Carabas
Carabas portait Augustine la nourrice vers la sortie de la chapelle.
Elle était totalement inerte, il la croyait morte et ne pouvait réprimer un larme qui coulait le long de sa joue.
Comment était-elle arrivée là ?
Que c'était-il passé ?
Il ne comprenait rien... Son esprit était embrouillé.
Qu'i l'avait tuée ? Et comment ? Et surtout... pourquoi ?
Qui l'avait fait venir ici ? Pour quelle raison ?
Tout cela n'avait aucun sens !
Il était perdu.
Mais alors qu'il s'apprêtait à sortir de la chapelle... Il s'arrêta net.
En rehaussant la jeune femme pour la tenir mieux, alors qu'elle glissait sans cesse entraînée par l'inertie de son poids mort. En effectuant ce geste, il approcha son visage de la poitrine dénudée de la belle jeune femme. Et là... Il lui sembla que cette poitrine se soulevait doucement.
Se pouvait-il que la jeune femme respire encore ?
Mais comment avait-il été assez idiot pour ne pas vérifier ?
Il reposa donc le corps inerte sur le sol et l'observa attentivement.
En effet, elle respirait faiblement.
Il posa sa main sur la poitrine de la nourrice.
Il senti battre son cur.
Il n'en revenait pas ! Elle était simplement inconsciente.
Il fut d'un coup extrêmement rassuré...
Il regarda son visage... puis il essaya de la faire revenir à elle mais en vain.
elle était là... allongée sur le sol, entièrement nue et il était tout près d'elle à tenter de la ranimer... Il n'y parvenait pas. Il lui parlait, il l'appelait... Rien.
Comment pouvait-il se douter qu'elle l'entendait et qu'elle aurait tout donné pour pouvoir lui répondre ?
Augustine... AUGUSTINE !! Je vous en prie réveillez-vous !
Longtemps il la conjura de reprendre ses esprits...Rien.
A cours d'idées, il laissa sa tête tomber en avant, désespéré de ne pouvoir la sauver... Qu'avait-elle donc ?
Ses cheveux caressaient la peau pâle de la jeune femme... Bientôt son front se posa doucement sur son ventre.
En d'autres circonstances, la situation eut été incongrue... Mais là, elle était simplement tragique.
Puis, alors que ses yeux se mouillaient, il lui prit l'idée de lui ouvrir les paupières.
Il fit un bond en arrière !
Il voyait ses yeux... des yeux horrifiés. Des yeux bien vivants, bien actifs !
Des yeux désespérés !
Augustine !! Augustine ! Vous... Vous m'entendez ?
Le regard... le regard en dit long. Oui, elle l'entendait.
Mon dieu !
Augustine... Souffrez-vous ?
Que vous est-il arrivé ?
On vous a empoisonnée ?
Qu'avez-vous pris ?
Evidemment... elle ne répondit pas.
Attendez... Je vais vous ramener... Je vais vous porter à l'auberge.
Je... Je m'occuperai de vous là bas. Ce sera mieux...
Je vous emmène.
Il la couvrit du mieux qu'il put et la souleva de nouveau.
Il sortit de la chapelle et vit à ce moment arriver la grande Marie toute affolée !
Elle lui expliqua que Fleur était en danger comme l'Ombre le lui avait dit.
Le sang D'Aurèle ne fit qu'un tour. Il confia la nourrice à Marie en lui demandant de la ramener à l'auberge et d'appeler un médecin. Il précisa qu'elle était bien vivante et consciente.
Puis il se précipita sur le chemin de l'église.
Il ne réfléchissait pas. On s'en prenait à Fleur !!!
Il était prêt à affronter une armée.
Quand il arriva à la maison du prêtre, la porte était ouvert. Il n'y avait personne.
Seulement Fleur. Là, étendue sur la table. Un léger voile pudiquement posé sur elle.
Inconsciente.
Et puis à ses pieds, le prêtre baignant dans une mare de sang.
Cette fois, le jeune homme vérifia qu'elle soit bien vivante.
Elle réagit vaguement à ses appels.
Elle leva un bras et s'évanouit de nouveau.
Mais elle était en vie.
Carabas prit sa femme dans ses bras.
Il la porta jusqu'à l'auberge où tout le monde l'attendait impatient.
Il ne laissa personne s'occuper d'elle.
Quand elle se réveilla... Il était là... tout près.
Il ne la quittait pas des yeux.
Elle était totalement inerte, il la croyait morte et ne pouvait réprimer un larme qui coulait le long de sa joue.
Comment était-elle arrivée là ?
Que c'était-il passé ?
Il ne comprenait rien... Son esprit était embrouillé.
Qu'i l'avait tuée ? Et comment ? Et surtout... pourquoi ?
Qui l'avait fait venir ici ? Pour quelle raison ?
Tout cela n'avait aucun sens !
Il était perdu.
Mais alors qu'il s'apprêtait à sortir de la chapelle... Il s'arrêta net.
En rehaussant la jeune femme pour la tenir mieux, alors qu'elle glissait sans cesse entraînée par l'inertie de son poids mort. En effectuant ce geste, il approcha son visage de la poitrine dénudée de la belle jeune femme. Et là... Il lui sembla que cette poitrine se soulevait doucement.
Se pouvait-il que la jeune femme respire encore ?
Mais comment avait-il été assez idiot pour ne pas vérifier ?
Il reposa donc le corps inerte sur le sol et l'observa attentivement.
En effet, elle respirait faiblement.
Il posa sa main sur la poitrine de la nourrice.
Il senti battre son cur.
Il n'en revenait pas ! Elle était simplement inconsciente.
Il fut d'un coup extrêmement rassuré...
Il regarda son visage... puis il essaya de la faire revenir à elle mais en vain.
elle était là... allongée sur le sol, entièrement nue et il était tout près d'elle à tenter de la ranimer... Il n'y parvenait pas. Il lui parlait, il l'appelait... Rien.
Comment pouvait-il se douter qu'elle l'entendait et qu'elle aurait tout donné pour pouvoir lui répondre ?
Augustine... AUGUSTINE !! Je vous en prie réveillez-vous !
Longtemps il la conjura de reprendre ses esprits...Rien.
A cours d'idées, il laissa sa tête tomber en avant, désespéré de ne pouvoir la sauver... Qu'avait-elle donc ?
Ses cheveux caressaient la peau pâle de la jeune femme... Bientôt son front se posa doucement sur son ventre.
En d'autres circonstances, la situation eut été incongrue... Mais là, elle était simplement tragique.
Puis, alors que ses yeux se mouillaient, il lui prit l'idée de lui ouvrir les paupières.
Il fit un bond en arrière !
Il voyait ses yeux... des yeux horrifiés. Des yeux bien vivants, bien actifs !
Des yeux désespérés !
Augustine !! Augustine ! Vous... Vous m'entendez ?
Le regard... le regard en dit long. Oui, elle l'entendait.
Mon dieu !
Augustine... Souffrez-vous ?
Que vous est-il arrivé ?
On vous a empoisonnée ?
Qu'avez-vous pris ?
Evidemment... elle ne répondit pas.
Attendez... Je vais vous ramener... Je vais vous porter à l'auberge.
Je... Je m'occuperai de vous là bas. Ce sera mieux...
Je vous emmène.
Il la couvrit du mieux qu'il put et la souleva de nouveau.
Il sortit de la chapelle et vit à ce moment arriver la grande Marie toute affolée !
Elle lui expliqua que Fleur était en danger comme l'Ombre le lui avait dit.
Le sang D'Aurèle ne fit qu'un tour. Il confia la nourrice à Marie en lui demandant de la ramener à l'auberge et d'appeler un médecin. Il précisa qu'elle était bien vivante et consciente.
Puis il se précipita sur le chemin de l'église.
Il ne réfléchissait pas. On s'en prenait à Fleur !!!
Il était prêt à affronter une armée.
Quand il arriva à la maison du prêtre, la porte était ouvert. Il n'y avait personne.
Seulement Fleur. Là, étendue sur la table. Un léger voile pudiquement posé sur elle.
Inconsciente.
Et puis à ses pieds, le prêtre baignant dans une mare de sang.
Cette fois, le jeune homme vérifia qu'elle soit bien vivante.
Elle réagit vaguement à ses appels.
Elle leva un bras et s'évanouit de nouveau.
Mais elle était en vie.
Carabas prit sa femme dans ses bras.
Il la porta jusqu'à l'auberge où tout le monde l'attendait impatient.
Il ne laissa personne s'occuper d'elle.
Quand elle se réveilla... Il était là... tout près.
Il ne la quittait pas des yeux.