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[RP] Beau Bordel

Andrea.
        Kiss With a Fist

        You hit me once
        I hit you back
        You gave a kick
        I gave a slap
        You smashed a plate
        Over my head
        Then i set fire to our bed*

        de Florence Welch





    Comme tout était beau dans le meilleur des mondes.
    Un petit coin paisible au pied d'un pommier très certainement centenaire, un torrent d'eau fraiche traversant une vaste étendue d'herbe parsemée de rosée du matin.
    Et oui, bonne déduction, le bellâtre aurait donc le séant mouillé si il décidait de se rouler sans aucune pudeur dans cette pâture tel un porcelet à la recherche de fange bien odorante.
    Point donc d'humidification due à une activité physique liant bestialement un individu de sexe masculin susnommé "lui" et une individu'te' de sexe féminin, soit à peu de chose prêt une blonde, une brune, filiforme, poitrine opulente à en faire péter un canon de l'amirauté...
    Le jeune homme se perdait régulièrement dans ses pensées toutes aussi farfelues les unes que les autres et il n'était pas toujours facile pour ses proches de suivre le fil des ses discussions.

    L'air était chaud et on pouvait encore se contenter de tenues légères, une tunique de lin naturel entrouverte pour laisser respirer la fourrure Herculéenne de son torse. Oui, il faisait très chaud ce jour là !
    On dirait le Sud...

    D'un geste machinal, il balaya du revers de la main la petite étendue de chiendent pour s'y installer et vaquer à ses occupations -elles étaient moindres-.
    Après une légère flexion des genoux, il laissa son corps couler le long du tronc du fameux pommier. Profitant de l'instant pour exercer un mouvement de haut en bas et de pression sur l'écorce du fruitier, comme à la manière des ours -enfin, c'est ce qu'il lui semblait-.
    Parfois il en faut peu pour être heureux... vraiment très peu...

    Une fois fait, son derrière musclé moulé ostensiblement dans ses braies Diaizel taille XXXVI se posa légèrement sur le délicat coussin de verdure -humide donc-.
    La journée débutait et déjà le soleil inondait l'horizon.
    Tout présageait paix, tranquillité, sérénité et luxure.
    Le brun s'empara d'une pomme tombée prématurément au sol puis débuta un jeu idiot visant à faire tomber d'autres fruits par le choc des deux masses.
    Peut être qu'une pomme lui tomberait sur le coin de la tronche et qu'une révélation lui viendrait, qui sait ?

    Alors qu'il en était à son troisième essai, un jeune lapin traversa son champ de vision, un paysan à sa poursuite, bâton à la main.
    Andrea aurait pu héler le jeune crétin pour l'inviter à se garder de courir à l'aveugle dans ce terrain truffé de terriers.
    Il pesait encore le pour et le contre quand le chasseur en herbe se retrouva les quatre fers en l'air, le bâton emporté dans une danse tourbillonnante au dessus de sa tête.
    Cependant le jeune con dans un élan de lucidité, d'un geste fluide et gracieux, tel une danseuse du ventre Égyptienne, intercepta son arme le bras tendu vers les cieux.
    Y avait pas à dire, le petit avait de l'avenir dans le monde artistique, mais il n'en menait pas large dans l'art de la chasse. Pour la première fois peut être, un lapin avait presque tué un chasseur.
    Carrie Ingalls se redressa donc difficilement à l'aide de son bâton de bois puis quitta le champ de bataille tel les Berrichons en Limousin...

    Fixant les yeux au ciel, Andrea se remit en quête de rêvasseries.
    La journée ne faisait que commencer.




*Un baiser avec un poing

Tu m'a frappé une fois
Je t'ai frappé en retour
Tu as donné un coup de pied
J'ai donné une giffle
Tu as balancé une assiette sur ma tête
Puis j'ai mis le feu à notre lit

_________________
Lady_eden
"Beam Me Up"

There's a whole n'other conversation going on
In a parralell universe
Where nothing breaks and nothing hurts
Blades of grass on tiny bare feet
I look at you and you're looking at me
*



Comme tout lui semblait fade dans ce monde là...

Un autre matin sur la terre, un feu de camp quelque part en France, une ville en toile de fond se profile.Laquelle? On s'en fout!

La brune s'étire, un bras blanc, puis l'autre sortent du tas de fourrures où elle a passé la nuit, emmitouflée comme un petit animal qui a toujours froid.
D'ailleurs elle avait toujours froid depuis qu'il n'y avait plus les bras de celui qui était parti, celui contre la chaleur de qui elle se blottissait le matin partageant un moment tendre ou mutin.

Un frisson court le long de son échine malgré l'astre qui caresse la chair qu'elle dévoile,elle soupire pensant qu'il faut sortir du cocon et trouver un lac, une rivière pour débarbouiller les traces du sommeil..a défaut de pouvoir laver ses idées noires.

Dans un élan de courage, l' écossaise envoie valser les couvertures, sa chemise fine brodée de chardons se tend sur la poitrine pleine quand elle respire décrassant ses poumons des fumées acres du feu de la veille, pieds nus dans la rosée, elle prend un châle, s'enroule, comme un nem de soie, et se met en marche les franges qui se balancent au rythme de ses hanches.

Peu lui importe sa tenue et ses cheveux qui dégringolent à la sauvage jusqu'au bas de ses reins, peu de gens doivent se perdre dans ce coin et la séduction a pour elle autant d’intérêt qu'un vieux haggis rassis.

Le bois s'éclaircit, les arbre laissent place à une sorte de prairie bordée d'un coté par quelques fruitiers et au milieu coule une rivière.

L'endroit serait charmant pour un regard enclin au bucolique, un écrin vert qui enchâsse une eau claire, on y voit même un lapin détaler et un derviche????
La Scott observe, serrant les pans de l'étoffe, marmonne :
c'est bien ma chance de tomber sur un autochtone dés le matin...et sans se faire remarquer de l'artiste tournoyant, se dirige vers le coté des pommiers, toujours un bon présage quand on s'appelle Eden selon une de ses nombreuses théories sur le sort et les superstitions.

Les yeux toujours posés sur le gesticulant, la jeune femme tombe le châle (non pas la chemise non!) l'étale sur la berge, car même si elle veut se baigner, mouiller son séant de rosée ne l'enchante point, s'installe, ose un orteil pour tâter l'eau, le retire surprise par la température, y retourne parce que quand faut y aller faut y aller, sans remarquer qu'en face des mirettes curieuses observent son manège, particulièrement posés sur l'involontaire ballet des gambettes qui laissent voir ce qu'on doit cacher.
Le bonheur est dans le pré?


*
Téléporte-moi

Il y a une toute autre conversation en cours
Dans un univers parallèle
Où rien ne se brise et ne fait mal
Il y a une valse qui joue figée dans le temps
Brins d'herbe sur de minuscules pieds nus
Je te regarde et tu me regardes
(Pink)
_________________
Andrea.
        Hey Sexy Lady

        Hey sexy lady, I like your flow
        Your body's bangin, out of controoooooool!!!
        You put it on me (That's right) ceiling to floor
        Only you can make me, screamin back for moooooore!!!

        de Shaggy





    Il ne pouvait pas prétendre venir du sud et d'y revenir par tous les chemins...

    Les habitants de cette ville du sud dont il taisait le nom -non pas qu'il était imprononçable, mais parfois le suspens à du bon, ou pas- étaient d'une naïveté sans limite -tout du moins les hommes-, les femmes quant à elles se montraient fort intéressées par les jolies choses : quelques somptueuses confections portées par le brun, l'importance de son capital masculin, sa belle chevelure et son endurance physique.

    Il fallait tenir la forme et quelques jeunes demoiselles fraiches comme la rosée s'étaient montrées extrêmement coopératives pour l'entretenir.
    Semblait-il que sa peau avait un aspect plus brillant... Comme si son corps était à présent une planche de bois, un comptoir de taverne, ciré de nombreuses heures ou plus vulgairement "astiqué".

    Petits craquements de bois séché par la chaleur des vents du sud. C'était aussi l'effet que le jeune homme pouvait donc avoir sur la gente féminine -enfin, seulement les belles femmes-.
    Le ciel finalement attendrait la longue contemplation que l'homme à la crinière brune avait en prévision.
    En parlant de prévisions, il avait la sensation que le lendemain, du Littoral du golfe du Lion aux Alpes et la Corse, le ciel restera dégagé, le mistral soufflera modérément, temporairement assez fort jusqu'une certaine distance. Sur un grand quart nord-est les nuages d'altitude composent avec quelques bancs de grisaille locaux...
    Mais il arrivait que ses prévisions soient erronées.
    Une chose est sûre, ici il n'y aurait pas d'averses.

    C'est donc avec autant de flegme que possible que l’apollon laissa divaguer ses globes oculaires en direction du craquement d'ordre forestier.

    S'attendant à trouver un forgeron en quête de petit bois pour l'allumage de sa forge -parce que oui, un forgeron doit allumer le feu- il en resta d'une niaiserie sans nom pendant une poignée de grains de sablier.

    Le spectacle qui se dressait sous ses yeux immobilisa toute son attention.
    Regard plongeant vers une divine créature qui s'offrait sans le vouloir en spectacle. Une représentation privée pour le plus grand bonheur de notre homme.
    Brune à la peau lactée, un amas de fantasmes parcourant l'esprit du voyeur involontaire.
    Une image s'encrant dans ses pensées peu aristotélicienne, s'il pouvait exprimer toutes les choses qu'il voudrait faire à cette magnifique créature, il définirait tout simplement ses envies par Le Baiser de la Pieuvre.
    La bienséance nécessitait qu'il mette fin à ce défilé de somptuosités mais il lui arrivait d'avoir peu de volonté, de bafouiller, alors...

    Il y avait bien des choses qui n'arrivaient pas tous les jours.
    Celle-ci en faisait partie et il comptait bien en profiter encore quelques instants...


    Vil coquin, murmura t-il


Hey dame sexy

Hey dame sexy, j'aime ton flux
Le mouvement de ton corps, me rends fou !!!
Tu me fait de l'effet, du sol au plafond
Tu peux toujours, me faire crier plus fort !!!

_________________
Lady_eden
Et d´abord, le regard
Tout le temps du prélude
Ne doit pas être rude, ni hagard
Dévorez-moi des yeux
Mais avec retenue
Pour que je m´habitue, peu à peu...



Petit à petit l'épiderme délicat se faisait à la fraicheur de l'onde, les petons s’immergeaient, jouaient à éclabousser quelque libellule imprudente, la chemise remontait bien au dessus des genoux, indécence matinale pour celle qui se croyait seule comme au premier matin du monde.

Saveur de ses jeux enfantins quand l'été elle allait au bord du loch de son Écosse natale, parfois en compagnie des filles des fermiers de environs, souvenirs de ces corps que la jeune Lady observait, curieuse des formes que certaines affichaient déjà.
Leurs peaux brunies par les travaux des champs tranchaient avec la blancheur d'opale du sien, leurs hanches pleines mais pas encore alourdies par l'enfantement donnaient des envies de courbes et les orbes de leurs seins, tendus par l'eau glacée qui pointaient fièrement vers le ciel et feraient les délices de la bouche d'un amant, déclenchant la jalousie de la brune chez qui ça tardait à s'épanouir.

Elle sourit à ce souvenir, passant une main distraite sur sa poitrine désormais bien faite.
Certes ces derniers temps la Picte rongée de l’intérieur par la maladie d'amour avait perdu beaucoup de ses rondeurs, le feu de la douleur, la faim qui l'avait fuie, tout cela l'avait rendue plus menue qu'elle ne l'était déjà.
Loin des canons de beauté de son temps. Les gorges lourdes et les hanches pleines ne seraient jamais pour elle.

L'homme au lapin avait disparu au loin, enfin seule la brune dénoua les fins cordons qui retenaient sa chemise, faisant émerger ses épaules, puis le reste du corps, doucement, goutant à la caresse du soleil sur chaque morceau de peau mise à nu, se livrant à l'astre avant d'entrer dans l'eau, remontant dans un geste la masse de ses cheveux cherchant des yeux quelque saponaire qui aurait eu la bonne idée de pousser près de la berge.





*J.Greco
_________________
Andrea.
        Witch doctor

        Oooh oooh eee ah ah Ting Tang
        Walla walla bang bang
        Oooh oooh eee ah ah Ting Tang
        Walla walla bang bang
        Oooh oooh eee ah ah Ting Tang
        Walla walla bang bang
        Oooh oooh eee ah ah Ting Tang
        Walla walla bang bang

        de Ross Bagdasarian


    Bang bang bang, l'arrêt cardiaque n'était pas loin.
    La créature divine qui envahissait la moindre parcelle de ses globes venait à l'instant de tomber le voile de tissu recouvrant encore le haut de son corps.

    Mazette...

    Les yeux grands ouverts, la bouche entrouverte et la respiration haletante.
    Si il n'avait pas le besoin de respirer, il arrêterait de suite, comme si son souffle perturberait sa séance de voyeurisme non dissimulée.
    La folie ou l'excitation du moment envahissait son cerveau d'innombrable idées plus saugrenues les unes que les autres.
    Il s'imaginait accourant en direction de la jolie nymphe abandonnant au fil de sa course vêtements et crédibilité -oui, il prévoyait une longue traversée agrémentée de gestes des bras en tout genre-.

    L'heure n'était cependant pas à la songerie, le vent commençait à se lever, et pas que...
    Fièrement dressé comme un chêne centenaire mais vigoureux et résistant comme un roseau de saison, les attributs du jeune homme venaient à occuper le peu de place restant dans ses braies d'ordinaire déjà à fleur de peau.
    L'inconfort était tel qu'il dû à nombreuses reprises réajuster le paquet d'une main de fer.
    C'est que des fois la chose ne répondait pas aux ordres et en faisait à sa guise. La vilaine !

    Son cœur continuait à battre la chamade, la tension était à son comble.
    Son regard glissant de la tête aux bas ventre de la baigneuse.
    La belle était fraiche, sa peau lumineuse aux rayons du soleil, ses seins pas exagérément grands mais à s'en damner tellement ils étaient fermes et invitaient à y déposer quelques baisers.


    Tu n'es vraiment pas raisonnable Andrea, pinailla t-il, embarrassé et déjà si triste de mettre fin au spectacle.

    Prenant appuie sur l'herbe encore humide, il se mit en direction de l'étendue d'eau pour aborder la jeune dame.
    Au fur et à mesure qu'il avançait, l'inébranlable roseau devenait poutrelle puis poutre.
    Il espérait que les armées ne tenaient l'expression "poutrer un ennemi" de ce genre de situation.
    Sûr que si c'était le cas, certaines personnes devraient être bien embarrassées...

    Arrivé à hauteur des quelques vêtements déposés un peu plus tôt par l'objet de son désir, l'homme à son éminence s'agenouilla à une poignée de pas de cette dernière, occupée par sa chevelure.
    Les jambes arquées et écartées par l'ampleur de sa masculinité, il apostropha d'un sifflement la donzelle :

    Dites, vous là ! J'ai remarqué à l’insu de mon plein gré que vous aviez une belle croupe, des seins surement bien meilleurs à croquer que les pommes de ce verger... et...

    Enfin... c'est ce qu'il aurait pu dire si il n'avait pas décidé de se taire et profiter de l'attraction encore quelques minutes.



Docteur-sorcier (Marabout?)

Oooh oooh eee ah ah Ting Tang
Walla walla bang bang
Oooh oooh eee ah ah Ting Tang
Walla walla bang bang
Oooh oooh eee ah ah Ting Tang
Walla walla bang bang
Oooh oooh eee ah ah Ting Tang
Walla walla bang bang

_________________
Lady_eden
Prouve que tu existes
Cherche ton bonheur partout, va,
Refuse ce monde égoïste
Résiste
Suis ton cœur qui insiste
Ce monde n´est pas le tien, viens,
Bats-toi, signe et persiste
Résiste
*


Le regard se promène toujours à la recherche de la petite fleur mauve, la brune tourne sur elle même et se fige.

Mais c'est qui lui...??????

La main lâche les cheveux qui cascadent et son bras vient couvrir sa poitrine dans un geste pudique pendant qu'elle détaille le type agenouillé.
Si ce qu'elle croit voir n'est pas son briquet à amadou, alors il semble que depuis un moment déjà il profite du spectacle.

L'idée la met en rage.

Depuis son divorce, la scottish ne peut plus voir en enluminure tout ce qui ressemble plus ou moins à un porteur de braies, particulièrement quand elle sont si tendues.
Au diable les dragueurs de fin de soirées, les coucous cherchant à nidifier, les Italiens! Ah oui surtout les Italiens, espèce au trop beau ramage particulièrement dangereuse!


Beurdel!!!! Vous êtes qui vous???? L'homme aux poils de lapin?????

Et l'autre bellâtre qui la détaille toujours un sourire idiot sur la face!

Se maudissant d'avoir laissé sa dague au campement, la brune se rapproche de la berge, tâtonne à la recherche d'un possible effaceur de sourire béat.
Choppant un truc visqueux, plus tard on verra que c'est un crapaud qui devait prendre un bain de soleil tranquillou avant de se faire violemment projeter, l'expédia sur la face du brun voyeur.




*France Gall
_________________
Andrea.
        Hey Na Na

        You eyes are like a blue sky, blue sky, blue
        You're floating in the fountain, in the fountain of youth
        I bet you have an ocean, secret little potion
        I bet you have a lover who's as fine as you

        de Katie Herzig



    Ah... visiblement la belle sirène venait de remarquer sa présence...
    Pourtant il était resté discret... soupçon d'incompréhension sur son visage encore tout enjoué de la scène qui se déroulait sous ses yeux depuis plusieurs minutes.

    Sûr que ça surpassait le coup du petit chasseur dans la prairie et de son lapin assassin.

    La brune venait de relâcher sa longue chevelure ondulée, surement pour dissimuler une parcelle de sa peau dénudée.
    Il en faudrait des cheveux pour tout couvrir et respecter la décence que le sexe féminin devait afficher face aux mâles.
    Par chance, celle-ci n'avait pas une tignasse extravagante.
    Ses ovales encore à découvert semblaient si accueillants.

    Se perdant à nouveau dans ses pensées, imaginant une sieste au bord de l'eau, blotti contre ses coussins naturels -au moins ça ne piquerait pas comme la paille ou la plume-, alors que celle-ci entreprenait de dissimuler ce qu'il avait largement eu le temps de mémoriser au fond de sa caboche.

    Dommage, pensa t-il, les meilleures choses ont toujours une fin !

    La baigneuse, toujours prostrée semblait réfléchir à une démarche d'approche sensuelle et charmeuse.
    Après tout ce temps, il commençait à connaitre les femmes.
    Elle avait tout d'abord délié ses cheveux pour afficher son côté sauvage, qui pouvait plaire à certains hommes, puis comprimé ses atouts afin d'attirer l’œil des gourmands.

    La technique était connu, aussi, il s’apprêta à lui faire la cours, mais quoi dire ?
    Les quelques mots auxquelles il avait pensé au préalable seraient-ils une bonne première approche ?
    Lui parler de sa croupe, de son balcon et de ses cheveux ? Peut être un peu trop rustre pour un premier contact.

    Non, il savait à présent ! Tout simplement lui demander si l'eau était bonne.
    Oui, les femmes aiment qu'on s'inquiète de leur bien être.

    C'était sans compter sur le destin que lui resservait sa charmante compagne d'infortune...
    Le crapaud, il ne l'avait pas vu venir, et puis paf, voilà qu'il se retrouvait la carcasse avachie dans l'herbe mouillée, immobile, crapaud trônant encore sur son visage.



Hey na na

Tes yeux sont comme un ciel bleu, ciel bleu, bleu
Tu es en train de flotter dans la fontaine, dans la fontaine de la jeunesse
Je parie que tu as un océan, une petite potion secrète
Je parie que tu as une amoureuse qui est aussi bien que toi

_________________
Lady_eden
Hélas, si j'avais pu deviner que vos avantages
Cachaient sournoisement, madame, une foison d'oursins,
J'eusse borné mon zèle à d'innocents marivaudages.
Se peut-il qu'on soit si méchante avec de jolis seins ?
Se peut-il qu'on soit si méchante avec de jolis seins,
Si méchante avec de jolis seins?

(G.Brassens)

Il répondait pas le bougre! Certes avec un batracien sur le visage ça lui avait un peu coupé le sifflet.

Le brunette regardait la scène, hésitant entre un fou rire et la colère, se demandait aussi comment sortir récupérer ses habits, près des quels il était avachi.

Lui demander de lui tendre?
Quelque chose lui disait qu'il allait mal le prendre après le projectile.
Être polie, s'excuser, invoquer la surprise et lui dire de se retourner?
Pas certaine que le satyre se le tienne pour dit.

Fâcheuse posture que la sienne, et que faire si furieux il se barre avec la chemise pour la punir?

Le brun semblait être sensible à ses charmes, en derniers recours en jouer, sortir et envoyer du lourd, lui vendre du rêve et au pire l'envoyer chez Morphée a grands coups de pieds si d'aventure il voulait toucher.

Pour le moment il ne bougeait pas, le crapaud devait être une arme fatale contre les princes pas charmants ou alors il devait l'embrasser sauvagement.


Pssssssssssst Pssssssssssssssssssssssssttttttttttttt!!!!!!! Messire?


Nada, pas un son du dormeur.

Commençant a s'impatienter et a avoir un peu froid, la Scot avant de se changer en plante aquatique posa le pied sur la berge, et dans une feinte parfaite, comme a la finale de soule de 1444, évita le corps du gisant et marqua l'essai sur la chemise.
Les public si il y en avait eu un aurait été en liesse sans aucun doute.

_________________
Henora_mac_artney
Every little thing she does is magic
Everything she do just turns me on
Even though my life before was tragic
Now I know my love for her goes on


Une cavalière qui surgit du fond de rien… Oui car il n’y avait rien à part des arbres, des arbres, des arbres, des arbres et encore oui des arbres. Bravo !! Qu’est ce qui est vert, a un tronc et monte jusqu’au ciel ? Un arbre… Oui donc fin de la trêve forestière, après les arbres, une prairie sans la petite fille qui se vautre à la fin. Au loin encore des arbres fruitiers cette fois et une rivière. Des jours de chevauchée pour arriver là au milieu de nulle part et encore nulle part est plus habité. Ces terres sont elles à quelqu’un ? Est elle en train de les violer? Au loin 2 silhouettes, aller leur demander le chemin, savoir à quel arbre elle a oublié de tourner ou pas.

Lancement de la monture au galop, les corps se dévoilent grandissant comme elle avance. Un homme une femme, un papa une maman et un lancer de euh chose sur la tête du gars, de là on ne peut pas voir. La femme est dans l’eau, enfin d’après l’attitude c’en est une. Elle peut bien les voir à présent, elle n’en croit pas ses yeux reconnaissant la dame en question, enfin il lui semble en tout cas. Mouvement furtif de l‘eau vers la terre, feinte de corps et essai. Hénora lâche la bride un instant pour applaudir manquant de se vautrer et se rattrape in extrémis. Cheval mis au pas et arrivée tout sourire. Saut d’un ange de la monture à la terre ferme, très classe. Elle aurait bien sorti la cornemuse pour fêter ça mais elle aura besoin de ses lèvres pour glisser un doux baiser à la brune élue meilleur marqueur du match, et une démarche plus sexy pour atteindre l’héroine de tous les temps.

Elle passe devant l’homme au crapaud, qui sera parfait pour lancer une nouvelle mode péquenaude et l’apostrophe avec un accent moqueur :


Messire le crapaud vous va si bien…


Puis s’avance vers la brune faisant paravent entre les deux et lui masquant un instant la vue du corps. Elle ôte sa cape et la tend à son paradis écossais.. Comme lui dit Nicky ta galanterie te perdra, pour l’instant c’est son regard qui se perd dans celui d’une brune, le sourire du gamin qui déballe son cadeau de Noel aux lèvres et le cœur battant plus fort comme elle souffle son nom dans un murmure. Et enchaine tendant la main

Il m’a semblé entendre « viens » alors me voilà…


*Chaque petite chose qu'elle fait est magique
Tout ce qu'elle fait me remue
Bien que ma vie auparavant soit tragique
Maintenant je sais que mon amour pour elle grandit.
Andrea.
        Sale Crapaud


        C'est l'histoire
        D'une sale Crapaud
        Pas beau, pas beau
        Dans sa petite mare, vaseuse
        Crapaud, crapaud.

        De Ina Ich




    Son corps était affaibli par le choc.

    Se pendre un crapaud de plein fouet ce n'est pas une petite pichenette.
    C'était plutôt douloureux et répugnant.

    Pendant l'impact il avait eu le malheur d'entrouvrir les lèvres, laissant accès libre à l'insertion des pattes de l'amphibien.
    Avec l'un des membres de la bête dans le gosier, les nausées étaient garanties.

    Peut-être s'agissait-il d'une légende mais sur l'instant, le brun, il avait bel et bien une envie de renvoi.
    Et forcément, ce matin là, il s'était gavé de bon fruits frais, pomme, pêche, abricot, de quoi restituer une bonne compote sur la verdure qui l'entourait.

    L’œil droit mis clos, observant le projectile vivant, petit tête à tête avec le postérieur de la chose.

    Étrange comme vision tout de même.

    Que lui arrivait-il ? Voilà qu'il se perdait dans des observations inutiles alors que la baigneuse restait silencieuse dans son bain.
    Pas même un clapotis provenant de l'eau ou celle ci avait décidé de faire trempette sous son nez.

    Tout de même, le procédé était vicieux.
    Attirer l'homme en s'exhibant longuement, accompagné de quelques caresses charmeuses puis lorsque le voyeur est proche, le massacrer violemment à coup de crapaud dans la tronche.
    C'est bas... C'est moche...

    Il ferait donc le mort, espérant que sa tortionnaire paniquerait à la vue de son corps sans vie.
    Pensez-vous...

    En attendant, il tentait tant bien que mal de repousser la patte visqueuse qui encombrait sa bouche, son cœur se soulevant aux assauts répétés de la cuisse du batracien s'enfonçant au fond de son gosier.

    Pour sûr, il allait gerber prochainement ou finir par crever étouffé par un crapaud !

    L’œil à présent grand ouvert, juste à temps pour observer la jolie brune bondir sur le tas de vêtements qui gisait à ses côtés.

    Un léger sourire au coin des lèvres, c'était fait, il avait eu droit à l'intégrale.

    Elle n'était pas au courant, mais au moins il s'était rincé l'oeil comme il se doit et la défiguration probable qui l'attendait serait justifiée et s'en serait au moins suivie d'un bref moment d'extase.

    Sans attendre, il referma l'oeil, des bruits de sabots se rapprochant des deux jeunes gens.
    Le son léger du pied à terre, sûrement une femme. Comment ça, les femelles faisaient du cheval ? Mais c'était contre nature.

    Depuis quand les femmes se mettaient à faire comme les hommes ?

    Une voix résonnait à présent dans sa tête, douce et sensuelle, c'était sûrement ce genre de chose qu'avait entendu la pucelle d’Orléans.
    Bon sang, vu le destin tragique qu'elle avait connu, il va s'en dire qu'il l'ignora cette voix (la première fois).

    Malgré tout, l'écho se faisait encore entendre : Messire le crapaud vous va si bien...

    Il laissa échapper un murmure : Merci dame de la rivière, avec beaucoup d'hesitation.

    Difficilement, en prenant appui sur ses deux bras, il se redressa pour retrouver une position assise plus confortable que celle adoptée depuis plusieurs secondes.
    Les cailloux c'est bien contre les brigands, mais mauvais pour le dos.

    Il arracha le crapaud de son visage et l'envoya en direction de l’étendue d'eau.

    Se tenaient face à lui l'ex femme nue, à présent habillée d'une cape, et une inconnue... Deux donzelles pour le prix d'une, il n'allait pas se faire prier pour en profiter.

    Raclement de gorge et enfin, il sortait de son mutisme :


    Ça va, je vous dérange pas ?

_________________
Lady_eden
C'est l'amour à la plage (aou cha-cha-cha)
Et mes yeux dans tes yeux (aou aou)
Baisers et coquillages (aou cha-cha-cha)
Entre toi et l'eau bleu (aou aou)

(Niagara)



Le nez qui disait bonjour à la verdure, la brune croupe en l'air la chemise dans la pogne, entendit plus qu'elle ne vit la cavalière.
Moment de panique pour celle dans une inconfortable position, imaginant déjà un pote du pervers au crapaud.

Ramassant ses genoux et ses bouts de tissus, sans remarquer l’œil du vicieux se poser encore sur le reste de son anatomie, à croire qu'il n'en avait jamais assez celui là, la Scot se leva d'un bond, prête, châle au poing à en découdre telle une Lady Godiva dans toute sa splendeur.

Vous n'aviez jamais pensé qu'un bout de chiffon pouvait s’avérer une arme fatale?
Eh bien allez dire ça au petit Spartacus et son joli filet hein!
La brune connaissait ses classiques!

Une cape vient se poser sur ses épaules, devant elle une ombre, du moins une silhouette floue, le soleil dans les yeux l'Eden n'y voyait goutte.
Moment de panique!
L'autre avait du voir aussi les gladiateurs!!!!!!!!!!

Nouvelle feinte cette fois dicte pas sur le coté!
Clignements rapides des mirettes pour y chasser le voile opaque, flairer l'ennemi, tactique de base, quand on perd un sens, on se sert des autres, tendre l'oreille peut aussi s’avérer utile.
Le murmure qui s'en suit va la rendre muette pour un long moment!
C'est pas son jour à la Picte, de satyres en surprises, et ça dès le matin, pour sur si on voulait faire lâcher son pov cœur, déjà fort malmené, on ne pouvait mieux s'y prendre...


Violette....

Les mèches lilas dansaient devant sa face, Héno lui souriait et coté mâle ça s'impatientait.

Resserrant les pans de la cape, elle hésitait entre se pincer violemment ou fiche le camp en courant.
Surement le crapaud devait être toxique et en le touchant il lui avait filé des hallucinations.

Ça ne pouvait être que ça!

Hénora était à Saumur et donc pas ici, et l'autre gus était ? Oui c'était qui lui d'ailleurs?
Les yeux couleur de jade se posèrent, interrogatifs sur le brun assis.

_________________
Henora_mac_artney
And it feels like I've been rescued
I've been set free
I am hyptonized by your destiny
You are magical, lyrical, beautiful
You are…I want you to know baby*



Hénora souriait devant la mine surprise du paradis écossais et son petit pas chassé.

Mais ou est donc passée la légendaire hospitalité des sangs de tourbe. Je pensais être mieux reçue après avoir bravé tous ces dangers.


Moue boudeuse simulée ou pas de la gamine, un peu vexée quand même de ne pas avoir eu de câlins ou la fameuse fessée promise.

Engagez vous qu’il disait… Pff et elle s’était engagée sur un territoire inconnu. Elle avait lâché la proie pour l’ombre mais avait elle vraiment le choix. Cela lui avait paru si naturel. La voix de l’homme la fit sursauter, elle l’avait oublié lui mais ce n’était pas si réciproque. Elle réprima sa pointe d’agacement et répondu d’une voix douce et moqueuse
.

Un gentleman sait toujours quand il dérange et ne se rince pas l’œil sur une étrangère.

Petit sourire qui se veut minaudeur tout en tournant la tête vers son amie pour voir si elle se remettait ou si elle allait devoir prendre des mesures plus radicales. Et retour regard charmeur vers l’homme pour le détourner de son objectif premier, la muette.

Mais je suis sûre qu’un homme comme vous sait tout ça et qu’une très bonne raison vous a poussé à passer outre les convenances.

Regardant de nouveau Eden, elle prie silencieusement pour que celle-ci retrouve ses esprits ainsi que sa mélodieuse voix. Ce faisant elle tâte discrètement sa manche pour voir si sa dague est bien là, prête à la défendre.

Petit sourire comme elle est rassurée et approche de sa main vers la joue picte souhaitant vivement une réaction fût ce t’elle désagréable. Surveillance du coin de l’œil de l’homme qui ne présente pas de danger immédiat car comme le dit le proverbe : « un homme assis ira toujours moins vite que deux femmes debout ».

Réfléchir rapidement, elle veut que lui parte, elle veut qu’elle reste mais il a aucune raison de partir alors qu’il y a deux jolies femmes devant lui et en y regardant de plus près l’effet est bœuf. Enfin tout le monde connait l’histoire de la grenouille et du bœuf, doit y avoir un signe divin dans tout ça. Retour à sa pensée originelle, le paradis et son mutisme… Elle repense aux contes de fées et là l’idée géniale mais oui c’est comme la belle au bois dormant faut un baiser pour l’éveiller…



Et je me sens comme si j'avais été sauvée
J'ai été libérée
Je suis hipnotisée par ton destin
Tu es magique, lyrique, belle
Tu es ... Je veux que tu saches bébé... *
*Love you like a love song S.Gomes
Andrea.
        Final Warning

        Someone's gonna get hurt
        Na-na-na-na, na-na, na-na-na-na
        Someone's gonna get hurt
        Na-na-na-na, na-na, na-na-na-na
        And it's not gonna be me

        de Skylar Grey




    Beurdel... Mais c'est qu'elles allaient bien finir par se barrer sans lui.

    Le bougre se montrait tout en peine, lui qui était plein de bonnes intentions.
    Faut pas croire, il aurait pu profiter du spectacle plus longtemps au pied de son fruitier.

    Si vous suivez bien, le vent s'était mis à souffler un peu plus tôt avant son arrivée au bord du courant d'eau.
    Si si... en même temps que le roseau et tout le tralala.
    Et le coup du roseau ça n'avait rien à voir avec la pensée de Cendy ou Sandy, qu'elles truies ces deux là, des filles de petites vertu que pas un homme ne viendrait fourrer...
    Ces deux là, elles finiraient vieilles filles... ou alors elles se taperaient le Fred... mais ce serait un peu contre nature de faire des galipettes multiple avec le consanguin.
    Quoi que dans la famille de la morue on se la donne entre frères et sœurs... du coup le cerveau en prends un coup tout de même.

    Oulah, mais le vlà qui s'égare encore et déjà la jolie brune pose ses mirettes sur lui.
    Hum, là il se sent atrocement désiré.
    C'était décidé, il ferait un effort pour être plus abordable.

    Mais d'abord fallait bien s'expliquer, et oui, la dame devait lui en vouloir un peu d'avoir vu ses effets personnels.
    Alors en plus que la chose aux cheveux pourpres essayait visiblement de l'enfoncer plus bas que terre, fallait pas qu'il se laisse faire tout de même.
    Puis dis donc, c'est qu'elle tâtait par ci par là la petite brune...
    Non mais qu'est ce que c'est que ces manières ? Y a pas à dire l'intruse est étrange.
    Sa tête ne lui revenait pas...


    Jette toi à l'eau Andrea, fait tes presque fausses excuses, pensa t-il :

    Je suis confus demoiselle, j'étais installé un peu plus loin, si je peux vous rassurer ma vue n'est pas des plus convenable -c'est faux-, quand j'ai senti le vent s'engouffrer sous mon pommier et que j'ai vu une tête dans l'eau -et le reste aussi- je me suis dit qu'il était plus prudent de vous conseiller de vous mettre au chaud.
    Vous savez, par ici il fait très chaud, mais quand il se met à faire venteux, ça se rafraichit vite.
    Ce serait dommage que vous attrapiez un rhume, on y survit pas à ça...

    Donc, en fait j'allais vous demander de sortir de l'eau avant que les températures ne tombent, mais j'avoue que je suis un peu timide -mais quel pipeauteur le type- et quand je suis gêné, comme c'était le cas il y a quelques instants, bah je bafouille -ouais, avec la langue experte qu'il à... mes genoux hein!-.

    Le coup de grâce a été donné quand vous vous êtes retournée.
    Là du coup je pouvais rien dire... parce que je vois très bien de prêt... du coup j'ai tout vu.


    Mimant un geste d'arrondi pour désigner une poitrine bien faite, puis esquissant un sourire :

    C'est là qu'est arrivé le truc gluant dans ma face... C'était un beau lancé d'ailleurs !

    Rapide coup d’œil vers la prune :

    Voyez madame, ma chemise entrouverte ?
    C'est tout simplement parce que je commençais à l'ôter pour la tendre à la baigneuse dont je ne connais pas le nom.
    Tous les hommes ne sont pas aussi rustres que l'image que vous devez en avoir, il y a des gentilshommes dont je fais partie.
    Ma mère m'a bien éduqué.


    Après s'être relevé difficilement, à l'adresse de la brune en veillant à ignorer la cavalière :

    Je me présente, Andrea de Mortemart Amnell, la rencontre est cocasse, je ne pense pas l'oublier si facilement...

    Si vous le souhaitez nous pouvons inverser les rôles, je vous laisse mes vêtements et vous observez ? Si cela peut vous mettre à l'aise.


    Petit sourire amusé tout en détaillant attentivement son visage maintenant qu'il était plus proche d'elle.

    Il en oublierait bien l'autre sur le coup...




Dernier avertissement

Quelqu'un va se blesser,
Na na, na na na na
Quelqu'un va se blesser,
Na na, na na na na
Et ça ne va pas être moi.

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