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[RP Ouvert] La Poste — Parce qu'on le vaut bien.

Satyne
S'il fallait se fendre d'un courrier, et bien elle le ferait. Presque minuit dans l'antre du mal (Toulouse quoi) et toujours pas de trousseau de clefs en sa possession. Soit.

Citation:
A Sa Grandeur,

Hep,
Bien le bonsoir,

Juste pour vous dire que j'attends mon jeu de clef pour rentrer au conseil comtal et me mettre au travail.

A demain,

Bien cordialement,
Satyne
Theodule
Un blond avec une chausse noire accoudé à un montant de son étal albigeois contemplait les gens s'affairant, flânant ou achetant sur le marché. Des scènes de vie sources de joie, d'informations ... Dans l'attente de nouveaux clients, Toc rédigea réponse à une missive reçue quelques temps plus tôt. Il s'appliqua dans ses tracés de liés et de déliés.

Citation:
Expéditeur : Enicnarf
Date d'envoi : 30/05/1462 - 23:03:58
Titre : mat
Bonsoir

Je viens sur Toulouse pour ...
...

Enicnarf

Citation:
Dame Enicnarf,
Que votre jour soit bon,

Il me faudra remercier le bougrmestre, sieur Bermude de Shanley. Acquérir des mâts m'intéresse fort car projet d'acquérir neufs navires me tient fort à coeur. A mon grand regret, je vous réponds tardivement et je me trouve un peu loin de la bonne ville de Toulouse.

Seriez vous prête à fabriquer au moins 2 mâts à 460 écus HT pièce ?

Que Déos vous garde,
Faict en le 2ième du moy Juin de l'an d'Horasce 1462
ToC

_________________
Asphodelle
Suite du sujet verrouillé de "la Salle de Plaid Comtale" :


Citation:
A vous, Aanor Scáthach von Frayner épouse Glasmaler,
De Nous, Asphodelle di Césarini, Comtesse de Toulouse



Votre hire éclabousse votre lettre avec des mots qui s'éparpillent, mais ne se posent pas.

Aussi bien, je vais poser quelques faits, bien posés, pour y répondre.
De la délicate et mystérieuse affaire que l'on appelle "le moi", pour commencer :

- à mon arrivée, vous vous moquiez de moi, j'étais "maigre", "moche", et "coincée". Un service dans la religion et les saintes armées, ça ne rends pas la couenne souple, je l'admet. Si j'étais "coincée", cela, je ne pensais pas qu'on en jugeait, le sujet me dépassant peut-être un peu. "Coincée"....cela me semble bien difficile d'être autre chose lorsqu'on est encore fille, mais le terme me mettait mal à l'aise. Je n'en ai jamais rien dit, comme je ne disais rien quand on me traitait de "vieille", d'une "vieille qui se cherche un mari", précisément, par quelques traits légers, que je pris comme tel, et pourquoi faire autrement?

- Après mon arrivée, dans cette vie nouvellement sédentaire, j'ai grossi, j'ai perdu ces traits anguleux, en ai pris de nouveaux, plus ronds, ceux d'une étrangère, presque, et vous, alors conseillère comtale, fîtes courir le bruit en taverne que j'avais été engrossée.
Le mot courut avant l'un de mes offices en Guyenne, et mon frère et moi avons eut mots suite à cela : il sauvait la face, mais il tient à ma vertu, moi, je mourrais de honte à passer pour gourgandine. Nous nous sommes vertement fâchés, au point que, affilié à mon séjour en Guyenne, nous nous sommes éloignés, et nous ne retrouvâmes pas notre complicité d'après son retour ici près de moi. Vous ne pensâtes pas un instant que cela pourrait avoir de graves conséquences sur ma vie, et pourtant, je n'ai pas pensé ni n'ai été effleurée de l'idée, de lui interdire votre compagnie, trouvant bien au contraire, que l'accointance était heureuse, s'il en était heureux.

- Aujourd'hui, je ferais donc ... la "charognarde". La catin de service, qui enrôle vos hommes, ceux de votre maison. Une fois encore, point idée vous traverse de la gravité de vos propos, et en l'état et si vous saviez la vérité, intrinsèque, complexe, de la honte à en éprouver.

- Demain? que serai-je, Chevalier? que serai-je qu'aujourd'hui va déclencher à mon insu?

Je comprends que les masures ont long à causer de la Comtesse, et c'est comme si je venais d'incarner le Sans Nom tant la nouvelle croisade qui a lieu actuellement en Toulousain, est faite contre celle qu'on appelle "la di Césarini".
J'ose simplement espérer qu'il existe tout de même d'autres sujets de conversations.

Nous nous fréquentons peu voire pas, portées par nos vies, mais vous semblez pourtant en savoir plus que moi sur moi-même à chaque moment de ma vie. Plus de mes fréquentations même - portés en ce moment à tensions et soucis, solitude et peines aussi, mais que je tairais par pudeur, que de charmantes soirées auprès de bougies - plus sur mes intentions, mon cœur, mon âme maintenant?



Je ne mentirai pas, je ne ferme jamais les yeux devant mes fautes ! Aussi vais-je en finir à l'objet en question :

Je ne veux pas d'affaires de mœurs dans mon Parti, précisément, et dans un état où vous avez largesse à passer sans cesse sur ma vie et sa réputation, sans que je ne vous en confie rien de rien, à influer sur celle-ci sans que vous ne soyez près de moi, l'affaire est tombée dans une dispute avec votre époux où il m'excéda je l'avoue, par le verbe qu'il a de haut, et d'acide, quand il n'aime pas. Le sujet est parti comme une munition de catapulte, par bêtise, je le concède, car il m'avait blessée au sang, par des mots que je tairais quant à moi, et que je n'ai rien trouvé de mieux à lui balancer pour faire de même, comme le font les petits enfants.

Si je le regrette? bien-sûr que je le regrette profondément. Ces instants où ça dérape, où on se reprends ensuite et où on se dit : "qu'ai-je dit?".

Cependant, ce genre de choses, c'est comme les milles mots qu'on lâche contre une personne, ou bien une autre, les rumeurs, les "on-dit", les jugements, les insultes, les injures, les condamnations, les présomptions de culpabilité...quand on tranche du fil de la parole quelqu'un d'autre, il est dur de réparer, et on ne sait pas comment le faire, car impossible il est de revenir en arrière.

Aussi, ne puis-je n'en demander que le pardon, car la bêtise, qu'elle vienne des autres ou de soi, ne mérite pas d'excuses, mais seulement mépris, et désolation.


Ainsi, j'en porte la culpabilité, amère, et coulante, comme je porte celle des autres, qui m'atteignent par leur propre bêtise, sans trêve, dans une escalade féroce et hors limites, de mensonges, de diffamations, à celui qui sera le plus méchant et le plus vil, le plus humiliant, lors qu'il y à à peine quelques temps, je n'étais qu"Asphodelle", la fille qui logeait dans une cahutte à la cheminée tordue de Saint Cyprien et qui trinquait avec ses voisins.


Ainsi qu'est porté l'aveu, que je porte devant Dieu, je vais vous le demander à mon tour, pour maintenant où je suis la cible facile, et pour après où je ne serai plus qu'une fille simple, que je sois moche, maigre, grosse ou bien portant décolleté, que je sois amoureuse, ou que je devienne nonne :

.....laissez-moi...en paix...Madame.

Assez de mal vous fites dans ma vie, et sans que je n'en étale la chose.
Et si ça peut un peu vous consoler, apprenez que votre mari m'a collé une belle baffe. J'en ai vu d'autres, mais on la dira "méritée".

Je vous espère sincèrement, heureuse le long des jours,


Asphodelle di Césarini
Comtesse de Toulouse

_________________
Scath_la_grande
[Janvier 1462]

Citation:
Mademoiselle notre fille,
Que nous aimons en dépit de tout,


Nous avons eu l'occasion d'entendre beaucoup de bien de vous au niveau de votre implication en la Prévôté du Tolosan. Alors que nous savons pertinemment que le fait d'embrasser de telles responsabilités n'a strictement jamais fait partie de vos ambitions, permettez-nous de vous transmettre ce petit mot de félicitations et attester de toute l'étendue de notre fierté à votre endroit.

Sous le règne du très regretté Roy Eusaias, la France a bien fait savoir qu'étant unie elle est invincible, et que de son union dépend sa grandeur, comme sa ruine de sa division. Nous avons l'audace de croire en ces heures qu'il en est peu ou prou de même de notre famille tourmentée.

S.I.


Il écrit une lettre ! Ça alors ! Et sans même avoir un service à formuler ! Il y a de quoi en voir un coin de bouché. Bien sûr, il a couci-couça caché à son coursier plénipotentiaire l'identité de celle à qui il devait délivrer son message. Il faut dire que ce dernier est plus certainement concerné par ses creux dans l'estomac que par le destinataire des notes qu'il remporte à l'actuel Ostal Maurand, où s'amassent tous les vieux grignons du bouclier au corbeau. Au-dessous de la place Royale Montalbanaise, sous le dôme d'une crypte humide, il rédige son billet. Soit une bâtisse secrète pourtant agrégée au cœur de ville. Il en sortira quand son abstinence d'épaulard sera moins décriée. Or, si au centre de la pièce secrète trône un bureau avec un encodage secret, aux caractères agrandis pour pallier à sa presbytie naissante, il remporte chez lui la simplicité de son matériel d'écriture. Il a une main-forte à apporter à un être aussi répugnant que veuf, mais qui s'avère hélas, être son Suzerain*.

*narration de jd Sancte

_________*****_________*****_________*****_________*****_________


[Juin 1462]


Il écrit une lettre ! Ça alors ! Et sans même avoir un service à formuler ! Il y a de quoi en voir un coin de bouché.
Tellement bouché même que la destinataire prise sur le vif ne sut quoi répondre et laissa là le pli paternel dans l'abandon parmi quelques courriers notifiés urgent et dont nulle réponse fut faite.
La Musteile cloitrée dans sa Torre de la Pietat, à la Prévôté, sermonnant, organisant, faisant et défaisant les affaires jusqu'au jour où... elle démissionna.
Par la suite elle se cloîtra en son lieu, puis à Castres, on ne vit guère le bout de son museau, devenu pâle, l'humeur grise à remâcher les deuils de son existence, remuant sa foi, sa conscience huguenote dont elle avait délaissé peu à peu son attention.
Les appétences flétris et le corps amaigri. Plus austère qu'un ministre de la foi en période de Carême.

Pourtant ce jour d'hui, elle écarte les parchemins au vitriol de ses brouillons qu'elle réserve pour la Comtesse et trempe, sereine, le bec dans l'encre carmine.
La senestre s'occupe de réapprovisionner la gargoine en vin. Le bourguignon semble approprié pour renouer un peu ce lien fané.


Citation:
A monsieur mon père,
Par le sang du moins.

    Je ne sais accueillir les compliments faits de votre main, point que je m'en sente indigne juste que j'estime ne pas être plus méritoire qu'un quelconque autre prévôt. Ce fut l'office que l'on m'a attribué en tant que conseiller et je l'ai rempli avec rigueur et je l'espère avec efficacité.
    J'ai quitté prématurément la Prévôté, lassée, vidée et n'ayant plus assez d'énergie pour redresser encore et encore cet office qui a tant souffert de négligence au fil des mandats précédents et d'ailleurs comme vous le dites, ce n'est pas ma prime vocation, qui est celle des armes et de la guerre mais point à moisir au fond d'un ost ou d'un placard prévôtal.

    J'ai appris pour vous, vous voilà Capitaine de la garde royale.
    Mordieu ! Je me demande si cela vous convient, vous, le vieux briscard que j'ai côtoyé dans mes vertes années, vous rappelez vous du surnom d'Amiral que vous portiez à cette époque ?
    Tout cela est si loin, si abstrait... que je me demande parfois si cette ère a réellement existé.

    Vous me parlez de famille dans votre dernière lettre, je me demande bien laquelle, vous qui adoptez de la femelles à tour de bras et qui négligez votre propre sang, en un sens je vous ressemble en cela, et je le sais, en bien d'autres choses.
    Ma famille c'est Bouillon, c'est Agnès, c'est ma propres mesnie. Ma famille ce n'est pas vous, qui au fil des ans êtes devenu un étranger, un nom sur l'arbre généalogique que je partage avec vous.

    Prenez soin.
    A Dieu je vous confie car envers et contre tous, je vous affectionne toujours.


A.S.
Paquita
21/06 13:03 : Jean.de.cetzes embauche Paquita pour 20,00 écus


Pleine de bonne volonté et d'entrain, Paquita se présente au domaine.

Bonjorn contremaître ! C'est pour le champ qu'il s'agit de ....

Elle n'a pas le temps de terminer que le type lui donne des ordres à grand renfort de moulinets de bras énervés, lui colle un espèce de bouquet de racines défraichi dans les mains et lui enjoint de se diriger vers le lieu de rassemblement.

Elle ouvre des yeux ronds mais n'a pas le temps de récriminer, déjà, elle est poussée par des ouvriers pressés. Elle grimpe dans la carriole qui les amène aux champs, vaguement inquiète.
Brinquebalés sur les chemins, les manoeuvriers parlent peu, économes de mots comme de salive. C'est qu'il va faire chaud !

Paquita se demande bien ce qui l'attend dans ce fameux champ. Semer du grain, ça, elle sait faire. Sa technique est même très au point depuis le temps. Il suffit de se gonfler les joues de grains, de se chatouiller le nez avec une plume et l'éternuement qui s'en suit projette les semences, juste humides comme il faut dans tous les coins. Efficace, musical et pas ennuyeux.

Arrivés aux champs du roi, on les fait descendre sans ménagement. Et là, Paquita comprend tout.


S'isolant sous prétexte d'un besoin urgent, elle sort de quoi écrire




Mon Roy

Vous me connaissez, je ne rechigne point à l'ouvrage quand celui-ci s'avère possible et gratifiant.
Mais laissez moy m'insurger.
Si vous voulez débarrasser votre champ des rongeurs qui l'envahissent, c'est point une armée de pauvres bougres armés de poignées de carottes qu'il vous faut engager. Votre contremaître est un abruti doublé d'un coquin qui vous ment, vous trompe et vous spolie.
Oc ! Si vous voulez vous débarrasser des lapinous, ce sont des cuisiniers qu'il faut engager.
Heureusement que je suis là pour vous donner les bons conseils.
Votre Majesté sera bien bonne de vouloir revoir mes émoluments à la hausse. Conseiller en haute technicité, ça va bien chercher dans les 150 écus de l'heure.

A très bientôt

Paquita
Experte en rillettes de lapin


Elle confie le message au premier aigle qui passe par là - ben oc ! pour un Roy, on n'utilise point un vulgaire ramier, ce serait un outrage, un façon faux pas, comme on dit- et elle se cherche un endroit où buller sans se faire remarquer.

Edit : Pour mettre un 1 devant les 50 écus réclamés sur un conseil de Duflan qui lui, aurait demandé 100 !
_________________

Scath_la_grande
Citation:
Bien le demat,

Mon insolence me pousse encore à vous écrire.
Je repars pas l'Armagnac mercredi, peut-être serez-vous rentrée d'ici là?
Ou bien votre voyage s'annonce sans fin?

Je peux vous rejoindre ensuite si vous insistez.

Chaleureusement,

Janus


[Castel, la ville des casses noix (on vous racontera pour Castres)]


Un mari perdu plus tard, le dit Moustache ayant dû oublier que ce jour là précisément après 25 rappels de son épouse, il devait prendre la route , cela aurait été un de ses écuyers, la botte dans le cul y serait passée.
Musteile prend plume.
Le bec paré d'encre carmine, les mots sont griffonnés, comme à son habitude, bien serrés, économiquement alignés pour n'avoir pas à payer de supplément de parchemin.


Citation:
Barbu,

    J'ai attendu, et n'ai rien vu venir dans les aubes rougeoyantes de ces derniers matins.
    Sur les remparts, rien de neuf, ni de soeur Anne, ni de Barbe bleue. Alors j'ai pris route, bagages et écuyers, tout empaqueté.
    Allez vous retourner à Toulouse un jour ou bien votre plan fait chaque soir pour conquérir *le monde*
    rature la Bretagne se met-il en exécution ?
    J'espère que vous n'avez point succombé à quelques rousseurs, vous connaissant je n'en serait qu'à moitié étonnée, donc par avance je vous boude.

    Vous avez oublier votre instrument qui couine sous le comptoir de la Sanguinaire... ou c'est un chat crevé qu'aura mis là Minah pour faire sécher, exactement je ne sais faire la différence.

    Donnez nouvelles au moins.
    Froidureusement.


A.S.

    P.S. : J'insiste.
    P.S. (bis) : Vous me manquez un peu, mais si vous en faites référence je nierai toute implication de ma personne.
Scath_la_grande
Marde ! Fait chier ce Janus, faut que la rousse débourse de son or au coursier afin que ce dernier remette le pli de manière la plus urgente qu'il soit.
Con de barbu, tu pouvais pas traîner dans un endroit où elle aurait pu te maudire de ton absence en toute sérénité.
Y a vraiment des gens qui sont contrariants à la parfin.


Citation:
Rousse,

C'est quand même for dommage que vous soyez partie de Toulouse car je viens d'y arriver ce jour-ci. J'ai du mal à croire que je vous manque un peu si vous me fuyez de la sorte.

Je suis toutefois très content de retrouver ce biniou que j'avais oublié chez vous. Un passage à la taverne, et je vais pouvoir de nouveau entonner des chants dignes ce nom.

Je n'ai hélas pas rencontré de rousse sur mon chemin, difficile donc de succomber à l'inexistant.

Je compte repartir dans quelques temps, et effectivement je vais faire un tour en Bretagne à cette occasion.

Et vous? Que faites-vous? Pourquoi avoir pris la route?

JJ



Citation:
Fi donc, Barbu Barbare de malheur !
VOUS arrivez lorsque je pars, à croire que vous me préférez le dos tourné (tout commentaire grivois à ce sujet sera durement sanctionné).
Comment ça vous n'avez suivi aucune touffe rousse ? Cela veut dire que je vous boude pour rien ! Tout cela est entièrement de votre faute !
Je vous déteste ! Et pour le coup je vous boude d'avoir boudé pour rien.

Pourquoi je pars ? Diverses raisons en cause.
Déjà vous n'êtes plus là pour animer ma taverne.
Puis, je suis un animal migrateur, j'ai besoin de m'exiler au gré de l'appel de l'épée et aussi selon mon envie. Voilà plus de six mois que je stagne sur Toulouse, puis Toulouse pue ces derniers temps, je croyais vous l'avoir dit ? Vous n'écoutiez pas, voilà ce qui est du temps passé à reluquer ma poitrine, impudent va !
Pour l'heure je suis à Castelnaudary, j’attends mon oublieux de mari qui arrivera demain et nous reprendrons la route, Bourgogne et Touraine seront de nous visités et ensuite... le vent se chargera bien de nous guider ou de nous rentrer.

Votre *affectionnée*
raturé* affectée plutôt.

    A.S.


P.S. : vous m'aviez dit d'insister alors j'insiste...
P.S. (bis) : juste pour vous emmerder, j'ai remplumé un peu ma croupe. Gniark !
Satyne
Citation:
La Rouge,

Vous partez juste au moment où Toulouse excite des goguenards perdus avec des écus périgourdins plein les poches.
Vous partez juste au moment où Albi est perclue de vieux couilleux fatumistes.
Vous partez juste au moment où je me demandais quand rejoindre Guise.
Vous partez. C’est drôlement lâche. Je ne vous en aime pas beaucoup pour ça.

N’allez pas crever sur la route, que je ne me risque pas à ramener votre Sainte Carcasse à dos de canasson. Quoique le cheveux roux se vendrait à bon prix.
J’en ferai mon commerce avant de danser sur votre tombe. Ou d’y pleurer. Je ne sais pas encore de quelle humeur je suis pour me décider.

Fuyez donc vers le large, mais prenez soin de votre fils.
Car tout mon respect et mon appréciation de votre grande personne ne ferait rien contre un méchant chagrin. Je serai obligée de vous tuer. Flûte.

Collez donc une tape sur l’épaule de Volkmar. Le bougre va manquer au conseil comtal, et à moi encore plus.
Moins que vous, prenez le pour dit.

Et des baisers à mon Guise. Tous les jours.

Satyne
O.M.
T.of.c.
Aussitôt revenu, aussitôt reparti tel était la vie d'un blond voyageur sur sa fidèle monture fluviale au courant descendant. Des siècles plus tard, To.C se serait assurément pris à chanter cette chanson de sa voix fausse. Pour l'heure, il avait repris le fleuve. La veille il donnait encore ordres de manoeuvre sur le château arrière quand il ressentit des premiers frissons. Il n'en prit pas garde et tenta de se réchauffer à l'aide de grosses couvertures et de son chaud mantel. Mais rien n'y fut. Durant la nuit, des grands froids succéda aux grandes fièvres. Le blond marchand décrivit à un des marins ses sensations de crampes dans les muscles entre des gorgées de vins. Puis vint les délires et les reproches de mauvaise foy :

Nous n'avançons pas .... clac clac clac .... car l'équipage est fainéant .... clac clac clac .... Il ne prend pas son quart. Jetez les tous par dessus bord .... clac clac clac ....
Donnez moi mon sabre .... clac clac clac .... Je vous jeterai tous .... clac clac clac ....


Entre les claquements de dents et l'extrême sudation, il sombrait dans un sommeil agité, crispé. Aux délires se succédaient les besoins pressants de rédiger missive. Le blond marchand sombrait dans le sommeil avant d'en finir la dictée. Le marin lettré tâchait de finir la missive tant bien que mal.

Citation:
Damoiselle Satyne O.M.,
Que votre jour soit bon,

....


Maître To.C, que dois je écrire ensuite ? Maître To.C demanda le marin.
Un geignement et des ronflements furent ces seules réponses. D'autres lettres furent plus aisées à rédiger. Le blond malade se concentrant davantage quand des questions d'écus étaient en cause. Quitte à s'y reprendre en plusieurs fois pour terminer la missive. Ainsi la lettre aux enturbannés rayés et d'une mamelue fut rédigée.


Citation:
A vous, Ô Grand Caïd des Turbans Rayés,
De nous Theodule Cassel, marchand pour une Compagnie


Emir des fils de Barbarie, grande prise de la Pair de France Angélyque de la Mirandole-Montestier vous avez réalisé. Louée soit votre ruse et votre sagacité de vous avoir emparée d'une dame ayant renommée au travers des Royaumes et autres cours d'Europe.

Bien que ne la connaissant ni d'Eve ni d'Adam, nous avons commune préférence à la valeur marchande de l'or. Raison pour laquelle je vous propose somme de 500 écus sonnants et trébuchants. Somme qui vous sera remise en 2 temps afin de s'assurer de l'état point trop dégradée de la noble dame.

Comprenant que le lieu de la transaction vous revienne afin d'éviter toute néfaste surprise, mon choix pour récupérer ne se porte assurément point en une remise dans la nature de la dame, son collier et sa laisse. Ce serait grand risque de perdre un investissement conséquent. Neporquant j'ai certitude que nous pourrons trouver meilleur arrangement.

Que Déos vous garde et ne gâte pas trop la duchesse
Faict sur le pont du CC Valois en le 25ième du moy de Juin de l'an d'Horasce 1462
To.C.

_________________
T.of.c.
Plus de nouvelles des turbans rayés à croire qu'accorder crédit aux gens portant le turban est surfait de nos jours. To.C est fort mécontent de n'avoir pu acquérir une Mamelue renommée. Il est fort mécontent des potentiels bénéfices perdus. Et la chaleur endort notre beau blond à la chausse noire. Il contemple les gesticulations d'un de ses clients sur le quai. La chaleur retarde sa réaction et il contemple impuissant ce dernier montait sur une coquille de noix amarrée près de la majestueuse nave CC Valois.

Maugréant dans sa barbe, qu'il ne porte pas, le marchand s'en retourne dans sa cabine et redécouvre la missive du neuf comte de Toulouse. La chaleur et le vin avaient travaillé de concert pour la lui ôter de sa mémoire. Il s'attèle donc à la tâche de lui répondre.


Citation:
Sieur Comte,
Que votre jour soit bon,


Vous trouverez jointe à cette missive exemplaire signé du contrat portuaire réunissant sous le sceau et la signature le Comté de Toulouse et la Compagnie de Cassel. Il comporte les modifications énoncées avec le sieur Cumluna.

Que Déos vous garde,
Faict en la ville de Bazas, le 3ième du moy Juillet de l'an d'Horasce 1462
ToC

Citation:

    Contrat portuaire réunissant sous le sceau et la signature le Comté de Toulouse et la Compagnie de Cassel





      Généralités :
        La Compagnie de Cassel est représentée par Théodule de Cassel.
        Le Comté de Toulouse par le Comte.



      Termes liant les deux contractants :

        1 . Est attribué à la Compagnie de Cassel un anneau sis au Port de Toulouse qui s'assurera des choses suivantes:

        - l'anneau sera détaxé pour tous les bateaux de la Compagnie de Cassel
        - l'anneau sera laissé libre pour l'arrimage des bateaux de la Compagnie de Cassel

        Précision faite : 1 anneau = 1 bateau.

        2 . Est attribué au Comté de Toulouse pour l’agrandissement du Comté de Toulouse la somme de 10 000 écus de la part de la Compagnie de Cassel.



      Des Engagements des Contractants

        1 . La Compagnie de Cassel s'engage à permettre au Comté de Toulouse d'utiliser ledit anneau en l'absence des bateaux de la Compagnie de Cassel.

        2 . La Compagnie de Cassel s'engage à effectuer pour le Comté de Toulouse des contrats commerciaux, autant qu'il est possible, et dans des négociations financières qui confortent les deux partis.

        3 . La Compagnie de Cassel s'engage à collaborer avec la Compagnie de Blue Lake, et toutes Compagnies commerciales sises au Comté de Toulouse le désirant, afin que la situation profite à tous, et ne provoque faillite de personne.

        4 . Le Comté de Toulouse s'engage à ne jamais faire payer de taxes portuaires aux Capitaines œuvrant pour la Compagnie de Cassel.

        5 . Le Comté de Toulouse s'engage à permettre l'arrimage des bateaux de la Compagnie de Cassel par la libération de l'anneau avant arrivée des navires de la Compagnie de Cassel.

        6 . Le Comté de Toulouse s'engage à effectuer avec la Compagnie de Cassel des contrats commerciaux, autant qu'il est possible, et dans des négociations financières qui confortent les deux partis.



      Conditions de Contrats

        1 . La Compagnie de Cassel devra donner au Chef de Port la liste de ses Capitaines ainsi que le nom de ses bateaux.

        2 . Les Capitaines de la Compagnie de Cassel en approche du Port de Toulouse devront prévenir dans un délai d'au-moins 5 jours avant la date d'arrimage afin de laisser le temps au Chef de Port de faire place et libérer l'anneau.

        3 . Le présent Contrat devra être affiché en la Capitainerie et consultable par tous, il devra servir de base juridique pour la dissuasion d'un bateau d'accoster, ou de libérer l'anneau, déclenchant la procédure d'application des sanctions prévues dans le Code Portuaire pour les capitaines en défaut. Il ne pourra cependant pas être dénoncé tant que la compagnie Cassel ne met pas en danger le comté de Toulouse en amenant des ennemis ou des armées non-autorisées et tant que la dit compagnie respecte le droit toulousain et le présent contrat.

        4 . Les termes actuels du Contrat ne pourront être révisés qu'avec l'accord des deux partis.

        5 . Dans le cas ou les termes ne sont pas suivis par la Compagnie de Cassel, la Compagnie de Cassel se verra perdre les avantages de l'actuel contrat. Dans le cas ou le Comté de Toulouse ne suit pas les termes, le Comté de Toulouse devra rembourser la somme allouée pour le port à la Compagnie de Cassel à raison de la somme totale - 5% par an à compter de la signature dudit Contrat.



    Il est bon de rappeler aux Contractants que le Port de Toulouse est propriété du Comté de Toulouse et non attribuable à un tiers quelque soient les termes de contrats établis entre le tiers et le Comté de Toulouse.
    L'anneau dudit contrat ne se transmet pas par héritage, il n'est ni baillable ni cessible à un tiers.


    Le présent contrat est valable 10 ans*, après quoi, il prendra fin ou sera reconduit pour 10 ans contre 10 000 écus.
    Il prendra fin en cas de coma**, retraite prolongée de plus de 6 mois, ou décès*** du Sieur Théodule de Cassel.



    Pour le comté de Toulouse :



    Pour la Compagnie Cassel :




* Irl...
** Retranchement IG
*** Eradication du personnageou décision du joueur d'arrêter le jeu



_________________
La_rouge
Berdol comme dirait une Chiasse de sa connaissance et fortement dépréciée -oui encore- par la rouquine.

Citation:
Quand ce n'est pas le Volkmar, c'est toi ! Autant à mon époux je ne le peux brimer à coups de pompes au cul autant toi, si tu ramènes pas dare-dare ton séant danois tu risques la ceinture.
Je t'attends à Rodez.

La Rouge


Le billet est envoyé à la hâte à la dernière étape, tandis qu'un autre lui parvient de Toulouse.
Museau qui se plisse, la réponse ne tardera pas, puisque déjà, Musteile avait ébauché une réponse pour le message précédant.


Citation:
Brune,

    Pour Toulouse, j'ai toute fiance en toi et en les Toulousains, qui malgré n'en ayant pas l'air peuvent se montrer très solidaire pour garder leurs cités et leur comté, et d'ailleurs, il me semble que les sales trognes sont de moi connues, pas tout à plein et pas toutes en bien néanmoins je crois que Tolosa peut-être tranquille.
    Pour le reste, tu sais ce qu'il en est, il y a des choses que j'ai bien du mal à accepter et ce dans la droitesse de mon verbe, j'aime à dire ce que je pense en bien ou en mal sans avoir à étouffer ce qui blesse car certaines oreilles ne sont pas capables d'accepter reproches et ne recherchent nullement à se remettre en question.
    J'ai été grandement déçue par les âmes faibles, qui de prime semblaient de bons éléments pour la grandeur du comté, allant dans le sens du peuple mais qui vite se montrèrent d'une suffisance sans borne et d'un travail médiocre.

    Pour ton dernier pli. Bien. J'en prends bonne note et m'en réjouis, tu feras au moins un heureux. Les baisers chaque jour ce n'est pas mon truc.


Scath


Et puis bon, puisqu'un messager se rendait à Toulouse autant se délester du dernier courrier.

Citation:
A vous madame,
Parangon incontestable des meurtrissures imaginaires.

    Madame, vous me prêtez bien du pouvoir sur vous et votre âme, j'en suis flattée, j'ignorais avoir sur votre vie une telle emprise, et sur monsieur votre frère tant de persuasion.

    Alors oui je pourrais m'excuser de ne pas avoir la propension nécessaire pour vous complaire dans vos souffrances si éloquentes qu'elles soient dans votre courrier.
    Je pourrais m'excuser pour tous les mots qui vous ont soi disant écorchés votre âme, votre chair et surtout votre orgueil.
    Je pourrais mais c'est bien mal me connaître.

    Votre malheur n'est qu'une risible comédie que vous menez rondement afin que certains larmoient sur votre sort, vous dupez mais ne me dupez, n'essayez point de toucher un recoin de mon âme, vous perdrez votre temps, je ne suis à vous pas accessible.
    Dans une petite boîte en bois, la terre comme écrin, voilà où elle se trouve, mon âme, et si par malheur vous deviez en faire de même, vous comprendrez toute l'ampleur que peut avoir la douleur, un abîme de désolation où de chagrin le coeur se meurt en tourment.

    Il est vrai que j'ai le verbe acerbe et le mot qui fâche, la moquerie facile et un certain art pour tancer mais vous avez été assez sottarde pour vous laissez y prendre et molasse pour ne pas m'y répondre.
    J'avais besoin de savoir de quel métal vous étiez faite, voilà chose faite.

    Soyez rassurée, je suis partie, vous pouvez être tranquille et jouer comme bon vous semble de vos charmes, désormais mon aura néfaste et dévastatrice sur votre vie s'estompera, je me demande comment je vais tuer mes journées maintenant que je ne peux plus conspirer avec mon époux pour vous empoissonner l'existence.
    Ironie, j'ai bien mieux à faire. Quelle prétention de s'accroire ainsi le centre du monde, vous ne faites pas parti du mien, la Dieu merci.


A.S. vF-G.

_________________
Ishtara_vw
Citation:
A vous, Votre Excellence Asphodelle di Césarini, Chancelière par Intérim de Toulouse
De nous, Ishtara Von Wittelsbach, Dame de Bree

Salutations et Paix,


Actuellement Béarnaise et d’ici peu de jours je deviendrais Toulousaine car je vais m’y installer.

J’aurais aimé savoir si au sein de votre Chancellerie des places seraient vacantes et si les candidatures étaient ouvertes. J’étais Ambassadrice en Normandie pour le Béarn depuis plusieurs mois déjà, malheureusement avec mon déménagement pour votre Comté, j’ai du remettre ma démission.

Je reste à votre entière disposition si vous désirez en savoir plus sur ma personne.

Que le Très Haut et Saint Michel veillent sur vous.

Le troisième jour du moi de juillet mille quatre cent soixante deux
Rédigée depuis les routes Béarnaises




_________________
Asphodelle
Ishtara...un nom qui sent bon l'Orient.

Saint Michel? un souvenir, une tristesse passagère...
Baste : c'est du passé.



Citation:
A Ishtara Von Wittelsbach, la Dame de Bree,

Le bon soir, car la nuit est tombée à l'heur où je vous réponds.

Quitter le Béarn est une heureuse décision. Choisir Toulouse en est une aussi.

La Chancellerie de Toulouse va en effet bientôt rentrer dans un renouvellement d'équipe où les volontés les plus affirmées seront non seulement bien venues mais également récompensées.

Je suis bien heureuse de lire une missive où avant même de voir pied en Toulousain, la passion pour la diplomatie vous devance.

Vous aurez entretien, dès votre arrivée.
Dans l'heure, je serai plutôt intéressée pour en apprendre à minima sur votre personne. N'en dites point trop, il faut mesurer les dévoilements de soi.

Indiquez-moi votre arrivée, je vous accueillerai pour vous rendre le changement de frontières plus aisées.

Diplomatiquement vôtre,

Asphodelle di Césarini



_________________
Satyne
Citation:
Au Régent de Toulouse,
Simeon.Charles,

Hep,
Salutations,

Je vous fais part officiellement de mon désir d’être relevée de mes fonctions de Prévôt afin de ne plus souffrir visuellement et audiblement de mièvres insupportables qui règnent au sein du conseil comtal. J’en suis navrée. J’aime mon poste, mais les remarques de certaines personnes sont incompatibles avec mon caractère. Je ne souhaite pas en venir aux mains, les tapisseries de la Grande Salle coûtant cher, et le sang tâchant. Et j’ai du respect pour votre mandat que je n’ai pas envie de rendre difficile. Ne désirant pas reprendre de poste au sein du conseil, je démissionne également de ma charge de conseillère.

Je vous ai fait une première demande écrite officieuse hier. Le compte à rebours des 48 heures est donc enclenché. Je rendrai tablier demain, 5 juillet à 12h.

Je reste douanière afin de m’acquitter de la surveillance des villes toulousaines non pourvues de douaniers. Sauf si le Prévot me suppléant s’en acquitte.

Je vous salue, Régent,
Satyne
O. M.




Citation:
Hep !
La Rouge,

Filez la route. J’ai chose à faire en Berry. Je vous recontacterai pour savoir où vous êtes.
Des bisous chaque jour pour le Guise. Chaque jour j’ai dit. Et il a deux joues.

Sat’
Ishtara_vw
Au coin d'un feu de camp, plume et vélins sont sortis pour répondre aux diverses missives reçues.


Citation:
A vous, Votre Excellence Asphodelle di Césarini, Chancelière par Intérim de Toulouse
De nous, Ishtara Von Wittelsbach, Dame de Bree

Salutations et Paix,

Je prends ma plume pour vous répondre au coin d’un feu de camp Béarnais. Mes décisions quand à quitter le Béarn, je ne vous cache pas que cela me fait un pincement au cœur, mais je sais pour quoi et pour qui je le quitte et ne regrette pas du tout mes choix.

Vous désirez en savoir plus sur ma personne, sachez que je n’aime pas me dévoiler, surtout par missive car celle-ci peut se perdre ou tomber dans des mains qui ne fraudaient pas. Toute fois je vais vous en dire un peu plus sur mes fonctions.

Je suis une jeune femme, au physique peut être particulier, certains diraient de moi que je pourrais bruler sur un bucher pour sorcellerie, et on me l’a encore dit il y a peu. Enfin... avec ce petit détail je suis certaine que vous ne vous tromperez pas sur ma personne en me voyant. Je suis également Vassale de la Vicomtesse du Mont Saint Michel.

Depuis mi Janvier je suis un Dragon armée béarnaise, dans laquelle j’ai eu la chance d’évoluer au rang de lieutenant. J’étais ambassadrice depuis fin janvier en Normandie avec qui j’avais une très bonne entente avec son Excellence Marcus Licinius.
Au sein de ma ville, je me suis toujours impliquée, j’ai d’abord était adjointe à l’urbanisme pour me familiariser avec la mairie et son fonctionnement puis j’ai fait un mandat de mairesse, laissant ma place par la suite car je me suis impliquée un peu plus au sein des Dragons. Depuis Avril j’étais Ajointe à l’urbanisme et tribun. Ah, je suis également démissionnaire du conseil comtal auquel je siégeais.

J’ai une fonction au sein d’une Institution Royale comme aide camp du LEMR du Béarn et depuis peu, je suis aux Ambassades Royales.

Je pense que si vous désirez en savoir plus, je vous y répondrais par missives, ou bien lors de l’entretien que vous m’accorderez lors de mon arrivée.

Mon arrivée sur Toulouse devrait se faire d'ici quatre jours si tout ce passe sans accrochage, ce que je souhaite de tout cœur. Je vous remercie de votre aide.

Que le Très Haut et Saint Michel veillent sur vous.

Le quatrième jour du mois de juillet mille quatre cent soixante deux
Rédigée depuis les routes Béarnaises




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