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[RP] Cérémonie d'allégeance, Septembre 1461

Lamalice
Malice rejoint ses proches les jambes un peu mollassonnes mais qui malgré tout la soutienne ! Le contrecoup sans doute, la pression qui retombe. C'est son amie Hulrika qui la reçoit la première. Hul, celle dont elle a fait plus ample connaissance en chambre des maires et qui lui avait de suite plu avec son bagout, sa façon de travailler, son investissement et intérêt réel afin d'aller toujours de l'avant, celle qui ne se contentait jamais de vagues explications style "c'est ainsi ou comme ça" mais qui voulait toujours comprendre, celle avec qui elle passait des heures à débattre. Certes elle est parfois un peu fantasque, garçon manqué tout comme sa fille adoptive Méjo avec qui elle avait sympathisé, et si elle manquait encore parfois de pondération, dès qu'il s'agissait de travail elle devenait très appliquée et sérieuse. ... forcément les deux là étaient faites pour s'entendre. A vrai dire Hulrika lui rappelait étrangement une autre jeune femme... elle il y a quelques années de là, mais elle se gardait bien de le lui dire, sous peine de ne plus pouvoir la houspiller.

Etreinte là encore chaleureuse, et bien qu'Hul ne voit pas toujours la noblesse d'un bon oeil et qu'elle l'avair oh combien de fois taquinée à ce sujet, Malice sut que ses félicitations étaient sincères tout comme l'était sa joie de partager avec elle ce moment.

A voix basse afin de ne pas troubler la suite de la cérémonie...

Merci Hul, c'est vraiment gentil à toi d'être venue pour me soutenir et partager ce moment avec moi. Mais hum... ne commence pas à me taquiner avec des Dame par ci par là hein ! Ne me fais pas déjà regretter d'avoir accepté, puis rhoo je n'ai pas changé et ne compte pas le faire... se regarde... enfin j'suis juste un peu mieux habillée pour la circonstance.

Petit rire étouffé... et toujours à voix basse.....

Dites... Arthur il m'a bien dit qu'il allait pourvoir à ma subsistance ? Et bien j'ose espérer qu'ils ont prévu un beau buffet, c'est que les émotions ça creusent. J'ai faim !

Tout en échangeant ces quelques paroles, Malice après voir déposer un discret bisou sur les lèvres de Taigi, lui avait pris le bras, les jambes ne se dérobaient pas, mais un appui n'était pas de refus. Elle avait totalement oublié d'aller vers Auvergne, mais à ne pas en douter, ils trouveraient le temps de finaliser et elle le remercierait pour sa présence et ses conseils. En attendant, elle allait regarder et écouter sagement les autres intervenants... enfin s'il y en avait. Après tout elle était peut-être bien la dernière, elle ne savait plus, son esprit est tout bonnement déjà reparti dans ses réflexions personnelles.
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Mejoada
On ne peut pas dire que les mondanités c'était sa tasse de thé, mais elle avait fait l'effort, elle s'était préparé à sa façon, sans chichi, habillé presque comme un homme, des cheveux toujours dans le même état qu'on réveille.

Toutefois elle était propre, elle avait pris tout son temps à barboter dans une grande bassine d'eau chauffée, manquerait plus quelle sente mauvais pour un si beau jour.

Finir son habillement par enfiler ses bottes et mettre un châle sur ces épaules avant de se rendre aux écuries de la ville, louant un cheval pour se rendre à la capitale, là où avait lieu la cérémonie, même pas une demi-heure de trajet.

elle laisse l'animal au palefrenier, lui laisse quelques pièces avant de ce précipité dans la grande salle prévu aux festivités, se trouvant un coin à l'abri dans le fond de la pièce, juste au moment où on prononce le nom de sa mère, elle sourit et observe de loin, ce titre elle le méritait, elle avait tant bossé qu'il était légitime qu'elle soit récompensée.

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.mathilde.
Mathilde, dont Arthur avait promis qu'il lui laisserait dire deux mots pour les anoblissements dont elle avait fait la demande, eu le coeur brisé.

Elle était heureuse pour les 3 demoiselles, mais elle aurait aimé leur expliqué, à toute les trois, avec son coeur, ce qui a motivé ses demandes.

Bref, elle récupéra son fils dans les bras de Missanasthasia en vue de quitter la salle. Trop de souffrance pour elle en cet instant.

Mais bon, comme de toute façon monsieur le duc ne semblait pas comprendre l'intérêt quelle portait à certaines choses ces derniers temps alors..

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Lamalice
A moitié perdue dans ses pensées, Malice revint dans le monde des vivants en apercevant Mathilde ou plutôt en entendant un babillage enfantin qui lui fit tourner la tête vers celle qui avait proposé son nom pour l'octroi des fiefs. Mais où va-t-elle ainsi ? peut-être que le bambin devient impatient et elle préfère quitter la salle ? Ne pouvant décemment pas la laisser partir sans la remercier et ne sachant pas si la Duchesse reviendrait ou pas, Malice lâcha le bras de son homme et en quelques enjambées et louvoiement entre les personnes présentes alla la rejoindre juste à temps avant qu'elle ne quitte les lieux.

Mathilde ?... hum plus bas la voix Malice, plus bas Tu nous quittes déjà ? Le petit bonhomme s'impatiente ?

Un grand sourire au fiston, une caresse du revers d'un doigt sur sa joue "coucou p'tit bonhomme ! dis donc qu'est-ce que tu es un beau dis-moi"

Je n'ai jamais eu l'occasion de voir les tiens, mais en voilà un bien beau Mathilde, félicitations. Tu vas revenir ? Il ne reste pas Liloote à entendre ? J'avoue que je suis un peu perdue avec tout ce monde. Quoi qu'il en soit, j'attendais la fin de la cérémonie pour venir te rejoindre. Je tiens à te remercier d'avoir proposé qu'on m'attribue un fief de mérite, le seul que je pouvais éventuellement accepter comme tu le sais. Tu as vu, j'suis allée jusqu'au bout, je n'allais pas te faire l'affront de refuser mais hum... si tu savais les valses hésitations que j'ai eues. Sur le coup t'es pas ma suzeraine mais bon hein, tu me connais un peu, ça n'a rien à voir avec toi personnellement puis dis... sans doute qu'un jour tu seras à nouveau sur ce trône et nous saurons en sourire.

D'un petit mouvement de tête à peine perceptible, Malice dans l'encoignure de la porte grande ouverte jetait un oeil en direction du trône pour voir si la prochaine personne arrivait. Elle ne voit rien, n'entend pas grand'chose... faut dire qu'elle n'est pas bien grande et beaucoup de têtes dépassent la sienne.

J'espère que tu seras des nôtres pour lever nos verres et trinquer. je ne compte pas rentrer sur Thiers sans avoir profité de l'occasion pour faire la fête.

A vrai dire tous les prétextes sont bons pour faire la fête, celui-ci ne fera certainement pas exception. Il risquait fort de servir par deux fois, la première à Clermont et la deuxième à Thiers, son vrai "fief" sa maison, sa famille, ses amis et tous les villageois qui devaient l'attendre de pieds fermes.
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Ilan.
Assit à une table de la taverne de sa tante au côté de Bertille sa vieille nounou, devant eux, un parchemin vierge, un pot d'encre ouvert, le couvercle posé juste à côté et une plume que tenaient les doigts d'une main posé sur la table, juste sur la bordure droite du vélin, le mini blond se tenait accoudé lui-même à la table, fixant d'un air très sérieux le feuillet vierge, levant de temps à autre les yeux vers la nourrice.

- vi alors on va commencer par chère tata de l'amour.
- Pis après on peut lui dire que je le va krès bien et que elle me manque krès krès beaucoup.


Posant la tête dans ses mains, il regarde la nounou qui trace les mots sur le parchemin, se penchant un peu en avant pour vérifier qu'elle notait bien ce qu'il disait, comme-ci il savait lire et écrire, la bousculant à chaque fois ce qui donner lieu à de grandes ratures sur le vélin qui finissait par devenir très peu lisible, obligeant la nounou à recommencer sur un nouveau parchemin, une main essayant de contenir le mini blond en la posant sur son épaule, pour le tenir ainsi éloigner de la feuille.

Citation:
Chère tata de l'amour,

J'espère que tu vas bien, parce que moi oui je vais très bien.
j'aime beaucoup la ville ou j'habite et les gens sont très gentil avec moi et même qu'y a deux femmes qui se disputent pour que j'épouse leurs filles.

Je fais ma prière tous les soirs et j'y demande que tu ailles bien et que tu sois heureuse loin de moi, même si souvent ça me rend triste de plus pouvoir te bisouiller.

Ici, je prépare une course de cochon où y aura plein de concurrents qui vont y participer et que même la comtesse viendra dans la tribune pour nous encourager, j'ai même fait une partie de bousculade dans la lice, qu'on avait rendue boueux pour pas que je me blesse, c'était trop marrant.

Bon, je ne vais pas trop écrire, sinon j'aurais plus de quoi écrit pour la prochaine fois, enfin si j'ai eu vent par Méjo qui m'a envoyé quelques petits biscuits de sa fabrication que tu avais eu un joli titre, alors je voulais te féliciter.
À très bientôt ma tata de l'amour, je t'aime très très fort.

ilan


Après avoir terminé de rédiger le message dicté par les soins du jeune homme, et mal grès toutes quelques tâches et ratures prouvant la difficulté de la chose, la vieille nounou roula le Vélin, y nouant autour un joli ruban rose choisi par Ilan et glissant par la même occasion une jolie rose bien rouge, attachant le tout à la patte d'un pigeon qu'elle laissa s'envoler pour mener à bien sa mission, délivrer le message à Malice de Thiers.
Kami.
Et puisqu'il fallait conclure avec les anoblissements.

Que s'avance Dame Liloote pour ployer le genou.

Attend qu'elle s'approche et reprend.

Dame Liloote, vous voici devant le Duc du Bourbonnais-Auvergne.
Le genou ployé, il vous demandera si vous acceptez de devenir sa vassale. Vous pouvez refuser et nous nous arrêterons là. Sinon dans le cas où vous acceptez, vous devrez prêter allégeance à la couronne ducale pour le fief qui vous aura été octroyé, à savoir la seigneurie de Valeilles.


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Citation:

    Nous, Ingeburge d'Euphor, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons à tous présents et à venir :

      Qu'en vertu des coutumes et lois héraldiques royales et après consultation et votation du Collège Héraldique de France, validons et contresignons la demande de Sa Grâce .Mathilde. de Vaucanson, duchesse du Bourbonnais-Auvergne, quant à l'octroi d'un fief de mérite sur les terres de Bourbonnais-Auvergne à Lamalice.

      Qu'après recherches héraldiques dûment étayées et validées, confirmons que le fief de Servilly est bien fief mouvant du duché du Bourbonnais-Auvergne.

      Et qu'en conséquence de quoi, dame Lamalice se voit octroyer le fief de mérite de Servilly, érigé en seigneurie et portera, après prime allégeance en bonne et due forme, « d'azur, au hibou d'argent, au chef du même chargé de trois angennes du champ », soit après dessin :




      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le vingt-sixième jour d'août de l'an de grâce MCDLXI.




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Liloote
Liloote ayant assisté sagement à la cérémonie et les regardant prêter allégeance au duc tour à tour, s'approche et ploye le genou.

Votre grace, je ne suis pas prête pour le moment d'accepter. Je vous remercie de cette attention




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Taigi
Taigi avait assisté à l'anoblissement de Malice avec une certaine émotion. Il l'avait regardé s'avancer, ployer le genou devant le Duc, déclarer son allégeance, bref... tout le cérémoniel avait été respecté, et elle avait tenu bon jusqu'au bout! Elle qui avait tant douté du fait d'accepter ce fief de mérite, elle devenait maintenant dame de Servilly.

Le rituel fini, elle rejoignit l'assemblée, il s'avança pour la retrouver, il salua d'un sourire amical Hulrika qui s'était aussi rapprochée pour saluer et féliciter son amie. Il les laissa se serrer dans les bras, et Taigi s'approcha à son tour de Malice, offrit son bras à sa belle avant de l'embrasser tout sourire.
Il se pencha vers elle pour lui chuchoter quelques mots.


Félicitations ma belle, je suis très heureux pour toi, et très fier également.

Il la vit ensuite se diriger vers Mathilde, comme pour la rattraper avant qu'elle ne parte... Il laissa les deux femmes échanger quelques mots en toute discrétion, et continua à assister à la fin de la cérémonie, espérant qu'ils pourraient tous fêter comme il se doit, cet anoblissement.
.mathilde.
Alors qu'elle s'apprêtait à suivre du fond de la salle la dernière allégeance pour être la première à s'enfuir des lieux, Malice arriva vers elle.
Même si elle n'avait pas du tout le coeur à croiser du monde, elle ne pouvait pas lui refuser grand chose. Ne serait ce que pour tout le respect qu'elle avait pour elle, elle évita de se fermer comme une huître sauvage.

Il était vrai, que bien peu de monde avait pu remarquer les enfants de Mathilde, pour une raison très simple : elle estimait ses dé traqueurs politiques bien trop tordus, et dotés de mauvaises intentions, pour y exposer ses petits anges.
Un sentiment de douceur envahit le coeur de Mathilde lorsque la blonde Thiernoise caressa la joue du petit homme, et que lui, du haut de ses deux ans, adorant déjà les filles, lui répondit d'un grand sourire charmeur avec sa petite bouille encore toute joufflue.
Un jour elle présenterait à Malice sa petite troupe, d'autant que, bien cachés, deux sommeillaient en elle, sans qu'elle en connaisse le nombre. Elle savait juste, qu'elle était enceinte. Et oui, encore.
M'enfin pour le verre, c'était donc rapé, d'autant qu'elle n'avait aucune envie de faire la fête.

Suite aux questions et remarques de Malice, Mathilde sourit tendrement et déposa un long baiser sur la joue de son amie, tout tendre.


Je suis contente qu'ils aient gardé le blason.
Quand à Merlin, il est plus patient que sa mère.


Sous-entendu, que c'était elle qui souhaitait partir, non lui. Lui, il serait resté voguer entre les robes des grandes dames toute la soirée si elle ne l'avait pas repris des bras de Miss. Bras qu'il semblait d'ailleurs adorer.
Et, pas le temps de répondre pour Liloote, pour qui elle serait bien entendue restée, que le verdict tomba. Elle refusait le fief.
Dommage selon Mathilde, elle le méritait amplement au vu de son parcours. Une autre fois peut être.

Et donc, elle lança un regard entendu à Malice, pour lui signifier, qu'il n'y avait plus rien à voir, et donc, plus aucune raison de rester.


Une prochaine fois pour le verre.

Un sourire, ce n'était pas contre elle. Et pour bien insister une dernière fois sur un point dont elles avaient longuement parlé, elle ajouta.

Merci.
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Arthurdayne
Le dernier anoblissement prévu était celui de Liloote, qu'Auvergne appela à venir ployé le genou. La concernée s'exécuta, mais Arthur n'eut pas le temps de lui proposer le fief qu'elle le refusa. Songeur, il gratta machinalement la balafre à sa pommette gauche, se demandant quels mots trouver. Le protocole, en fait, ne disait pas grand chose là-dessus. Qu'avait dit Petitrusse quand lui-même avait refusé son fief de mérite? Il ne s'en souvenait pas...

Dame Liloote, Nous, Arthur Dayne, Duc du Bourbonnais-Auvergne par la grâce des urnes et la volonté du peuple, prenons acte de votre refus de vous voir octroyé un fief de mérite. Nous respectons votre choix, et savons que les raisons que vous poussent à refuser sont des plus honorables.

Et il n'est nul besoin de me remercier. La demande de fief a été faite par mon prédécesseur, Sa Grâce Mathilde, c'est à elle que doivent être adressés vos remerciements. Je me joins néanmoins à elle, et considère que cette proposition de fief était tout à fait méritée. Pour autant, je comprends tout à fait que vous le refusiez, et souhaite que vous poursuiviez votre engagement au service du duché avec toujours autant d'implication.


Sur ces mots, il descendit une nouvelle fois, et aida Liloote à se relever. Qu'elle ne se relevât pas noble n'ôtait rien à sa valeur, et cela ne le dispensait de toute façon pas de la plus élémentaire galanterie.

Une fois Liloote relevée, il regagna le Trône. Restait-il encore quelques allégeances à faire de vive voix? Ils pourraient sinon passer aux allégeances reçues par missive.

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"Je vivais à l'écart de la place publique
Serein, contemplatif, ténébreux, bucolique."
Kami.
Kami regarda ses petites notes devant lui et la salle...il ne restait donc plus qu'une allégeance à passer mais Clothilde semblait dormir. Il en profita pour se tourner vers le duc.

Votre Grâce, en attendant que Clothilde ne se réveille, voici le meilleur moment de la journée...ou pas. Je vous laisse répondre aux différents courriers que voici !

http://www.servimg.com/image_preview.php?i=724&u=10017891

Citation:
A Sa Grâce Arthurdayne,
Paisibles salutations.


Soyez assuré qu'en notre absence, il ne faut voir aucune provocation, aucun dédain, pas même l'once d'un manque de respect. Nous sommes absent de ce genre de mondanités depuis de trop longs mois, et ne souhaitons pour l'heure pas y prendre à nouveau part. Par ailleurs, nous nous satisfaisons de votre accession au trône, celle-ci n'aura ainsi pas profité aux opportunistes estivaux habituels. Par chance, Aristote conserve encore un œil attentif sur les terres du Bourbonnais et d'Auvergne.

Ceci étant dit, puisque votre temps se veut sans doute précieux, nous irons à l'essentiel.

Et par la présente, vous reconnaissons Duc du Bourbon-Auvergne. En vertu de quoi, pour les terres de Mauriac, Combrailles, Vic-en-Auvergne et Balsac, jurons fidélité, conseil, aide et service armé à notre aimée Province, aujourd'hui par vous représentée.


Rédigé à Combrailles, le deuxième de septembre mil quatre cent soixante-et-un,
Et afin que nul n'en conteste la valeur, y apposons signature et sceau.


Semias de Marigny,
Duc de Mauriac, Combrailles et Vic-en-Auvergne,
Baron de Balsac.


[En attente de livraison de sceau, de blason, tout ça, tout ça...]


Citation:
De nous, Lexhor d'Amahir, Duc d'Alluyes, Baron de Château Landon, d'Auneau et de Yèvre-le-Chastel, Seigneur de Pleaux, Grand Maître de France et Pair de France,

A Auvergne,
A sa grâce Arthurdayne, Duc du Bourbonnais-Auvergne,

Salut en notre seigneur.

Nous tenons tout d'abord à nous excuser de nous adresser à vous par la voie épistolaire, mais nos charge de Héraut d'Armes Royal d'Orléans et de Grand Maître de France nous amènent à séjourner entre Orléans et Paris, et nous ne pouvons malheureusement pas nous déplacer en personne pour vous prêter allégeance comme il se doit.

Ainsi, par la présente nous, votre vassal, pour nos terres de Pleaux, vous reconnaissons, vous, Arthurdayne, comme notre suzerain et Duc du Bourbonnais-Auvergne.
Ainsi, nous vous jurons fidélité, aide et conseil et réaffirmons, par la présente, notre attachement et notre entière dévotion au Bourbonnais-Auvergne et à son peuple.

Nous sommes bien conscient des sanctions auxquelles nous nous exposerions, si, par un courage téméraire nous venions à bafouer notre allégeance et braver ainsi la volonté divine.

Afin que notre serment ne puisse souffrir d'aucune contestation et que son authenticité en soit attestée, y apposons notre nom et notre scel.

Que le Très-Haut vous ait en sa Sainte Garde et qu'Aristote guide vos pas.

Cordialement,

Lexhor d'Amahir,

Prince de Montlhéry,
Duc d'Alluyes, d'Amboise et de Luynes,
Vicomte de Montbazon,
Baron d'Auneau, de Château Landon, de Vouvray et de Yèvre-le-Chastel,
Seigneur de Pleaux,
Grand Maître de France,
Pair de France.

Ce fut faict et scellé en double queue sur cire rouge le deuxième jour de septembre de l'an de grâce mille quatre cent soixante, à Orléans.




Citation:
A Arthur Dayne, Duc du Bourbonnais Auvergne

Quelle agréable surprise d'apprendre votre accession comme nouveau Duc du Bourbonnais Auvergne, et veuillez recevoir toutes mes sincères félicitations ainsi que mes excuses de ne pouvoir être la en ce jour de Septembre.Toutefois veuillez recevoir,par cette missive, mon renouvellement d'allégeance.


Nous, Benoit de Herstal, Seigneur de Combronde ,de Meillers et de Noyant d'Allier,renouvelons ce jour allégeance au Bourbonnais-Auvergne pour nos terres de Combronde.
et dès lors, vous reconnaissons Vous,Arthur Dayne, comme légitime Duc du Bourbonnais Auvergne.

Nous vous jurons ainsi aide (auxilium), conseil (consilium) et respect (obsequium).

Que s'il advenait qu'un conflit vous oppose vous, Arthur Dayne, Duc du Bourbonnais Auvergne, à un tiers, nous prendrions cause pour vous.

Que s'il advenait qu'un conflit vous oppose vous, Arthur Dayne, Duc du Bourbonnais Auvergne, à la Couronne de France, nous prendrions cause pour elle et le Royaume de France.

A Rodez, le 1er Septembre 1461






Citation:
A Sa Grâce Arthurdayne,
salutations.

Étant actuellement entre terres et mers, loin du Bourbonnais Auvergne, veuillez recevoir allégeances par courrier.


Par la grâce d'Aristote,
nous, sofio de Valmonte,

à vous, Arthurdayne, (je ne sais pas si il fallait noter le surnom en rapport avec les eaux du port de Moulins, dans le doute je m'abstiendrais )Duc du Bourbonnais Auvergne par la grâce des urnes,

salut.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Arthurdayne,, Duc du Bourbonnais Auvergne par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais fidélité (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous, Arthurdayne,, Duc du Bourbonnais Auvergne, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du très haut.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

nous sofio de Valmonte, vicomtesse d'Escorailles, dame du Mercurol en Bourbonnais Auvergne, a écrit et ratifié,

Le 1 er septembre 1461 , quelque part au sud des terres.

Qu'il en soit ainsi et heureusement.

(sceau perdu en attente de les refaire!)


Ivrel a écrit:
A Arthurdayne, Duc du Bourbonnais Auvergne

Nous,Ivrel, cardinal-évêque de Clermont et Dame des terres de Tournoël renouvelons ce jour allégeance au Bourbonnais-Auvergne, et dès lors, vous reconnaissons vous, Arthurdayne, comme légitime Duc du Bourbonnais Auvergne.

Nous vous jurons ainsi aide (auxilium), conseil (consilium) et respect (obsequium).

Que s'il advenait qu'un conflit vous oppose vous, Arthurdayne, Duc du Bourbonnais Auvergne, à un tiers, nous prendrions cause pour vous.

Que s'il advenait qu'un conflit vous oppose vous, Arthurdayne, Duc du Bourbonnais Auvergne, à sa Sainteté le Pape, nous prendrions cause pour ce dernier.

Fait sur la route d'Alexandrie, en ce jour du 20 Septembre 1461




SE Ivrel


Citation:
Nous, Chlodwig von Frayner et Elianor de Vergy, duc et duchesse de Bellesme et de l'Aigle, vicomte et vicomtesse de Jublains, baron et baronne de Lesparre, Castelnau de Medoc, Sillé le Guillaume, Mulsanne, Carlat et Chateau-Rouge,
Renouvelons ce jour notre allégeance au Bourbonnais-Auvergne à l'occasion de l'accession au trône ducal de Sa Grâce Arhurdayne.

A ce titre, nous lui jurons fidélité, aide armée et conseil pour nos terres de Carlat.

Puissions-nous recevoir en retour protection, justice et subsistance pour nous et les nôtres.

Ecrit et scellé à Reims le dix-huitième jour de septembre 1461



Rv007 a écrit:


De Hervé Maximilien d'Emerask dict Rv007, Seigneur de Viverols, de Beauvoir de Verrières et de Boucheron.

A sa Grâce Arthur Dayne, Duc du Bourbonnais-Auvergne.



Votre Grâce,


Par la présente, nous vous reconnaissons en tant que Duc du Bourbonnais-Auvergne élu par la grâce des urnes.

Nous, Hervé Maximilien d'Emerask dict Rv007, vous prêtons donc Allégeance en ce jour pour les terres de Viverols et de Beauvoir de Verrières.
Nous vous jurons fidélité (obsequium), aides et services armés (auxilium) et conseil (consilium).
Que si un conflit venait vous opposer vous, Arthur Dayne, à un tiers, nous prendrions cause pour vous.




Rédigé et scellé le 21 septembre 1461





Citation:

Qu'il soit entendu de tous que,

Moi, Léone Ardo du Galdo dit "Ninjaturtel", Baron de Glénat, Doyen du Bourbonnais-Auvergne, remercie le duché de lui avoir octroyé fief et vous reconnais vous Arthurdayne comme notre Suzerain.

Moi, Léone Ardo du Galdo dit "Ninjaturtel", Baron de Glénat, Doyen du Bourbonnais-Auvergne, remercie le duché de lui avoir octroyé fief, prête allégeance et jure fidélité.

Moi, Léone Ardo du Galdo dit "Ninjaturtel", Baron de Glénat, Doyen du Bourbonnais-Auvergne, remercie le duché de lui avoir octroyé fief, prête allégeance et jure aide et service armé.

Moi, Léone Ardo du Galdo dit "Ninjaturtel", Baron de Glénat, Doyen du Bourbonnais-Auvergne, remercie le duché de lui avoir octroyé fief, prête allégeance et jure conseil.

Pour que l'autorité de notre allégeance obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

En espérant que celui ci sera le plus adapté à la situation.

Nous, Léone Ardo du Galdo dit "Ninjaturtel", humble baron de Glénat en Bourbonnais-Auvergne, a écrit et ratifié, en ce 29éme jours du mois de juillet.


Bonne continuation.




Citation:
Nous, Theraph, seigneur de Gignat, tenons tout d'abord à s'excuser pour le retard. Nous, Theraph, seigneur de Gignat, prêtons ce jour allégeance et vous reconnaissons , vous , Arthur Dayne, comme légitime Duc du Bourbonnais-Auvergne .

Nous vous promettons de conserver notre fidélité envers le Duché du Bourbonnais-Auvergne , d'y adjoindre nos conseils (consilium) , notre soutien par les armes (auxilium) et notre respect (obsequium) .

Que si un conflit venait à vous opposer vous, Arthur Dayne, Duc du Bourbonnais-Auvergne, à un tiers, nous prendrions cause pour vous.

Que si un conflit venait à vous opposer vous, Arthur Dayne, Duc du Bourbonnais-Auvergne, à Sa Majesté, Roy de France, nous jurons que nous prendrions cause pour lui et le Royaume de France.

Nous Theraph , seigneur de Gignat en Bourbonnais-Auvergne, a écrit et ratifié,

Date en l'enceinte, le 23 septembre 1461.

Qu'il en soit ainsi et heureusement. Amen.

Theraph




Androlyne a écrit:
Mon cher Duc,

Avant de renouveler mon allégeance à mon Duché, je tiens à vous adresser toutes mes félicitations pour vous accession au trône du BA, trône que vous avez si souvent dénigré et bafoué quand vous clamiez haut et fort que vous n’aviez pas la prétention de tous ceux qui se battaient pour y accéder … comme quoi tout change même vous !
Jamais vous n’avez agi contre le duché mais bien contre ses dirigeants et à maintes reprises, et j’ose espérer qu’il reste encore dans notre beau duché quelques opposants aussi véhéments et de mauvaise foi que vous avez su l’être en d’autres temps et qu’ils savent vous en faire baver autant que vous l’avez fait lorsque j’étais Commissaire aux comptes et même Duchesse.
La roue tourne mon cher ami, mais la nature humaine non …
Je suis toujours prisonnière de Gmat et ses sbires et détenue en Berry, et même si je nourris une forte haine à mes geôliers ils ont au moins la décence de se comporter avec bien plus de respect et d’égard à mon encontre que le ramassis de nobliaux qui courent dans les couloirs de votre château.
Quand on sait que mon ancienne suzeraine, Laure de Troy pour ne pas la nommer, n’a eu de cesse que de céder aux pressions de ces mêmes nobliaux pour me destituer de mon fief du CHIER acquis par mon engagement en tant que mairesse pendant de nombreux mandats, tout comme vous, me semble t-il …. Vous comprendrez aisément que je préfère encore la compagnie des traines savates qui me séquestrent que les lèches bottes qui vous tournent autour comme des mouches autour d’un pot de miel … vous remarquerez que je vous compare à du miel …. Vous m’avez toujours paru au-dessus de toutes ces bassesses de cours, j’espère que vous ne vous y êtes pas conformées de part votre position ….
Sur ce, je vous souhaite un agréable mandat, et de vous préserver des vipères qui rodent … j’ai quelques noms …


Citation:

De Nous, Androlyne de Castellane-Marigny, Baronne de Thuret, Vicomtesse de Brossadol, Dame de Montaigu en Combrailles, et surtout toujours Dame du CHIER n’en déplaise à certains ….

A Arthurdayne, Duc du Bourbonnais-Auvergne,



Par la présente, Nous, Androlyne de Castellane-Marigny, Baronne de Thuret, Vicomtesse de Brossadol, Dame du Chier et de Montaigu en Combrailles, renouvelons notre allégeance au Bourbonnais-Auvergne pour les terres de Brossadol pour nous-même et celles de Thuret pour notre époux. Nous vous reconnaissons, Vous, Arthurdayne comme son Duc et notre légitime suzerain.

Nous vous jurons auxilium, consilium et obsequium.

Si un conflit venait à vous opposer à Notre Souverain, Sa Majesté le Roy de France Nicolas 1er, nous jurons que nous prendrions cause pour lui. Mais si un conflit vous opposait à un tiers, autre, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Signé et scellé à Bourges, le 27ème jour de septembre de l'an de grâce MCDLX.



_________________
Arthurdayne
Soupir. Allez, il fallait s'y mettre. Ce n'était en effet pas le moment le plus agréable de la journée, mais il se devait de répondre à chaque allégeance, ne serait-ce que par respect pour tous ceux qui avaient pris la peine de lui écrire.

Plume en main, encre prête, il commença sa longue course sur le parchemin.


Citation:

De Nous, Arthur Dayne, Duc du Bourbonnais-Auvergne,
A Vous, Jason, Baron de Vissac,

Salutations.

Nous avons pris acte de votre missive, et reconnaissons votre allégeance à la Couronne ducale, dont nous sommes le porteur provisoire. Nous vous garantissons en retour protection, justice et subsistance pour vous, vos gens et les terres dont vous avez reçu l'octroi.

Nous espérons que votre voyage se déroule au mieux, et que vous portez haut les couleurs du Bourbonnais-Auvergne en terres étrangères.

Fait au Château de Clermont, le quatrième jour du mois d'octobre mil quatre-cent soixante-et-un, signé et scellé comme il se doit, afin que nul n'en conteste la valeur.

Bien respectueusement,






Citation:
De Nous, Arthur Dayne, Duc du Bourbonnais-Auvergne,
A Vous, Semias de Penthièvre Balsac, Duc de Combrailles, de Mauriac et de Vic-en-Auvergne, Baron de Balsac,

Salutations,

Nous vous savons assez sage pour ne pas voir en votre absence une volonté de provocation. Nous ne comprenons que trop bien le besoin de se tenir à l'écart des mondanités.

Nous avons pris connaissance de votre missive, et reconnaissons votre allégeance à la Couronne ducale, dont nous sommes le porteur provisoire. Nous vous garantissons en retour protection, justice et subsistance pour vous, vos gens et les terres dont vous avez reçu l'octroi.

Nous vous remercions par ailleurs par l'estime que vous nous portez, et que nous vous assurons être réciproque.

Fait au Château de Clermont, le quatrième jour du mois d'octobre mil quatre-cent soixante-et-un, signé et scellé comme il se doit, afin que nul n'en conteste la valeur.

Bien respectueusement,





Citation:
De Nous, Arthur Dayne, Duc du Bourbonnais-Auvergne
A Vous, Lexhor d'Amahir, Duc d'Alluyes, Baron de Château Landon, d'Auneau et de Yèvre-le-Chastel, Seigneur de Pleaux, Grand Maître de France et Pair de France,

Salutations,

Vous êtes tout excusé, Nous savons le poids de vos charges et comprenons tout à fait qu'il vous soit plus confortable de vous adresser à nous par voie épistolaire. Nous n'en prenons nul ombrage.

Nous acceptons votre allégeance pour la seigneurie de Pleaux, et vous garantissons en retour protection, justice et subsistance pour vous, vos gens et les terres susdites.

Fait au Château de Clermont, le quatrième jour du mois d'octobre mil quatre-cent soixante-et-un, signé et scellé comme il se doit, afin que nul n'en conteste la valeur.

Bien respectueusement,





Citation:
De Nous, Arthur Dayne, Duc du Bourbonnais-Auvergne,
A Vous, Benoit de Herstal, Seigneur de Combronde, Meillers et Noyant d'Allier,

Salutations,

Nous vous remercions pour vos félicitations, que nous savons sincère. Vous êtes par ailleurs tout excusé pour votre absence, nous connaissons le poids des charges que vous occupez chez nos voisins.

Nous avons pris connaissance de votre missive, et reconnaissons votre allégeance à la Couronne ducale, dont nous sommes le porteur provisoire. Nous vous garantissons en retour protection, justice et subsistance pour vous, vos gens et les terres dont vous avez reçu l'octroi.

Fait au Château de Clermont, le quatrième jour du mois d'octobre mil quatre-cent soixante-et-un, signé et scellé comme il se doit, afin que nul n'en conteste la valeur.

Bien respectueusement,







Citation:
De Nous, Arthur Dayne, Duc du Bourbonnais-Auvergne,
A Vous, Sofio de Valmonte, Vicomtesse d'Escuriaches, Dame de Le Mercurol et de Castelpers,

Salutations,

Nous vous remercions de n'avoir pas utilisé tous les surnoms que la rumeur, infondée, nous donne. Les eaux du port de Moulins sont d'une qualité et d'une pureté exceptionnelles, et nous songeons à mander une enquête pour en vérifier la qualité. Il nous serait fort agréable de vous compter parmi les juges.

Nous avons bien pris connaissance de votre missive, et reconnaissons votre allégeance à la Couronne ducale, dont nous sommes le porteur provisoire. Nous vous garantissons en retour protection, justice et subsistance pour vous, vos gens et les terres dont vous avez reçu l'octroi.

Nous vous souhaitons également de poursuivre au mieux votre voyage, et de nous en revenir entière.

Fait au Château de Clermont, le quatrième jour du mois d'octobre mil quatre-cent soixante-et-un, signé et scellé comme il se doit, afin que nul n'en conteste la valeur.

Bien respectueusement,






Citation:
De Nous, Arthur Dayne, Duc du Bourbonnais-Auvergne,
A Vous, Ivrel, Cardinal Evêque de Clermont, Dame de Tournoël,

Salutations,

Nous avons pris connaissance de votre missive, et reconnaissons votre allégeance à la Couronne ducale, dont nous sommes le porteur provisoire. Nous vous garantissons en retour protection, justice et subsistance pour vous, vos gens et les terres dont vous avez reçu l'octroi.

Fait au Château de Clermont, le quatrième jour du mois d'octobre mil quatre-cent soixante-et-un, signé et scellé comme il se doit, afin que nul n'en conteste la valeur.

Bien respectueusement,





Citation:
De Nous, Arthur Dayne, Duc du Bourbonnais-Auvergne,
A Vous, Elianor de Vergy et Chlodwig Von Frayner, Duchesse et Duc de Bellesme et de l'Aigle, Vicomtesse et Vicomte de Jublains, Baronne et Baron de Lesparre, Castelnau de Medoc, Sillé le Guillaume, Mulsanne, Carlat et Chateau-Rouge,

Salutations,

Nous avons pris connaissance de votre missive, et reconnaissons votre allégeance à la Couronne ducale, dont nous sommes le porteur provisoire. Nous vous garantissons bien entendu en retour protection, justice et subsistance pour vous, vos gens et les terres dont vous avez reçu l'octroi.

Fait au Château de Clermont, le quatrième jour du mois d'octobre mil quatre-cent soixante-et-un, signé et scellé comme il se doit, afin que nul n'en conteste la valeur.

Bien respectueusement,





Citation:
De Nous, Arthur Dayne, Duc du Bourbonnais-Auvergne,
A Vous, Hervé Maximilien d'Emerask, Seigneur de Viverols, de Beauvoir de Verrières et de Boucheron

Salutations,

Nous avons pris connaissance de votre missive, et reconnaissons votre allégeance à la Couronne ducale, dont nous sommes le porteur provisoire. Nous vous garantissons en retour protection, justice et subsistance pour vous, vos gens et les terres dont vous avez reçu l'octroi.

Fait au Château de Clermont, le quatrième jour du mois d'octobre mil quatre-cent soixante-et-un, signé et scellé comme il se doit, afin que nul n'en conteste la valeur.

Bien respectueusement,





Citation:
De Nous, Arthur Dayne, Duc du Bourbonnais-Auvergne,
A Vous, Theraph, Seigneur de Gignat,

Salutations,

Votre retard est tout excusé.

Nous avons pris connaissance de votre missive, et reconnaissons votre allégeance à la Couronne ducale, dont nous sommes le porteur provisoire. Nous vous garantissons en retour protection, justice et subsistance pour vous, vos gens et les terres dont vous avez reçu l'octroi.

Fait au Château de Clermont, le quatrième jour du mois d'octobre mil quatre-cent soixante-et-un, signé et scellé comme il se doit, afin que nul n'en conteste la valeur.

Bien respectueusement,






Un peu ankylosée, la main s'arrêta, en même temps que le regard, alors qu'un sourire en coin naquît sur son visage. La prose était bien sûr reconnaissable, mais les mots lui posaient quelques problèmes.

Auvergne? Je ne sais pas vraiment quoi faire de la dernière missive. Sans parler des faits, difficiles à établir, je me demande si cette allégeance est recevable en l'état. Les mots y sont bel et bien, mais ce qui est autour m'interroge. Je passerai sur les sous-entendus à mon égard qui, bien que n'ayant guère leur place dans une missive d'allégeance, m'amuse. En revanche, la dame y dénigre également, et ce dans une missive officielle, la noblesse de notre duché, et même quelques nobles nommément.

Elle peut penser ce qu'elle veut, bien entendu... mais l'écrire dans une missive d'allégeance ne la rend-elle pas irrecevable? Par ailleurs, elle s'y attribue le titre de dame du Chier, titre qui lui a été retiré. Cette usurpation, de même, ne rend-elle pas l'allégeance illégitime?

_________________
"Je vivais à l'écart de la place publique
Serein, contemplatif, ténébreux, bucolique."
Kami.
N'ayant pas lu les différents courriers, Kami écouta Arthur avant de prendre le courrier...une légère moue s'afficha alors sur son visage.

Et bien en l'état je dirai que cette allégeance est recevable...donc il faut y répondre. En revanche pour ce qui est des insultes envers la noblesse et surtout l'usurpation, il faudrait déposer une saisine auprès du tribunal héraldique. Ce que l'on peut faire, c'est que je me renseigne rapidement auprès d'un héraut spécialiste en justice et je vous tiens au courant. Cela vous convient-il ?
_________________
Arthurdayne
Arthur écouta la réponse de Kami. Il se souvenait vaguement d'une allégeance au cours de laquelle Marty officiait comme Héraut, et qu'une allégeance jugée irrespectueuse avait alors été refusée. Le cas ne devait pas se présenter souvent, mieux valait en effet s'informer afin de ne pas commettre d'erreur.

Faisons ainsi, Auvergne. Le mieux est en effet d'avoir l'avis d'un spécialiste.

Pour continuer, je joins cette missive de Garcimore, que j'ai reçue en propre:

Citation:
• Expéditeur : Garcimore
• Date d'envoi : 08/09/1461 - 23:43:03
• Titre : Cérémonie d'allégeance
• Nous, Garcimore seigneur de Vicq vous reconnaissons, vous, Arthur Dayne, comme légitime Duc du Bourbonnais-Auvergne par la grâce des urnes.

Par la présente renouvelons notre allégeance à Dame Wonderanny d'Azayes.
Lui jurons fidélité (obsequium), aide et services armés (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait à l'opposer elle, Wonderanny d'Azayes, à un tiers, nous prendrions cause pour elle.

Que si un conflit venait à l'opposer elle, Wonderanny d'Azayes, au royaume de France, nous prendrions cause pour lui.

Fait à Lezhë le premier jour de septembre de l'an de grâce mille quatre cent soixante et un

Garcimore de Vicq


Il rédigea dans la foulée réponse au Seigneur de Vicq.

Citation:

De Nous, Arthur Dayne, Duc du Bourbonnais-Auvergne,
A Vous, Garcimore, Seigneur de Vicq,

Salutations.

Nous avons pris acte de votre missive, et reconnaissons votre allégeance à la Couronne ducale, dont nous sommes le porteur provisoire. Nous vous garantissons en retour protection, justice et subsistance pour vous, vos gens et les terres dont vous avez reçu l'octroi.

Fait au Château de Clermont, le quatrième jour du mois d'octobre mil quatre-cent soixante-et-un, signé et scellé comme il se doit, afin que nul n'en conteste la valeur.

Bien respectueusement,




_________________
"Je vivais à l'écart de la place publique
Serein, contemplatif, ténébreux, bucolique."
Fabien74
Le vicomte d'Hérisson, avant d'aller prêter allégeance avec son épouse retrouvée, répondît au jeune Padirotte:

Et bien Alban, voilà une maison dans laquelle on ne fait pas les choses à l'envers: s'instruire avant de s'engager! C'est ainsi avec la nouvelle génération, en mon temps l'on se posait moins de questions mais sans doute était-on moins bien préparés. L'avenir nous le dira, si un jour vous parvenez à accomplir votre destin, ce que je vous souhaite jeune homme.

Une légère accolade puis:

Venez donc nous rendre visite à Clermont avec vos parents, un jour prochain. Il y a bien longtemps que votre père n'a pu me rendre ses hommages.

La relève est là, semble-t-il!
Il était maintenant temps d'aller prêter allégeance, dirigé d'une main de maître par Noeline, Fabien se retrouva devant le duc, agenouillé. Allégeance faite par sa femme, le serment fût scellé par Arthur et chacun pût retourner en ses pénates.

En passant la porte de la salle du trône, le mari à la femme:


N'a-t-il pas un peu hésité avant de me donner l'accolade? Troublant, ce duc.
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