Belialith
Joie de la narration qui permet au narrateur dans son extrême bonté de vous donner le fil directeur de ce RP, du moins le fil directeur, tout du moins la scène 1 de cette merveille de littérature pour que vous compreniez le pourquoi du comment de la situation de nos deux amies - 'fin c'est surtout les miennes mais j'suis partageuse - donc je disais .. ah oui ! La Scène 1
[Scène 2] - Quand un piaf tombe dans un nid d'éperviers
Battant la campagne alençonnaise de sa crinière .. blanche tandis que sa cavalière faisait de même avec sa chevelure blonde, la jument s'interrogeait sur le petit animal malodorant qu'on lui avait collé sur le dos, tout du moins était-on bientôt arrivées vu comme sa cavalière ralentissait l'allure. Laissant l'humaine la guider plus par acquis de conscience que par réelle conviction quant aux capacités d'orientation de la jeune fille, la jument fit une arrivée tout en splendeur dans des écuries inconnues mais qui sentaient des chevaux et des étalons qu'elle ne connaissait pas, il fallait se faire bien voir. Et op, on cabre pour la forme, mince, vrai qu'il y a les deux autres là-haut. Retombant d'un coup sec sur ses antérieurs, Morrigan renacla un bref coup avant d'essayer de mordre un jeune humain frêle désirant la toucher tandis que l'humaine descendait en sautant de son dos et la menaçant à son habitude.
Tu me touches, je te bouffe Bourrique !
L'humaine en question c'était la Blonde Alençonnaise qui descendit de la monture la fillette qui l'accompagnait tout aussi facilement qu'elle l'y avait montée. Confiant avec un petit sourire sadique les rênes au jeune palefrenier, la Blonde enjoignit d'un signe de tête à l'enfant de la suivre, faisant preuve de sang froid pour ne pas montrer qu'elle ne connaissait guère les lieux. Et alors qu'elles gravissaient les marches, sa fidèle chaperonne arriva en courant du mieux qu'elle pouvait
-Votre Grasce quelle idée bizarre de venir ici, vous n'êtes même pas encore ..
-Ca va venir Georgette, il faudra t'y habituer. Aussi commence dès à présent, de plus, je ne t'ai pas fait venir pour me dire ce qui était inconvenant ou pas, mais pour t'occuper de nous faire préparer deux chambres, pour Norelys et moi
-Ca c'est inconvenant, nous ne sommes pas chez nous.
-Je doute que Cid me fasse jeter à la rue, j'ai besoin de repos, de manger, d'un bain et la petite aussi. Donc nous disions deux chambres, tant qu'à faire une attenante à celle du maitre des lieux ce qui sera beaucoup plus pratique pour discuter de l'avenir de l'enfant, discussion à laquelle je ne couperai pas, c'est un fait.
-Attenante .. a la chambre.. du Duc.. Vous devenez folle ma parole..
-J'ai mal à la tête, mal aux pieds, faim, soif, sommeil, et je me sens lasse .. Alors pour une fois dans notre vie Georgette.. Contente toi d'obéir sans rechigner.
[Quelques vingts minutes et un branle bas de combat plus tard]
-Vos chambres sont prêtes, Vostre Grasce même si je dé..
-Désapprouve totalement ce comportement des plus immatures, inconvenents et déshonorants, si mon père était au courant, il ne manquerait pas de me faire part lui aussi de sa désapprobation. Je connais ma leçon par coeur, tu vois !
Coup de tête de la Blonde au Piaf pour qu'elle la suive tandis qu'elle-même suivait Georgette. La vieille femme la mena tout d'abord à sa chambre à elle, lui montrant le placard où se cachait une porte menant à la chambre du Maitre des lieux, chambre sélectionnée avec goût par les chambrières - qui avait su reconnaitre leur chef en la personne de Georgette - puis vint le tour de la chambre de la fillette.
Un lit de taille normale même si la Blonde le trouva pour le coup, relativement disproportionnée par rapport au petit corps qu'il devrait abriter, des coussins par dizaines le recouvraient et jetant un coup d'oeil alentours la Blonde n'eut qu'un mot à l'esprit "Neutre", d'un parme délicat, tirant doucement sur le gris, la couleur de la chambre suffirait à contenter l'enfant. Il serait toujours temps de remédier à la décoration de cette chambre. Sourire en coin, sans même lui avoir demandé son avis, la Blonde imaginait déjà l'enfant vivre sous ce toit avec elle. Mais elle avait oublié deux détails, les deux principaux concernés : Norelys et Cid.
Elle se tourna vers la petite et lui sourit
Alors cela vous convient-il Damoiselle Norelys de Sémur, ou plutôt Norelys tout court ?
Elle se tourna vers Georgette pour lui demander d'aller leur chercher une collation et de faire préparer de quoi se baigner dans sa propre chambre puis s'assit sur le bord du lit en attendant une réponse de la petite caressant de la paume de la main, la pelisse qui recouvrait le lit.
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¸. Decet Ypriex Stantem Mori .¸
[Scène 2] - Quand un piaf tombe dans un nid d'éperviers
Battant la campagne alençonnaise de sa crinière .. blanche tandis que sa cavalière faisait de même avec sa chevelure blonde, la jument s'interrogeait sur le petit animal malodorant qu'on lui avait collé sur le dos, tout du moins était-on bientôt arrivées vu comme sa cavalière ralentissait l'allure. Laissant l'humaine la guider plus par acquis de conscience que par réelle conviction quant aux capacités d'orientation de la jeune fille, la jument fit une arrivée tout en splendeur dans des écuries inconnues mais qui sentaient des chevaux et des étalons qu'elle ne connaissait pas, il fallait se faire bien voir. Et op, on cabre pour la forme, mince, vrai qu'il y a les deux autres là-haut. Retombant d'un coup sec sur ses antérieurs, Morrigan renacla un bref coup avant d'essayer de mordre un jeune humain frêle désirant la toucher tandis que l'humaine descendait en sautant de son dos et la menaçant à son habitude.
Tu me touches, je te bouffe Bourrique !
L'humaine en question c'était la Blonde Alençonnaise qui descendit de la monture la fillette qui l'accompagnait tout aussi facilement qu'elle l'y avait montée. Confiant avec un petit sourire sadique les rênes au jeune palefrenier, la Blonde enjoignit d'un signe de tête à l'enfant de la suivre, faisant preuve de sang froid pour ne pas montrer qu'elle ne connaissait guère les lieux. Et alors qu'elles gravissaient les marches, sa fidèle chaperonne arriva en courant du mieux qu'elle pouvait
-Votre Grasce quelle idée bizarre de venir ici, vous n'êtes même pas encore ..
-Ca va venir Georgette, il faudra t'y habituer. Aussi commence dès à présent, de plus, je ne t'ai pas fait venir pour me dire ce qui était inconvenant ou pas, mais pour t'occuper de nous faire préparer deux chambres, pour Norelys et moi
-Ca c'est inconvenant, nous ne sommes pas chez nous.
-Je doute que Cid me fasse jeter à la rue, j'ai besoin de repos, de manger, d'un bain et la petite aussi. Donc nous disions deux chambres, tant qu'à faire une attenante à celle du maitre des lieux ce qui sera beaucoup plus pratique pour discuter de l'avenir de l'enfant, discussion à laquelle je ne couperai pas, c'est un fait.
-Attenante .. a la chambre.. du Duc.. Vous devenez folle ma parole..
-J'ai mal à la tête, mal aux pieds, faim, soif, sommeil, et je me sens lasse .. Alors pour une fois dans notre vie Georgette.. Contente toi d'obéir sans rechigner.
[Quelques vingts minutes et un branle bas de combat plus tard]
-Vos chambres sont prêtes, Vostre Grasce même si je dé..
-Désapprouve totalement ce comportement des plus immatures, inconvenents et déshonorants, si mon père était au courant, il ne manquerait pas de me faire part lui aussi de sa désapprobation. Je connais ma leçon par coeur, tu vois !
Coup de tête de la Blonde au Piaf pour qu'elle la suive tandis qu'elle-même suivait Georgette. La vieille femme la mena tout d'abord à sa chambre à elle, lui montrant le placard où se cachait une porte menant à la chambre du Maitre des lieux, chambre sélectionnée avec goût par les chambrières - qui avait su reconnaitre leur chef en la personne de Georgette - puis vint le tour de la chambre de la fillette.
Un lit de taille normale même si la Blonde le trouva pour le coup, relativement disproportionnée par rapport au petit corps qu'il devrait abriter, des coussins par dizaines le recouvraient et jetant un coup d'oeil alentours la Blonde n'eut qu'un mot à l'esprit "Neutre", d'un parme délicat, tirant doucement sur le gris, la couleur de la chambre suffirait à contenter l'enfant. Il serait toujours temps de remédier à la décoration de cette chambre. Sourire en coin, sans même lui avoir demandé son avis, la Blonde imaginait déjà l'enfant vivre sous ce toit avec elle. Mais elle avait oublié deux détails, les deux principaux concernés : Norelys et Cid.
Elle se tourna vers la petite et lui sourit
Alors cela vous convient-il Damoiselle Norelys de Sémur, ou plutôt Norelys tout court ?
Elle se tourna vers Georgette pour lui demander d'aller leur chercher une collation et de faire préparer de quoi se baigner dans sa propre chambre puis s'assit sur le bord du lit en attendant une réponse de la petite caressant de la paume de la main, la pelisse qui recouvrait le lit.
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¸. Decet Ypriex Stantem Mori .¸