Jean.de.cetzes
- « Vous... vous ... devriez réveiller vos gens. J'ai besoin d'un bain. »
Déjà pour commercer, il lui lâche un taquet dans la main. On montre pas du doigt ! On t'a pas appris ? Et, colérique, il lâche : Dites donc, vous vous foutriez pas un peu de ma gueule ? Un bain à deux du mat' ? Avec du lait d'ânesse tant qu'on y est ?
Bon ça le gave, sérieux. Mais... mais.... comme les serviteurs on passé la nuit précédente à baiser, ce coup-ci c'était à lui de les embrener. L'autre poivrote va se sentir tout puissante, ce qui ne lui plait pas du tout, mais alors pas du tout. Mais les servants l'avaient pas volé. Sauf que... en attendant le bain fallait patienter. Tirer l'eau au puits, la faire chauffer, préparer le baquet, le linge, sortir les onguents. Bref, une plombe à attendre. Enfin ... vu l'état de la donzelle, le temps de monter à l'étage ça devrait le faire. Pour peu qu'elle monte les marches à quatre pattes... Et puis si l'attente s'avérait désagréable elle en valait sans doute la peine. il avait compris la rupture qui s'était établi dans la cervelle - ou ce qu'il en reste - de la mégère. C'était la seconde fois qu'elle ne terminait pas une phrase du genre - la dernière ayant commencé par un "vous êtes vach...". Deux mystères à éclaircir.
Il tire sur le cordon, faisant sonner une cloche au grenier. La maisonnée se réveille. Ca grogne dans les chambres de bonnes. Mais ça s'active. Un valet se pointe, JdC lui explique de côté, à mi-voix, pour pas qu'elle entende. Il s'en va, sans mot dire et n'en pensant pas moins, exécuter les ordres du maitre de maison.
Soit. Mais alors je vous en prie, éloignez-vous en attendant. - version poli du fameux "Alors le cageot il dit merci et il ferme sa boîte à caca !"*
* Franck Pitiot, Kaamelott, Livre V, L'épée des rois, écrit par Alexandre Astier.
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(Impossible de lire mes mp IG...)
Déjà pour commercer, il lui lâche un taquet dans la main. On montre pas du doigt ! On t'a pas appris ? Et, colérique, il lâche : Dites donc, vous vous foutriez pas un peu de ma gueule ? Un bain à deux du mat' ? Avec du lait d'ânesse tant qu'on y est ?
Bon ça le gave, sérieux. Mais... mais.... comme les serviteurs on passé la nuit précédente à baiser, ce coup-ci c'était à lui de les embrener. L'autre poivrote va se sentir tout puissante, ce qui ne lui plait pas du tout, mais alors pas du tout. Mais les servants l'avaient pas volé. Sauf que... en attendant le bain fallait patienter. Tirer l'eau au puits, la faire chauffer, préparer le baquet, le linge, sortir les onguents. Bref, une plombe à attendre. Enfin ... vu l'état de la donzelle, le temps de monter à l'étage ça devrait le faire. Pour peu qu'elle monte les marches à quatre pattes... Et puis si l'attente s'avérait désagréable elle en valait sans doute la peine. il avait compris la rupture qui s'était établi dans la cervelle - ou ce qu'il en reste - de la mégère. C'était la seconde fois qu'elle ne terminait pas une phrase du genre - la dernière ayant commencé par un "vous êtes vach...". Deux mystères à éclaircir.
Il tire sur le cordon, faisant sonner une cloche au grenier. La maisonnée se réveille. Ca grogne dans les chambres de bonnes. Mais ça s'active. Un valet se pointe, JdC lui explique de côté, à mi-voix, pour pas qu'elle entende. Il s'en va, sans mot dire et n'en pensant pas moins, exécuter les ordres du maitre de maison.
Soit. Mais alors je vous en prie, éloignez-vous en attendant. - version poli du fameux "Alors le cageot il dit merci et il ferme sa boîte à caca !"*
* Franck Pitiot, Kaamelott, Livre V, L'épée des rois, écrit par Alexandre Astier.
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