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[RP] Pay the iron price

Ludwig_von_frayner
Private RP.




[Imperial Palace of Strasbourg - Sunday, the 20th of August, 1461.]

Geneva. Never a city had crystallized so much hatred. Some liked to point out its courage and bravery, in biased articles. Meanwhile, the Empero saw only the crimes and misdeeds committed against his territory and population. His predecessors feared Geneva, preferring to ignore or circumvent the problem. They all turned their eyes away, facing the hordes of brigands and heretics. All except him. He gathered the Empire against the brigands who were in the habit of plundering and stealing without ever paying the price. He had sent his armies to take the city, and clean its horrors, ensuring peace and security of his vassal provinces. Today, he was about to leave, leading his armies, to take back the city.

For several months now, since the publication of the Edict of Hayange, Geneva became an imperial land. For now, this decree remained an illusion, unable to be applied in practice. It was high time to give substance to his plans. But to embody such a project, the Emperor needed a man with his stature, a man who would not bend face to adversity, but rule with an iron fist his kingdom. He nedded a man as ruthless as him. And he knew only one person who can share his demons, able to be faithful, and to maintain order in the most hostile places. Enzo Montbray-Sempere. An ambitious young man, he had met in Languedoc, a few years ago. Chance had it right: the Emperor learned of his arrival in Savoy, precisely the day when he needed him.

It was about time to call him ... willingly or by force. So a letter was sent, intentionally terse.



Citation:


We, Ludwig von Frayner, 
Divinus Favente Clemencius Romanorum Imperator Electus semper Augustus
To Enzo de Montbray-Sempère.


    Hereby, you are summoned to the Imperial Palace of Strasbourg.
    Pending your arrival, the help of your soldiers to the imperial forces in the fight against unwanted brigands from Geneva will be truly appreciated.

    Deo volente


Sealed in the Imperial Palace, in Strasbourg, Sunday, the 20th of August, 1461 

 







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[Palais Impérial de Strasbourg - Le Dimanche 20 Août de l'an d'Horace 1461.]

Genève. Jamais une ville n'avait cristallisé autant de haine. Certains se plaisaient à vouer son courage et sa bravoure, dans des articles partiaux. L'Empereur, quant à lui, ne voyait que les crimes et les méfaits commis contre son territoire et sa population. Genève avait fait la crainte de ses prédécesseurs, préférant ignorer ou contourner le problème. Tous avaient détournés les yeux, face aux hordes de brigands et d'hérétiques. Tous, sauf lui. Il avait fédéré l'Empire contre les brigands qui avaient pris pour habitude de piller et voler sans jamais payer le prix. Il avait envoyer ses armées prendre la ville, et la nettoyer de ses démons ; assurant la paix et la sécurité de ses provinces vassales. Aujourd'hui, il s'apprêtait à partir, à la tête de ses armées, pour la reprendre.

Car depuis plusieurs mois à présent, depuis la publication de l'Edit d'Hayange, Genève était devenue une terre impériale. Pour l'instant, ce décret ne restait qu'une illusion, incapable d'être appliqué dans les faits. Il s'agissait de donner corps à ses desseins. Pour incarner son projet, l'Empereur avait d'un homme de sa carrure ; un homme qui ne fléchirait pas devant l'adversité, mais régnerait d'une main de fer sur son royaume. Il lui fallait un homme aussi impitoyable que lui. Et il ne connaissait qu'une seule personne capable de partager ses démons, capable de lui être fidèle, et de faire respecter l'ordre dans les lieux les plus hostiles. Enzo de Montbray-Sempère. Un jeune homme ambitieux, qu'il avait rencontré au Languedoc, il y a quelques années. Le hasard faisait bien les choses : l'Empereur apprit son arrivée en Savoie, précisément le jour, où il avait besoin de lui.

Il était donc temps de faire appel à lui... de gré ou de force. Une lettre lui fut remise, volontairement laconique.



Citation:


Nous, Ludwig von Frayner, 
Divinus Favente Clemencius Romanorum Imperator Electus semper Augustus
A Enzo de Montbray-Sempère.


    Par la présente, Vous convoquons au palais impérial de Strasbourg.
    Dans l'attente de votre arrivée, le concours de vos soldats aux forces impériales en lutte contre le brigandage intempestif genevois sera le bienvenu.

    Deo volente


Signé et scellé au Palais Impérial de Strasbourg, ce Dimanche 20 Août de l'an d'Horace MCLDXI,  

 


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Enzo
    [Imperial Palace of Strasbourg, summons's day ]


In company of juste two guards and Amarante, Gabrielle’s lady-in-waiting, Enzo was relieved that the trip to the Palace has been with no trouble. Lots of rumors were spreading and Enzo still had in mind the idea of being attacked by a group of angry genevans. But nothing. Everything remained quiet which was a great thing. Nevertheless, the young Montbray-Sempère was still nervous. Being of french origin, he knew very little about the Empire, except these regrettable few months in Franche-Comté, many years ago, after his mother’s death. Their customs, their values and their laws, he didn’t know anything. Or only what he learned with his suzerain, Hadrien, not a good thing in this area, it seems. A hated man. As the Emperor is. It seems that Enzo was only capable to sourround himself by controversial men. Like Actarius, the very first one, rejected by his natal county, the Languedoc. Enzo sighed by thinking of the Euphor and shaked gently his head. He didn’t want to think about that. Even if the scathe still deep, Enzo couldn’t do anything about it. Some told him to forget, to take care of the ones who were really important, the ones who stayed despite his mistakes, the ones who forgave. But he couldn’t, or with difficulty. Maybe Christopher was right and he was giving too much importance to what people thought of him.

Strasbourg.

Impressive. Youngest son of a Duke, Enzo was raised to be a warrior, not to spend time in the beautiful palace of the high nobility. So, the young noble was quite impressed by the beauty of the place. Maybe his destiny of second born marked out for being a military would change ? He didn’t know. Ambitious, but not bootlicker, these last months his personnal successes could be counted on the fingers of one hand. Even this war in the south of France hasn’t been so successful and he was still resentful about that. His hand took the one of his wife, and Enzo smiles at her. Lightly. These past months were difficult for both of them, but Enzo was happy she was here. Did she know ? Did she think she was just a sex object ? A womb to fecond ? A toy woman ? He didn’t know and didn’t want to think about it now. For him, Gabrielle was still Gabrielle. His only one, despite the others, his soul mate, his visceral love. The one which suffocates you when he’s here, but which tears your soul out in a painful scream when he disappears. This kind of love which kills, but immortal and magnificent. Enzo squeezes Gabrielle’s hand while giving the notification to attend at the imperial guard.


- « Enzo de Montbray-Sempère, Lord of Dréhance and Valsiger, and his wife, Gabrielle de Montbray-Sempère, Lady of the same lands. We are summoned by the… Emperor »

The Emperor,yes, not too bad. By this word, he was sure not to make a mistake. Though, Gabrielle told Enzo how to call him , but he was too nervous to remember. Let’s stay simple. Was it like the King ? His Majesty ? Whatever…


    [ Palais Impérial de Strasbourg, jour de la convocation ]


Accompagné de seulement deux gardes ainsi que d’Amarante, la dame de compagnie de Gabrielle, Enzo était soulagé que la route jusqu’au Palais se soit passée sans encombres. Bon nombre de rumeurs circulaient et s’imaginer se faire attaquer par un convoi de genevois en colère lui traversa plusieurs fois l’esprit. Mais rien. Tout était resté calme et tant mieux. Le jeune Montbray-Sempère restait tout de même nerveux. Français de souche, il n’avait que très peu connu l’Empire, mis à part ces quelques mois regrettables en Franche-Comté après la mort de sa mère. Leurs coutumes, leurs valeurs et leurs lois, il n’en connaissait rien. Ou uniquement ce qu’il en avait appris en étant vassal d’Hadrien ce qui, paraît-il, n’était pas une bonne chose dans le coin. Un homme détesté. Comme l’Empereur. À croire qu’Enzo ne savait s’entourer que d’hommes de pouvoir controversés. Après tout, ça avait commencé avec Actarius qui lui-même avait été rejeté de son Languedoc natal. Il soupira en se rappelant l’Euphor et secoua légèrement la tête. Il ne fallait pas y penser. Et pourtant la blessure restait là sans qu’Enzo ne puisse y faire grand chose. On lui avait pourtant dit de l’oublier, de s’occuper de ceux qui comptaient vraiment, qui restaient malgré les erreurs, qui pardonnaient. Mais il n’y arrivait pas, ou mal. À croire que Christopher avait raison et qu’il accordait trop d’importance à ce que les autres pensaient de lui.

Strasbourg.

Impressionnant. Fils cadet d’un Duc, il n’était pas prédestiné à aller dans ces grands Palais de la noblesse, mais à guerroyer. Le jeune noble restait donc impressionné par la beauté du Palais. Son destin de second fils devant faire carrière militaire allait-il changer ? Il ne savait pas bien. Ambitieux, mais pas lèche-botte, ses réussites personnelles se comptaient sur les doigts d’une main depuis maintenant quelques mois. Même cette guerre dans le Sud n’avait pas été victorieuse et avait laissé un goût amer dans la bouche du Montbray-Sempère. Sa main se glisse dans celle de sa femme, et il lui sourit. Légèrement. Ces derniers temps étaient difficile pour eux deux, mais Enzo était content qu’elle soit là. Le savait-elle ? Pensait-elle qu’elle n’était plus qu’une femme objet ? Une matrice à féconder et une femme à paraître ? Il ne savait pas bien, mais Enzo n’avait pas envie d’y penser. Pour lui, Gabrielle restait Gabrielle. Son unique, malgré les autres, son âme sœur, son amour viscéral. Celui qui t’étouffe quand il est là et t’arrache l’âme dans un cri plaintif quand il s’en va. De ces amours qui tuent, mais à la fois immortels et magnifiques. Il serra la main de son épouse avant de tendre nerveusement sa convocation à un garde.


- « Enzo de Montbray-Sempère, Seigneur de Dréhance et de Valsiger, accompagné de mon épouse, Gabrielle de Montbray-Sempère, Dame des mêmes terres. Nous sommes convoqués par… L’Empereur. »

L’Empereur, c’était pas mal ça. Comme ça il était certain de ne pas se tromper. Pourtant Gabrielle lui avait dit comment il fallait le nommer, mais la nervosité l’avait fait hésiter. Autant faire simple. Ça n’était pas comme le Roi ? Sa Majesté ? Peu importe…
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Amarante.




Gabrielle had asked if she would accompany her to which she had said yes, of course. For her, it was logical to accompany her and she did not even think about it. It was her job after all, though she was doing it more by friendship for the young woman than by obligations …

The journey to Strasbourg went smoothly and she even enjoyed to be on horseback. Gabrielle rode like no one else, and she, she got better every time. During the journey, she didn’t really think about dangerous encounters, and luckily for them, they didn’t get any.


Strasbourg, at the same time


When arriving, she opened her emerald eyes wide. Far away, you could see the tower of the big Cathedral she had heard of. A Cathedral of rare beauty and very tall. But for now, the Imperial Palace was the main focus, not the Cathedral.

Gabrielle had been dressed and her hair styled, though for her hair, she had to fight a bit to keep her still. Now, she was presentable to meet the Emperor. She also had a suitable dress. A dress she never thought she would wear when she decided to follw Gabrielle and Enzo. Sometimes, life could surprise you …

She smiled at Gabrielle when it was time to go. A small,encouraging smile. A simple, small smile …


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Gabrielle lui avait demandé de l'accompagner ce à quoi elle avait répondu oui, bien évidemment. Pour elle, il était logique qu'elle l'accompagne et elle ne se posait même pas la question. C'était son rôle après tout, même si elle le faisait plus, par amitié pour la jeune femme que par devoir ...

Le voyage jusqu'à Strasbourg s'était passé sans problème et elle avait même apprécié faire le voyage à cheval. Gabrielle montait comme personne, et elle, elle s'améliorait un peu plus à chaque fois qu'elle montait. Durant le voyage, elle ne s'était pas trop posée la question de savoir s'ils allaient faire de mauvaises rencontres et heureusement pour eux, ils n'en avaient pas fait.


Strasbourg, au même moment.


Les voilà arrivés et elle ouvrait ses grands yeux émeraude. Au loin, on voyait le clocher de la grande Cathédrale dont-elle avait entendu parler. Une Cathédrale d'une rare beauté et très haute. Mais pour l'instant, ce n'était pas de la Cathédrale dont il était question, mais plutôt du palais Impérial.

Gabrielle avait été apprêtée et coiffée en conséquence, même si pour ses cheveux, elle avait dû se battre un peu pour qu'elle reste tranquille le temps de finir la coiffe. Maintenant, elle était présentable pour paraître devant l'Empereur. Elle aussi, avait sorti une robe en conséquence. Une robe qu'elle n'aurait jamais pensé porter quand elle avait décidé de suivre Gabrielle et Enzo. Comme quoi, la vie pouvait vous réserver des surprises ...

Elle sourit à Gabrielle quand il fut l'heure d'y aller. Un petit sourire d'encouragement, un simple petit sourire ...

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Kleeotr
Due importanti ospiti erano attesi a palazzo, e un valletto aveva avvisato che loro erano appena giunti.

Andò incontro loro, per accoglierli e accompagnarli sino alla stanza del trono


Benvenuti a palazzo Imperiale sorrise loro Vi prego seguitemi l'imperatore avrà piacere di vedervi

Li condusse sino alla stanza del trono

Chinò il capo entrando Imperatore, gli ospiti che attendevate sono giunti, Enzo di Montbray-Sempère, Signore di Dréhance e Valsiger, accompagnato da sua moglie

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Two important guests were expected at the palace, and a vallet had warned that had just arrived.

Went to meet them, to welcome them and escort them up to the throne room


Welcome to the Imperial Palace he smiled them Please follow the Emperor will be pleased to meet you.

he led them up to the throne room

He bowed his head Emperor, the guests your wait is here, Enzo de Montbray-Sempère, Lord of Dréhance and Valsiger, and his wife.
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Ludwig_von_frayner


    "You're getting old, Lord of Drehance and Valsiger."


It was the first word of the Emperor, when the young couple came to him in the reception room. It became customary for him to tease his guests instead of welcoming them ; tired of usual formalities. its guests. It was a way to introduce himself, bring people into his world ; strange world, but great world. But in this case, it was mainly a way to reflect his own and countless years, on this young couple. Bitterness, divine bitterness, in its light, he is burning.

Sitting on his throne, his arm outstretched, maintained by his cane firmly fixed on the pavement, the Emperor Ludwig was looking at the young persons he left, many years ago. They met in the County of Languedoc, planning some projects together which finally failed. He still kept good memories : keeping in mind the strong similarities between the young couple and the one he formed with his wife, in his earliest years. Even if they took opposite directions, his daughter Princess Luisa engaged a regular correspondence with the family Montbray-Sempere, and kept continuously informed her parents about their « success », or their « failures ». Now time had passed, and circumstances had changed.


    "It is not our habit to palaver. You must ask yourself the reason why we convoked you, here, in Strasbourg, in front of Us. As you can see, things have changed since our last meeting. The imperial crown is on the head of a strong man who intends to maintain order throughout his territory.

    We heard of your successes and your failures, and we believe it is high time for you to prove your worth. It is high time for you to fulfill your destiny ; the destiny we've planned, the destiny that God wanted."


The Emperor leaned on his cane to get up, looking at the young man.

    "Come here and kneel, Enzo Montbray-Sempere."



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    « Vous avez vieilli, Seigneur de Dréhance et de Valsiger. »


Telle fut la première remarque de l'Empereur, lorsque le jeune couple se présenta à lui, dans la grande salle de réception. Il était coutumier des taquineries en tout genre, et il ne se privait jamais de quelques remarques acerbes, pour accueillir ses invités. C'était façon à lui de se présenter ; et de les introduire dans son univers particulier. Mais en l'occurrence, c'était surtout une façon de transposer sur la jeunesse présente, ses propres et innombrables années perdues. Amertume, divine amertume, dans sa lumière, il se consume.

Assis sur son trône, le bras tendu, maintenu par sa canne fermement ancrée sur le pavé, l'Empereur Ludwig dévisageait un à un, ces deux jeunes gens qu'il avait quitté, il y a bien des années. Au Languedoc, ils s'étaient rencontrés, fomentant quelques projets qui n'avaient abouti. Il en gardait malgré tout de bons souvenirs ; gardant en mémoire les fortes similitudes entre ce jeune couple et celui qu'il formait avec son épouse, dans ses plus tendres années. Ainsi ils s'étaient quittés, sans jamais réellement se perdre de vue. Sa fille Luisa entretenait une correspondance régulière avec les Montbray-Sempère, informant continuellement ses parents de leurs « exploits » ou « échecs ». A présent, ils se retrouvaient, dans un registre bien différent.


    « Il n'est guère dans nos habitudes de palabrer. Vous vous demandez sans doute la raison qui nous a conduit à vous convoquer devant Nous, ici-même, à Strasbourg. Comme vous pouvez le voir, bien des choses ont changé, depuis notre dernière entrevue. La couronne impériale repose sur la tête d'un homme à poigne qui entend assurer l'ordre, partout sur son territoire.

    Nous avons eu vent de vos exploits, comme de vos échecs, et nous pensons qu'il est temps pour vous de prouver votre valeur ; aux yeux du monde. Il est temps pour vous d'accomplir votre destin ; le destin que Nous vous avons tracé, le destin que Dieu a voulu. »


A ces mots, l'Empereur s'appuya sur sa canne pour se relever, son regard posé sur le jeune homme.

    « Approchez-vous, et agenouillez vous, Enzo de Montbray-Sempère. »

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Ghami


Ghamihad been informed by a messenger that his presence in the reception room. So Ghami dressed in his official gown and took his baton with him. He arrived in time with the guests. He hinted a bow to the Emperor and then took his place on the right side of the emperor.
Gabrielle_montbray


It maybe was difficult between both of them, but Gabrielle never thought about let Enzo come alone to the Emperor’s summons. She had very limited trust in Ludwig. Not the man himself, but she didn’t have a big trust in power and what it was doing to people’s mind. Anyway, she had no idea of what Ludwig was expecting from Enzo. They didn’t see each other for a long time, but she guess it wasn’t to get some news he asked them to come. A little smile to Amarante, the fingers squeeze strongly Enzo’s hand, a long breeze when the valet introduce them, and Gabrielle walked into the throne room, hoping she was having a quiet step. A little smile when she heard the welcome sentence. He was right, Ludwig, they were getting old. Gabrielle had more memories that she was a thousand years old. She was still so young but she saws her father disapear, her brother, she saw her mother die. She made war. She gave birth to two sons. And there was him, her husband, her lobe, her soulmate, her life. Enzo. Obnoxious, bastard, unfaithful. But she was unable to live without him.

Gabrielle curtseyed respectfully in front of the Emperor Ludwig have became. She frowned when he started talking, he didn’t smell nice. Not at all. To kneel ? Holy shit, Ludwig, what are you doing to us ? Enzo, don’t… Gabrielle stares at her husband kneeling and shakes slowly her head. No, Enzo, you should have not.


Written with JD Enzo's agreement

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[L’ambiance au sein du couple avait beau être difficile, Gabrielle n’avait pas songé un instant laisser Enzo se rendre seul à la convocation de l’Empereur. Elle n’avait qu’une confiance limitée en Ludwig. Pas l’homme en soi, mais elle se méfiait du pouvoir et de ce qu’il faisait à l’esprit des hommes. Elle n’avait au demeurant pas la moindre idée de ce que voulait l’Empereur à Enzo. Ils ne s’étaient pas vu depuis longtemps maintenant mais elle se doutait que ça n’était pour avoir des nouvelles qu’il voulait les voir. Un petit sourire à Amarante, les doigts qui serrent forts la main d’Enzo, une bonne respiration quand le valet les introduit et Gabrielle entre d’un pas qu’elle veut tranquille dans la salle du trône. Un petit sourire à la phrase d’accueil. Il avait raison, Ludwig, ils avaient vieilli. Gabrielle avait plus de souvenirs que si elle avait mille ans. Elle était encore si jeune mais elle avait vu disparaître son père, son frère, mourir sa mère. Elle avait fait la guerre. Elle avait mis au monde deux fils. Et puis il y avait lui, son mari, son amour, son âme sœur, sa vie. Enzo. Odieux, salaud, infidèle. Mais elle n’arrivait pas à vivre sans lui.

Gabrielle s’inclina respectueusement devant l’Empereur que Ludwig était devenu. Elle fronça les sourcils quand il prit la parole, ça ne sentait pas bon. Pas du tout. A genoux ? Bordel de merde, Ludwig, qu’est-ce que tu nous fais ? Enzo, ne… Gabrielle fixe son mari agenouillé et secoue légèrement la tête. Non, Enzo, tu n’aurais pas du.


Ecrit en accord avec JD Enzo

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The proper crown is on its way.
Ludwig_von_frayner



Once the Imperial King of Arms arrived in the throne room, the Emperor spoke and got into the heart of the matter.

    "Lord Enzo Montbray-Sempere, today, by our sovereign and unquestionable desire, we ennoble you Imperial Count.

    Facing God and the people gathered here, do you accept to recognize the Emperor of the Holy Roman Empire as your only sovereign, and to serve him with devotion, dedication and loyalty until your last breath? Do you accept to always protect the Empire against the enemies who threaten and assail it, risking your life ? Do you accept to defend Order and Justice so that never anarchy and vice might rule our lands ? Do you accept to recognize the Roman and Aristotelian faith as the true faith, and to always honor its precepts in your words, in your thoughts and in your actions? Do you accept to always assist us in our fights, always advise us in our doubts, and stay loyal to Us for centuries to come?

    If you accept, use a clear voice to tell it. If you accept, take the oath : Swear Us loyalty (obsequium), help (auxilium) and advice (consilium)."



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Dès que le Roi d'Armes Impérial entra dans la salle du trône, l'Empereur prit la parole et entra dans le vif du sujet.

    « Seigneur Enzo de Montbray-Sempère, aujourd'hui, par notre souhait souverain et indiscutable, nous vous anoblissons Comte Impérial.

    Devant Dieu et l'assemblée ici présente, acceptez-vous de reconnaître l'Empereur du Saint-Empire Romain Germanique comme votre seul et unique souverain, et de le servir avec dévotion, abnégation et loyauté jusqu'à votre dernier souffle ? Acceptez-vous de toujours défendre l'Empire des ennemis qui le menacent ou l'assaillent, au péril de votre vie ? Acceptez-vous de vous mettre au service de l'Ordre et de la Justice, afin que jamais l'anarchie et le vice ne puissent régner en nos terres ? Acceptez-vous de reconnaître la foi aristotélicienne romaine comme la vraie foi ; et de toujours l'honorer dans vos paroles, dans vos pensées et dans vos actes ? Acceptez-vous de toujours nous assister dans nos combats, de toujours nous conseiller dans nos doutes, et de nous rester fidèle pour les siècles à venir ?

    Si vous l'acceptez, dites-le d'une voix forte et audible. Si vous l'acceptez, prêtez serment : Jurez-nous fidélité (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium). »

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Enzo
Non, il n’aurait pas dû, et pourtant il est bien là, le genou et le regard rivés au sol. Sans même savoir pourquoi on lui a fait mettre genou à terre, mais il le fait. De part sa vassalité avec Hadrien, Ludwig est aussi son Empereur, et le jeune Montbray-Sempère se doit de le respecter. Puis la voix de Ludwig résonne sans faire de détour. Le regard vert se lève un instant vers l’Empereur, perplexe. Comte Impérial ? Lui qui n’a jamais mis un pied en Empire sauf ces quelques mois, il y a fort longtemps maintenant, en Franche-Comté et qui n’a aucun intérêt en Empire, mis à part Dréhance ? Enzo baisse de nouveau la tête et réfléchit un instant, soudainement incertain. Non, il n’aurait pas dû se mettre genou au sol si rapidement, et alors qu’il se sent coincé, la parole de Ludwig se fait toujours entendre dans la salle faisant écho.

Accepter Ludwig comme son seul souverain ? Aurait-il oublié qu’Enzo est un royaliste ayant une terre en France, et qu’il est d’ailleurs Français et non Impérial ? Si l’Empire venait à être en guerre contre la France, le savait-il Ludwig, qu’Enzo risquerait de prendre parti pour sa patrie ? Alors il hésite, un instant. Et reconnaître la foi Aristotélicienne romaine alors qu’il a combattu l’Église sous le règne d’Eusaias ? Alors qu’il ne croit pas en les hommes qui constituent cette Église ? Mais il a la foi, ça suffit ? Alors il se tait, osant un regard vers sa femme avant de reporter son attention sur l'Empereur.

Dans quoi m’as-tu embarqué Ludwig ?


- « Je vous jure obsequium, auxilium, consilium… Mon Empereur. »


Il n’a rien à perdre, le Enzo. Même s’il se doute que Ludwig ne lui fait pas juste un « cadeau » et que ce dernier sera sans doute empoisonné. C’est sans doute une bêtise, mais il vient de jurer, et maintenant le voilà bientôt dans les beaux draps…

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No, he should not have, nevertheless he was here, kneel on the ground and look stared at the floor. He doesn’t even know why he had to kneel, but he did it. Because Hadrien is his suzerain, Ludwig is his Emperor too and the young Montbray-Sempère must respect him. And the voice of Ludwig resounds without an hesitation. The green eyes look at the Emperor for a while, perplexed. Imperial Count ? Him who never puts a foot in the Empire, except these few months in Franche Comté, a very long time ago, him who has no interest in the Empire, except his land of Drehance ? Enzo lowers his eyes to the floor again and thinks for a while, remaining unclear. Non he should not have kneel so fast, and meanwhile he feels stuck, the words of Ludwig still echoing in the big room.

To recognize Ludwig as his only sovereign ? Did he forget Enzo is a royalist who has a land in France, and that he was french and not imparial ? And what if the Empire and France were in war, Enzo would take his country’s side, does Ludwig know that ? So, Enzo still hesite a brief moment. And recognize the Roman and Aristotelian faith even though he has been fighting against The Roman Church in the Reign of Eusaias ? Even thoug he doesn’t believe in the men who rule this Church ? But Enzo’s got faith, it’s probably enough, isn’t it ? So he keeps quiet, daring a look to his wife before staring at his Emperor.

Ludwig, in what did you embark me on ?


- « I swear to you obsequium, auxilium, consilium… My Emperor. »


Enzo’s got nothing to lose. Even if he suspects Ludwig not to just give him « a gift » and even if he knows it will be a poisoned chalice. Enzo is probably wrong, but he just swore allegeance, and now he’s in a pickle...
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Ghami
When Enzo said that he was ready to give his oath, Ghami stepped forward and whispered the words that he had to say.

Citation:
Your Imperial Majesty, it is with great pride that I, hereby declare accepting this honor with humility and respect. On my faith and my honor, I promise Your Imperial Majesty, as the new of <fief>, to fulfill my duty of Obsequium, Consilium and Auxilium. May the Almighty and all the representatives of The Roman Holy Empire be the witnesses of my oath.</fief>
Enzo
Son regard vert se pose sur le Roy d’armes un instant, ce dernier qui lui chuchote des mots, qu’il semblerait qu’il doit dire. Pourtant, ne vient-il pas déjà de dire son serment ? Il doit le refaire ? Enzo le fixe un instant. Il ne connaît pas toutes les règles héraldiques concernant l’Empire, seulement celles de l’Empire francophone, alors il reste un moment silencieux. Il pose ensuite son regard sur Ludwig, interrogatif.

- « Je… Je ne connais pas le titre que vous voulez m’attribuer… »


Ce qui fait un déclic dans la tête d’Enzo. Il ne sait pas pourquoi il vient de s’agenouiller et de réciter le serment. Comte Impérial, c’est tout ce qu’il a dit, l’Empereur. Enzo ose donc fixer plus longtemps le lorrain sacré Empereur. Quelle idée a-t-il dans la tête, lui ? Dans quoi Enzo s’est-il encore embarqué. Sous la nervosité, dans l’incompréhension, Enzo ne vient-il pas de faire la plus grosse bêtise de sa vie ? Déjà que devenir Comte Impérial, ça lui fait étrange, au Montbray-Sempère, mais là… Il fronce légèrement les sourcils, mais ayant déjà entamé la procédure, décide de rester à genou et répété les mots chuchoter par le Roy d’armes.

- « Votre Majesté Impériale, c’est avec grand fierté que moi, Enzo de Montbray-Sempère déclare par le présent serment accepter cet honneur avec humilité et respect. Sur ma foi et mon honneur, je promets à Votre Majesté Impériale, en tant que nouveau Comte Impérial de remplir mon devoir d’Obsequium, Consilium et Auxilium. Puisse le Très-Haut et tous les représentants du Saint Empire Romain Germanique être les témoins de mon serment. »

Un long serment qu’Enzo n’est pas certain de comprendre en totalité. Pas qu’il est con, mais sachant que les mots « foi » et « honneur » pouvaient être définit de diverses façons, il lui semblait que ce serment là était moins clair que son précédent. Enzo déglutit et attendit la suite, nerveux. Vraiment, Comte Impérial ? Qu’est-ce que cela voulait bien dire… ?

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His green obs looked at the King of Arms for a few seconds, the man was whispering words that it seems Enzo had to say. But, didn’t he just swear his oath ? Should he say it again ? Enzo stared at him, uncertain. He didn’t know all the heraldic’s law of the Empire, juste the ones of the Kingdom of Lotharinge, so he stayed quiet for a while. Finaly, he looked at Ludwig, inquiring.


- « I… I don’t know the land you want to give me… »


He suddenly has a brain wave. He doesn’t even know why he had just kneel and swear his oath. Imperial Count, that’s all what he saif, the Emperor. Enzo dares a long look at the lorrain sacred Emperor. What idea does he have, him ? In what trouble Enzo did he embark. Because of the nervosity, with misunderstanding, Enzo has maybe just done the biggest mistake of his life. It’s weird enough for him to become Imperial Count, but like that… He frowned a little, but because all the process had begin, he decided to keep kneeling and repeat the worlds of the the King of Arms.

- « Your Imperial Majesty, it is with great pride that I, Enzo de Monbray-Sempère hereby declare accepting this honor with humility and respect. On my faith and my honor, I promise Your Imperial Majesty, as the new Imperial Count, to fulfill my duty of Obsequium, Consilium and Auxilium. May the Almighty and all the representatives of The Roman Holy Empire be the witnesses of my oath.»

A long oath that Enzo wasn’t sure to understand in his whole. Not because he was an idiot, but because the worlds « faith » and « honor » can have so many definitions, it seemed to him this oath was less clear than the one before. Enzo swallowed and waited for what will happen next, a bit nervous. Really, Imperial Count ? What would that mean for real… ?
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Amarante.



Her eyes had just met those of Gabrielle’s who smiled back. Then, a man announced them and she hesitated on what she must do. Should she enter also? Finally, she followed the couple, slightly behind them. Once the door closed, she bowed in a sign of respect which she hoped not to have failed; then she rose and waited silently.

And it was worth it !

She raised her eyebrows slightly and looked at Gabrielle for a moment before posing again her emerald orbs on Enzo who was kneeling in front of the Emperor. The strong voice of Ludwig resounded between the walls of the palace and while she listened to the words, she realized what happened. Enzo had just become Count? For a surprise ...

Still without a word, she looked at Gabrielle once again and waited for what followed, if anything followed….



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Son regard venait de croiser celui de Gabrielle qui lui rendit son sourire. Ensuite un homme les annonça et elle hésita sur la marche à suivre. Devait-elle entrer aussi ? Finalement, elle suivit le couple, légèrement en retrait derrière eux. Une fois la porte fermée, elle s'inclina dans une révérence qu'elle espérait ne pas trop être ratée, puis elle se releva et attendit la suite sans mot dire.

Et quelle suite !

Elle haussa légèrement les sourcils et regarda Gabrielle un court instant avant de poser de nouveau ses émeraudes sur Enzo qui était à genoux devant l'Empereur. La voix forte de Ludwig résonna alors entre les murs du palais et alors que les mots passaient entre les oreilles de la bretonne, elle réalisa ce qui venait de se dire. Enzo venait de devenir Comte ? Et bien, pour une surprise ...

Toujours sans un mot, elle regarda Gabrielle encore une fois puis attendit la suite, si suite il y avait ...

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Ludwig_von_frayner



A smile flitted over the face of the Emperor after the question of the Lord of Drehance and Valsiger. He knew that the Lord was full of doubts, but he was not going to deliver the reasons for the ceremony and its issues so easily. Political debate would come after. For now, the young Enzo Montbray-Sempere had to enjoy the honor offered, and repeat the oath whispered by the Imperial King of Arms. He did it bluntly, without hesitation. Such a behaviour comforted the ideas of the Imperial Sovereign : the Lord was the man he needed to support him, and to represent the imperial crown in its territory.

Looking at the young Enzo Montbray-Sempere, the Emperor, with a strong and clear voice, made him his new vassal.


    "We, Ludwig von Frayner, Holy-Emperor of the Holy Roman Empire, by the grace of God and Urns, worthy and illustrious successor of Charlemagne and Otto I, founders of our Great nation, ennoble you, Enzo Montbray-Sempere, Imperial Count of Geneva. And as our new vassal We swear you Justice, Protection and Sustenance."


All had been said. By this oath, Geneva had found its own guide, and the young Imperial Count had found his stronghold. Would he succeed to keep it ? Only time would tell. The next few months would be crucial, and will be the scence of real tensions. But the Emperor trusted this man bowed in front of him. He would help him to establish his authority so that the Count would never be alone.

    "Be without fear in the face of your enemies, brave and upright that God may love you. Act with honor and virtue, and do no wrong. By your oath, you accept to serve the Empire, today and forever ... "


The gloved hand of the Emperor slapped the cheek of the young Count.

    "... And that is so you remember it."


The « Colée » had a real advantage : it put ideas back in place. It was a step toward maturity, a step toward responsability. In his hands, he hold hundreds of lives. The new Count of Geneva had be aware of it, and would never try to escape.

    "Bring him his sword, his crown and his coat of arms."



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Un fin sourire vint éclairer le visage de l'Empereur à la question du Seigneur de Dréhance et de Valsiger. Il le savait empli de doutes, mais il n'allait certainement pas délivrer les raisons de cette cérémonie et les enjeux qui en avaient trait aussi facilement. La politique viendrait après. Pour l'instant, le jeune Enzo Montbray-Sempere se devait de jouir de l'honneur qu'il lui faisait, et de prononcer le serment soufflé par le Roi d'Armes Impérial. Il le fit sans détour, sans hésitation, ce qui conforta le Souverain impérial dans l'idée que le Seigneur était l'homme dont il avait besoin pour l'épauler, et pour le représenter sur son territoire.

Le regard posé sur le jeune Enzo Montbray-Sempere, l'Empereur, d'une voix forte et limpide, en fit son nouveau vassal.


    « Nous, Ludwig von Frayner, Saint-Empereur du Saint-Empire Romain Germanique par la grâce de Dieu et des Urnes, digne et illustre successeur de Charlemagne et d'Otton Ier du Saint-Empire, fondateurs de notre Grande Nation, vous faisons, Vous, Enzo Montbray-Sempere, Comte Impérial de Genève. Et en tant que notre nouveau vassal, Nous vous promettons justice, protection et subsistance. »


La messe était dite. Par le présent serment, Genève venait de trouver son guide ; et le tout jeune Comte impérial venait de trouver son fief. Parviendrait-il à le conserver ? Seul l'avenir le dirait. Les prochains mois allaient être décisifs, sinon le théâtre de tensions palpables. Mais l'Empereur croyait en cet homme qui se tenait toujours prostré devant lui. Il l'aiderait à asseoir son autorité : le Comte ne serait jamais seul.

    « Soyez sans peur face à vos ennemis ; brave et droit pour être aimé de Dieu. Agissez avec honneur et vertu, et gardez vous du mal. Par votre serment, vous vous engagez à servir l'Empire, aujourd'hui et à jamais... »


La main gantée de l'Empereur vint alors percuter fermement la joue du jeune Comte.

    « … Et ceci pour ne pas l'oublier. »


La collée avait ceci de singulier qu'elle remettait en place toutes les idées. Elle était une étape vers la maturité, une étape vers les responsabilités. Entre ses mains, des centaines de vies reposaient désormais. Il devait en être conscient, et ne jamais chercher à se dérober.

    « Qu'on lui apporte ses armes, sa couronne et son blason. »

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Gabrielle_montbray


Gabrielle was standing there, straight, dignified. She was watching the surrealist scene which was taking place in front of her. Enzo on his kneels. Only an Emperor or a King could obtain that. Imperial Count. There must be something. Enzo should have say no, it was so obvious it was a trap. But to say no to the Emperor when you are a high nobility’s son, raised this way…
And this oath. Faith, honor… Yes, Enzo had all that. But what about her ? If Enzo had some doubt, the ones of Gabrielle’s were huge. Her faith was not so strong because of the church men, all of them, from all the churches.
And her honor ? She lost it the day she lets Enzo rule their marriage and force her to accept the unthinkable.
The dark blue eyes crossed Amarante’s look, she seemed as cautious as herself about waht happened.

«… founders of our Great nation, ennoble you, Enzo Montbray-Sempere, Imperial Count of Geneva… »

Gabrielle stared at Ludwig. What did he just say ? No. Oh no. Not Geveva. No way. Gabrielle didn’t know the city, but what she knew was enough to know Ludwig just made trouble for them. Little bastard.
When the imperial hand beat down Enzo’s cheek, Gabrielle laught lightly. A totaly inappropriate laugh in this place. A nervous laugh. Lots of people should dream to snap Enzo without risking to be snap back. Ludwig did dit.
Bastard. But smart.
Well done, Ludwig !



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Gabrielle restait là, debout, droite, digne. Elle regardait la scène surréaliste se dérouler sous ses yeux. Enzo à genoux. Il fallait au moins un Empereur ou un Roy pour que cela arrive. Comte Impérial. Il y avait forcément quelque chose. Enzo aurait du dire non, il était tellement évident que c’était un piège. Mais dire non à un Empereur quand on est fils de haute noblesse, élevé comme tel…
Et ce serment. La foi, l’honneur… Oui, Enzo avait tout ça. Mais elle ? Si Enzo avait des doutes, ceux de Gabrielle étaient immense. Sa foi était plus que vascillante, à cause des hommes d’église surtout, de tous les hommes d’église, quel que soit celle dont il se réclamait. Et son honneur ? Elle l’avait perdu en laissant Enzo diriger leur mariage et lui imposer l’impensable.
Les yeux bleu sombre croisèrent le regard d’Amarante qui semblait tout autant circonspecte qu’elle-même sur ce qui se passait.

« … fondateurs de notre Grande Nation, vous faisons, Vous, Enzo Montbray-Sempere, Comte Impérial de Genève… »

Le regard de Gabrielle se fixe sur Ludwig. Qu’est-ce qu’il vient de dire là ? Non. Oh non. Pas Genève. Pas question. Gabrielle ne connaissait pas la ville mais ce qu’elle en savait suffisait à savoir que l’Empereur venait des les coller dans les ennuis jusqu’au cou. Ludwig. Petit salaud.
Quand la main impériale s’abat avec force sur la joue d’Enzo, Gabrielle lâche un petit rire. Un rire tout à fait malvenu en ces lieux. Un rire nerveux. Beaucoup de gens devaient en rêver de pouvoir gifler Enzo sans risquer une réplique. Ludwig l’avait fait.
Salaud. Mais malin.
Bien joué, Ludwig !

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The proper crown is on its way.
Ghami
After the oath had been received Ghami gave a sign and a servant brought a tray with different things. Ghami took first a ring that would show the status of the new noble, he placed it on a finger of Enzos right hand. Then he took the crown from the tray and placed it on the head of the new count.

Then another servant handed the blason to Ghami. He took it and presented it to Enzo.
Enzo Montbray-Sempere, this is your new blason, show it with pride. Now stand up as new Imperial Count of Geneva.
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