Carabas
Aurèle assiste impuissant à la détresse de Fleur.
Sa peine et sa douleur sont insupportable.
Autour d'eux tout s'est arrêté.
Les hommes qui ramassent les blessé, ceux qui remettent de l'ordre...
Les guerriers qui accompagnaient Le Capitaine...
Personne ne comprend vraiment ce qui se passe mais la tristesse de la situation est palpable.
On n'ose plus parler, ni faire le moindre bruit. C'est tout juste si l'on n'est pas gêné de respirer.
Aurèle regarde son épouse à terre. Elle bat le sol du poing comme si par sa force, sa volonté elle pouvait changer le sort.
Il aimerait pouvoir lui dire que Fei va s'en sortir, que ça va aller, qu'il va se relever dans un instant...
Mais il sait bien que c'est impossible.
La blessure est très grave.
Et il n'a rien arrangé en se relevant et en s'agitant.
On ne survit pas à ce genre de blessure.
Quelques minutes... Quelques heures... Et ce sera fini.
Les larmes lui viennent.
Fei était un homme d'honneur, de courage et de force.
Quelqu'un qu'on ne peut que respecter...
Il se sent mal à l'aise, impuissant et cela le fait rager.
Il sert les poings.
Il s'approche de Fleur alors et la relève doucement.
Il sapprête à lui dire quelque chose de plus terrible encore sans doute mais il sent que c'est nécessaire...
Il sent qu'il doit lui en parler... Maintenant.
Fleur...
Tu...
Tu devrais aller le voir...
Tu devrais lui dire adieu...
Il va partir Fleur...
Il faut que tu lui parles.
Sa gorge se serre et les mots ont du mal à sortir.
Mais il sait que si elle ne lui parle pas maintenant... Elle gardera en elle des remords dévastateurs.
Il faut lui dire adieu et le laisser partir.
Il sera mort en soldat, au combat... Il ne faut rien regretter.
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Sa peine et sa douleur sont insupportable.
Autour d'eux tout s'est arrêté.
Les hommes qui ramassent les blessé, ceux qui remettent de l'ordre...
Les guerriers qui accompagnaient Le Capitaine...
Personne ne comprend vraiment ce qui se passe mais la tristesse de la situation est palpable.
On n'ose plus parler, ni faire le moindre bruit. C'est tout juste si l'on n'est pas gêné de respirer.
Aurèle regarde son épouse à terre. Elle bat le sol du poing comme si par sa force, sa volonté elle pouvait changer le sort.
Il aimerait pouvoir lui dire que Fei va s'en sortir, que ça va aller, qu'il va se relever dans un instant...
Mais il sait bien que c'est impossible.
La blessure est très grave.
Et il n'a rien arrangé en se relevant et en s'agitant.
On ne survit pas à ce genre de blessure.
Quelques minutes... Quelques heures... Et ce sera fini.
Les larmes lui viennent.
Fei était un homme d'honneur, de courage et de force.
Quelqu'un qu'on ne peut que respecter...
Il se sent mal à l'aise, impuissant et cela le fait rager.
Il sert les poings.
Il s'approche de Fleur alors et la relève doucement.
Il sapprête à lui dire quelque chose de plus terrible encore sans doute mais il sent que c'est nécessaire...
Il sent qu'il doit lui en parler... Maintenant.
Fleur...
Tu...
Tu devrais aller le voir...
Tu devrais lui dire adieu...
Il va partir Fleur...
Il faut que tu lui parles.
Sa gorge se serre et les mots ont du mal à sortir.
Mais il sait que si elle ne lui parle pas maintenant... Elle gardera en elle des remords dévastateurs.
Il faut lui dire adieu et le laisser partir.
Il sera mort en soldat, au combat... Il ne faut rien regretter.
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