sur le parc.
Les yeux dans le vague, progressivement submergés par l'onde salée.
La respiration haletant e et le cœur pris dans un étau. Elle étouffait.
Bientôt, elle ressenti le besoin impérieux de prendre appuis sur quelque chose. Fleur était-elle partie ? Elle ne savait plus.
Depuis combien de temps était-elle prostrée ainsi ? Mille pensées lui brouillaient l'esprit. Le temps lui échappait.
Alors elle posa ses deux mains sur le rebord de la fenêtre.
Il était temps, elle sentait ses jambes se dérober sous elle.
Encore un long moment à retrouver son souffle. Et puis ce fut la tête qui vint doucement heurter la vitre. Elle n'avait plus la force de la porter. Plus la force de rien.

Maintenant, de chaudes larmes coulaient le long de ses joues. Personne ne pouvait les voir, elle ne chercha pas à les cacher.
Le gout salé au coin de ses lèvres. Le gout de la défaite, le gout de la cassure.
Fleur_de_songe
Elle n'aura pas besoin de frapper,Fleur la laisse à sa demande.
Une fois à la porte du bureau,la blondinette l'observe par l'entrebaillement.

Pas besoin de frapper physiquement...
Et puis,dans un élan de...Bonté?...Un dernier coup porté?
Fleur ouvrit de nouveau la porte en grand.

-Au faites...C'est un garçon,il se prénomme Lou.

Elle ferma la porte pour de bon ,traversant de nouveau les longs couloirs.
Une fois dehors,elle prit un bon bol d'air et s'éloigna vers Belle-Garde.

Fleur passa devant le bureau d'Aurèle,en essayant de faire le moindre bruit possible mais la blondinette put aperçevoir la nourrice avec Lou.

-Quelle cruche!...Pfff...

Elle entra donc dans le bureau...

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Carabas
La nourrice était venue le trouver avec petit Lou à son réveil.

Carabas n'avait pas compris ce qu'elle faisait là, ce qu'elle voulait.
La pauvre était impressionnée et bafouillait des explications à peine intelligibles.

Mais finalement, le comte avait cru comprendre que "madame" était sortie et que la nourrice devait s'occuper du petit en attendant son retour.

Il avait faim, Carabas se demandait ce qu'elle attendait pour faire son office. Avait-elle besoin de son autorisation ?

Il lui proposa donc de nourrir le petit qui trépignait d'impatience !

La bonne femme un peu mal dégrossie s'installa au beau milieu de la pièce et colla son sein sur la bouche du petit qui se tut aussitôt, sûrement très surpris par l'opulente mamelle qu'on lui tendait !
Le comte détourné le regard en haussant les sourcils.
Il était embarrassé, il avait du travail et cette agitation le dérangeait...
Il patienta néanmoins qu'elle en eut terminé avec Lou en se disant qu'après ça, il la collait dehors manu militari !!

Mais que pouvait donc faire Fleur ?

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Mathilde_de_mornay
Elle souffrait.

Il n'y avait pas d'autre mot.

Et en cet instant... Cela devenait insupportable.
Sa vision était troublée par les larmes qui gonflaient ses yeux mais elle put reconnaitre la silhouette élancée et tonique de Fleur qui s'éloignait de la demeure.

A quoi bon ?
Mathylde jouait avec la dague qui avait menacé Fleur. Puis, elle finit par sortir de la pièce toute chancelante. Elle avait été blessée, meurtrie par l’attitude et par les mots de Fleur.

Tout dans son esprit se brouillait. Ses idées d’habitude si claires et affutées naviguaient sur des eaux agitées et les remous de ses pensées lui donnaient la nausée.
Elle aurait voulu dormir… Dormir. Mais depuis que les Morlieu avaient repris Augustine, elle n’avait embauché personne pour la remplacer, se disant qu’il fallait qu’elle apprenne à dormir seule. Se disant que Fleur dormait bien seule elle !
Mais la conséquence avait été qu’elle passait de terribles nuits. Des angoisses la réveillaient sans cesse. Elle avait du mal à trouver le sommeil et elle était de plus en plus fatiguée.
En cet instant, elle se sentait épuisée. Tellement épuisée qu’elle n’avait plus la force de s’en rendre compte.
La comtesse erra quelques temps dans sa demeure. Elle ne savait où aller, elle ne savait comment trouver un répit à sa peine et à ses angoisses.
Elle arriva dans la salle des bains presque par hasard.

Alors cela lui parut une idée acceptable… Elle alimenta le foyer qui chauffait l’eau et prépara elle-même son bain, ce qu’elle n’avait jamais fait !
Puis l’eau étant prête, elle se dévêtit. Elle monta sur le petit escalier de bois puis plongea un pied dans l’eau fumante.

Un second…

Elle s’assit au fond de la grande bassine de bois où elle avait placé un drap blanc.
Elle se laissa emporter par la douce torpeur que la chaleur de l’eau sur son corps lui procurait.

Elle jouait encore avec la dague. Faisant jouer la lumière sur la lame, plissant ses deux yeux bleus quand le soleil l’éblouissait.

Pourquoi pas ?

Un tout petit geste près de son poignet… Elle ne sent rien.

Mais doucement, tandis que l’onde s’emplit de carmin, elle sent le sommeil l’emporter enfin…
Fleur_de_songe
Dans le bureau,Fleur jeta un oeil mauvais vers la nourrice.

-Pouviez pas faire discret,non?!

Elle lui fit un signe de sortir avec Lou.
S'approchant du bureau,elle s'asseya dessus,un regard innocent vers Aurèle qui lui,par contre,prenait son air sévère envers elle.

-Quoi?!...J'ai rien fais!C'est pas moi!

Fleur reprit son sérieux,lui expliquant toute la scène chez Mathilde sans oublier le moindre détail.

-Je sais!Je sais!J'aurais pas dû y aller!
Ca pouvait être dangereux,j'aurais dû te le dire!
Mais tu me connais,suis têtue.


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Carabas
Carabas envoie à Fleur un regard lourds de reproches pour le fait qu'elle ait décidé sur un coup de tête d'aller voir Mathylde.

Mais c'est Fleur et finalement son côté fonceuse, rebelle et têtue... c'est aussi ce qui lui plait chez elle.

Son air renfrogné quand elle sait qu'elle est allée trop loin. Tout cela, il connait par cœur. Et c'est ce qui la rend unique.

Mais le récit qu'elle fait de son passage chez la comtesse l'abasourdis. Mathylde serait-elle devenue folle ?
Carbas n'y comprend rien !
pourquoi veut-elle ressembler à Fleur ?
Qu'est-ce que ces simagrées signifient ?

Carabas n'a pas trop la tête à réfléchir aux perfidies de Mathylde... Mais cependant, cela le tracasse.

Alors, avec une grande douceur, il s'approche de son épouse et l'embrasse tendrement.



S'il te plait... je te demande d'être plus prudente... Elle est dangereuse.

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Fleur_de_songe
Fleur lui fait un sourire dont elle a le secret.

-Moi aussi,je suis dangereuse quand il le faut.

Elle se lève du bureau et l'embrasse très tendrement.

-Dis moi...J'aimerais que l'on regarde ensemble pour créer un orphelinat,j'y tiens beaucoup.
Je vais aller voir ma mère pour savoir si elle veut bien nous aider et ...


La blondinette fit un énorme geste de gentillesse...

-...J'aimerais qu'Augustine se joint à nous pour ce projet...Son aide pourrait m'être précieuse.

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Carabas
Carabas sourit aux mots de Fleur.

Oui, il le sait pertinemment, elle peut être dangereuse !
Mais Fleur est sans malice. Elle frappe avec franchise. Elle est souvent désarmée face à un adversaire pervers. Elle affronte ses ennemis face à face. Mais les serpents se faufilent. Carabas craint que Mathylde ne manigance quelque mauvais coup...

Et puis... Un orphelinat !
Oui bien sûr, elle en a déjà parlé !
C'est une idée délicieuse !
Fleur qui s'investit ainsi dans la vie du village et surtout qui se démène pour autrui...
Le comte en est ému.
Elle ne cessera donc jamais de le surprendre.


Mais ce n'est rien encore à côté de cette proposition d'inclure Augustine dans ce projet.
Cette fois... il tique. La brune est à l'abris, elle est en sécurité et se fait tranquillement oublier.
Pourquoi aller la chercher ? L'idée ne lui plait guère... Mais il ne laisse rien paraitre.

J'ai peut-être une idée pour le lieu... Il y a un prieuré qui tombe en ruine à l'est du village.
Avec un peu de bonne volonté, on doit pouvoir en faire quelque chose. Il faut que je vois à l'église...
Mais... nous pourrions déjà aller le voir de plus près. Tu me dirais ce que tu en penses.

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Fleur_de_songe
-Nous irons voir,oui...

Fleur ferma mieux la porte du bureau,lançant un regard vers son époux.
Dans ce regard tout était dit...
La blondinette s'approcha de lui,déposant de tendres baisers dans son cou,ses doigts glissèrent sur sa chemise pour lui retirer.
Lentement,elle fit de même,venant écraser sa poitrine gonflée contre celle d'Aurèle.

Fleur l'embrassa avec fougue et envie,collant ses hanches à lui.
Son esprit libère des images,non pas de eux...Mais de Feijian...La blondinette s'arrêta un court instant,surprise de penser à lui dans un moment comme celui là.

Un fin sourire à son époux avant de venir lui mordiller la lèvre.
Sa bouche descend dans son cou,sa main s'aventure vers son bas ventre...

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Carabas
Fleur...
Toute sa détermination dans un regard.
Rien à ajouter. Elle est irrésistible !
Carabas sait ce qu'elle veut et cela lui convient parfaitement.
trop longtemps qu'il n'a pas pu l'étreindre... Mais c'est elle qui prend l'initiative.
Ses yeux brillent et sa respiration se fait plus pressante. Elle se colle, elle se frotte...
Ses mains naviguent sur son corps.

Il fait très chaud.
Fleur semble hésiter un instant. Mais elle se reprend vite.
Sa poitrine vient s'écraser sur le torse de son mari.
Il apprécie la sensation que lui procurent ces flèches sensibles qui percent son poitrail.
Alors il joint ses mains à celles de la belle, il cherche sa peau et la trouve.
Elle frissonne, il sourit.
Leur caresses s'intensifient.
Bientôt Carabas pousse doucement la jolie blonde vers le bureau.
Elle bascule et quelques parchemins incongrus se prennent à choir bruyamment.
Le comte alors prend dans ses mains ses genoux et les ouvre.
Dans le passage alors libéré, il s'engouffre avec assurance. Fleur resserre ses jambes autour de lui.
Et le voilà unis dans un ballet charnel.
Chacun cherchant le plaisir de l'autre et s'enivrant de ses soupirs.

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