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[RP] Cérémonie d'allégeance, Septembre 1461

Liloote
Liloote dans son coin à regarder alentour ce qu'il se passait. Quand Dame Mathilde s'approcha pour la saluer.

Bonjour Dame Mathile. Je suis aussi enchantée de vous voir. N'ayez crainte dame, il m'en faut plus pour en vouloir à quelqu'un.

Elle se joigna à Dame Mathilde et à Missanasthasia.

Bonjour Dame Missanasthasia.

Puis elle regarde Dame Mathilde et d'autres porter allégeance au Duc.
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Miss_anne
C'est la deuxième fois que la jeune femme avait reçu une invitation, elle avait regretté de ne pas être venue la première fois car son ami Theraph avait reçu une noblesse du mérite ou un truc du genre, question noblesse elle était dans l'inconnue. Bien qu'elle aimait si rendre en temps de garde faut dire que l'on pouvait bien y manger !

Bref elle était invitée et bien décider à y allez mais elle regretta de ne pas avoir attendu de voir Takezo pour qu'il l'accompagne parce que la elle se sentait perdu au milieu de tout ce beau monde. pour une fois la Murataise se faisait timide
Levio
Levio avait eu quelques mal à retrouver le chemin de la salle du trône... mon dieu que le temps passe, et les années n'aident pas en tout les ainés.

Il se faufile dans la salle où la cérémonie avait débutée malgré le peu de personnes encore. Il salue les personnes présentes discrètement, et s'étonne de voir Liloote, lui adressant en retour un grand sourire et un geste de la main accompagné d'un clin d'oeil pour ensuite lui chuchoter


Bonjour Liloote !! Bienvenue dans la grande salle d'honneur!
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Missanasthasia
Toujours en appuie sur son pilier, la blonde tourna légèrement la tête, pour adresser un sourire à Dame Liloote. Elle avait régulièrement l'occasion de la croiser en Chambre des Maires, mais surtout la blonde se souvenait de la gentillesse avec laquelle Dame Liloote avait acceptée de prendre la tête d'un groupe maréchaussée, lorsqu'il avait eu des soucis de planning dans son village.

Bonjour Dame Liloote, comment allez-vous?!

Bien que son regard émeraude, reflétait une grande curiosité au sujet de la présence de Dame Liloote, la blonde préféra ne rien dire, se disant qu'elle serait bien assez tôt la raison! Son regard se posa ensuite sur l'entrée d'Anne, à qui elle adressa un petit signe de la main, l'invitant à se joindre à elle, tout en saluant Levio d'un signe de tête.
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Kami.
Il y a des choses qui vous redonne le sourire en un instant et recevoir une bise de sa sœur en faisait partie...Kami releva la tête pour lui rendre.

Bon courage pour cette journée frérot!

Et bonjour toi...euh merci tu veux pas la faire à ma place ?

Un grand sourire s'afficha sur son visage connaissant très bien la réponse...il faut dire qu'avec ses 5 marches elle avait à faire.
Arthur arriva et Kami se remit derrière son bureau jusqu'à...


Pardonnez-moi, Auvergne, je ne suis plus très au fait du protocole. Je crois que la duchesse Mathilde a droit à un fief de retraite. Doit-on s'en occuper dès maintenant?

Euh oui...laissez moi un instant.

Il fouilla dans ses papiers avant d'en sortir un et de reprendre.

Dame .mathilde., vous avez quitté il y a peu le trône ducal après deux mandats complets de régnante. Comme le stipulent les lois héraldiques en vigueur et suite à votre volonté appuyée de recevoir un fief de retraite à la fin de votre mandat, la Hérauderie de France vous octroie le Duché de Chantelle. Aujourd'hui, la cérémonie devient officielle, le Duc régnant, Sa Grâce Arthur Dayne, va vous déposer la couronne de Duchesse, cadeau symbolique et vous reconnaissant comme faisant partie de la Haute Noblesse.

Dame, veuillez prêter allégeance je vous prie, que tous ici présents et dans le futur vous reconnaissent légitimement Duchesse de Chantelle.

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.mathilde.
Mathilde resta sceptique. Devait elle réellement se répéter ? elle a prêté allégeance, qu'est ce qu'un fief de plus allait changer à son allégeance? Vous pensez qu'elle sera plus fidèle ou plus loyale avec un fief en plus ? ça n'avait vraiment aucun sens.
Elle se contenta de tourner son regard en premier vers son fils, qui du haut de ses deux ans commençait à s'impatienter et à gigoter, ne comprenant pas pourquoi il ne pouvait pas retourner jouer et courir maintenant qu'il avait fait comme maman et que le Duc lui avait répondu.

D'un murmure, elle indiqua à son fils de rejoindre la grande dame aux cheveux dorés qu'elle désigna du bout du doigt, Missanasthasia.
Pour une première initiation, elle ne s'attendait pas à cela.
Puis, un regard entendu vers Arthur l'air de dire "bon ba, toi aussi tu vas devoir te répéter"... en même temps, lui en avait quelques dizaines à enchaîner ainsi alors pour lui, cela ne devait guère faire grande différence.

Réprimant un soupire, non par lassitude d'être à genoux devant l'estimé Arthur, mais parce qu'elle trouvait le protocole absurde.
Puis elle sourit légèrement, tentant de s'amuser de la situation, en essayant de garder tout son sérieux..


Oh mon grand et vénéré Duc Arthur Dayne, puisqu'il semble qu'il faille double déclaration d'amour à votre personne pour être entendue, nous, Mathilde de Vaucanson, sommes littéralement transcendée à l'idée de recevoir de vos mains sublimes, la terre du Duché de Chantelle. Nous vous renouvelons notre fidélité immuable et impérissable, qui n'a d'ailleurs jamais cessé d'être depuis deux minutes, mais également notre profonde adoration, dévouement, loyauté. Nous vous offrons notre coeur, notre âme, notre être, notre sang, notre vie !
Nous vous jurons de combattre à vos cotés, envers et contre tous, en tant de guerre, en temps de paix, face aux brigands, à la vermine, aux voleurs, aux traitres, et tous ceux qui oseraient s'en prendre à vous, moralement, ou physiquement. Je suis à vos ordres, mon épée est votre, et ce jusqu'à la mort.
Egalement, nous vous conseillerons en tout temps, sur tous sujets, en temps de pluie, de neige, d'orage ou de tempête, jusqu'à notre dernier souffle.

Nous sommes votre.


Tada ! Au debut elle avait fait ça en retenant un fou rire imminent, mais il fallait avouer qu'elle avait fini par se prendre au jeu, car bon, ce n'était pas non plus n'importe qui en face, alors, ça aurait pu être vrai, d'ailleurs ça l'était, simplement, elle ne l'aurait jamais exprimé ainsi si ça venait du coeur, la première version lui ressemblait bien mieux.
Elle devrait faire du théâtre, vous ne croyez pas? Ce coup ci, pas de visage baissé ni humble, elle fixait Arthur droit dans les yeux, amusée, un brin de complicité au fond du regard, se demandant si il jouerait le jeu. Et si Silec n'allait pas bondir du fond de la salle avec un serment pareil.

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Lamalice
Il y avait de ça quelques jours on lui avait remis un pli personnel, scellé par le sceau ducal. Malice intriguée le lut et sa première réaction fut un sourire amusé. De toute évidence il y avait erreur sur la personne. Faire allégeance alors qu'elle n'est pas noble, diantre ! Pas qu'elle ne veuille pas reconnaitre Arthur comme leur Duc, bien au contraire, il avait acquis sa confiance il y a bien longtemps déjà et la bourgmestre et amie ne pouvait être que satisfaite du résultat des urnes. N'empêche, jamais encore elle ne s'était rendue officiellement à cette cérémonie. Comme bon nombre d'habitants, elle avait eu l'occasion de regarder et d'écouter quelques instants histoire de satisfaire une curiosité naturelle, mais à vrai dire, elle restait toujours près de la porte et se sauvait très vite, ne s'y sentant pas du tout à sa place.
Renseignements pris, on lui avait répondu que la remise d'un fief de mérite se faisait en même temps que les allégeances. Décidément elle avait tout à apprendre !

Le jour venu ce n'est pas sans fébrilité ni appréhension qu'elle se prépara pour se rendre à Clermont. Elle choisit une jolie houppelande, sortit son collier de mérite... c'était le moment ou jamais de le porter, les grandes occasions étant rares et au quotidien elle avait bien trop peur de le perdre... mis un soin particulier à se brosser ses longs cheveux et abandonna son chignon ou sa natte habituelles en se contentant de les laisser tomber librement jusqu'au bas du dos. Se regardant elle se dit qu'il faudrait songer à couper une bonne longueur si elle ne veut pas un jour s'asseoir dessus. Hop hop, fallait se dépêcher, Taigi n'allait pas tarder à la rejoindre vu qu'il avait promis de l'accompagner. Le fait de savoir qu'il serait à ses côtés la rassurait déjà.

Bon, point trop n'en faut, je suis présentable, c'est déjà pas mal.

Plus tard... à Clermont.

Malice retrouva sans mal la grande salle et elle ne fut pas surprise d'y rencontrer quelques têtes connues. Mathilde était près du Duc, elle écouta sagement à la porte, eut un sourire amusé à sa deuxième tirade, se disant que même si certains esprits allaient encore trouver à redire, elle-même n'y voit qu'humour et sans aucun doute une réelle sympathie envers le Duc Régnant. Elle savait le mal qu'ils avaient eu parfois à s'entendre, et cela ne faisait que forcer le respect pour les deux personnages, d'avoir su apprendre à se connaître et se respecter. Lui fallait quand même faire quelques pas pour entre dans les lieux.

Elle salua Kory, Saku, Miss Anne, Liloote, Gav, Ana... Kami étant trop loin et occupé.

Bien le bonjour Mesdames. Contente de vous voir toutes ici, je me sens un peu moins perdue sur le coup.

Bien entendu elle fit ça à voix basse, enfin assez basse pour ne pas déranger la cérémonie.

Levio arriva aussi, elle lui adressa un sourire en guise de salut. Bon sang, elle n'était vraiment pas à l'aise.
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Arthurdayne
Réponse d'Auvergne, et Mathilde en parut agacée. L'agacement dans les yeux de Mathilde, il connaissait ça par coeur. D'un murmure, elle envoya son garçon rejoindre l'assemblée qui grossissait peu à peu, et se lança dans un nouveau serment, auquel Arthur ne s'attendait pas vraiment. Sourire en coin, il écouta l'hommage un tantinet exagéré, et comprit, par déduction, la nature du courroux de Mathilde, qui ne voyait sans doute pas l'intérêt de prêter à nouveau serment. Mais d'après les souvenirs d'Arthur, il lui semblait bien que si Mathilde avait prêté serment pour les fiefs dont elle avait déjà l'octroi, il lui fallait bien en prêter un second pour le fief que l'on venait de lui octroyer. Les aléas du protocole...

Lorsque Mathilde eut terminé, lui jetant un regard où brillait une lueur amusée, Arthur répondit d'abord par un sourire en coin de connivence.


Mathilde de Vaucanson, duchesse de Saint-Nectaire, comtesse de Bresteau, baronne de Loué, d'Allègre et de Mercoeur, Nous, Arthur Dayne, Duc du Bourbonnais-Auvergne par la grâce des urnes et la volonté du peuple, acceptons votre allégeance pour vos nouvelles terres de Chantelle. Vous faisons par là-même, par les pouvoirs que nous autorisent notre charge ducale, Duchesse de Chantelle, ajoutant ainsi ce fief de retraite à votre immense liste de titres.

Nous vous assurons également protection, justice, subsistance, et vous certifions également que jamais nous ne vous demanderons de pousser l'adoration jusqu'à vider vos veines de votre ducal sang. Nous nous en voudrions d'encore pâlir votre visage de porcelaine.

De même, nous vous assurerons le gîte et le couvert s'il nous arrivait d'avoir à solliciter vos conseils par temps de pluie, d'orage ou de neige.

Enfin, dans notre immense bonté, nous vous libérons de la fin de votre serment en octroyant la jouissance de votre dernier souffle à votre époux.


Ces mots prononcés, Arthur tendit la main pour saisir la couronne ducale du fief de Chantelle, et s'agenouilla à son tour pour en ceindre le chef de Mathilde, veillant à ne pas la mettre de travers, ou gâcher la coiffure de l'anoblie. Peut-être aurait-il dû, selon le protocole, apposer la couronne tout en restant debout, mais baste, le protocole n'avait pas mal au dos, lui.

Il se releva, pas mécontent d'avoir réussi à poser correctement la couronne ducale, et tendit ses mains pour aider Mathilde à se relever. Suivi l'accolade vassalique, enfin, pour sceller l'allégeance pour tous ces fiefs.


Puisses-tu gérer au mieux ces nouvelles terres, et profiter de cette retraite dont je soupçonne qu'elle ne sera pas bien longue... Prends tout de même le temps de regarder grandir ton petit chevalier.


L'accolade relâchée, il adressa un nouveau sourire en coin à Mathilde, avant de regagner le trône pour recevoir l'allégeance suivante.
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"Je vivais à l'écart de la place publique
Serein, contemplatif, ténébreux, bucolique."
Korydwen
Korydwen souriait aux uns et autres, voilà des mois qu'elle n'avait pu prester allégeances de vive-voix et autant dire qu'une occasion pareille ne se ratait pas, elle s'excusa auprès de Sakura après lui avoir répondu.

La forme la forme ! Et contente d'être rentrée ! Je vois qu'il y a une petite place, je m'y glisse et je reviens te parler ensuite.

Korydwen s'éclipsa et se dirigea vers le trône du roy Arthur, hum du Duc Arthur. Elle le gratifia d'un sourire en guise de salutation et posa un genou à terre. La vieillesse voulait qu'elle prenne son temps pour ne pas trop faire craquer ses articulations.

Votre grâce. Le bon jour.

Elle le regarda avant de continuer.

Moi Korydwen de Toggenburg-Marigny et au nom de mon époux Althiof de Toggenburg-Marigny retenu contre son gré chez les moines, Baronne de Cournon d'Auvergne, Dame de Mirefleurs et de Neschers, renouvelle ce jour mon serment pour les terres sus-nommées qui nous furent confiés à mon époux et moi-même par vos précédesseurs.
Je vous reconnais, Arthur Dayne, comme légitime régnant du Bourbonnais-Auvergne.
Je vous jure fidélité, conseil et aide armé durant votre règne.
Mon bras et celui de mon époux quand il sera libéré seront toujours au service de ce duché que nous aimons tant.
Si un conflit devait vous opposer à un tiers, je prendrai cause pour vous.
Cependant si un conflit devait vous opposer au Roy de France Sa Majesté Nicolas Ier, je prendrai cause pour lui au vue du Comté d'ile de France de mon époux.

Je vous souhaite, Messire Duc un mandat se déroulant de la meilleure façon qui soit.


Bancal ? Ou plutôt Korydwenal. Mais le "je" était important, parce qu'elle était toute seule dans sa tête. Après l'allégeance, il lui faudrait voir Auvergne pour cette histoire de Neschers. Elle ne comprenait pas, ne comprenait plus. Elle attendit une réponse d'Arthur en souriant. Ravie de voir un tel homme à la tête du duché.
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[img]En attente ![/img]
Mon suzerain c'est le plus meilleur de tout le royaume d'abord !
Arthurdayne
Troisième allégeance, troisième femme. A croire que la noblesse était d'essence féminine dans ce duché. Ou bien que les épouses étaient envoyées au front pour aller prêter serment au nom de leurs maris.

Korydwen vint donc à son tour ployer le genou devant le trône ducal. Une femme qu'il n'avait étonnamment que peu côtoyée, alors que tous deux comptaient nombre d'années au service de leur duché. En vérité, la seule proximité qu'ils avaient partagé avait été celle de l'équipe de soule ducale, lors de cette mémorable victoire au Grand Festival de la Couronne. Circonstances peu propices au débat d'idée ou tout simplement pour faire amplement connaissance. Au vrai, il connaissait surtout Korydwen par relations interposées, relations en qui il avait toute confiance, et dont il se fiait sans peine au jugement.

Lorsque Korydwen eut terminé son hommage, Arthur prit la parole.


Korydwen de Toggenburg-Marigny, Baronne de Cournon d'Auvergne, Dame de Mirefleurs et de Neschers, Nous, Arthur Dayne, Duc de Bourbonnais-Auvergne par la grâce des urnes et la volonté du peuple, acceptons ce jour et devant cette assemblée pour témoin, le renouvellement de votre allégeance, en votre nom et en celui de votre époux.

En retour, nous vous garantissons protection, justice et subsistance pour vous, votre époux et vos gens. Nous savons pouvoir compter sur votre épée et celle de votre époux en cas de conflit.


Quittant le trône ducal, il offrit son bras à Korydwen, et pour la troisième fois de cette journée, scella l'hommage par l'accolade vassalique.

Merci Kory. J'espère également que ce mandat se déroulera au mieux, malgré des débuts compliqués. Puisse le duché toujours pouvoir compter sur des gens comme vous deux.

Et il regagna le Trône ducal, espérant que ses genoux tiendraient le choc, avec tous les allers retours qu'ils feraient encore avant la fin de la journée.

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"Je vivais à l'écart de la place publique
Serein, contemplatif, ténébreux, bucolique."
Gav
Répondant aux salutations des uns et des autres, c'est d'un œil distrait qu'elle suit la cérémonie. Cependant, lorsqu'Arthur raccompagne Kory, Gav se lève et s'avance.

Sourire et révérence
Votre Grâce, je vous renouvelle toutes mes félicitations pour votre élection, ainsi que mes souhaits pour un mandat fructueux.

Un renouveau qui promet de donner du souffle au duché. Puis, genou à terre, elle entame son serment d'allégeance. Les opales fixées sur les yeux du Duc, elle le prononce, sourire perdurant.

Moi, Gwenvred Aouregan Vefa d'Ormeaux, dame de Menat, renouvelle ce jour mon serment pour la terre de Menat. Je vous jure fidélité, conseil et aide armée durant votre règne. Si un conflit devait vous opposer à un tiers, je prendrais cause pour vous mais si un conflit devait vous opposer au Roi de France, je prendrais cause pour lui.
Malvinas
Malvi avait laissé les enfants à la nourrice et se rendit à la cérémonie d'allégeance, seule, son époux étant parti bien avant elle pour préparer la journée.

Elle salua les personnes présentes et alla vers Auvergne pour l'embrasser, ah ben non trop de monde déjà, tant pis elle attendrait la fin de la journée.

Coucou mon cœur, bon courage, je t'abandonne un instant, je vois que le Duc n'est pas occupé et je vais en profiter.

Elle ploya donc le Genou devant Arthurdayne.

nous, Malvinas de Mialans, Dame de Banson et de Clavières-sur-Alagnon en Bourbonnais-Auvergne, nous vous reconnaissons ArthurDayne, comme légitime régnant du Bourbonnais-Auvergne, et comme tel, comme notre suzerain.

Que nous vous devons désormais fidélité, aides et services armés et conseil,

Que si un conflit venait vous opposer vous, ArthurDayne, Duc du Bourbonnais-Auvergne, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.


Elle espérait que ca n'allait pas durer trop longtemps, car même si son ventre n'était pas encore énorme, on commençait à voir que Malvi attendait un bébé, et la position à genoux n'était pas sa préférée dans ces conditions.
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Korydwen
Elle écouta attentivement le duc, ravie de le voir sur le trône, elle le savait sage et posé, cela ferait du bien au Bourbonnais-Auvergne. Chaque régnant avait son tempérament et Korydwen préférait les calmes, elle essayait à son tour de l'être de garder le plus possible à l'intérieur d'elle-même ce feu hispanique qui ne demandait qu'à sortir, il était parfois compliqué de le maîtriser, mais l'âge aidant elle savait qu'elle finirait par le devenir presque.

Elle sourit, celle de son époux, si elle arrivait à le libérer ce qui n'était pas une mince affaire pour le coup, mais elle savait qu'elle y parviendrait, elle avait plusieurs idées en tête. Elle attrapa le bras que lui offrit le Duc et se releva et une accolade une ! Elle le gratifia d'un sourire, les baisers de paix, elle n'aimait pas, elle n'aimait que les baisers d'Althiof... Enfin là était un autre sujet.


Merci à vous.

Et de s'incliner, touchée par les paroles du Duc et de se reculer, mais à peine s'était-elle reculé qu'une rectrice, Gav, de son état et une dame Malvi en état de ... Femme enceinte. Le choc des titans ! Le choc de ces dames. Elle se recula en esquissant un large sourire ! Et de retourner vers ses amis.
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[img]En attente ![/img]
Mon suzerain c'est le plus meilleur de tout le royaume d'abord !
.mathilde.
Elle était restée à le fixer délibérément, amusée et quelque peu provocante, mais son regard changea du tout au tout, lorsque Arthur ploya le genou devant elle, se mettant alors à son niveau, pour ceindre sa tête de la couronne ducale. L'humilité et l'honneur pouvait s'apercevoir aux creux de ses pupilles, les remerciements aussi, mais ce regard, seul le duc pouvait le lire, si proche en cet instant. Une fois l'anneau doré déposé, elle attrapa les bras tendus d'Arthur avec délicatesse pour se redressée à son tour. Puis vint l'accolade vassalique, qui secrètement, mais pas très discrètement, se transforma en doux câlin. De ceux qu'elle adorait faire à Arthur lorsqu'ils bossaient ensemble et qu'il apaisait tous ses maux.

Mais malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin, et rapidement, une autre personne vint prendre sa place. Sauf que... théoriquement, elle devait recevoir le contreseing de son anoblissement. Et c'est donc vers Auvergne qu'elle se tourna, pour obtenir le précieux papier scellé de sa part.


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Arthurdayne
Et deux allégeances pour le prix d'une! Malvi et Gav s'étaient avancées en même temps, déterminées l'une comme l'autre à être la prochaine à s'agenouiller. La première, il l'avait connue du temps où elle était CaC. La seconde était depuis longtemps maintenant le visage de l'université. Deux femmes de qualité, qu'il tenait en estime. Sourire en coin, amusé de la situation, Arthur choisit de recevoir les deux allégeances, tant pis pour le protocole. S'il fallait vraiment que l'une refasse la sienne, Auvergne interviendrait.

Que d'empressement, dames. J'ignorais disposer d'un tel magnétisme.

Reprenant son sérieux, il revint au protocole. Gav tout d'abord, qui avait eu un chouïa d'avance. Sauf que... sauf qu'il la connaissait sous le nom de Gav, et il avait eu beau lire les noms entiers, passer des heures à tous les apprendre dans le détail, tout comme il avait fait des titres de noblesse, etmême l'entendre le dire quelques minutes avant, Gav n'avait pas un nom des plus faciles à retenir. Quand on connaissait la pitoyable mémoire d'Arthur en ce qui concernait les noms...

Quelques secondes de silence hésitant, et il tenta le coup.


Gwenvred... Aou... Aouregan Vefa... d'Ormeaux...

Pas de souffle retenu, pas de regard en coin acéré, c'est qu'il ne s'était pas trompé...

Gwenvred Aouregan Vefa d'Ormeaux, dame de Menat, Nous, Arthur Dayne, Duc du Bourbonnais-Auvergne par la grâce des urnes et la volonté du peuple, acceptons ce jour le renouvellement de votre serment pour le fief de Menat. Nous vous garantissons en retour, au nom du Bourbonnais-Auvergne dont nous sommes aujourd'hui la voix, protection, justice et subsistance pour vous, vos gens et vos terres.


Il se leva, offrit son bras à Gav, et en avant pour une nouvelle accolade vassalique, et quelques mots à l'oreille.

Pardonne moi si j'ai buté sur ton nom. J'en ai eu tellement à retenir pour cette journée, sans parler des titres... Poursuis ton travail à l'Université, je sais que tu y fais merveille. J'espère que ton hôtel avance bien et ne créé pas trop de remous à Clermont. Je suis sûr que tu as suivi les conseils que je t'ai donnés concernant les embauches...

Et plutôt que de retourner occuper le siège ducal, il choisit de recevoir l'autre allégeance debout, histoire de ne pas faire attendre Malvi plus longtemps, d'autant qu'il décela, en posant les yeux sur elle, le léger renflement qui naissait au creux de son ventre, et trahissait un heureux évènement. Ou qu'elle avait abusé de la bonne chère. Mais il ne croyait guère en la seconde hypothèse.

Malvinas de Mialans, Dame de Banson et de Clavières-sur-Alagnon, Nous, Arthur Dayne, Duc du Bourbonnais-Auvergne par la grâce des urnes et la volonté du peuple, acceptons ce jour et devant cette assemblée pour témoin votre allégeance au pouvoir ducal, dont nous sommes aujourd'hui le représentant. Nous vous assurons en retour protection, justice et subsistance pour vous, vos gens et les terres dont vous et votre époux avaient reçu l'octroi.

Nouveau bras tendu, pour aider Malvi à se relever, et nouvelle accolade vassalique.

Félicitations pour cet heureux évènement qui se profile au creux de ton ventre. Notre duché a bien besoin de se repeupler un peu... Je ne vais pas m'éterniser si près de toi, ton époux risque d'en prendre ombrage, et s'il me poignarde avant la fin de la cérémonie, ça va fiche le bazar...

Sourire en coin échangé avec Malvi, et il regagna le Trône ducal, attendant la prochaine allégeance. Peut-être un homme, enfin? A moins que les nobles du genre masculin fussent particulièrement galants en Bourbonnais-Auvergne?
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"Je vivais à l'écart de la place publique
Serein, contemplatif, ténébreux, bucolique."
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