Alix_de_morlieu
Le comte revêtait son habit, quand la pore s'ouvrit. Le personnel fappait toujours avant d'entrer...
Il fronça les sourcils d'un air sévère en fixant la porte prêt à tancer celui qui se permettait d'entrer ainsi chez lui sans y avoir été duement convié.
Lorsqu'Aurèle entra, il fut si surpris de le voir là qu'il en resta un instant bouche-bée.
Derrière le jeune homme, une nonne tachait de se faire aussi petie que possible. Et dans les bras de sonfils, emmaillotée avec soin, l'enfant, source de tant de convoitise.
Il fronça les sourcils d'un air sévère en fixant la porte prêt à tancer celui qui se permettait d'entrer ainsi chez lui sans y avoir été duement convié.
Lorsqu'Aurèle entra, il fut si surpris de le voir là qu'il en resta un instant bouche-bée.
Derrière le jeune homme, une nonne tachait de se faire aussi petie que possible. Et dans les bras de sonfils, emmaillotée avec soin, l'enfant, source de tant de convoitise.
Citation:
Vous sortez ?
Le comte n'avait jamais été porté à l'humour et celui de Carabas, n'avait jamais eut ses faveurs.
Mais pour une fois, devant l'incongruité de la situation, le comte ébaucha un sourire.
Aurèle ! Par le diable ! Mais ! Faut-il donc toujours que vous jaillissiez d'on ne sait où ?
Nous venions justement vous chercher... Enfin vous et... votre fille.
A ces mots, le jeune homme fronça les sourcils, signe qu'il réfléchissait intensément. Il jeta alors un regard interrogatif vers Fleur qui n'eut pas le temps d'y répondre.
Aurèle ! L'affaire est sérieuse, je sais qui est à vos trousses, je ne le sais que trop bien.
Croyez-moi jeune homme, ELLE ne s'arrêtera pas tant qu'elle n'aura pas obtenu ce qu'elle veut...
Et comme Aurèle attendait, le regardant, de savoir ce que celon lui ELLE voulait...
ELLE veut... mettre un terme à notre lignée... En quelque sorte. ELLE veut votre fille...
Mon sang...