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[RP Ouvert] La Poste — Parce qu'on le vaut bien.

Paquita
Un mot jeté à la va vite sur un coin de nappe et expédié sans façons



Très Cher Jean

Mercé pour le service que vous me rendez.
Nous n'aurions pu partir sans les blocs de pierres que vous nous fîtes livrer par convoi spécial.
Il faut dire que la roue de notre charrette donnait de la bande
La voici équilibrée grâce à vous et notre retour en nos terres assuré.

Soyez certain que nous leur trouverons un usage. Que ce soit pour un puits, une cheminée ou même border mes massifs de pimprenelles. A moins que je ne me décide à offrir aux mouettes des rivages languedociens, une statue à votre effigie en mémoire du geste que vous eûtes à notre égard.

Avec gratitude

Paquita


01/02/1462 00:50 : Vous avez donné 1 écu(s) à la province de Comté de Toulouse.

_________________

Cvf
Citation:
De Nous C.
A vous Asphodelle Di Cesarini,

Bonjour

J'ai beaucoup repensé à notre dernière discussion et je dois avouer que vos mots ont eu un certain effet à mon égard. Même si je répugne à le montrer et que je préfère ne pas y penser, la question de mon salut se pose régulièrement et m'interpelle beaucoup. En fait, même si je n'aime me l'avouer ni à moi même ni aux autres, j'ai peur. J'ai peur de l'avenir, j'ai peur de ce que je deviendrais après ma mort. Oh je me doute pertinemment que ma place ne sera jamais aux côtés du Très Haut. J'ai fait trop de mauvaises choses dans ma vie, parfois avec de bonnes raisons, parfois par simple plaisir du vice et de la souffrance. Et je ne regrette rien. Pire, j'en suis même satisfait. Et c'est là que le bât blesse, comment un homme qui prend plaisir à répandre le mal, la souffrance et la mort pourrait il avoir la moindre chance de prétendre à être sauvé ? Comment un homme qui refuse de regretter ses actes mauvais pourrait il espérer être pardonné, puisqu'il se refuse à demander pardon ?

Je suis un homme mauvais, je le sais. Je répugne à suivre les commandements d'Amour et je me plais plus dans l'exercice des vices que des vertus. Mais d'autres questions se posent alors et elles n'ont pour le moment aucune réponse. Comment croire en une Eglise Aristotélicienne Romaine qui a perdu depuis longtemps toute morale et toute crédibilité ? Comment croire en des prélats qui préfèrent lécher des bottes pour obtenir des titres et lancer des croisades à chaque fois qu'une menace apparaît sans chercher à convertir ? Aujourd'hui ces gens n'ont plus de base, ils ne sont plus écouté que suivant les interets des puissances temporelles pour mieux être dédaignés quand nul n'a plus besoin d'eux. Ils ne sont qu'un point sur les programmes électoraux, qu'on met par habitude, en y plaçant des banalités affligeantes juste pour pouvoir dire « oh regardez on fait un truc sur la religion », du moins quand il n'est pas purement et simplement oublié. Parce qu'honnêtement tout le monde s'en fiche. Dans bien des lieux la moralité et la droiture ont déserté les places publiques et tout à chacun se roule dans la fange et dans la débauche sans même avoir la dignité de se cacher. Mais que penser ? Hormis une minorité de prélats, les autres n'ont pas plus d'honneur qu'une catin, et encore, au moins celles ci assument elles leur choix, ce qui les rend à mon sens bien plus honorables que des types en robe rouge qui jouent les outragés et les pères la vertu alors que dans le fond ils seraient prets à vendre leur mère, leur sœur et leurs paroissiennes contre un peu plus de pouvoir temporel. Rajoutez leur des titres et c'est tout juste si ils ne les dénuderont pas pour vous. Quel salut espérer obtenir dans une Eglise corrompue où tout est sujet à la mesquinerie et à la bassesse ?

J'ai espéré un jour que la Réforme saurait apporter quelque chose à ce monde. Mais au final, que constate-t-on ? Que la plupart ne s'y intéressent que parce que ça les dédouane de culpabilité à culbuter tout ce qui passe parce que... liberté voyons... liberté de baiser, de tuer, de voler, de piller. Quelle crédibilité apporter à ces gens là ? Comme pour les papistes, je ne nie pas que certains ont de la moralité, mais les différents mouvements qui les composent nous enseignent une seule chose : ce n'est pas tant la religion qui les intéresse que le fait de pouvoir dire qu'ils sont contre l'ordre établit. Et ils ne le sont pas par conviction, juste pour le principe d'être contre, d'être déviant, d'être à la mode en sorte. Ce qui pose de sérieux questionnement quant à la crédibilité de leur message.

Je suis perdu, je ne sais en qui croire ou espérer, je ne sais même pas si je dois espérer quoi que se soit pour mon âme perdue et viciée et aujourd'hui je suis dans le noir. Sans rien en quoi croire réellement sinon en des traditions. En aucun cas en moi.

Fait le 20 janvier à Orléans,

C.

Asphodelle
Citation:
D'Asphodelle Di Césarini
A Sa Grâce Chlodwig Von Frayner d'Azayes



Votre Grâce,
N'avez-vous pas remarqué ces petites phrases de politesse que les gens insèrent, à la fin des lettres?
"Que Dieu vous garde".
J'ai remarqué que nombreux sont ceux qui se moquent bien de sa volonté, et lui demandent - intiment? - quand bien même de veiller sur leurs interlocuteurs. Si la demande n'est pas vraiment sincère alors voila que la tournure devient creuse et le Très-Haut un otage de la bienséance.

En tant que Chef d'un mouvement spirituel, et gardienne de nombreuses connaissances et découvertes théologiques suite à mes études, je puis dire que Dieu agit ainsi qu'il le désire, et qu'aucune de mes paroles, aucune de vos paroles ou celles d'une autre Créature terrestre, ne sauraient le détourner de ses plans, de son jugement, ou de ses conclusions. Le pardon, en effet, n'est pas un bonbon, et il ne se donne pas comme un bonjour. Le Très-Haut ne le distribue pas à la demande parce que nous aurons récité un confiteor, ou que nous nous serons confessés au plus bouché des curés. Certains pardons non formulés, seront accordés, d'autres intensément récités à grand renforts de Saints et autres Pater Noster, refusés.

Ce que je discerne dans votre lettre, est la conscience de ces faits et en cela, je pense que vous êtes déjà orienté vers le bon sens.

A présent, si à travers vos doutes, vous souhaitez me faire apparaître que vous souhaiteriez connaître ma coupe, pour être guidé vers la spiritualité, sachez que je ne refuse aucune brebis. Cependant, cela se soumet à un premier exercice.

Nous avons déjà discuté, un peu, de la direction modérée de ma Foy.
Je dois ajouter que tout comme vous, je reconnais avoir, à un moment donné, profondément douter, m'être sentie égarée, et je me rappelle d'un instant vécu d'une profonde cruauté...amère...étouffante, jusqu'à ce qu'Eusaias à travers son audace, me propose de créer l'Eglise de mes rêves.
Lorsque j'étais Romaine, suite à mon incompréhension de la naissance de leur deuxième courant et devant l'assurance de leur volonté de détruire Rome, j'ai vécu dans la méfiance, et un temps même, dans un mépris profond de la Réforme. Sur ce courant où l'estime avait quitté mes rangs, je me suis adonnée à une haine tenace où le Réformé, encouragée par ma vocation de milites des Saintes Armées, était l'homme à abattre. L'éradication de leur race et de leur foy était ma vocation, c'était devenu mon métier, et j'étais employée pour cela. J'enchainais les mobilisations, aux côtés des escortes multiples, j'effectuais mes suivis, mes espionnages, mes listages, et usais de toutes les sournoiseries possible et imaginables pour que l'ennemi recule ou tombe. Je fus élevée au rang de Chevalier d'Isenduil pour cela et nommée pour recevoir la distinction du Rubis.

Lorsque Rome enfin, coula sous mes yeux, à son tour, dans une danse sans fin de manigances, permissions abusives sur le Dogme, et témoin ou victime de mauvais traitements internes mulitples, ce fut le contraire : après un temps de chute de mes intolérances, je reculais de plus en plus à saquer le Réformé à mesure que je voyais se crasser les Archevêques et les Cardinaux. Grand final héroïque et intense, la gifle que je reçu me poussa aux représailles, et je suis tombée dans le mépris de Rome, en effectuant par accointances avec ma révolte, un retrait vers la lutte réformée.
Le curé des plus simples devenait mon dégoût, le Cardinal celui qui pouvait crever dans un fossé, le Réformé celui qui avait tout compris.

Après un premier temps d'installation de l'Eglise de France, vint la pause, et le retournement sur mes pas. Qui étais-je devenue? une romaine à l'envers? Je me suis sondée, j'ai effectué une retraite dans les Textes, et j'ai reçu la révélation que je cherchais. Qu'était donc, cette Eglise que nous étions en train de bâtir? je me révélais avec horreur que ce qui pouvait naître de ceci, pouvait se révéler pire en violence et en déviances, que les deux premières obédiences. Tout le chemin que je fis, depuis ma vie d'athée à Bayeux, jusqu'à présent, en passant par la grace reçue le jour de mon baptême, et ma carrière à Rome, ou mon travail pour la Couronne, je le fis en sens inverse.

Rien du travail que vous commencerez, qui se révèlera long et difficile, ne pourra trouver sa conclusion sans un certain commencement, un et pas un autre.

Car lorsque l'on en est à ce stade de vos réflexions, on s'est perdu de vue, on ne sait plus qui l'on est vraiment, ce que l'on souhaite.

Vous êtes, Votre Grâce, dans l'errance la plus totale. Vous marinez dans la noirceur de votre jus. Vous vacillez sur vos bases, et l'homme que vous êtes, sombrera avec ses vices.

Si vous me tendez la main, et que vous n'avez pas peur, je vous ferai découvrir des chemins spirituels où votre coeur comprendra enfin, le véritable message du Créateur. Non à travers mes yeux, ni ceux des autres, mais uniquement votre perception personnelle, et les Textes sacrés. Telle est ma méthode.

Faites attention, le sentier où vous pénètreriez est pareil à une laie de jungle. Au plus bas vous êtes, au plus haut je vous intimerai d'aller, peu importe vos révoltes, je tiendrai bon.

En avez-vous le courage?



_________________
Natale_



Natale est à la guerre, Natale bâti des châteaux en Espagne, Natale prend son pied dans ce qu'il fait, cependant...

Un Époux toujours en voyages se doit bien quelques-fois d'écrire à sa femme pour lui donner des nouvelles et la rassurer de son amour. []

Citation:
Marie chérie,

Ton absence me devient chaque jour un peu plus pénible, je suis en exile dans un monde désespérément kaki, je ne dors plus, je ne mange plus.
J'ai commis la pire erreur de ma vie en acceptant cette charge qui va me priver de ma femme adorée durant d'interminables semaines, je pense sans cesse à toi.
Nous avons dû renoncer à toutes ces fariboles, mais nous pouvons continuer d'espérer. Je me prend à rêver qu'un jour ou l'autre des temps meilleurs viendront. Un jour couleur d'orange. Tu te souviens Marie chérie ?
J'ai un bonne nouvelle à t'annoncer Marie chérie, dans peu de temps je te ferai parvenir une publication officielle, et nous pourrons nous retrouver à la Maison tous les jours. En attendant j'espère que tu viendras me rejoindre en Andorre, nous pourrons sortir tous les deux.

Ton Adriano qui ne t'as jamais tant aimé.
Nyxx


kaï Kaï kaïïï !! fait le chien qui fuit la queue entre les jambes ..

A toi, Satyne, ô cauchemardesque insolente ..

L'on me rapporte que tu étais il y a peu dans ma cité chaurienne .. pourtant, je ne t'ai point aperçue ..
tu n'es point venue frapper à ma porte histoire d'en découdre une fois pour toute de cet affront, jadis en la Capitale ..

Qu'as tu fait ? tu es restée terrée pendant la durée de ton séjour, te déplaçant uniquement la nuit tombée ??
et, lorsque tu as entendu ma voix tu as fui tel un roquet ?! tsss ..

Que diantre, du courage, manzelle grande bouche !! ..
Je t'attends pour te donner ta pâté ..

Nyxx,
le coeur sur la main ..

_________________
Satyne
Citation:
A la juge sans jugeote vaurienne chaurienne pissant froid,

Nyxxette d'amour, j'aurai su dans quel trou tu vivais que je serai venue chercher tes dents pour m'en faire un collier.
N'ayant point peur de la rage, je t'aurai étripé sur le champ pour constater quel démon ronge tes entrailles.
Assurément la place du cœur aurait sonné creux. Comme la tête.

Ça aurait fait les choux gras des pamphlets du coin. Mais comme tu as autant d'intérêt pour moi que ma première paire de chausses, bah je t'ai laissé dans ton coin faire mumuse avec ton marteau de juge (attention de ne pas te taper les doigts, tu ne pourras pas toujours faire croire que tu te les aies coincé dans la porte).

Dans une semaine je serai libre de mouvement et je viendrai m'acquitter de mon office. Profite de ton ratelier.

Satyne,
Les mains qui fourmillent
T.of.c.
Sur le pont de son neuf navire, le blond marchand se réjouit. Non pas que cris de joie, fûts en perce font leur oeuvre dans la cambuse mais les côtes portugaises s'éloignent. Plus la distance augmente, plus la joie l'emplit. Alors il contemple, il observe, il écoute le grincement des cordages du navires, le souffle du vent, le clapotis de l'eau.

Il retourne dans le château du navire répondre à la missive du maire de Toulouse.


Citation:
De Toc
Au Sieur Cumluna, le bel médicastre,
Que votre jon soit bon,


Enfin ce voyage s'achève. Nous avons désamarré tôt en la journée du 12ième de ce moy du port de Porto. Si les vents nous accompagnent et la mer est clémente, sous 8 jours nous seront sur les flots de la Garonne. Quelques jours supplémentaires nous permettront de gagner votre bon port.

Fer, pierre et écus se trouvent à votre disposition pour la poursuite des travaux d'agrandissement si tel est votre souhait.

Que Sainte Illinda vous garde,
Faict sur le pont du CC Valois le 12ième du moy Février de l'an 1462


ToC

_________________
Cvf


Citation:
A Asphodelle Di Césarini
De C.

Bonjour,

Je n'ai jamais été du genre à insérer ces petites phrases en bout de lettre. Dieu nous garde, sans doute, peut être, moi il ne m'a jamais gardé. peut être parce que j'ai cessé de me dire qu'en priant il allait exaucer le moindre de mes souhaits. "Aide toi et le ciel t'aidera", voilà quel est plutot mon credo. Au final, on ne peut compter que sur soit même et sur les bras de ceux qui nous entourent dans les moments où tout se joue sur un infime détail. Se battre, sans cesse, ne pas rendre les armes, rester fièrement debout et crier au monde que vous existez, et que cette simple existence est en soit une victoire. Dieu me garder... je n'y crois pas une seconde, si il a une once de bon sens il ne le fera pas. Lorsque le monde s'écroule autour de vous, lorsque les repères des hommes ne sont plus, lorsque seule votre épée et votre verbe comptent, peut être est ce lui finalement qui nous inspire, mais je ne le pense pas. C'est le tripes et elles seules qui révèlent les hommes.

Oui j'ai pleinement conscience de mes fautes, du moins je le crois, puisqu'on a finit par me dire que c'était mal. Mais lorsque je les fais, je ne les ressens pas comme étant mauvaises, juste comme étant plaisantes, comme me fonnant du plaisir. J'aime faire le mal, et par dessus tout j'aime faire le mal pour de nobles objectifs, c'est bien plus pervers, bien plus intéressant. Cela provoque doutes et désorientation chez les autres puisqu'ils ne savent comment vous caser dans le monde manichéen qui est finalement le notre. Un méchant ? Oui il l'est ! Pas un gentil donc ? Mais si puisque les raisons sont bonnes. Je ne parviens à vivre qu'en ressentant les réactions des uns et des autres puisque les miennes sont presque ternes.

Rome ? Qu'est ce que Rome désormais sinon un vieux pape et une bande de cardinaux bien jolis dans leur pourpre mais sans pouvoir effectif finalement sinon les reliquats à présent éphémères d'une gloire passée depuis longtemps ? Eusaias ne les a ni combattus ni achevé finalement, il a juste montré au monde leur vraie place et leur vraie visage. Je me souviens lors de la première campagne royale. Que voulaient ils ces gens là ? Voter pour celui qui leur promettrait des titres. C'est là que j'ai compris ce qu'ils étaient. Des hommes comme les autres qui ,e faisaient que mettre le nom de Dieu après leur propre parole, pour dire qu'ils détenaient la vérité. Mais qu'attendre d'un homme qui ne recherche que les titres ? Rien bien évidemment. Rien du tout, sinon à être trahis un jour, non pas au nom de Dieu, mais au nom de son intéret personnel. Alors que penser ? Que Dieu n'existe pas comme certains l'affirment ? Non je ne suis pas enfouis dans une déchéance qui me donnerait l'insupportable et ridicule attribut d'athé. J'ai appris à considérer l'Eglise comme ce qu'elle était, c'est à dire non pas une puissance religieuse, puisqu'elle ne se donne même pas la peine de l'être, mais bien une puissance politique, et rapace. Des vautours. Et je n'aime pas les vautours, je n'aime que les aigles.

Je ne vous tend pas la main, je ne mendie pas, je ne cherche pas à être guidé dans des méandres, je les affronte la tête haute. Je n'ai pas peur, j'ai accepté depuis longtemps ma future place. Je n'obéis ni aux ordres ni aux intimations, je n'en fais qu'à ma tête et je trace mon destin dans une large trainée de sang et de larmes. Je sais qui je suis, et je suis lucide sur mes défauts et mes faiblesses. Je sais où je veux aller. Ne me prenez pas pour une âme en peine qui errerait en quête d'une place au paradis. Je ne quémande pas le paradis. Je ne suis pas de ces hypocrites là.

Le courage, je l'ai. Le supporterez vous ? J'en doute.

C.



T.of.c.
Dans la taverne Au Saint-Ptôme de la grande ville de Bordeaux, le blond marchand se trouvait. Réjouit de fouler à nouveau le plancher des vaches, cochons et autres moutons. Assis à une table, le blond commanda repas, chopine et demande de quoi écrire. Par chance la taverne possédait cela. Sur un lai de la Chanson de Guillaume venant de place, il entreprit de rédiger réponses à de nombreuses missives dont celle.

Citation:
De Toc
Au Sieur Herian, le gent tribun,
Que votre jon soit bon,


Point de morues ni de fados ne me retinrent plus que nécessaire en ces terres lisboètes. Seules quelques retraites de mes compagnons retardèrent notre retour en bonnes terres francoises. A lire votre impatience, je la partage tout autant.

Pour ma joie et mon bonheur, mon périple s'achève. Après long voyage de 7 jours, je gagna enfin le bon port de Bordeaux. Depuis 2 jours, je profite pour arpenter couloirs de l'université, bancs des tavernes, étals des marchés...
Temps de réapprovisionner cales, vendre quelques produits et j'entreprendrai la remonter du tranquille fleuve Garonne. Sous 7 jours, je pense ainsi gagner le bon port de Toulouse. Pour ce faire, il me faudra avant écrire au bon docteur Cumluna pour savoir si quai est libre.

Sachez que je serai fort heureux de servir de gentils déménageurs pour votre ami. Nous déménagerons donc tous deux de la bonne ville de Touraine à celle de Toulouse. Comme vous l'écrivez si justement s'inscrire est une bonne occasion d'embarquer. Je rajouterai déménager en est une tout autant.

Que Sainte Illinda vous garde,
Faict en la ville de Bordeaux le 22ième du moy Février de l'an 1462


ToC

_________________
Angus_the_brave


A vous chevalier sans honneur,

Je vous attendrai lundi en campagne, entre Castelnaudary et Toulouse.
Je serai seul et vous invite à venir boire le bouillon de mon sang, ou embrasser la mort.

Guillhem
Volkmar


A vous, Guilhem le ridicule,

Je serai au rendez vous, et nous réglerons cela par l'épée.
Ainsi vous saurez que ce qui vous étouffe, c'est l'orgueil et la vanité.

Volkmar

_________________
Angus_the_brave


A vous Comte, Senesçal et loctenants de la Coct

Mon Ost sera demain à Castelnaudary, je suis seul et sans agrément.
Je demande la permission de conserver l'Ost La Garde Incandescente DTC jusqu'à Mardi.
La Comtesse Meval m'accueillera dans le Comté de Languedoc, elle et son Etat Major se réunissent actuellement pour déterminer si oui ou non, ils ont besoin que je conserve cet Ost.
Je vous adresse la copie de son laisser passer.

Je vous prie de me faire parvenir un mandat contenant 4 essences curatives dans les plus brefs délais afin de rendre au comté de Toulouse la nourriture et les écus contenus dans les coffres de l'armée.

Ce 23 Février de l'an 1462, quelque part entre Castres et Castelnaudary
Guillhem


Citation:

Expéditeur : Meval de Vampérià
Date d'envoi : 22/02/1462 - 12:33:42
Titre : Re: demande d'asile
Salutations !

C'est avec plaisir que nous vous accueillerons en nos terres, et c'est tout à votre honneur de vouloir mettre vos connaissances et vos compétences au service de tous.

Nous discutons actuellement, avec mon capitaine, du point qui concerne votre Ost, et nous vous ferons réponse en début de semaine en ce qui la concerne.

En espérant que vous trouverez ville à votre souhait.

Cordialement

Meval de Vampérià
Scath_la_grande
Deux roses pour la Dame de Pique, pour une dame d'épines, une rouge et une jaune.
La première d'un inconnu, la seconde d'un peut-être prétendant dans le cas où elle serait veuve et n'épouserait pas celui qui était annoté en numéro un dans sa liste des futurs maris quand Volkmar aura cassé sa pipe....


Citation:
Quand la Rouge quémande, un homme mystérieux lui fait alors cette offrande. Je vous offre cette fleur, aux épines aussi dangereuse que votre lame, qui je suis sûr, vous ravira le coeur.

Ne cherchez pas à connaitre mon identité, je ne suis qu'une ombre dans l'obscurité.


Après enquête, elle n'avait pu trouvé l'auteur du courrier, pour sûr ce n'était ni son époux, ni son numéro un de liste, les deux ayant un caractère bien trop rufe pour cela, elle avait écarté aussi le numéro trois, trop proche de ses sous, et ceux de son entourage direct à la délicatesse d'une horde de bestiaux enragés, la Musteile avait donc laissé de côté ce poulet pour répondre à un autre.
Quelques mots : « Une jolie rose pour ma Rouquine préférée. » dont elle reconnaissait l'écriture et le fait qu'il s'attribue déjà la place de brun adoré, ce qui n'est pas gagné avec la Musteile.



Citation:
Vicomte,

    Qu'est-ce cela ? Une fleur ? N'avez-vous point honte, m'avez vous à ce point oubliée dans votre contrée barbare ? Pire ! Remplacée ?
    Si vous escomptez m'offrir un cadeau, faites plutôt que ce dernier soit gouleyant et sous forme de tonneau... alcoolisé et lentement affiné en cave. Je suis certaine que vous trouverez.

    Aurai-je promptes nouvelles de vous ? Je le souhaite.



La Rouille Dame de Pique.

    P.S. : Peut-être que mon veuvage risque d'être avancé vu que mon mari est parti faire un duel. Mon époux croit qu'il suffit de ne rien me dire pour que je ne sois au courant de rien. L'imbécile. Les imbéciles ! Ils payeront cher.


25/02/1462 13:40 : Vous avez donné 2 écu(s) à la province de Comté de Toulouse (pour les envois à un comté très loin de barbares sauvages)
Marion.de.lorme
Citation:
A l'attention de Satyne, Bailli du Toulousain

A votre demande, je suis revenue à Toulouse pour rendre le mandat de sécurité de 3500 écus qui m'avait été confié lors du précédent mandat, et que je gardais en un appartement acheté pour l'occasion.

Je vous ai avertie de ma présence à Toulouse ce matin et de mon attente de mandat pour vous faire remonter les écus.

Sans nouvelle de vous, j'espère que vous ne tarderez pas trop car je ne tiens pas à m'attarder en cette ville, d'autres centres d'intérêt m'appelant ailleurs.

Salutations

Marion Delorme
Marion.de.lorme
A l'attention de Satyne
Bailli de Toulouse

Je vous adresse à l'instant par coursier le mandat de protection d'un mandat de 3500 écus.


Citation:
Vous êtes actuellement mandaté par la municipalité de Comté de Toulouse

Argent 3500,00 écus

Contrat :
Mandat délivré le 26 février 1462 par Dona Pandora, CAC de Tolosa, à Dona Marion de Lorme, pour la restitution d'un dépôt de sécurité de 3500 écus. Ce mandat contient 5 essences et 15 cailloux, il devra être rendu le 01 mars au plus tard avec 5 essences, 15 cailloux et 3500 écus.

Inventaire des marchandises :

Encombrement : 155

#
Nom
Enc.
Actions possibles
3500,00 écus
15
Cailloux
150
2
Essences curatives
2
3
Essences curatives
3

Salutations
Marion Delorme
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