Carabas
Carabas en arrivant près de la rivière trouva la jeune femme affairée au bord de leau. Elle semblait regarder son propre reflet.
A cet instant, il sarrêta et lobserva. Elle était ravissante en vérité.
Il ne lavait jamais vraiment regardé. Mais, la voyant là, si calme, si absorbée par son image, il lui trouva un air de fée, perdue dans les bois.
Il lui trouva un air de simplicité pure et sans tache.
Il lui revint alors à lesprit limage sensible de son sein
Sa poitrine révélée comme naturellement, ce sein blanc, fier et gonflé de lait quelle arborait discrètement.
Il semblait si doux, si chaud
Carabas se prit à fermer les yeux et à remuer la tête pour se remettre les idées en place !
Le voilà qui divaguait !
A cet instant, la jeune nourrice laperçut.
Quand elle se rendit compte de sa présence, elle rougit et sembla troublée.
Le jeune homme ne comprit pas le trouble qui lhabitait, il pensait quelle était gênée par sa condition. Lui qui détestait lidée même de noblesse, lui qui avait horreur du mépris affiché par sa caste envers les petites gens
Il ne supportait pas quon puisse baisser les yeux devant lui.
Alors, sans doute pour tenter de briser la glace, il lui tendit la main comme elle le regardait hésitante.
Venez, nous allons bientôt repartir.
Vous savez vous ne devriez pas vous éloigner de m enfin du convoi.
Alors, elle prit sa main et se rapprocha du comte. Elle arborait une coloration rouge pivoine ce qui fit sourire Carabas.
Il sourit moins quand, lorsquelle sappuya sur la main quil lui tendait pour revenir à son niveau, il fit un faux pas et glissant sur la rive humide de la petite rivière, il tomba lourdement, emportant avec lui la jeune femme dans sa chute !
Point de douleur heureusement. Mais tous deux surpris, ils se retrouvèrent là, sans lavoir souhaité allongés lun contre lautre. La jeune femme à moitié couchée sur lui. Sa poitrine sécrasant contre la sienne, son visage tout prêt du sien.
Alors, devant lincongruité de la situation, ils partirent tous deux dans un grand éclat de rire.
A cet instant, il sarrêta et lobserva. Elle était ravissante en vérité.
Il ne lavait jamais vraiment regardé. Mais, la voyant là, si calme, si absorbée par son image, il lui trouva un air de fée, perdue dans les bois.
Il lui trouva un air de simplicité pure et sans tache.
Il lui revint alors à lesprit limage sensible de son sein
Sa poitrine révélée comme naturellement, ce sein blanc, fier et gonflé de lait quelle arborait discrètement.
Il semblait si doux, si chaud
Carabas se prit à fermer les yeux et à remuer la tête pour se remettre les idées en place !
Le voilà qui divaguait !
A cet instant, la jeune nourrice laperçut.
Quand elle se rendit compte de sa présence, elle rougit et sembla troublée.
Le jeune homme ne comprit pas le trouble qui lhabitait, il pensait quelle était gênée par sa condition. Lui qui détestait lidée même de noblesse, lui qui avait horreur du mépris affiché par sa caste envers les petites gens
Il ne supportait pas quon puisse baisser les yeux devant lui.
Alors, sans doute pour tenter de briser la glace, il lui tendit la main comme elle le regardait hésitante.
Venez, nous allons bientôt repartir.
Vous savez vous ne devriez pas vous éloigner de m enfin du convoi.
Alors, elle prit sa main et se rapprocha du comte. Elle arborait une coloration rouge pivoine ce qui fit sourire Carabas.
Il sourit moins quand, lorsquelle sappuya sur la main quil lui tendait pour revenir à son niveau, il fit un faux pas et glissant sur la rive humide de la petite rivière, il tomba lourdement, emportant avec lui la jeune femme dans sa chute !
Point de douleur heureusement. Mais tous deux surpris, ils se retrouvèrent là, sans lavoir souhaité allongés lun contre lautre. La jeune femme à moitié couchée sur lui. Sa poitrine sécrasant contre la sienne, son visage tout prêt du sien.
Alors, devant lincongruité de la situation, ils partirent tous deux dans un grand éclat de rire.