Asphodelle
Elle prisait peu l'usage du carrosse, tellement habituée à voyager telle la "poor lonesome cowgirl" qu'elle était.
Elle descends de monture et se fait conduire jusqu'à l'édifice religieux, ravissante chapelle de domaine qu'elle allait consacrer dans un instant.
Sur la tête, elle porte une barrette de liturgie blanche, façon béret basque, sur ses cheveux lâches dont elle avait couturé les boucles dans la nuit par de grosse tresses.
Sur son corps couvert d'un premier vêtement de dessus à dentelle anglaise blanche, elle a passé une aube Lilas bleu sans fioritures quelconque avec une capuche qui donne au tout l'air modeste. Sans fioritures ou presque, puisqu'au niveau de l'ourlet de bas, des petits chats se succédaient en bandelette, discrets car le fil de broderie était de même couleur que l'aube, mais bien distincts si on appuie son regard dessus.
Une petite cordelette bleue clair entoure sa taille féminisant le tout.
Par-dessus, une chape de couleur blanche à liseret rose saumon couvre ses épaules et descends par-devant sur la poitrine, et par derrière jusqu'aux chevilles.
Sur cette cappa de soie, est brodée une croix d'aristote, plus particulièrement celle que l'on trouve dans l'Institution de l'Eglise de France, une oeuvre magnifique ouvragée par les mains talentueuses de Son Excellence Zoyah.
Elle s'approche du choeur et dispose le matériel liturgique qu'elle consacrera en même temps que l'édifice, en les posant sur l'autel.
Pendant ce temps, le Duc de Vire avait été fait appeler pour la rejoindre et commencer la cérémonie de la consécration de la chapelle afin de suivre son baptême et lancer la pleine activité de son domaine.
Elle consacrera ce temps à l'attendre en prières, ainsi qu'elle passait désormais la majorité de son temps en dehors de son travail au Collège des Evêques de France, à Rouen où elle débute son chantier - pour éviter la fameuse maxime du "cordonnier le plus mal chaussé" - et les Ambassades Royales où elle travaille à consolider la solidité de la paix avec l'Empire...ou bien la Grande Aumônerie qu'elle aide à réformer.
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Elle descends de monture et se fait conduire jusqu'à l'édifice religieux, ravissante chapelle de domaine qu'elle allait consacrer dans un instant.
Sur la tête, elle porte une barrette de liturgie blanche, façon béret basque, sur ses cheveux lâches dont elle avait couturé les boucles dans la nuit par de grosse tresses.
Sur son corps couvert d'un premier vêtement de dessus à dentelle anglaise blanche, elle a passé une aube Lilas bleu sans fioritures quelconque avec une capuche qui donne au tout l'air modeste. Sans fioritures ou presque, puisqu'au niveau de l'ourlet de bas, des petits chats se succédaient en bandelette, discrets car le fil de broderie était de même couleur que l'aube, mais bien distincts si on appuie son regard dessus.
Une petite cordelette bleue clair entoure sa taille féminisant le tout.
Par-dessus, une chape de couleur blanche à liseret rose saumon couvre ses épaules et descends par-devant sur la poitrine, et par derrière jusqu'aux chevilles.
Sur cette cappa de soie, est brodée une croix d'aristote, plus particulièrement celle que l'on trouve dans l'Institution de l'Eglise de France, une oeuvre magnifique ouvragée par les mains talentueuses de Son Excellence Zoyah.
Elle s'approche du choeur et dispose le matériel liturgique qu'elle consacrera en même temps que l'édifice, en les posant sur l'autel.
Pendant ce temps, le Duc de Vire avait été fait appeler pour la rejoindre et commencer la cérémonie de la consécration de la chapelle afin de suivre son baptême et lancer la pleine activité de son domaine.
Elle consacrera ce temps à l'attendre en prières, ainsi qu'elle passait désormais la majorité de son temps en dehors de son travail au Collège des Evêques de France, à Rouen où elle débute son chantier - pour éviter la fameuse maxime du "cordonnier le plus mal chaussé" - et les Ambassades Royales où elle travaille à consolider la solidité de la paix avec l'Empire...ou bien la Grande Aumônerie qu'elle aide à réformer.
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