Maltea
[HRP/J'ai oublié de le dire, mais rp ouvert à tous, les villageois qui peuvent voir passer les blondes, les paysans bossant dans les champs autour de celui où se passera l'action et bien d'autres choses encore, le but est de faire participer et de réveiller un peu la halle en incitant les joueurs à écrire, donc voilà, si vous avez envie de participer, vous êtes les bienvenus! le ton du rp est léger, on ne se prend pas la tête, on s'amuse.]
[Au manoir de Sainte-Ménehould, c'est pas tous les jours la joie!]
C'était un jour comme les autres en la bonne ville de Sainte-Ménehould... Enfin non pas tout à fait... La duchesse s'était cloitrée au manoir, tout ça parce que de bon matin, en s'habillant, elle n'avait pu fermer correctement son corsage. Entre les « je ressemble à une grosse vache, ça déborde de partout, mais que vais je devenir! », et les « j'ai faim, que la Berthe me prépare de quoi me satisfaire, j'ai envie de je ne sais pas quoi mais j'ai envie quand même! », le personnel de cette drôle de mesnie était sur le pied de guerre. Il fallait absolument que leur maitresse de maison quitte la demeure ne serait ce que quelques petites heures, où ils deviendraient tous dingues avant la fin de la journée. Sans parler du fait qu'il n'y avait pas une mais deux femmes engrossées dans les environs, ce qui commençait à faire beaucoup pour eux. En effet, la blonde Lesmont avait débarqué dans la nuit de Compiègne, pour le plus grand plaisir de sa suzeraine, qui commençait sérieusement à se languir de la blondinette.
Deux ogresses affamées, ayant envie de tout et n'importe quoi et surtout de n'importe quoi d'ailleurs, et en général, des n'importe quoi qui ne se trouvaient pas en un claquement de doigt.
C'est donc dans la serre que l'on y retrouve la blonde duchesse, occupée à se lamenter sur son ventre énooorme, alors qu'il n'y a quasi rien, il faut bien le dire... sur sa poitrine généreuse... là faut bien avouer qu'il y a un bonnet de plus, à croire qu'elle prend tout des mamelles et rien du bide, mais rien d'étonnant puisqu'elle ne fait jamais rien comme les autres.... alanguie sur une kliné, picorant ici et là des fruits confits afin de chasser la déprime qui la guette, c'est avec la blondine qu'elle discute, et surement pas de layette, non ça pas possible.
Non mais regarde moi ça.... je les maudis... et surtout le Wilus, de sa faute si j'en suis à ce stade. Se tromper dans les potions, il m'aura tout fait celui là!
Tout fiche le camp, on ne peut même plus faire confiance en son médicastre... d'un autre côté, j'aurais du m'en douter, pas comme s'il n'avait pas inventé le vin de poireau et pire que cela, n'en buvait pas!
Et bla et blabla et blablabla, c'était parti pour les lamentations puissance mille, les récriminations à l'encontre de wilus, de Cedmisc et d'autres choses encore dont il ne vaut mieux pas faire l'étalage en ce récit.
Alors que la blonde duchesse se lançait maintenant dans l'exploration gustative de la grappa et de confiseries hautement caloriques c'est que gémir, ça donne soif et faim!- un des serviteurs du manoir se présenta....
Désolée de vous déranger Ma Dame, mais un de vos paysans est là, il dit que c'est urgent, et demande à vous parler....
Me parler? Il ne pouvait pas écrire un petit mot et de le faire envoyer ici au lieu de quitter ses champs et de venir me déranger en personne? C'est que je suis des plus occupées et surtout pas visible jusqu'à la fin de cette grossesse!
Mais Votre Grace, c'est important, cela concerne votre élevage de porc, il y a un énorme souci d'après lui et en plus il ne sait pas écrire.... c'est un paysan duchesse....
Et alors? Pas parce que c'est un paysan qu'il ne doit pas savoir lire ou écrire, mes paysans se doivent d'être au top! Et puis à l'université, ils font entrer n'importe qui, donc voilà! Enfin bref, faites le entrer mais bandez lui les yeux, hors de question qu'il se rende compte que la sublime duchesse de Brienne devient une bonbonne!
Et le pauvre paysan de rentrer yeux bandés, se prenant les coins de meuble qui bizarrement se retrouvent toujours sur le passage quand on doit les éviter.... et de vider son sac de doléances.
Duchesse, je m'excuse de v'nir mais y a un os avec les porcelets là.... et c'est peu dire, c'est des sacs d'os. J'ai acheté une bête ce matin au bailli, c'est horrible, famélique, pire que le premier, on peut même pas en tirer une côtelette pour la potée. Je voulais que vous l'sachiez, parce que vos écus, eux ils sont fermes et ronds, pas comme c'té pauv'biètes...
Froncement de sourcils ducaux.... le duché l'arnaquait sur la qualité des cheptels dont elle faisait l'acquisition.... il allait l'entendre le bailli, oh que oui!
Fort bien, montrez moi donc l'état des bêtes!
Belle duchesse, j'vais avoir le droit d'enlever le bandage là, c'lui qui est su'mes noeils, parce que je vais pas pouvoir vous y conduire si j'vois goutte moi!
Oh mais bon sang, pas possible ça, et ça se dit des hommes alors qu'ils sont incapables de marcher dans le noir!
Enfin bref, ôtez donc ce bandeau et pas bandage et allons y! Alie, tu m'accompagnes?
En attente de la réponse de sa vassale, la duchesse se levait déjà.... et un sourire se dessinait sur la mine placide du serviteur qui allait de ce pas aller annoncer la bonne nouvelle aux autres... la duchesse allait enfin sortir du manoir. Note pour plus tard, ne pas oublier de faire apporter au paysan un panier garni afin de le remercier d'avoir fait bouger les fesses ducales de la demeure.
_________________
Faut cliquer sur la bannière, si si!
[Au manoir de Sainte-Ménehould, c'est pas tous les jours la joie!]
C'était un jour comme les autres en la bonne ville de Sainte-Ménehould... Enfin non pas tout à fait... La duchesse s'était cloitrée au manoir, tout ça parce que de bon matin, en s'habillant, elle n'avait pu fermer correctement son corsage. Entre les « je ressemble à une grosse vache, ça déborde de partout, mais que vais je devenir! », et les « j'ai faim, que la Berthe me prépare de quoi me satisfaire, j'ai envie de je ne sais pas quoi mais j'ai envie quand même! », le personnel de cette drôle de mesnie était sur le pied de guerre. Il fallait absolument que leur maitresse de maison quitte la demeure ne serait ce que quelques petites heures, où ils deviendraient tous dingues avant la fin de la journée. Sans parler du fait qu'il n'y avait pas une mais deux femmes engrossées dans les environs, ce qui commençait à faire beaucoup pour eux. En effet, la blonde Lesmont avait débarqué dans la nuit de Compiègne, pour le plus grand plaisir de sa suzeraine, qui commençait sérieusement à se languir de la blondinette.
Deux ogresses affamées, ayant envie de tout et n'importe quoi et surtout de n'importe quoi d'ailleurs, et en général, des n'importe quoi qui ne se trouvaient pas en un claquement de doigt.
C'est donc dans la serre que l'on y retrouve la blonde duchesse, occupée à se lamenter sur son ventre énooorme, alors qu'il n'y a quasi rien, il faut bien le dire... sur sa poitrine généreuse... là faut bien avouer qu'il y a un bonnet de plus, à croire qu'elle prend tout des mamelles et rien du bide, mais rien d'étonnant puisqu'elle ne fait jamais rien comme les autres.... alanguie sur une kliné, picorant ici et là des fruits confits afin de chasser la déprime qui la guette, c'est avec la blondine qu'elle discute, et surement pas de layette, non ça pas possible.
Non mais regarde moi ça.... je les maudis... et surtout le Wilus, de sa faute si j'en suis à ce stade. Se tromper dans les potions, il m'aura tout fait celui là!
Tout fiche le camp, on ne peut même plus faire confiance en son médicastre... d'un autre côté, j'aurais du m'en douter, pas comme s'il n'avait pas inventé le vin de poireau et pire que cela, n'en buvait pas!
Et bla et blabla et blablabla, c'était parti pour les lamentations puissance mille, les récriminations à l'encontre de wilus, de Cedmisc et d'autres choses encore dont il ne vaut mieux pas faire l'étalage en ce récit.
Alors que la blonde duchesse se lançait maintenant dans l'exploration gustative de la grappa et de confiseries hautement caloriques c'est que gémir, ça donne soif et faim!- un des serviteurs du manoir se présenta....
Désolée de vous déranger Ma Dame, mais un de vos paysans est là, il dit que c'est urgent, et demande à vous parler....
Me parler? Il ne pouvait pas écrire un petit mot et de le faire envoyer ici au lieu de quitter ses champs et de venir me déranger en personne? C'est que je suis des plus occupées et surtout pas visible jusqu'à la fin de cette grossesse!
Mais Votre Grace, c'est important, cela concerne votre élevage de porc, il y a un énorme souci d'après lui et en plus il ne sait pas écrire.... c'est un paysan duchesse....
Et alors? Pas parce que c'est un paysan qu'il ne doit pas savoir lire ou écrire, mes paysans se doivent d'être au top! Et puis à l'université, ils font entrer n'importe qui, donc voilà! Enfin bref, faites le entrer mais bandez lui les yeux, hors de question qu'il se rende compte que la sublime duchesse de Brienne devient une bonbonne!
Et le pauvre paysan de rentrer yeux bandés, se prenant les coins de meuble qui bizarrement se retrouvent toujours sur le passage quand on doit les éviter.... et de vider son sac de doléances.
Duchesse, je m'excuse de v'nir mais y a un os avec les porcelets là.... et c'est peu dire, c'est des sacs d'os. J'ai acheté une bête ce matin au bailli, c'est horrible, famélique, pire que le premier, on peut même pas en tirer une côtelette pour la potée. Je voulais que vous l'sachiez, parce que vos écus, eux ils sont fermes et ronds, pas comme c'té pauv'biètes...
Froncement de sourcils ducaux.... le duché l'arnaquait sur la qualité des cheptels dont elle faisait l'acquisition.... il allait l'entendre le bailli, oh que oui!
Fort bien, montrez moi donc l'état des bêtes!
Belle duchesse, j'vais avoir le droit d'enlever le bandage là, c'lui qui est su'mes noeils, parce que je vais pas pouvoir vous y conduire si j'vois goutte moi!
Oh mais bon sang, pas possible ça, et ça se dit des hommes alors qu'ils sont incapables de marcher dans le noir!
Enfin bref, ôtez donc ce bandeau et pas bandage et allons y! Alie, tu m'accompagnes?
En attente de la réponse de sa vassale, la duchesse se levait déjà.... et un sourire se dessinait sur la mine placide du serviteur qui allait de ce pas aller annoncer la bonne nouvelle aux autres... la duchesse allait enfin sortir du manoir. Note pour plus tard, ne pas oublier de faire apporter au paysan un panier garni afin de le remercier d'avoir fait bouger les fesses ducales de la demeure.
_________________
Faut cliquer sur la bannière, si si!