Carabas
Carabas sortit de la chambre.
Un peu rassuré d'avoir senti Augustine bouger. De l'avoir vue ouvrir les yeux.
L'antidote devait avoir fait effet. Il était fier finalement.
Il se sentait bien à cet instant. Profondément soulagé.
La nuit était tombée. Il dut sortir un peu pour prendre l'air.
Dehors, il croisa un gamin qui venait vers lui hésitant.
Puis l'enfant lui demanda :
Pardon m'sieur... C'est bien ici que reste la comtesse de Morlieu ?
Carabas fronça les sourcils, méfiant et demanda à l'enfant pourquoi il voulait le savoir.
Le gamin lui montra le bout de la rue où une femme encapuchonnée attendait.
C'est elle qui demande.
Carabas donna une pièce au gamin qui parti en courant en le remerciant.
Hey merci mon prince !
Puis le jeune homme se dirigea droit vers la femme qui attendait.
Quand elle le vit approcher, elle fit mine de reculer et voyant cela, Carabas pressa les pas.
Il voulait savoir ce que lui voulait cette femme.
Mais elle s'arrêta et surgis de l'ombre, devant elle, deux molosses peu engageants barrèrent le passage au jeune homme.
Plutôt irrité, et peu enclin à se laisser impressionner, Carabas serra les poings, s'apprêtant à les corriger mais la femme leur demanda de les laisser.
Carabas se calma alors légèrement.
Dame ? Vous vous renseignez sur ma maison ? Puis-je en connaître la raison ?
La femme dont le visage était caché par la capuche prit le temps de l'observer avant de répondre. Elle semblait le dévisager et le jeune homme n'aimait pas cette idée.
Je suis Mathilde de Mornay... Nous nous somme déjà croisés... Au cimetière.
A ces mots Carabas eut un geste de recul.
Vous êtes le comte de Morlieu ?
Oui, en effet... C'est ainsi que certains me, nomment.
La jeune femme sembla alors prendre sur elle pour effectuer sa demande.
Je... Je voudrai parler à votre épouse... Lui parler, juste un instant. Juste lui parler. Croyez vous que cela soit possible ?
Carabas fut surpris de la demande. Il ne s'y attendais pas...
Eh bien... Je... Si vous revenez demain, assez tôt... je vais essayer de la convaincre de vous entendre.
La femme remercia et s'en alla aussitôt suivie de ces acolytes massifs.
Un peu perplexe, Carabas rentra à l'auberge.
Il voulait aller informer fleur de la rencontre qu'il avait faite.
Il s'approcha doucement de la pièce où étaient les deux femmes.
Là, curieusement, il lui sembla entendre des gémissements.
Un peu surpris et inquiet, il entra.
Il ouvrit la porte précautionneusement au cas où Augustine serait endormie.
Ce qu'il vit en entrant le figea sur place !
Les deux femmes... nues complètement, allongées, leurs corps mêlés.se livraient à des ébats explicites.
Augustine lui tournait le dos et ne pouvait pas le voir. Elle semblait apprécier avec délectation les caresse et les attentions que Fleur lui prodiguait.
Carabas n'en croyait pas ses yeux.
Fleur, dominant la brune l'embrassait sur tout le corps la mordant parfois, jouant de sa langue sur sa peau blanche...
Bientôt, elle leva les yeux sur son époux. Là, elle s'arrêta un instant et le fixa de ses yeux verts qui brillaient de plaisir et de provocation...
Alors, après un instant, elle repris ces caresses impudiques.
Carabas avait face à lui le dos de la brune et pouvait la découvrir dans toute sa beauté des pieds à la tête. Elle ne cessait de bouger langoureusement ses hanche en gémissant à chaque coup de langue de la blonde affairée.
Lorsque Fleur reprit ses douces attentions, elle se redressa et s'en prit à la poitrine majestueuse de la brune. Carabas put apercevoir qu'elle prenait entre ses dents la pointe érigée du sein gauche de la nourrice ce qui lui fit pousser un léger cri de plaisir.
Alors, il vit aussi clairement la main de la blonde glisser sur les fesses de la brune et se perdre, comme malencontreusement, entre ses cuisses.
Augustine ne résista pas, bien au contraire à cette intrusion... Elle ouvrit sensiblement ses cuisses pour laisser passer la main inquisitrice.
Fleur profita de cette ouverture pour lui prodiguer une caresse à laquelle l'autre sembla succomber totalement...
Carabas observait la scène avec un effroi mêlé de curiosité, d'indignation et de stupeur.
Il voulait intervenir et faire cesser l'union qui se déroulait devant ses yeux.
Mais le regard de Fleur plongé dans le sien l'en interdisait...
Alors, il resta là, un long moment, à les regarder.
Les deux étaient d'une beauté divine...Leurs cheveux se mêlaient... leur mains se croisaient... Fleur se montrait très entreprenante et Augustine semblait dépassé par l'afflut de douceur et de plaisir qui émanait de ces caresses.
La blonde semblait prendre un grand plaisir à jouer avec le corps de la brune. Elle jetait régulièrement des regards en direction de son époux.
Alors, doucement, il finit par s'approcher. Il s'assit même sur le bord du lit. La nourrice, toute à ces émotions n'avait toujours pas décelé sa présence.
Et, à un moment où Fleur posait ses lèvres sur le mon de vénus de la brune, alors que toujours entre ses cuisses sa main la fouillait délicatement, ce qui provoquait chez la jeune nourrice des gémissements toujours plus intenses, Carabas doucement posa sa main chaude sur la fesse de son épouse...
Un peu rassuré d'avoir senti Augustine bouger. De l'avoir vue ouvrir les yeux.
L'antidote devait avoir fait effet. Il était fier finalement.
Il se sentait bien à cet instant. Profondément soulagé.
La nuit était tombée. Il dut sortir un peu pour prendre l'air.
Dehors, il croisa un gamin qui venait vers lui hésitant.
Puis l'enfant lui demanda :
Pardon m'sieur... C'est bien ici que reste la comtesse de Morlieu ?
Carabas fronça les sourcils, méfiant et demanda à l'enfant pourquoi il voulait le savoir.
Le gamin lui montra le bout de la rue où une femme encapuchonnée attendait.
C'est elle qui demande.
Carabas donna une pièce au gamin qui parti en courant en le remerciant.
Hey merci mon prince !
Puis le jeune homme se dirigea droit vers la femme qui attendait.
Quand elle le vit approcher, elle fit mine de reculer et voyant cela, Carabas pressa les pas.
Il voulait savoir ce que lui voulait cette femme.
Mais elle s'arrêta et surgis de l'ombre, devant elle, deux molosses peu engageants barrèrent le passage au jeune homme.
Plutôt irrité, et peu enclin à se laisser impressionner, Carabas serra les poings, s'apprêtant à les corriger mais la femme leur demanda de les laisser.
Carabas se calma alors légèrement.
Dame ? Vous vous renseignez sur ma maison ? Puis-je en connaître la raison ?
La femme dont le visage était caché par la capuche prit le temps de l'observer avant de répondre. Elle semblait le dévisager et le jeune homme n'aimait pas cette idée.
Je suis Mathilde de Mornay... Nous nous somme déjà croisés... Au cimetière.
A ces mots Carabas eut un geste de recul.
Vous êtes le comte de Morlieu ?
Oui, en effet... C'est ainsi que certains me, nomment.
La jeune femme sembla alors prendre sur elle pour effectuer sa demande.
Je... Je voudrai parler à votre épouse... Lui parler, juste un instant. Juste lui parler. Croyez vous que cela soit possible ?
Carabas fut surpris de la demande. Il ne s'y attendais pas...
Eh bien... Je... Si vous revenez demain, assez tôt... je vais essayer de la convaincre de vous entendre.
La femme remercia et s'en alla aussitôt suivie de ces acolytes massifs.
Un peu perplexe, Carabas rentra à l'auberge.
Il voulait aller informer fleur de la rencontre qu'il avait faite.
Il s'approcha doucement de la pièce où étaient les deux femmes.
Là, curieusement, il lui sembla entendre des gémissements.
Un peu surpris et inquiet, il entra.
Il ouvrit la porte précautionneusement au cas où Augustine serait endormie.
Ce qu'il vit en entrant le figea sur place !
Les deux femmes... nues complètement, allongées, leurs corps mêlés.se livraient à des ébats explicites.
Augustine lui tournait le dos et ne pouvait pas le voir. Elle semblait apprécier avec délectation les caresse et les attentions que Fleur lui prodiguait.
Carabas n'en croyait pas ses yeux.
Fleur, dominant la brune l'embrassait sur tout le corps la mordant parfois, jouant de sa langue sur sa peau blanche...
Bientôt, elle leva les yeux sur son époux. Là, elle s'arrêta un instant et le fixa de ses yeux verts qui brillaient de plaisir et de provocation...
Alors, après un instant, elle repris ces caresses impudiques.
Carabas avait face à lui le dos de la brune et pouvait la découvrir dans toute sa beauté des pieds à la tête. Elle ne cessait de bouger langoureusement ses hanche en gémissant à chaque coup de langue de la blonde affairée.
Lorsque Fleur reprit ses douces attentions, elle se redressa et s'en prit à la poitrine majestueuse de la brune. Carabas put apercevoir qu'elle prenait entre ses dents la pointe érigée du sein gauche de la nourrice ce qui lui fit pousser un léger cri de plaisir.
Alors, il vit aussi clairement la main de la blonde glisser sur les fesses de la brune et se perdre, comme malencontreusement, entre ses cuisses.
Augustine ne résista pas, bien au contraire à cette intrusion... Elle ouvrit sensiblement ses cuisses pour laisser passer la main inquisitrice.
Fleur profita de cette ouverture pour lui prodiguer une caresse à laquelle l'autre sembla succomber totalement...
Carabas observait la scène avec un effroi mêlé de curiosité, d'indignation et de stupeur.
Il voulait intervenir et faire cesser l'union qui se déroulait devant ses yeux.
Mais le regard de Fleur plongé dans le sien l'en interdisait...
Alors, il resta là, un long moment, à les regarder.
Les deux étaient d'une beauté divine...Leurs cheveux se mêlaient... leur mains se croisaient... Fleur se montrait très entreprenante et Augustine semblait dépassé par l'afflut de douceur et de plaisir qui émanait de ces caresses.
La blonde semblait prendre un grand plaisir à jouer avec le corps de la brune. Elle jetait régulièrement des regards en direction de son époux.
Alors, doucement, il finit par s'approcher. Il s'assit même sur le bord du lit. La nourrice, toute à ces émotions n'avait toujours pas décelé sa présence.
Et, à un moment où Fleur posait ses lèvres sur le mon de vénus de la brune, alors que toujours entre ses cuisses sa main la fouillait délicatement, ce qui provoquait chez la jeune nourrice des gémissements toujours plus intenses, Carabas doucement posa sa main chaude sur la fesse de son épouse...