Carabas
Carabas Regarda Fleur se déshabiller. Mais comme elle était belle !
Même en colère.
Encore que là... elle avait l'air calmée.
Le prêtre avait du savoir trouver les mots.
Le jeune homme la suivit avec Isil dans les bras.
Fleur, je crois que tu as raison... Il y a quelque chose qui ne va pas. C'est étrange... Je crois qu'Augustine se fait des idées... à propos de moi.
Tu sais... il ne faut pas que ça dure.
A ce moment, Carabas entendit passer Augustine dans le couloir. Elle était rentrée, elle devait rejoindre sa chambre.
Ecoute, je coirs qu'elle est de retour... Je vais de ce pas lui dire qu'il faut qu'elle rengaine ses espoirs !
Il faut mettre les choses au clair !
Sur ces mots, il sortit. Il se dirigea vers la chambre d'Augustine.
Il allait entrer comme s'il était chez lui. Il était déterminé à faire cesser cette ambiguïté qui s'était installée entre eux.
Bien sûr, la jeune femme avait tout pour plaire. Et pas que physiquement. Il l'appréciait pour beaucoup de choses également. Mais il n'était pas question que cela aille plus loin !
Il avait trop tardé !
Il allait entrer donc dans la chambre brusquement mais se ravisa à la dernière minute. Ce n'était pas correct. Il se reprit donc et frappa à la porte.
Mais, toujours empressé, il entra avant même d'avoir obtenu de réponse.
A peine entré, il se figea en découvrant Augustine, qui surprise n'avait pas eu le temps de se couvrir.
Son corsage était dénoué et laissait plus que de raison apparaitre sa poitrine gonflée...
Un simple jupon couvrait mal ses jambes ravissantes.
Elle était presque nue... il n'aurait pas fallu grand chose pour qu'elle le soit. Son corps sans tous ces apparats vestimentaires était soudain plus accessible, comme à portée de main.
On eut dit presque qu'elle attendait un amant, disponible, offerte là allongée sur son lit.
Elle se redressa pourtant brusquement quand le comte entra.
Et lui fut gêné...
Il hésita... devait-il ressortir de suite, devait-il remettre sa discussion ?
Il ne parvenait pas à détacher son regard du corps de la jeune femme... cette poitrine abondante, ces hanches accueillantes...
Bon sang mais quelle femme !
Il remua la tête pour reprendre ces esprits. Il fallait qu'il parle et le plus tôt serait le mieux...
Mais là... il ne pouvait pas ainsi.
Je... Heu... excusez-moi, je suis navré... Je j'aurai du frapper... Enfin j'ai frappé mais... J'aurai du attendre..
Excusez-moi... Je... Je voulais vous parler...
Mais... ce n'est peut-être pas le moment...
Il baissa les yeux pour échapper à son corps et s'apprêta à sortir.
Même en colère.
Encore que là... elle avait l'air calmée.
Le prêtre avait du savoir trouver les mots.
Le jeune homme la suivit avec Isil dans les bras.
Fleur, je crois que tu as raison... Il y a quelque chose qui ne va pas. C'est étrange... Je crois qu'Augustine se fait des idées... à propos de moi.
Tu sais... il ne faut pas que ça dure.
A ce moment, Carabas entendit passer Augustine dans le couloir. Elle était rentrée, elle devait rejoindre sa chambre.
Ecoute, je coirs qu'elle est de retour... Je vais de ce pas lui dire qu'il faut qu'elle rengaine ses espoirs !
Il faut mettre les choses au clair !
Sur ces mots, il sortit. Il se dirigea vers la chambre d'Augustine.
Il allait entrer comme s'il était chez lui. Il était déterminé à faire cesser cette ambiguïté qui s'était installée entre eux.
Bien sûr, la jeune femme avait tout pour plaire. Et pas que physiquement. Il l'appréciait pour beaucoup de choses également. Mais il n'était pas question que cela aille plus loin !
Il avait trop tardé !
Il allait entrer donc dans la chambre brusquement mais se ravisa à la dernière minute. Ce n'était pas correct. Il se reprit donc et frappa à la porte.
Mais, toujours empressé, il entra avant même d'avoir obtenu de réponse.
A peine entré, il se figea en découvrant Augustine, qui surprise n'avait pas eu le temps de se couvrir.
Son corsage était dénoué et laissait plus que de raison apparaitre sa poitrine gonflée...
Un simple jupon couvrait mal ses jambes ravissantes.
Elle était presque nue... il n'aurait pas fallu grand chose pour qu'elle le soit. Son corps sans tous ces apparats vestimentaires était soudain plus accessible, comme à portée de main.
On eut dit presque qu'elle attendait un amant, disponible, offerte là allongée sur son lit.
Elle se redressa pourtant brusquement quand le comte entra.
Et lui fut gêné...
Il hésita... devait-il ressortir de suite, devait-il remettre sa discussion ?
Il ne parvenait pas à détacher son regard du corps de la jeune femme... cette poitrine abondante, ces hanches accueillantes...
Bon sang mais quelle femme !
Il remua la tête pour reprendre ces esprits. Il fallait qu'il parle et le plus tôt serait le mieux...
Mais là... il ne pouvait pas ainsi.
Je... Heu... excusez-moi, je suis navré... Je j'aurai du frapper... Enfin j'ai frappé mais... J'aurai du attendre..
Excusez-moi... Je... Je voulais vous parler...
Mais... ce n'est peut-être pas le moment...
Il baissa les yeux pour échapper à son corps et s'apprêta à sortir.