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[RP]Eux,Elle

Fleur_de_songe
Lui,elle...Leurs corps se retrouvent,s'aiment.
Fleur laisse échapper des soupirs de plaisir,cambrant la chute de ses reins,accompagnant les va et vient d'Aurèle en elle.
Le désir à son paroxysme,la blondinette ressert son époux contre elle,en elle.
Ses doigts viennent s'enfoncer dans ses épaules,son corps se contracte.
Ses soupirs se changent en gémissements laissant place à un cri de plaisir.

Fleur enlace Aurèle contre elle,ses pensées se dirigent de nouveau vers Feijian...Le parc,leur baiser...Est-ce que pour lui c'était anodin?...

Son regard plonge dans celui de son époux,un fin sourire illumine le visage de Fleur,ses pensées se dissipent ne laissant place qu'à une évidence...

-Je t'aime.

_________________
Feijian
Fei arriva à la demeure des Mornay pour donner sa leçon d'escrime à la belle blonde. Il fut accueilli par le majordome avec un grand sourire. Il semblait que ça venue fut toujours attendue car Mathylde se montrait de plus en plus tyrannique avec son personnel. L'heure de la leçon était donc vécue comme une pause, un répit pour les gens de maison.
Messire le maître d'arme...
De surcroit, Fei était avenant, toujours de bonne humeur et quelque peu insouciant.
Il avait pour chacun un mot agréable et se montrait toujours respectueux de ceux qu'il croisait.
On le prenait pour un seigneur, peut-être un prétendant, et s'il ne faisait rien pour encourager cette rumeur, il ne faisait rien non plus pour la démentir.

Or, ce jour, il était quelque peu en avance.
On le fit attendre tandis qu'on allait chercher la comtesse.
Mais le majordome revint embarrassé.
Quand Fei lui demanda ce qui le gênait, celui-ci lui expliqua que la comtesse était dans la salle des bains mais qu'elle avait fermé la porte à clef et qu'elle ne répondait pas à ses appels... Il ne savait vraiment pas quoi faire. Il craignait manifestement plus que tout de déranger sa maîtresse et subir son courroux.
Fei fronça les sourcils.
Il n'était pas du tout dans les habitudes de Mathylde de manquer ses rendez vous ni même d'être en retard... C'était plutôt un modèle de rigueur et de ponctualité.
Pas du tout le genre à aller batifoler dans sa baignoire alors qu'elle avait une séance d'escrime.
Fei se fit donc accompagner jusqu'à la salle par le majordome tout à fait soulagé qu'il prit l'affaire en main !
Lorsqu'ils arrivèrent devant la porte, Fei appela Mathylde fortement. Mais elle ne répondit point.
Il attendit quelques instants, réitéra mais toujours point de réaction.
Il essaya d'ouvrir mais comme l'avait dit le majordome, la porte était verrouillée.
Il prit alors sans hésiter l'initiative de forcer la porte et prenant son élan, il fracassa l'huisserie d'un grand coup d'épaule tandis que le majordome manquait de s'évanouir !

Entrant dans la pièce avec fracas, Fei vit que le bain fumait encore. Il aperçut également le visage de la comtesse qui reposait inanimé sur le rebord de la baignoire.
Elle n'avait pas réagit, elle devait avoir eu un malaise, il s'approcha donc précipitamment et sans se soucier de l'incongruité de la situation.
Mais quand il put voir l'eau il eut un mouvement de recul provoqué par l'horreur de la vision qu'offrait cette baignoire remplie d'une eau rouge de sang.
Alors, très vite, sans réfléchir un instant, il plongea les bras dans l'eau pour saisir la comtesse sous les aisselle et la sortir de l'eau.
Il la souleva ainsi et put voir d'où venait le sang : une entaille nette au poignet d'où se répandait rapidement le liquide vital.
Il la sortie entièrement de l'eau en la plaquant contre lui et la posa à même le sol.
Alors, il fit de l'étoffe qu'il portait autour du cou un bandage qu'il appliqua soigneusement au poignet de la jeune femme ce qui stoppa rapidement l'hémorragie.
Il entreprit alors de la porter jusqu'à sa chambre où il fut suivi par tout le personnel de la maison parmi qui la nouvelle s'était répandue comme par enchantement.
Il posa délicatement la comtesse sur son lit. Elle était toujours totalement inconsciente.
Il entreprit de la sécher rapidement en la frictionnant pour qu'elle ne prit pas froid. Il demanda à ce qu'on ravive le feu puis fit fermer la porte et sortir tous les curieux.
Quand la jeune femme fut au sec et nettoyée de tout le sang qui la couvrait, il demanda enfin à ce qu'on aille chercher Carabas. Il avait des talents pour la médecine et saurait ce que l'on pouvait faire.
Mathylde n'était pas morte. Elle respirait faiblement et son cœur battait encore.
Pour s'en assurer, Feijian posa la tête sur la poitrine nue de la belle comtesse.
Ainsi, l'oreille posée sur le sein blanc de la jeune femme, il ressenti pour la première fois une certaine gêne. Elle s'étalait là dénudée devant lui, inconsciente et sans aucun apparat.
Il se dit alors qu'il devrait la couvrir.
Il y avait là une étoffe, qui servait de couvrante, il la tira sur la belle mais se faisant, il ne peut échapper à la douceur de ses traits et de ses formes.
Et en cet instant, le seul mot qui lui vint à l'esprit fut : Fleur...
La ressemblance était si frappante qu'il ne put s'empêcher de faire le rapprochement.
Fleur... La comtesse voulait lui ressembler et en cet instant, alors que ses yeux étaient clos et son visage impassible ne marquait aucune émotion, Fei reconnut la Fleur qu'il avait jadis regardé dormir...
Il ne put alors, malgré l'état de la jeune femme, et comme il remontait sur son corps la couvrante s'empêcher d'effleurer la pointe de l'un de ses seins.
Il en ressentit un trouble profond et stoppa là son geste.
Puis, sa main vint malgré lui presque se poser complètement sur ce sein pour l'enlacer tout entier.
Il était doux et chaud. Ferme et sensible...
Fei ferma les yeux un instant et à voix très basse il prononça le nom de Fleur.
Alors, la comtesse eut un léger mouvement de la tête qui indiquait qu'elle émergeait doucement de sa torpeur. Ses yeux faiblement s'entre ouvrirent.
Au nom de celle qu'elle vénérait, et sans doute sentant sur sa poitrine la main caressante et apaisante, elle répéta ce nom : Fleur.
Fei alors reprit ses esprits. Il observa la comtesse qui était encore plongée dans les nimbes de l'inconsciences et se demanda ce qui liait les deux femmes...
Il se pencha alors tout près de son oreille et lui murmura très doucement :


Je suis là. Repose-toi...


Puis il lâcha ce sein qui l'avait tant troublé et la couvrit.

Un médecin du village qu'on était allé chercher demanda à être introduit mais Fei lui interdit de toucher la comtesse qui venait de replonger dans le sommeil tant que le comte de Morlieu ne l'aurait pas vue.
Ce médecin ne lui inspirait aucune confiance !
Et devant l'imposante stature et l'air d'autorité qui caractérisait Fei quand il voulait en découdre, le médecin n'osa pas surenchérir et attendit sagement l'arrivée du comte.

_________________
Carabas
Carabas était encore engourdis de sommeil quand on vint frapper à la porte.
Les instants qu'ils avait passé auprès de son épouse l'avaient comblé de bonheur et il se sentait en grande forme et dans de très bonnes dispositions.
La chambre avait succédé au bureau. mais leur étreinte n'en avait pas été moins intense...

Fleur encore à demi nue se blottie dans les draps quand on appela derrière la porte.
La voix se faisait pressante. Quelque chose n'allait pas.
Carabas se décida à se lever et alla voir ce qu'on lui voulait.

Un garçon d'écurie qu'il reconnut pour être l'un de ceux de Mathylde lui dit alors que le maître d'arme le demandait d'urgence chez la comtesse.
Elle avait rempli un bassine de son sang ajoutât-il !
Elle était morte dans sa baignoire... Mais peut-être pas morte...
Ca n'était pas très clair.
Carabas hésita un instant, il ne put s'empêcher de penser qu'il s'agissait là d'une manigance de Mathylde.
Mais si Fei le demandait... ce devait être sérieux.
Il entra alors poser sur les lèvres de Fleur qui voulait savoir ce qui se passait.
Mais il n'osa pas lui dire de suite que Mathylde était en danger, il voulait voir par lui même de quoi il retournait.
Il lui dit donc que ça n'était surement rien. Fei avait besoin de lui, il n'en aurait pas pour longtemps.

Et il partit non sans avoir une fois encore serré contre lui son épouse sensuelle encore chaude de sommeil et de langueur.
Il ne la quitta qu'à regret. Mais la situation semblait critique. Il ne pouvait pas manquer à ses amis.

Quand il arriva, tout le monde était en ébullition. On courait partout, les rumeurs allaient bon train et on s'attroupait derrière la poirte de la chambre de la comtesse pour tenter d'en savoir plus.
Son arrivée calma tout le monde.
Carabas jouissait, partout où il passait d'un prestige surprenant. Il impressionnait.
Il forçait le respect. On lui laissa le passage libre et il entra.
Très vite, Fei qui était au chevet de Matylde lui fit le point de la situation et avec le médecin du village, ils auscultèrent la comtesse.
L'état de Mathylde semblait stable. Elle avait perdu beaucoup de sang, mais si elle se reposait et si on la nourrissait convenablement, Carabas estimait qu'elle se remettrait.
Le médecin en revanche, disait que son sang était perverti et qu'il fallait lui faire une autre saignée afin que le mal soit extirpé de son corps une bonne fois pour toute.
Il parlait avec arrogance et était prêt à mettre son projet à exécution.
Il avait déjà sortit ses outils de torture quand Carabas s'interposa entre lui et la patiente.
Voyant la scène, Fei saisit le jeune médecin par le col et le souleva littéralement de terre.
Il le colla dans un premier temps à un mur et lui intima l'ordre de lâcher son scalpel.
Puis il lui expliqua en termes choisis qu'il était hors de question qu'il toucha un seul pouce de la peau de la comtesse.
Et comme l'homme dont les pieds ne touchaient plus le sol tentait de se défaire de cette étreinte en protestant énergiquement, Il entreprit de le faire sortir manu militari !
Son dos vint donc heurter la porte qui céda sous le choc et, le poussant ou le traînant, Fei lui fit refaire à l'envers tous les couloirs qu'il avait traverser pour arriver jusqu'à la chambre.
L'homme faillit plusieurs fois s'étaler mais la poigne de fer de Fei le retint tout en l'entrainant toujours plus loin.
il finit par apprendre à voler en arrivant sur le perron de la demeure dont il ne toucha pas les marches avant que son fondement ne rencontre le sol, un bon mettre plus bas...

Pendant ce temps, Carabas avait effectué un nettoyage de la plaie et appliqué un bandage plus efficace.

Il commanda un repas qu'il décrit avec précision et attendait qu'on le lui servit pour faire manger la comtesse lui-même.

Quand Fei revint, il lui dit qu'il avait fait ce qu'il fallait et que maintenant, il allait lui même rester auprès de la comtesse tant que son état le nécessitait.
Il demanda au rouquin de retourner auprès de Fleur et de ne pas l'alarmer...
Il ne voulait qu'elle vit Mathylde dans cet état.
Il n'avait qu'à dire qu'elle était souffrante et que Carabas s'en occupait...
Fei n'hésita pas.

Il chassa les gens de maison et retourna chez les Morlieu.
_________________
Fleur_de_songe
Une fois Aurèle parti,Fleur s'enroula de nouveau dans le drap,émergente lentement de son sommeil,se demandant bien pourquoi Feijian avait besoin de lui.

Au bout d'un moment,la blondinette poussa le drap et se leva,enfilant au passage une simple chemise faite en voile blanc qui laissait deviner sa poitrine et un jupon lui aussi blanc qui venait épouser ses formes à merveille.

Elle rêvait d'un bon bain,la blondinette fit demander qu'on lui fasse chauffer de l'eau.

Devant son miroir,Fleur releva ses cheveux pour les attacher en chignon un peu sauvage.

On frappa à la porte mais avant qu'elle ne réponde,elle vit Feijian dans le reflet de son miroir.

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Feijian
Fei entra dans la chambre des Morlieu.
Fleur, lui avait-on dit, était réveillée, elle allait prendre un bain. Il n'hésita donc pas.
A vrai dire il avait envie de la voir.
Mais en revanche, il ne savait pas comment lui annoncer que son époux était chez Mathylde.
Il imaginait que la comtesse incontrôlable allait se jeter chez la Mornay... Et vu son état... ce n'était peut-être pas la meilleure des choses à faire.

Fleur était surprise de le voir là dès le matin mais elle ne semblait pas déçue.
Elle était à peine couverte et Fei fut très troublé par la vision de son corps ainsi révélé...
Il avait encore la sensation de la nudité de Mathylde en tête et ... en main.

Quand elle lui demanda la raison de sa présence, et pourquoi Cara n'était pas là et que faisait-il ? Où était-il ?? et maintes autres questions auxquelles il n'avait pas le temps de répondre, il commença par bafouiller.
Comme elle le regardait en prenant un air sévère, il finit par se reprendre et lui expliqua que Cara était chez Mathylde qui était malade et qu'il restait pour la veiller.
Fleur s'emporta et voulut évidemment en savoir plus.
Elle ne voulait pas croire que ce n'était rien . Si ce n'est rien, elle n'a pas besoin de Cara disait-elle !
Elle ne la^chait pas Fei qui finit par lui dire qu'elle avait tenté de mettre fin à ses jours...
Cara restait auprès d'elle autant pour veiller à son rétablissement que pour l'empêcher de récidiver.
Fleur, à ces mots, se rua sur la porte dans le but évident de foncer chez Mathylde.
Mais Fei parvint à lui saisir le bras pour la retenir.
Presqu'enragée, elle se débattit et tenta même de le frapper.
Il eut beaucoup de mal à la maîtriser. Il finit par la plaquer contre un mur et se pressa contre elle. Sa chemise, à peine posée sur ses épaule avait chut dans la dispute et elle se trouvait là presque dévêtue.
Elle était très en colère. Mais ce contact sembla avoir sur elle un effet... apaisant.
Quant à lui, il fut gêné un instant. Il pouvait sentir sur son torse la poitrine de la jeune femme qui s'écrasait.
Ils restèrent ainsi collés l'un à l'autre
Ils étaient troublés. Ils pouvaient sentir la respiration encore haletante de l'autre.
Et puis, Fei baissa les yeux... Sans doute n'aurait-il pas dû...
Il vit la poitrine gonflée de Fleur contre lui, il ne put en détacher son regard.
Puis ses mains relâchèrent la pression et lâchèrent les bras de la jeune femme. Elle ne se débattit plus.
Ses mains se posèrent alors sur les épaules de la jeune comtesse
puis descendirent le long des bras. Fei se recula un peu. Il n'y avait plus que la pointe des seins de Fleur qui effleuraient son torse. Ils frottèrent un peu et ce contact fit fermer les yeux à la jeune femme. Elle mordit sa lèvre inférieur.
Fei posa alors pour le calmer sans doute, l'une de ses mains sur l'un des seins. Tout d'abord légèrement puis il appuya un peu. Le sein était ferme, doux et chaud.
Fei le prit à pleine main et là, une petite goutte de lait apparut... Fei fut surpris mais il se souvint que Fleur allaitait. Il suivit alors sans réfléchir ce que son instinct lui dictait : il se baissa et posa ses lèvres sur le mamelon gonflé.
Il lécha la goutte sucrée puis prit à pleine bouche le mamelon.
Les mains de Fleur passaient dans ses cheveux roux.
Un long moment il aspira ainsi un sein puis l'autre en les caressant.
Puis, se laissant aller à tous ses instincts, il descendit vers ses hanches.
Il passa ses mains sous le jupon léger qui la couvrait à peine... Il le souleva...
puis il vint doucement appliquer ses lèvres sur le mont dorée de la belle dont les ongles s'enfonçaient maintenant dans son cuir chevelu.
il usa de sa langue et bientôt Fleur qui gémissait de plus en plus eut un soubresaut presque violent. Alors elle se détendit brusquement elle faillit perdre l'équilibre.
Fei la prit alors dans ses bras et la porta sur son lit.
Il vint sur elle et la prit alors sans attendre.
L'étreinte fut puissante, intense et bouleversante. Les deux cors se mêlaient et luttait pour se donner un plaisir fort, un plaisir interdit mais irrésistible.
Ils roulaient sur le lit défait, ils s'enlaçaient avec passion avec ferveur.
Ils attinrent très vite un plaisir merveilleux.
Alors, Fei épuisé s'affaissa sur la jeune femme qui le laissa doucement sombrer. Il était sur elle, en elle. Et son cœur battait fort encore.
Ils dormirent un peu mais à peine l'un d'eux s'éveillait-il que la dans reprenait.
Ils ne pouvaient se résoudre à se séparer.
Ils s'aimèrent encore et encore.
De nombreuses fois le plaisir les submergea. Ils n'eurent de cesse de se découvrir, de se parcourir de s'entreprendre et toujours ils y trouvaient une source de plaisir et de bonheur infini...
Ils avait toute la journée... Nul ne les dérangerait...

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Fleur_de_songe
S'abandonner totalement entre ses bras,corps et âme,ne plus penser à autre chose qu'à lui.
Elle s'offrait à lui sans retenue,chacune de ses caresses sur sa peau étaient une avalanche d'émotions ,chaque fois qu'il était en elle,Fleur était submergée par un plaisir démesuré.
La chambre fut témoin de leur amour,le lit fut leur nid de retrouvailles charnelles...Mais pas seulement.
Les petits pots sur la coiffeuse finirent sur le sol,les draperies froissées.
Ils s'aimèrent plus que de raison,ils avaient une soif insatiable l'un de l'autre.

Les années de séparation n'avaient rien changés dans les sentiments de Fleur envers Feijian,elle s'était juste fait une raison.
Un amour passionnel,un amour inoubliable.

Les heures s'égrainèrent aux rythmes de leurs hanches,ne laissant que peu de répit à leurs corps humides d'excitation et de désir.

La cloche du souper se fit entendre,Fleur fixa Feijian,elle n'avait aucune envie de le quitter,son corps le réclamait sans cesse.
La blondinette se mit sur lui,à califourchon,le dirigeant de nouveau en elle.
Elle lui prit les mains qu'elle déposa sur sa poitrine.
Et ils s'aimèrent de nouveau.
Les coups de reins se faisaient violents de désir.
Les gémissements de Fleur se changèrent très vite en cris de plaisir qui venaient mourir sur les murs de la chambre.

Pourtant,il fallait se séparer...Mais comment se séparer quand tout s'oppose?
Elle avait beau essayer de se raisonner,rien n'y faisait.

Alors Fleur se glissa hors des draps,en passant devant le miroir,elle essaya de remettre ses cheveux en ordre,enfilant ses habits.
Elle embrassa Fei avec amour.

Il était temps de rejoindre le reste de la famille avant que quelqu'un ne vienne frapper à la porte,inquiet de ne pas la voir.
Dans la salle,tout le monde était là.

-Aah te voilà!J'allais monter voir si tu allais bien et où est Aurèle?
As tu croisé Feijian aussi?


-Je vais bien....Je me suis assoupie,c'est tout.
Aurèle est chez Mathilde,il la soigne...Et Fei...Euh...Je sais pas...Je ne l'ai pas vu.


Les conversations s'enchainèrent mais Fleur était ailleurs,chacune de ses pensées allaient vers Feijian,son corps frémissait d'envie à ses souvenirs,la pointe de ses seins se durcissait venant s'écraser sur le tissu de son corsage déclenchant de nouveau son désir.

Feijian entra dans la salle,à sa vue,la respiration de la blondinette s'accéléra,son mont de Vénus s'humidifia de nouveau en pensant à leurs ébats.

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Feijian
Fei regarda Fleur quand elle se leva.
Il la regarda se coiffer se vêtir puis sortir de la chambre.
Puis quand il fut seul dans la chambre, sur le lit. Il plongea son visage dans les draps.
Il respira l'odeur de cette femme qu'il avait connu jeune fille et qui maintenant était...
La comtesse de Morlieu.

Il soupira tristement. La comtesse de Morlieu... Fleur...

Il se leva, chercha ses vêtements et s'habilla. Il veilla à sortir discrètement de la chambre.
Puis il rejoint les autre dans la grande salle.
Il était tard.
Ils avaient passé la journée à faire l'amour. Il n'en revenait pas.
Mais les images, les sensations de cette journée lui collaient à la peau.
Il ne cessait de revoir le sourire de Fleur, il ne cessait de sentir l'odeur de sa peau.
Quand il arriva, il salua tout le monde.
Il évita de regarder Fleur. Il craignait de laisser transparaître ses sentiments.
Ils se dirigèrent vers la salle à manger. le repas était servi. Fleur laissa sa famille passer devant.
Il se trouva que Fei fut assis à côté de Fleur.
Elle-même semblait troublée.
Fei fermait la marche. Il les suivit jusqu'à ce qu'ils passent la porte. Mais là, il retint Fleur par la main. Elle se retourna brusquement. Son visage marquait un trouble profond mais Fei ne lui laissa pas le temps de réfléchir : il colla ses lèvres contre les siennes. Il avait envie d'elle encore... Encore.
Il la poussa doucement contre le mur en s'appuyant sur elle. Il posa ses mains sur ses deux fesses et les pressa fermement.
Il l'embrassait avec passion.
Puis il s'écarta et la laissa rejoindre les autres.
On leur avait laissé deux places côte à côte. Ils s'installèrent.
Ils ne parlèrent pas entre eux pendant le repas, ils ne se regardèrent pas.
Mais leurs mains sous la tables ne cessaient de se chercher et de se trouver.
Alors qu'Adénor et Célia parlaient des enfants et riaient des anecdotes qu'ils racontaient, Fei posa sa main sur la cuisse de la jeune femme.
Il la laissa monter doucement.
Il vint alors caresser son entrejambe.
Carabas ne reviendrait pas pendant la nuit assurément.
Et il la voulait encore.
Il voulait l'aimer.
Rien ne semblait pouvoir l'arrêter ou lui ôter de la tête et du corps cette idée.

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Alyx_
Dans un moment de la journée la brune avait cherché Feijian,sans résultat,elle se fit à l'idée qu'il devait être au village pour aider quelques personnes.

Le dîner était servi,Toinette se trouva face à Fleur et Feijian.
Son regard se posa sur eux sans se douter de rien pourtant la brune les trouvait bien silencieux.
-Fleur,tu as dit que Mathylde était souffrante,qu'a t'elle?

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Fleur_de_songe
Les regards qui s'évitent mais les mains qui se frôlent.
Lorsque Fei glissa sa main entre ses cuisses,Fleur eut un mouvement de sursaut.

-Fleur,tu as dit que Mathylde était souffrante,qu'a t'elle?

En relevant les yeux sur Toinette,la blondinette prit conscience qu'elle avait trahi son amie...Et son époux.
Mais non,elle ne regrettait pas...Pourquoi?Perdait-elle la raison?

-Elle a tenté de mettre fin à ses jours,Aurèle veille sur elle.

Célia regarda sa fille.

-Pourquoi a t'elle fait cela?

-Maman...Mathilde est...Hum...Folle...Excentrique...C'est Mathilde quoi!

Le repas touchait à sa fin,la nourrice entra pour donner Lou à Fleur,il était l'heure de le nourrir.
Elle quitta la salle le temps d'allaiter son fils quand elle revint,la blondinette fixa un instant Feijian...Comme une invitation à la rejoindre.

-Je vais vous laisser,je vous souhaite une bonne nuit.

Tout en rejoignant sa chambre,Fleur ne pouvait s'empêcher de penser...Feijian avait il prit conscience de leur trahison?Allait il regretter?Allait il venir?
Elle entra dans sa chambre,sans allumer aucune chandelle,jetant ses affaires sur le fauteuil pour enfiler une longue chemise bien plus confortable.
La grande fenêtre donnait sur un balcon,la blondinette s'appuya sur la balustrade,le regard vers la lune.

Fleur se demanda où cela allait les mener.
Mais une chose était sûre pour elle...Feijian,elle l'aimait...Elle l'avait toujours aimé.
Bien sûr la blondinette avait dit qu'elle aimait aussi Mathilde mais c'était différent...Un amour passager.
Là,Fleur l'avait dans la peau depuis...Toujours.

Il allait falloir qu'ils parlent...
Elle devait savoir ce qu'elle représentait vraiment pour lui.

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Feijian
L'intervention de Toinette fut comme un coup de fouet qu'il recevait en plein visage.
Fei sembla se réveiller à lui-même.
Il cessa ces caresses et reprit conscience de ce qui l'entourait.
Il réalisa combien son attitude vis à vis de Fleur était folle.
Jamais il ne rattraperait le temps perdu.
Jamais il ne réparerait les actes qu'il avait commis.
Cette union risquait si elle était découverte de blesser bien des cœurs, de détruire une famille...
Fei le destructeur.
Il n'avait que peu d'estime pour lui-même mais il n'aimait pas cette image que lui renvoyaient ses propres actes.
Il se dit alors qu'il devait parler à la blonde comtesse.
Quand le repas fut achevé, elle prit congé et il s'arrangea pour la rejoindre rapidement bien décidé à mettre un terme à cette journée de plaisirs interdits qu'ils avaient partagés.
Il entra sans frapper.
La comtesse était là : à la fenêtre.
Elle ne se retourna pas quand il arriva dans la pièce.
Elle l'attendait à l'évidence.
Il voulait lui parler mais en s'approchant, il devinait à travers la simple chemise qu'elle portait ses formes délicieuses.
Il imaginait son petit sourire malicieux, charmeur qui devait lui éclairer le visage.
Il ne put pas même prononcer une parole.
Quand il fut juste derrière elle, il fit l'exact contraire de ce qu'il avait programmé.
Il se posa derrière elle et plaça ses mains sur ses hanches.
Il vint alors s'appuyer contre elle, son bassin pressant les rondeurs douce de la jeune femme.
puis ses mains parcourant la chemise comme on remonte le courant vinrent se placer chacune sur l'un des sein de la belle blonde qui ne se défila pas.

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Mathilde_de_mornay
Mathylde s'éveilla dans la douleur.
Son poignet la faisait souffrir. Elle avait des crampes, elle était épuisée.
Elle se sentait comme entravée. gênée. Une lourdeur autour de son poignet.
La lumière lui blessa les yeux mais eut avant de les refermer la claire conscience d'une présence à ses côtés.
Elle dut se rendormir et la dernière chose qu'elle ressentit fut une main apaisante, chaude et douce qui se posait sur la sienne.



Quand elle ouvrit à nouveau les yeux, ce fut une odeur agréable qui s'imprégna dans sa conscience. Un bouillon.
Puis une cuiller qu'on lui tendait.
Elle avala. C'était bon.
Elle se laissa ainsi nourrir jusqu'à ce qu'il n'y en ai plus.
Ce n'est qu'alors qu'elle tourna la tête. La personne qui se tenait là près d'elle et qui se montrait si douce, si prévenante et si patiente.
Ce n'était pas un domestique, ce n'était pas celle pour qui elle avait voulu mourir...
C'était Aurèle de Morlieu.
Elle le regarda fixement, ne comprenant pas ce qu'il faisait là.
Son visage était soucieux.
Mais il était calme. Il prit doucement sa main valide et regarda battre ses veines doucement.
Il lui dit alors de se reposer et aussitôt, c'est ce qu'elle fit.

La scène se reproduisit plusieurs fois.
Quand il était là, la comtesse ne disait rien. Elle se nourrissait en le regardant intriguée.
Mais quand, réveillée à un moment où avait dû s'absenter, elle refusait tout bonnement de s'alimenter.
Nul ne pouvait même essayer de lui apporter de la nourriture sans qu'elle envoie voler à travers la pièce son repas.
Alors, comme Aurèle avait été averti de ce comportement, il resta auprès d'elle et prolongea son absence auprès de son épouse.
La comtesse n'osait pas lui résister.
Elle ne comprenait pas sa présence auprès d'elle mais elle ne voulait pas s'abaisser à lui en demander la raison.
Elle supportait patiemment sa présence. Mais quand il n'était pas là, elle le cherchait du regard.
Elle avait finit par interdire à tous ces gens d'entrer dans sa chambre. Seul Aurèle pouvait y pénétrer.
Du coup, grâce à ses soins attentionnés, elle commença à aller mieux. Mais elle ne voulait pas l'admettre ou le montrer... Elle craignait qu'il ne vint plus la voir...
Fleur_de_songe
La porte,Feijian...Le contact de son corps contre le sien,elle frémit .
Fleur se tourna vers lui pour l'embrasser passionnement,glissant ses bras autour de son cou.

La blondinette recula légèrement son visage pour plonger son regard dans le sien.

-Fei...Qu'est ce qu'on est entrain de faire?...Où cela va nous mener?...Je représente quoi exactement à tes yeux?

Elle passa sa main tendrement dans ses cheveux.
Fleur ne voulait pas en dire plus mais son regard parlait pour elle.
Ca crever les yeux qu'elle était vraiment amoureuse de lui.

_________________
Feijian
Fleur se tourna vers lui et il reçut son baiser avec une douceur infinie.
Puis ces quelques mots qui le ramenèrent une fois encore à une réalité sévère.
Que faisaient-ils ? Où cela les mènerait-il ? Que représentait-elle à ses yeux ?
Qu'importe les questions, si elle n'appelaient point de réponses, elles ne seraient pas un problème...

Mais il allait bien falloir finir par répondre.

Fei lâcha la jeune femme et se recula. Il s'assit sur le lit encore défait mais froid à présent. Il soupira lourdement.
Le regard de la jeune femme, plus intense en cet instant, était-ce bien de la passion qu'il y devinait ? Était-ce de l'amour ?

Ses yeux un instant furent perdus dans les limbes de ses pensées les plus tristes.

Mais comme s'il se ressaisissait, il redressa la tête et fixa la jeune femme avec une grande douceur dans le regard mais avec également une grande fermeté.
Un guerrier ne se défile pas.


Fleur... Je viens de vivre la journée la plus... Importante à mes yeux depuis que je me suis enfui d'Epinal.
Aujourd'hui, j'ai eu l'impression de vivre. Comme si depuis ce temps, je ne faisait qu'errer dans mon propre corps.


Il réfléchit un instant.

Voilà ce que tu représentes à mes yeux : tu es ma vie.

Sa main caressa alors machinalement le dessus du lit.


Ta famille, tes engagements, ta vie aujourd'hui... Je les admire. Tout comme la force que tu as mises à continuer d'exister.
Je ne ferai rien qui puisse nuire à tout cela.

Je garderai ce jour dans mon cœur comme le plus beau de mon existence.
Et lorsque la nuit venue Aldric viendra me hanter à nouveau... Je saurai lui dire que je ne regrette plus rien.


Alors, il se leva et vint poser sur les lèvres de la Jeune femme un baiser doux, léger et tendre.
Il s'apprêtait à s'en aller.

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Fleur_de_songe
"Tu es ma vie"
A ces mots,Fleur eut l'impression que le sol se dérobait sous ses pieds.
Le reste de ses paroles ressemblait à un adieu...Un adieu de deux corps qui ne s'aimeront plus,qui ne feront que se croiser.

Quand il l'embrassa et s'éloigna,elle agrippa sa main.

-S'il te plait...Reste...Je...

La blondinette se serra contre lui.

-...Juste cette nuit,ne me laisse pas.

Son regard le suppliait,ses mains s'aventurèrent sous la chemise de Feijian pour lui retirer.
Sa bouche vint se poser contre son oreille.

-Je t'aime...Si tu savais a quel point je t'aime...

Fleur retira sa longue chemise,la laissant glisser à ses pieds.se retrouvant ainsi nue devant lui,s'offrante à lui.
Une dernière nuit ....Un dernier instant,rien qu'eux deux.
Pourtant à cette pensée,le coeur de Fleur se serra dans sa poitrine,elle ne voulait pas le perdre de nouveau même s'il restait dans la demeure près d'elle...Non loin.

La blondinette vint frôler son torse du bout de ses seins,se laissant glisser jusqu'à son bas-ventre.
Sa langue explora...Sa bouche savoura en de lent va et vient.
La main de Feijian plongea dans la chevelure blonde pour lui donner un rythme plus intense.
Entre ses lèvres ,Fleur pouvait sentir l'excitation de son amant ce qui la fit gémir doucement.

Elle se releva,glissant sa langue le long du torse de Feijian jusqu'à sa bouche pour l'embrasser avec fougue avant de le fixer avec intensité et sincérité.

-Ne me quitte pas...Cette nuit...Demain...Jamais...

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Feijian
La caresse de Fleur, ses lèvres, sa langue. La douceur de cette attention particulière faillit terrasser le jeune homme.
Il planta ses mains dans la chevelure de la jeune femme et accompagna ses langoureux mouvements.
C'était insupportablement délicieux. C'était incroyablement puissant.
Fei gémit de plaisir et ne pouvait rien faire d'autre que de gouter cet instant merveilleux...
Quand Fleur se redressa, elle vint l'embrasser et il put alors croiser son regard. Un regard... étrange, inspiré, chaud, un regard amoureux. Comme désespéré un regard qui disait : je t'aime, je te veux. Un regard sans équivoque.
Et ces mots : Ne me quitte pas... jamais.

Sous la force des sentiments qui l'envahissaient, Fei recula jusqu'à se trouver contre le lit sur lequel il s'assit sans même peut-être s'en rendre compte.
Mais il tenait les mains de la blonde et l'attira à lui. Elle l'enjamba. Elle vint sur lui et il vint en elle.
Alors, elle se mit à onduler des hanches. Son plaisir lui provoquait des gémissements. Elle se mordait les lèvres et se cambrait sur lui.
Il lui tenait les hanches et accompagnait ses ondulations.
Il ne la quittait pas des yeux. Le seul fait de la regarder lui provoquait un plaisir infini mais sa poitrine qui se balançait devant ses yeux aux grés de ses mouvements amplifiait énormément son plaisir.

Elle se crispa, ses jambes se resserres autour de se cuisses. Elle cria même. Et lui se répandit en elle.
Mais cela ne suffit pas !
Fei se redressa. Leurs lèvres s'entrechoquèrent. Leurs baisers étaient intenses, fougueux.
Ils ne voulaient pas se lâcher. Ils ne voulaient pas se perdre. Ils se serraient l'un contre l'autre. Ils se touchaient se caressaient s'enlaçaient.
Fei se leva doucement emportant Fleur qui s'accrocha à ses épaules. Elle était fine, légère, svelte et athlétique. Fei n'eut aucun mal à la soulever. Elle enroula ses jambes autour de ses hanches.
Il était toujours en elle, il vint la plaquer au mur et leur étreint se poursuivit.
Farouche, ardente et passionnée.
Ils se regardaient avec dans les yeux une flamme de désir brûlante et enivrante.

Il l'aimait... Il l'avait toujours aimé. Il l'aimerait toujours à n'en pas douter. Mais ce soir... Il voulait prolonger la journée d'amour qu'ils avaient partagées.
Il ne voulait pas que cela cesse.
Ayant ainsi à nouveau été transpercés par un plaisir sans égal, Fei reposa son amante sur le lit et vint s'allonger sur elle.
Elle l'embrassait toujours. Doucement, amoureusement, tendrement.
Ils durent alors finir par s'endormir. Enlacés, leur jambes entrecroisées. Leurs corps attachés, liés.
Mais la nuit ne s'acheva pas ainsi. Elle dura bien longtemps encore.
Lorsque l'un des deux s'éveillait, il ne pouvait s'empêcher de reprendre les ébats achevés plus tôt...
Ils s'aimèrent donc jusqu'à l'épuisement. Jusqu'à ce qu'ils ne purent plus bouger un seul doigt.
Mais le matin les trouva là... Toujours très amoureusement enlacés. Toujours profondément unis.

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