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[RP] En... presque... toute discrétion

Dd0die
Stoïque ?

Je t'aime moi non plus...
Lest, Louis, le blond, les autres....


Faut respirer profondément.

La blonde attitude, c'est aussi l'art de mettre - et remettre - les deux pieds dans le plat... Et l'artiste n'y mets pas que les deux pieds, plutôt le genre à se jeter dedans et tenter de nager... Du coup, même dans une réunion d'aveugle, celui là on l'aurait reconnu. Ça force le respect pour la patience d'une rousse enceinte qui bisouille de manière appuyé - Et ça déplaît pas - et qui doit vraisemblablement passer un temps fou à se perdre en explication auprès de son compagnon... en vain...

Alors autant régler les détails de suite, histoire de mettre tout ça au clair et au pire de balancer les mandales avant l'apéro pour économiser les bouteilles.

" Eux et moi ne sommes plus vraiment en contact. D'ailleurs, si jamais ils devaient venir jusqu'ici, ce serait dans l'unique but de me passer par le fil de la lame. Pas impossible que ça se fasse dans les semaines ou les mois qui viennent non plus... J'ai vexé, contrarié, humilié des gens et je ne m'attends pas à ce qu'ils l'oublient, ni à vivre une vie paisible. Mais à le refaire, je n'hésiterai pas une seconde. J'aime Andréa, je l'épouse aujourd'hui et je n'oblige en rien la présence de ceux que ça répugne...

J'raccompagne pas vers la sortie.
Mouais, le borgne et son concubin, j'en ai par dessus la coiffe.
Puis je suis pas à quelques ennemis près.
Puis vu que le curton tarde à ramener sa soutane, je gagne du temps sur la typique formule " ou se taise à jamais"
Parce que les surprises, c'est pas le dada à dédé...


Le léger sourire crispé sur les lèvres est là pour tenter d'atténuer le regard agacé qui passe du blond au chef de meute afin de vérifier que la chose ait été entendue et comprise de tous afin de pouvoir passer à la suite, avec un soupçon de regret d'avoir ce genre de dialogue le jour de son propre mariage, et une infime curiosité sur leurs passés respectifs avec son ancien Capitaine.

Léger baiser sur le front de la Colombe qui se donne du mal pour esquiver son passé, bras valide effleurant la taille et le chanceux - Mouais, ça pique - futur mari s'en file - En deux mots ! - chercher une bouteille de calva - Faut au moins ça pour se détendre - immergé dans la rivière à quelques pas de là et d'en proposer aux... surprenants... invités, avant de rajouter à l'attention de qui veut, mais surtout de la mademoiselle enceinte...

- Je peux proposer de la Sangria si vous la trouvez plus à votre goût..."

J'ai pas réglé le problème pour les chtiots, mais j'y travaille mamour !

- Le cadeau Chérie, c'est leur présence non ?"

J'te sauve pas le blond là ?
Perso, je suis pudique du cadeau, mais si le borgne nous fait don de son Hollandais Volant - ou volé -, tout le monde sait bien que je serai trop gentil pour refuser...

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Swan
Et les yeux revolvers, nan pas ceux de la chanson boudiou ou alors pour Dédé hein !

Bah quoi Dréa elle n'avait pas le droit de montrer son affection à TON homme ? Il était super accepté dans la famille et elle avait droit au regard qui tue ? Hannnn, mais quel manque de gratitude ! Un sourire Colgate à Dréa et une tape sur l'épaule du Dédé.


Allez Ddodie, t'en fait pâ pour l'côté d'la famille reniée, c'pô l'moment ni l'lieu pour parler d'ça ! Pis t'sais, t'pô l'seul à avoir fait ça. J'suis plus trop en honneur d'sainteté moi nan plus, s'tu vois c'que j'veux dire ! Et personne t'passeras par l'fil d'la lame, 'lors profites d'ton jour !

Un petit clin d'oeil pour détendre l'atmosphère. Elle le sentait un tantinet tendu le « cochon rose ». Bon et le cureton alors ? C'était quand qu'il pointait son museau celui là ? Elle pouvait pas les marier elle ? Comment ça, ça marchait pas comme ça ! Non ? Sur ? Bon zut alors !

- Je peux proposer de la Sangria si vous la trouvez plus à votre goût..."

Ouai c'parfait pour moi, j'ferais pô l'fine bouche jourd'hui Dédé ! Pis on oublie l'vous hein ! Naméo !

La rouquine de tendre la main pour prendre un godet.

Bon l'est où l'cr'ton qu'on commence ? P't'ain j'savais pâ qu'les curés étaient pire qu'les femmes pour s'préparer hein !

Han elle était sympa l'potion cadeau de Dréa. Hein Dréa qu'elle était sympa ! Main toujours posé sur celle de son blond, elle ne lâcherait pas.
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Sarpedon
Sarpédon s'était tût, comprenant ce qu'il avait oublié ou feint d'oublier, je ne sais. Il laissa la joyeuse compagnie commencer à boire et oublier cette histoire de cadeau un moment - tout petit, le moment, mais un moment quand même. Depuis la remarque de Swan, Sarpédon souriait en coin. Il essayait bien de cacher sa satisfaction, mais il n'y arrivait que moyennement. l'air de rien, après une rasade, il regarda Swan et annonça :

Pour en r'venir au cadeau... Et paf! le pavé dans la mare! Et bien moi, j'ai l'mien! Et j'suis pas tout seul à avoir bossé d'ssus. Une simple statue, ça aurait été trop simple, nan? Parce que je suis SUR que vous avez tous pensez que c'est ce que j'offrais, hein? Avouez! Bah nan! Par contre!

Et là, la pause. Une pause voulue et décidée par le blond. Il en profitait pour faire trépigner un peu plus d'impatience la Colombe, pour se faire mousser (parce que c'est toujours agréable d'être au centre de l'attention) et pour jeter à Swan LE regard. Le regard qu'elle seul pouvait comprendre, celui qui dit : "Souviens-toi de la claque à la Gibbs... et paye!"Enfin qui le dirait dans des siècles, après l'invention de Gibbs. Revenons à ce fameux regard.

Sarpédon était blond. En tant que blond, il avait cette faculté miraculeuse du blond : prendre la tête de l'innocent, de celui qui parle avec une naïveté insoupçonnable.


Swan... J'savais plus pour quoi c'était l'histoire du cadeau-là... Mais maintenant qu'j'me souviens du mariage, j'me souviens qu'c'était pour aujourd'hui. Et t'm'as assez dit qu'j'devais rien faire pour toi parce qu't'avais trouvé l'idée PARFAITE pour l'mariage et qu'tu f'sais ton propre cadeau. Donc j'ai rien pour toi, hein. T'voulais offrir l'plus merveilleux des cadeaux, j'allais pas t'en empêcher! Dréa l'mérite bien! Voilà... maintenant, tu t'débrouilles, mon amour!

Swan ne lâchait pas la main de son blond, mais le blond souriait. il était content et jubilait. Petite pique dans leur couple, vengeance pour cette claque AUCUNEMENT méritée! Car Sarpédon était EVIDEMMENT innocent! Elle frappait en publique pour montrer qui tenait la culotte, il ripostait pour annoncer qu'il allait falloir se la battre, cette culotte.

Il sourit, amusé et posa un baiser sur sa tempe, plein de tendresse. Dans un souffle, il ajouta :

Et m'dis pas qu'elle était pas méritée, celle-là.
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Andrea_
Dans la famille de Pique et ses dérivés -les pièces rapportées quoi- , nous avons plusieurs spécimens.



Le spécimen " à claquer".

J'ai nommé Swan, la fille Rousse. Fourbe dans tout son état. A qui là, tout d'suite, j'collerais bien deux torgnoles pour oser poser SES lèvres sur la joue de MON mari. Oui ce n'est que sa joue, mais ça commence comme ça hein. Dois-je rappeler comment ça a commencer entre lui et moi? Bin y a même pas eu d'baisers sur la joue. Alors regarde moi bien Swannie : STOP. C'est terminé. Nan mais oh, j'vais t'faire ravaler ton sourire colgate tu vas rien comprendre. Mais, comme elle va apaiser le spécimen qui suit, on lui pardonne. -Mais ne recommences pas-.





Le spécimen " à calmer".

J'ai sus-nommé -sus, nommé, uuuuh, pardon-, Dd. Double D de son état. Qui s'enflamme légèrement après le monologue de troisième spécimen, mais chaque chose en son temps.

Dd donc, est la dernière pièce rapporté de la famille. Même si l'As fait comme s'il n'était pas encore accepté, tout le monde ici présent que du moment que JE le veux, alors Ignace le voudra, c'est ainsi, cherchez pas.
Ce petit homme à la patte brisé -son bras!-, fait gentiment comprendre à tout ce petit monde que bon... le passé c'est le passé et que s'ils sont pas content, c'est la même. Je note. Je note surtout la manière dont il l'a dit. Restant d'un calme Olymien et enchaînant comme si de rien n'était sur le remplissage des verres. Cet homme, décidément, m'étonnera toujours.
Pas autant que la réplique : " la cadeau chérie, c'est leur présence non?". Parce que je pense qu'il aura bien compris à mon sourire forcé que non, leur présence ne suffira pas et ne remplacera jamais un cadeau. Rassurez moi les gars, vous me faites marcher... Y en a bien un qui a quelques -centaines- d'éacus sur lui et qui va me les lâcher non? Rha la famille, j'vous jure....




Nous avons donc le dernier spécimen.



Le spécimen " Je suis Dieu".


Pas dans le sens, je suis Dieu Déos le Très haut ou Aristote truc, non non, plutôt dans le sens : j'me mouille pas mais j'éclabousse les autres, comme l'autre grand couillon marchant sur l'eau ou l'écartant pour pas abîmer ses chausses -pour la petite histoire, on apprendra bien plus tard que c'est juste parce que les fameuses choses détaignaient, d'où l'importance d'avoir un bon tisserand-.
C'lui là donc, c'est Sarpé. J'vous dirais bien d'faire comme s'il était pas là mais il est bien là. Bien collé contre sa Rousse, bien Blond, bien c.. Heu, bien dans son rôle quoi. Dans son rôle de mari qui va mordre la poussière.
Personne lui a dit que dans la famille Pique et ses dérivés, ce sont les femmes qui ont le dernier mot?

Matou, mon Minou, va falloir faire l'éducation de tes deux gendres.




Nan mais c'est bon j'ai compris, y a pas d'cadeau.


Nan j'boude pas.
Pas encore.



C'pas grave M'Amour a raison, votre présence, c'est déjà un super cadeau.


Là non plus.


En plus vous êtes venus tous ensemble, c'est... c'est... c'est... MERCI.


Et là non plus, ça vous en bouche un coin hein!


Bon après vous saviez pas qu'on amenait des cadeaux je comprends, les brigands sont rarement des gens bien éduqués.


AH...
Autant pour moi, c'est fait.

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