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[RP Animation] : Fais voir la tête que tu me donnes !

Aelyenor
Un retour aux sources. Un lieu qui n'avait que l'ombre d'un chiffon depuis la mi-juillet. Bref, un peu d'huile de coude et une fois les lieux assainis, la brunette se remit au travail.

Un soupir, un gros soupir en pensant aux vacances sous le soleil Italien...mais toutes les bonnes choses avaient une fin.

Sortant moult parchemins, elle devisa pour animer un tant soit peu cette fin de saison estivale. Quelle activité proposer au Comté ? Au Comté ? Non, et pourtant, elle avait laissé ouverte la porte aux suggestions, aux propositions...alors finalement, c'est dans sa ville qu'elle la proposait cette animation : Millau ! Elle ne reviendrait plus là-dessus.

Elle entama par un démarrage somme toute léger, tranquille et facile.

Alors elle proposa à la vue de tous les Millavois et autres voyageurs de passage.





Fais voir la tête que tu me donnes ?


Comment ça ? Comment ça qu'on avait réquisitionné ses anciens locaux pour y laisser poudre la poussière ? Ce n'est pas se moquer un petit peu de la brune... Namého, et où qu'ils sont maintenant tout ces petits endroits où prendre l'air ? Ces petits endroits pleins de portraits de Millavois en perdition ? Zioup.. Au vent ! L'est pas contente la brune. Pas du tout.

Et savez vous ce que fait une Millavoise qui revient à la ville avec la ferme idée de donner un coup de pied dans la fourmilière de l'habitude monotone et vide ? Et bah elle remet en place toutes les petites activités qu'elle avait déposées dans un coin de son bureau !
Et que la premier ou la première qui dit qu'il est étonnant de la voir revenir ici parce que c'est franchement de la ville fantôme Millau, bah... Qu'il s'étonne pas de se prendre un bon coup de pied bien placé ! Parce que la Brune qui crèche ici depuis bientôt un an, elle en a marre qu'on lui dise que sa ville elle est toute moisie...Ce qui est absolument faux de toute manière.

Voilà pourquoi, elle s'avance devant le mur des lamentations des vélins pleins les bras. Et voilà qu'après mûre réflexion elle envoie valser tout les parchemins périmés, trucs bidules de propagandes, annonces de veuves délaissées, ou encore promotions sur la piquette Rouergate ! Elle est ici pour remettre de la vie dans ce tas de gris, de je m'en foutisme et de on s'ennuie ici.. Qu'ils viennent plus se plaindre, elle va faire de son mieux.

C'est ainsi qu'elle recolle son parchemin favori. Celui qui remet un peu de couleurs dans ces vieux murs tout croulants. Et celui qui redonne à ce mur ce qui est au mur ! Ce qui veut dire...Un espace de création à la portée de l'imagination de tous.




Et paf ! A côté elle accroche un premier exemple.. Un joli parchemin où se trouve griffonné la tête imagée de deux chers amis..




Caemgen l'escargot et sa mignonne petite laitue Donnolae hi hi hi

Fais voir la tête que tu me donnes. Je propose cette petite et gentille animation. Il suffit de choisir un joueur, de l'imaginer en animal ou objet et faire un petit RP.




Mes chers Milhavoises Milhavois
En ce jour de pas gloire,
Je vous invite à reconquérir ce mur
En affichant votre vision personnelle des habitants de Millau ou de voyageurs sympathiques !
Laissez errer vos pensées et place à l'imagination !

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Ce n'est pas nous qui ne marchons pas droit, c'est le monde qui va de travers.

Dernière édition par Aelyenor le 21 Aoû 2013 20:44; édité 2 fois
Athanasios.de.riveroy
Les amoureux indéfectibles du Vert Millau : Acanthe et Aelyenor

Lona
Quoi ? mais quoi ? mais comment ? Aely ?????

Aely !!!!! t'es où !!!!! t'as l'intention que je te cours après dans tout Millau ! arrête de te cacher !!!!

Lona courait... que dis je .... trottinait... et encore ... aussi bien qu'elle pouvait c'est à dire pas grand chose, à la recherche de son amie quand elle tomba sur l'animation.
Tomber c'est une image, elle n'est pas tombée "pour de vrai" ! Mais nez à nez avec une affiche, ça c'est sur !

Elle galopa... telle une percheronne fatiguée plutôt que comme une jument digne de la 1ère place à la prochaine course hippique, griffonna son affiche... et l'apposa....




Voila qui elle avait imaginé... Son père .... Le pirate qui veille sur elle, et qu'elle a retrouvé grâce à une bouteille que sa chère mère n'avait pas jeté à la mer.....
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Lapointe
L’hirsute se pointe là où la populace se trouve. Dès qu’un attroupement se crée, ses godillots troués se radinent aussitôt, prêt à partager un mot, un air, une note ou, exceptionnellement, quelques breuvages adoucisseurs de gosiers.
Lapointe ramène ses quenottes restantes et les offre en pâture à l’assemblée. Un décompte rapide laisse entrevoir que depuis sa dernière visite son râtelier à chicos a encore perdu quelques illustres habitantes. Son sourire se dépeuple, ses mandibules s’aèrent.
Saturne, ce bougre de Dieu, ne joue pas en sa faveur !

Avisant l’animation, il tenait à rendre hommage à celle qui l’accompagna de longues journées froides. Celle qui lui avait chauffé les arpions, mis un tison dans le gosier et des braises sur la menteuse.


Gudrule et Lapointe (à droite) après dégustation du fameux alcool d’arbouses cherchant, sans grande réussite, le piteux chat.
- La première fois ça fait toujours ça, après on s’habitue Lapointe
- Je manque de savoir boire, mais votre bonté est redoutable Gudrule !
Louisanne
Une affiche représentant deux petits zioziaux qui arrache le cœur et les tripes. Surtout les tripes. Car dans ce rocambolesque évènement c'est Lapointe qui maigrit et qui dodeline de la tête.

Gudrule a des scrupules de mastiquer chaque bouchée de ses repas à l'idée de ce malheureux qu'elle affame minutieusement, scientifiquement.
C'est alors qu'à la croisée des quatre ruelles se pointe la belette, la musaraigne, l'écureuil quoi. Louise-Anne, la fille de Lona amie de Aely.

Elle a les poings sur les hanches en découvrant le tableau d'une Gudrule qui s'empiffre et d'un Lapointe qui écluse.


- Oh ! Oh ! Lance la voix juvénile.

- Qu'est ce que tu fiches-là ? Demande Gudrule.

- J'vous r'garde pardi !
Clame l'effrontée. Ah elle est belle la populace Millavoise. Gudrule t'es une affameuse, une sans-coeur. T'as pas honte de laisser crever de faim c'pauvre homme ? R'garde-le il est blafard, creusé, rongé. Même son ventre il fait des vagues ; pis tiens, r'garde son cou, c'est une fraise de chair. Il est voûté et il se tient comme si il avait deux cents ans.

Gudrule s'étouffe, postillonne de la rillette, reprend des couleurs porcines.

- Mam'zelle pimbêche a son mot à dire ? Bombe-t-elle.

Louise ignore la menace voilée et poursuit.

- T'as qu'du plaisir à assassiner. Tu fais partie de tous ces vandaux* (Louise Anne ne connaît pas encore toutes les subtilités de la langue française) toi et les autres. Gestapisces !!!** (Là on a beau chercher, on se demande bien encore ce qu'elle a voulu bien dire. Pas l'ombre d'un semblant de traduction).

- Non mais dis merdouzette ! C't'une mandale sur ton museau de belette que tu cherches ?

- Touche-moi un peu pour voir et j'change de tutrice braille la gosse. Je porte plainte comme quoi t'es une tantâtre ! J'ai des témoins !

- Tu me tartines la santé hurle Gudrule. Tu vois Lapointe, y'a plus d'respects. V'là une belette qu'j'élève comme ma propre fille et tout ce que je récolte c'est...tiens, bois un coup Lapointe, après j't'emmènerais faire un repas digne de Gudrule...finalement elle a raison cette petite.

C'est alors que la pie-borgne se dirige vers le mur et à côté des autres enluminures appose une esquisse de ce qu'elle prétend être.



- Çà c'est moi !

Les deux acolytes regardent l'auto-portrait de la "pintade", puis la Gud en se grattant le menton lui fait.

- Dis Louise-Anne...tu espères vraiment qu'un jour un godelureau s'amusera à traîner devant un maire une pétadière de ton acabit ? Hein...dis ? Ma poule ?...

Elle se râcle la gorge la gouailleuse. Elle rit gentil. Ses tâches de rousseur crépitent comme des bulles de vin pétillant.

- Oui, dit-elle résolument. Je l'espère vraiment.
Athanasios
Cleopatre avec ses multiples bras elle arrive à faire 20 000 choses en une seule journée.


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Lapointe
Lapointe admire la scène, l’immensité prenant une leçon de vie de la part d’une gamine. C’est surprenant, attendrissant et pour l’hirsute c’est surtout hilarant.
Il étouffe comme il peut ses rires de peur de devenir la prochaine cible de la vindicte marmailleuse, autant éviter les assauts verbaux de la petite. Il les étouffe aussi pour ne pas piquer la Gudrule, une amie on la choie. Il faut aussi reconnaitre qu’il craint la vindicte Gudrulesque, ce genre de dame ne ferait qu’une bouchée de l’édenté.
Alors pas respect pour les quelques dents qui parsèment encore son sourire, il étouffe ses rires.

Le ton monte entre les belligérantes, l’hirsute gratterait bien un peu sa guiterne car comme on le sait la musique adoucie les mœurs, mais après une brève réflexion il se dit qu’il est sans doute préférable de garder ses notes pour plus tard.
D’autant que le climat s’apaise et que la Gudrule lui tend la potion d’arbouses avant de l’inviter pour un festin.

C’est encore votre breuvage ? Sauf votre respect, allons ripailler d’abord, faite moi découvrir vos talents culinaires qui à n’en pas douter réservent bien des surprises. Nous nous rincerons les amygdales ensuite

Reluquant la potion avec envie, il attrape finalement le contenant. Et tant pis si sa tête dodeline durant le repas.
Juste une goutte, c’est bien parce que j’ai le gosier aussi sec que les choses des moines

Puis se tournant vers l’enfante, il cherche un argument en faveur de son amie. Pas si simple, il faut dire que l’immensité lui a plus souvent rincé la glotte que reput le ventre.
Ne soyez pas si cruelle avec Gudrule petite fille, savez-vous qu’un jour elle m’offrit un pigeon ? Sans hésitation et sans regret.
Le plus souvent on me lance du pain, avec cette sorte de dédain qu’ont les gensses. Alors ce volatile, qui ne faisait qu’apporter un message, donné avec cette générosité, c’est chose rare petite.

Vous m’excuserez un instant Gudrule, je tiens à compléter ce mur Millavois avant de vous suivre


Lapointe ne connaît pas moult personnes ici. A peine quatre ! Quatre dames qui lui offrirent un sourire d’ailleurs, on pourrait croire que son charme d’antan opère encore.
Un résidu de son passé qui subsiste peut-être.
Toujours est-il que faire le portrait de personnes que l’on ne connaît pas est bien difficile, il se rabat donc sur ces fervents défenseurs qui de nuit patrouillent sur les remparts.



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Acanthe
Une animation à Millau et proposé par la petite forgeronne, l’Acanthe ne peut que s’y rendre…..pour voir. C’est donc en sortant de l’atelier que ses pas le guide vers la place.
Il y a déjà quelques personnes présentes et quelques esquisses au mur.
Déjà quand elle lui en avait parlé, il avait aimé l’idée. Et à le voir sourire en observant les chefs-d’œuvre il ne fait aucun doute qu’il y prend du plaisir.

Il va s’y essayer !
Mais le barbu taciturne n’est pas un créatif, excepté peut-être pour les choses du privé mais ça demande quand même confirmation et cela ne nous regarde pas.
Donc, peu créatif le barbu….excepté aussi quand il a du bois entre les mains. Peu créatif et peu d’imagination, en tout cas pour ce genre d’animation, c’est donc sa barbe qui en a subi les conséquences. Il en est venu à la conclusion que pour un commencement, autant commencer par celle qu’il connaît le mieux, celle qu’il connaît sur le bout des doigts. Son unique, sa Aely.


Souvent, pour annoncer quelque chose à son homme, c’est par une question que l'Aely entame la conversation.
L’Acanthe en sourit toujours, parce que c’est de ce genre de petites choses qu’il ne se lasse pas. Ce genre de petites choses qui font briller les yeux.


Hihihi ! Désolé mon amour !

A cette question introductive il y a deux variantes possibles, soit la brunette dans son élan, fait la question-réponse en ajoutant d’un sourire « Mais tu vas savoir ! »
ou alors le barbu plus prompt répond « Non, mais j’vais savoir ! »
Et toujours le rire de la belle entraine celui de son homme.

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Lapointe
L'édenté furète un peu partout dans le village à la recherche d'un gosier amical, d'une amygdale en détresse, d'une lavallière en perte sèche. Mais il fallait se rendre à l'évidence, les seules choses qu'il a vu s'agiter ce sont les choses du taureau qui courait dans un champ.

Pom pom pom pom pom pom !

Retournant sur la place il s'arrête un instant devant le mur de l'âme en tension(j'ai honte, jetez-moi la pierre !).
Il les trouve beaux tous ces gens, ces couples. Et il décide d'y mettre un peu plus de vie, mais cette fois ce n'est pas un hommage à sa grandiose. Non ! Non !
Il a croisé deux étranges personnages il y a peu, un ours et un marchand de sable. Alors comme un avis de recherche il placarde leurs portraits, les soupçonnant fortement d'être responsable du calme ambiant.



Satisfait du devoir accompli, il repart vers son chez lui.

Pom pom pom pom pom pom pom pom pom !
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Opaline.
La blondinette avait erré dans les rues de Millau durant ces deux jours ou ils s'etaient reposés. Ville calme, elle avait cherché de quoi s'occuper et fini par tomber sur une animation amusante sur la place.

S'approchant pour voir de quoi il retourne exactement elle sourit en voyant quelques dessins representants certaines personnes d'ici. Petite moue de la blondinette qui ne connaissant personne n'avait aucune chance de reconnaitre qui que ce soit mais elle sourit aimant l'idée generale.

Alors pensant a son surnon et celui de Carla donné par leur ami Nyc elle prend un velin et s'applique a dessiner... Quelques heures plus tard, amusée elle accroche son auto portrait et celui de Carla et s'ecarte en riant doucement. Puis fait une virevolte et repart dans les rues chercher Nyc pour qu'il voit son dessin.
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