Theodrann
Une ville comme une autre dans le nord du Royaume , une taverne- auberge des bas fonds, dans un coin mal éclairé, dos au mur, le germain est là, il picole son godet, il noie le monstre en lui ou lalimente, la frontière est mince. Il repense à un ami, un cosaque à qui il na pas donné de nouvelles depuis des lustres. Et inversement. Les voyages, son dernier séjour dans une geôle, ou on ly oublia pendant plus longtemps que nécessaire, tout cela naide pas à garder le contact même si cela crée dautres liens. Un sourire carnassier. Souvenirs de leur rencontre. Souvenirs de la naissance dune amitié. Souvenirs sanglants. Un endroit similaire à celui ou il se trouve, un endroit ou toute la misère, les malfrats, les ivrognes, les pauvres erres locaux semblent sêtre réunis. Un endroit où il vaut mieux avoir le dos accolé au mur, voir le danger vous arriver dessus, être près à laccueillir, plutôt que de le sentir, trop tard, senfoncer entre vos omoplates.
Il avait fait quelques petites recherches. Le cosaque à la fameuse manie de ne pas toujours passer inaperçu, mais sait très bien le faire lorsquil le désire. Pas toujours évident lorsquon le recherche. Quelques renseignements. Quelques questions posées à sa façon. La piste avait été remontée. Le cosaque, lami retrouvé. La serveuse venant le resservir, interrompit fort à propos sa réflexion. Il en profita pour lui saisir le poignet juste après, avant quelle ne sen aille. Il allait écrire à Torvar.
Ma jolie, vas mchercher dquoi écrire, et un pichet plein aussi .
Il sarrête, lui sourit, Son pouce exerce dans un même temps, une légère caresse à lintérieur du poignet des cette dernière, Son regard plonge en elle. Il nest plus tout jeune, mais il sait avoir de beaux restes. Une lui avait dit un jour "lorsqutu souris on tdonnerait presque lChristos sans confession. " Depuis il en profite, enrobe ses paroles aux femmes de compliments et de sourires lorsque il y voit un intérêt. Un battement de cil de la donzelle, un léger frémissement, une posture qui change, il sait. Ce soir, il aura de la compagnie.
Le sourire enjôleur il lenvoi dune petite tape sur ses fesses lui chercher ce quil demande alors que sous son crâne résonne un cri.
ouiiiiii prenons là, tout entière, je la veux là, tout de suite, elle me plait !
Le regard sur le déhanché, sur la croupe de la belle, qui va, vient entre les tables, lui amène ce quil demande. Un sourire toujours aussi enjôleur en remerciements, quelques pièces et un léger pourboire.
Plus tard mon ami, plus tard, elle sera à nous.
Je ne veux pas attendre, coinçons la lorsquelle ira dehors, prenons là dans un coin
Plus tard, jai dit, nous avons un ami à contacter, à qui écrire.
Oui Torvar !
La plume fut prise, les mots tracés dune écriture énergique, le godet se vidant au fil de lavancé sur le velin.
Alors lami, j'ai enfin retrouvé ta trace pour apprendre que tu faisais dans la Duchesse maintenant. Tu travailles pour le beau monde !
Si on mavait dit ça un jour, je ne laurais pas cru. Jaurais même découpé en rondelles le mauvais plaisantin.
Dis moi que tes grassement payé pour supporter les fanfreluches, et les manières précieuses que doit avoir ta patronne, si ce nest ça, cest que tu as drôlement changé.
Carnassier le sourire, amusé aussi. Ou comment titiller amicalement un cosaque de pas grand chose son ainé.
Dailleurs, cest peut être ça, tes usé, vieux et fatigué ?
Je vais peut être faire un détour finalement, voir ça de mes propres yeux, avant de gagner Bourgneuf et retrouver lune de mes petites. Cest que figure toi, lami, jai fini lescorte pour laquelle jétais payé, alors je peux bien faire ce détour voir les ravages du temps.
Garde toi en vie que je vois ça.
Théodrann
Un franc et rare sourire se fit. Il connaissait assez le cosaque pour savoir comment il allait réagir. Ecrire lui avait donné envie de le revoir. Leur amitié née dans le sang dune mémorable rixe, navait jamais pâtie du temps et de labsence de nouvelle. La missive fut pliée, donnée à un petiot, ainsi que les consignes et largent pour la voir arriver à destination. Un godet enquillé, puis un autre, au bout de quelques temps le pichet fut vidé, la soirée bien entamée. Le germain se leva. La suite ? Il coinça la serveuse brune à la jolie croupe dans un coin sombre. Lui fit sentir la force de son envie, quelques caresses et baisers volés plus tard, il la fit monter à létage, les mains sur la cambrure de sa croupe pour terminer avec délice et force ce qu'ils avaient commencé.
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Une envie de RP, envoyez un MP !
Il avait fait quelques petites recherches. Le cosaque à la fameuse manie de ne pas toujours passer inaperçu, mais sait très bien le faire lorsquil le désire. Pas toujours évident lorsquon le recherche. Quelques renseignements. Quelques questions posées à sa façon. La piste avait été remontée. Le cosaque, lami retrouvé. La serveuse venant le resservir, interrompit fort à propos sa réflexion. Il en profita pour lui saisir le poignet juste après, avant quelle ne sen aille. Il allait écrire à Torvar.
Ma jolie, vas mchercher dquoi écrire, et un pichet plein aussi .
Il sarrête, lui sourit, Son pouce exerce dans un même temps, une légère caresse à lintérieur du poignet des cette dernière, Son regard plonge en elle. Il nest plus tout jeune, mais il sait avoir de beaux restes. Une lui avait dit un jour "lorsqutu souris on tdonnerait presque lChristos sans confession. " Depuis il en profite, enrobe ses paroles aux femmes de compliments et de sourires lorsque il y voit un intérêt. Un battement de cil de la donzelle, un léger frémissement, une posture qui change, il sait. Ce soir, il aura de la compagnie.
Le sourire enjôleur il lenvoi dune petite tape sur ses fesses lui chercher ce quil demande alors que sous son crâne résonne un cri.
ouiiiiii prenons là, tout entière, je la veux là, tout de suite, elle me plait !
Le regard sur le déhanché, sur la croupe de la belle, qui va, vient entre les tables, lui amène ce quil demande. Un sourire toujours aussi enjôleur en remerciements, quelques pièces et un léger pourboire.
Plus tard mon ami, plus tard, elle sera à nous.
Je ne veux pas attendre, coinçons la lorsquelle ira dehors, prenons là dans un coin
Plus tard, jai dit, nous avons un ami à contacter, à qui écrire.
Oui Torvar !
La plume fut prise, les mots tracés dune écriture énergique, le godet se vidant au fil de lavancé sur le velin.
Alors lami, j'ai enfin retrouvé ta trace pour apprendre que tu faisais dans la Duchesse maintenant. Tu travailles pour le beau monde !
Si on mavait dit ça un jour, je ne laurais pas cru. Jaurais même découpé en rondelles le mauvais plaisantin.
Dis moi que tes grassement payé pour supporter les fanfreluches, et les manières précieuses que doit avoir ta patronne, si ce nest ça, cest que tu as drôlement changé.
Carnassier le sourire, amusé aussi. Ou comment titiller amicalement un cosaque de pas grand chose son ainé.
Dailleurs, cest peut être ça, tes usé, vieux et fatigué ?
Je vais peut être faire un détour finalement, voir ça de mes propres yeux, avant de gagner Bourgneuf et retrouver lune de mes petites. Cest que figure toi, lami, jai fini lescorte pour laquelle jétais payé, alors je peux bien faire ce détour voir les ravages du temps.
Garde toi en vie que je vois ça.
Théodrann
Un franc et rare sourire se fit. Il connaissait assez le cosaque pour savoir comment il allait réagir. Ecrire lui avait donné envie de le revoir. Leur amitié née dans le sang dune mémorable rixe, navait jamais pâtie du temps et de labsence de nouvelle. La missive fut pliée, donnée à un petiot, ainsi que les consignes et largent pour la voir arriver à destination. Un godet enquillé, puis un autre, au bout de quelques temps le pichet fut vidé, la soirée bien entamée. Le germain se leva. La suite ? Il coinça la serveuse brune à la jolie croupe dans un coin sombre. Lui fit sentir la force de son envie, quelques caresses et baisers volés plus tard, il la fit monter à létage, les mains sur la cambrure de sa croupe pour terminer avec délice et force ce qu'ils avaient commencé.
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