[RP] quand les rousses couinent

château des rousses




Darc ,Raouldarc ,seigneur des rousses. Il avait été entrainé par sa bougresse d épouse,blancacorvinus , dans un tres long périple. Mais celle ci étant passée a trépas et lui ayant laissé comme seul cadeau trois gamins .Il decida de quitter cette miserable bretagne tout juste bonne a nourrir des cochons ,pour revenir sur ses terres et retrouver son tat de cailloux que lui avait légué se couillon de acis .ce dernier ayant probablement perdu la raison juste avant de rendre son dernier souffle fétide.

Ce matin la donc,alors que la brume enveloppait encore la foret ,raoul menait sa petite troupe le long d un chemin tortueux ;.Encore quelques lacets et bientôt apparaitrait l énorme bâtisse ,qu il espérait retrouver intacte après l avoir laissé en garde a quelques gugusses du coin. 9a couine

allez les morveux,encore quelques pas et on est arrivé. vous allez voir ce que c est un château .c est pas juste une vulgaire baraque a crêpe que vous avez connu jusqu ici..

Au fur et a mesure qu il avançait le chemin se faisait de moins en moins large ,Les ronces par grosses touffes ,se faisaient un malin plaisir de venir taquiner les joues du bougre ,au point qu il du sortir son épée pour les pourfendre .a chaque coup d épée il laissait échapper des grognements de sanglier imaginant embrocher quelques bretons .Pour sur si il y avait eu quelques chasseur dans le coin il aurait pu prendre une fleche dans le derche . Enfin ,il pu entrevoir bientôt les énormes tours qui a son grand étonnement étaient attaqué par le lierre .
Le seigneur était de retour ;ou était donc la foule en liesse? les pétales de fleurs virevoltantes,? les jeunes vierges venant s offrir en pâture?
on pouvait donc faire confiance a personne .Les servants délaissés et pas payé pendant des années avaient fuis et le château abandonné ,attaqué par dame nature paraissait bien lugubre mais devant ses enfants raoul voulait faire bonne figure .Apres avoir poussé un "humm " il se retourna vers eux et pris sont air le plus fier.

Voila .ici seul les darc sont maitre .meme dieux doit se prosterner quand il vient manger.mmmmm bon je dois vous avouer qu il viens pas tres souvent mais bon .vous êtes des darc souvenez vous en. hummmm par les braies ensanglanté de ma grand mère il a pas de la gueule notre château hein?

Le temps qu ils répondent il s avança et poussa la lourde porte en bois massif qui s ouvrit sur la cour intérieure dans un grincement qui vous gèlerait le sang
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L'information avait eu tôt fait de remonter aux oreilles du Vicomte qui avait pris l'habitude de laisser trainer ses oreilles et ses yeux un peu partout, car il est parfois intéressant de tomber sur des informations sommes toutes incongrues...mais cette dernière valait la peine de prendre la plume et d'écrire à ce vieux bougre.

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[En route, mauvaise troupe!]

Quand leur père avait annoncé qu'ils allaient se rendre au château familial, Lupin avait bien cru que Noël était arrivé avant l'heure.
Ce château devait être grandiose c'était obligé. Leur père leur avait tant et tant parlé.
C'était bien simple, depuis qu'ils étaient tous petits, dans leur berceau, en train de téter un jambonneau de la boucherie Darc, il ne parlait que de ça... et de pourfendre quelques Bretons aussi, occasionnellement.

Alors c'était un grand jour. Lupin avait revêtu pour la peine son plus beau costume à plumes. En tant que futur prince du château des Rousses, il aurait un rôle à tenir dorénavant

Ils avaient donc quitté leur vieille bicoque de St-Claude, infestée par les rats et les toiles d'araignées après des années d'absence passées en Bretagne, pour rejoindre leur nouveau "chez-eux".

Quelques jungles jurassiennes et marécages plus tard...

L'endroit était plutôt difficile d'accès mais ça n'en rendait l'aventure que plus palpitante. Avec un peu de chance, le château serait hanté et ça, le plus grand des trois marmots Darc en rêvait. Oui, il rêvait d'un château avec des fantômes, des armures qui couinent et des miroirs brisés.

Finalement et après maintes péripéties parmi les ronces, ils parvinrent aux pieds des remparts. Et là, oh suprême étonnement! Le château était encore plus grand que dans les rêves les plus fous de Lupin.

- Waouuuuuh! Mais il est immenseeeee!

Ben oui, un château vu d'en bas ça en jette toujours un max.

- Voila. Ici seuls les Darc sont maîtres.

Voilà une information qui ne tomba pas dans l'oreille d'un sourd. Ou de trois sourds, en l'occurrence.
Oui mais voilà. Pour l'heure, il avait plutôt l'air abandonné, le château.

- Dis, papa, dis! Tu crois qu'il y a des fantômes dans ce château? Et tu crois qu'il y a un trésor, enterré quelque part, hein? Si y en a pas encore, on pourra y cacher les bonbons de Vador et ensuite on dessinera une carte pour pouvoir les retrouver, en semant plein de pièges sur le chemin...

Lupin s'interrompit au son de la porte qui grinçait comme les os de sa vieille tante Ober quand elle s'asseyait en taverne.

- Oooooh! Hé venez les jumeaux! Allons explorer l'intérieur! Passez devant... on ne sait jamais. On pourrait nous attaquer par derrière.

Valeureux mais pas fou, le Lupin... Si le château était à l'abandon, il devait bien y avoir une ou deux bêtes sauvages à l'intérieur.
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Ce château ,Le petit vador aujourd hui âgé de sept ans ,il en avait rêvé depuis que son père lui en avait parlé lors de sa plus tendre enfance.
Né en bretagne ,il n avait jamais mis les pieds en franche comtée et le seul château qu il avait visité jusqu ici était celui de la duchesse anastriana.Mais pour sur celui de son pére devait être beaucoup plus grand et beau . ben même que ca serait le château le plus grand de la terre entiere de l univers et que les tours ben elles touchent le ciel.

Le petit vador essayait de suivre a son rythme et pendant que son frere faisait un pas ben lui il en faisait deux.Mais il ne s en laissait pas compter et idolâtrant son père il en pris le mimetisme en sortant sa petit épée et en pourfendant les ronces qui lui barraient le passage. La tète baissé bien trop occupéa a décapiter les pissenlit il ne s aperçut pas d une éclaircie au milieu des broussailles et PAF il alla rebondir contre un fichu mur de pierre et se retrouva le cul par terre .
Assis au pied des murailles celles ci lui paraissait énorme et vu d en bas les tours semblaient bien toucher le ciel.Une fois encore son père ne lui avait pas menti et en symbiose avec son frangin lupin il ne pu retenir un.

wouaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ouai t a raison lupin ben meme que c est le plus grand château que z ai jamais vu de toute ma vie entiere .

puis repensant a la petite fille qu il avait croisé la veille a la taverne du coin ,il ne pu s empecher de rajouter

ben si elle viens la pateque ,ben meme qu elle en croira pas ses yeux et ben meme qu elle voudra le meme

Le temps de se relever et de s essuyer les mains sur les fesses il entendit son frere
Dis, papa, dis! Tu crois qu'il y a des fantômes dans ce château? Et tu crois qu'il y a un trésor, enterré quelque part, hein? Si y en a pas encore, on pourra y cacher les bonbons de Vador et ensuite on dessinera une carte pour pouvoir les retrouver, en semant plein de pièges sur le chemin...

Quelle drole d idée de vouloir cacher des bonbons ,les bonbons c était fait pour manger et les cacher ben ca serait gaspiller. puis c était quoi cette histoire de fantome?? Meme si il était un grand maintenant le vador ben faut avouer qu a l idée de fantôme un long frissons le traversa et inconsciemment il alla se coller a son père

ca existe pas les fantômes hein papa que ca existe pas?

- Oooooh! Hé venez les jumeaux! Allons explorer l'intérieur! Passez devant... on ne sait jamais. On pourrait nous attaquer par derrière.

regardant son père faire un clin d œil ,il fut rassuré et la curiosité repris vite le dessus quand son frere l invita a rentrer

ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii a l attaqueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeevoir

.Le nain se précipita a l intérieur en courant comme un fou.les billes grand ouvertes ,il voulait tout voir de se château fantastique. Il grimpa un escalier et se retrouva bientôt sur les rampart.son ne dépassant pas le mur il du regarder par une meurtrière pour

wouaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa on voit loin ,je peu meme voir saint claude .puis c est haut .on pourra jeter des cailloux sur les gens en bas ça sera rigolo

Les trois petits diables commencèrent leur exploration par le chemin de ronde. Vador s'exclama sur la hauteur du mur d'enceinte et c'est vrai qu'il était haut pour des enfants qui n'avaient jamais été dans un château de leur existence.

- Mais où sont les gardes, papa? Pourquoi y a personne qui surveille dehors? demanda Lupin lorsque Raoul les eût rattrapés.

Le temps que son père lui réponde, les deux petits avaient déjà filé ailleurs, vers le logis seigneurial. L'orgueil de Lupin le rattrapa et il prit aussitôt la tangente pour les rattraper et être le premier à découvrir...

Découvrir quoi au fait? Que chaque pièce sentait l'humidité, la moisissure. Qu'il était impossible de mettre le pied quelque part sans qu'une nuée de pigeons s'envolassent, paniqués par une présence humaine qui leur était inconnue.

Ils étaient des intrus dans leur propre château.

Et l'odeur... Bouh, l'odeur! Un mélange de pisse de rat et de fientes d'oiseaux. Sans compter qu'aucun meuble n'avait survécu aux ravages du temps, bouffés par les termites jusqu'au dernier.

- Mais... où sont nos lits? Et sur quoi est-ce qu'on va manger?

Le conte de fée ressemblait de plus en plus à une mauvaise blague pour les trois enfants.
Si l'endroit avait toutes les apparences d'un château fort, il était impossible d'y vivre en l'état.

Soudain, un petit bruit se fit entendre derrière les croisillons d'une fenêtre. Lupin alla l'ouvrir et revint avec un pigeon gras dans les mains, qui portait un message accroché à la patte.

- Tiens, p'pa! Y a ce gros benêt qui attendait derrière la fenêtre.

Le blond observa son père dérouler le message et le parcourir, les yeux brillants de curiosité. Peut-être s'agissait-il d'un message pour leur dire qu'ils s'étaient trompés de château. Peut-être qu'on allait leur annoncer que leur château à eux se trouvait ailleurs.
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Le raoul leva les yeux pour faire un rapide inventaire de la batisse . A premiere vue l extérieur n avait pas trop souffert mais le silence des lieux auquel ne répondait que le croassement des corbeaux perchés sur les tours ,donnait au lieu un air lugubre et il ne fut pas étonné que les mioches ai pu penser qu il y ai pu y avoir des fantômes.

Dis, papa, dis! Tu crois qu'il y a des fantômes dans ce château?

haussement d épaule et clignement d œil pour rassurer le petit qui semblait s en inquiéter .

les fantômes par définition font dans leurs frocs euuh leur drap je voulais dire rien qu a l évocation du nom des Darc. non il y en a pas vous pouvez y aller

A peine dit qu ils avaient déjà disparu sur les rempart ;c est alors qu un volatile eu l idée saugrenu de venir se poser sur l épaule du raoul .Le coup de l animal tordu ,il pris quelques instants pour lire le message. Nouveau haussement d épaule . Un message de Kévin. Il était donc toujours en vie et n avait pas eu la bonne idée de trépasser ."les amis d hier sont bien loin gnagnagna" j ai pas d ami .ca sert a rien (ne put il s empecher de chuchoter)
Le message mit en boulette il le bazarda et ne perdrait pas de temps inutile a y répondre.

Le bonhomme a son tour s avança dans la bâtisse .Partout ce n était que désordre et désolation. Les pilleurs avaient profité de l absence du seigneur pour mettre a mal le mobilier et le reste.Peut etre en restait il un dans les lieux? Il sorti lentement son épée et s avança prudemment a travers les salles ; Si seulement il pouvait mettre la main sur un ,histoire de se dérouiller.
Premiere salle traversée, la salle d arme . Sa vieille armure rouillé et grippé qu il avait porté au tournois de Genève était toujours la et n avait pas trouvé grâce aux yeux des voleurs .Ca et la gisait au sol quelques armes ,massues, boucliers, épées qu ils n avaient certainement pas pu emporter.
Plus loin la salle a manger et sa magistrale cheminée .Il passa sa main sur deux peintures pour les dépoussierer.Ses aieuls Gaston darc et Ignace darc n avaient pas bougé.Il ne pu s empêcher de leur faire le reproche de n être pas intervenu et de les traiter de mauviette et qu ils ne méritaient pas de porter le nom des Darc.
C est a ce moment que les trois marmots arrivèrent ,La raoul eu un grand moment de solitudes quand il pu voir la déception dans les yeux du plus grand.

Mais où sont les gardes, papa?Mais... où sont nos lits? Et sur quoi est-ce qu'on va manger? ,

Autant de questions aux quelles il eu du mal a répondre dans un premier temps. Il sentit tout le poids de ses responsabilités de père sur les épaules.AAAAAh si seulement la corvinus avait été la .Il l aurait mise au ménage et tout aurait été réglé en un claquement de doigt. Il se retourna un instant pour cacher son trouble aux yeux de ses enfants.Un Darc ne devait pas etre faible. Puis il se repris.

mmmmmmmm bon.Voila ce qui arrive quand les darc ne sont pas la.c est l anarchie .que cela vous serve de leçon. chaque chose a son temps. lupin je te nomme chef de la garde et vador sera ton bras droit .vous n avaez qu a aller a la salle d arme .vous y trouverez dans le bazard tout le nécéssaire.libre a vous d embaucher le premier couillon qui passe .Toi alba ben euhhhh comme t es une fille je te nomme chef du ménage .c est bien ça d etre chef non? Pour manger et dormir vous avez besoin de meubles? petit bourgeois ,c est pas ainsi que je vous ai élevé ;vous avez trop trainé avec vos tantes et leur vie de petite mégère. Si un jour vous partez a la guerre vous croyez qu on va vous trimballer vos plumards et vos tables? on mangera a même les plats et on dormira sur de la paille dans un premier temps .bande de mauviette mais mmmm promis des demain je ramène un menuisier par le col.En attendant tous a vos postes.

Ultime grain de sable un nouveau volatile arriva.lupin lui mis la main dessus et le tandis a son père.

Tiens, p'pa! Y a ce gros benêt qui attendait derrière la fenêtre.

nouveau haussement d épaule .c était zabou qui annonçait sa venue dans la région ,vers Dijon dans trois ou quatre semaines. Décidément les mauvaises nouvelles s accumulaient. Nouvelles boulettes qu il jeta aux pieds de lupins .Il attrapa un tabouret pour souffler et la craaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaac il se retrouva au sol. soupirrrrrrrr
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Tous à vos postes?

- A vos ooordres!

Le petit blond n'était pas du genre à contester les ordres de son père. Du moins pas en sa présence. C'est donc au grand galop qu'il entraîna son frère et sa soeur vers la salle d'armes pour y prendre leurs fonctions de gardes.
Comment cela, les châtelains n'étaient pas sensés garder leur château eux-mêmes? Oui, mais cela, Lupin et sa fratrie n'en avaient aucune idée, étant donné qu'ils n'avaient jamais été dans un château auparavant! Et donc pour eux, cette drôle d'idée tout droit sortie de la tête de mule de Raoul n'avait rien d'une idée saugrenue encore moins d'une idée folle.

Dans la salle d'armes, Lupin souleva l'une après l'autre les vieilleries rouillées qui gisaient sur le sol. La plupart étaient trop lourdes pour que lui ou son frère puissent les porter.

- Crotte de bique! Comment qu'on va faire pour avoir l'air de deux gardes? Il faut bien qu'on nous reconnaisse quand même!

Planté sur ses deux pieds, une idée germa soudain dans la tête du Lulu à plumes.

- Viens, Vador, j'ai une idée! Il faut qu'on trouve les cuisines!

Sans laisser à son frère le temps de dire "ouf" il l'entraîna à sa suite dans le dédale des escaliers en direction des communs.
Ils durent s'y reprendre à plusieurs reprises pour trouver la cambuse ouvrant les portes les unes après les autres.
Lupin se fit d'ailleurs la remarque comme quoi il lui faudrait dessiner un plan du château pour gagner du temps à l'avenir.
Finalement une porte s'ouvrit sur une volée de marches qui arrivaient devant une grande cheminée et sur la droite, pendues par des crochets se trouvait toute une lignée de casseroles, de spatules et d'écumoirs.

- Bingo! fit Lupin, un large sourire venant lui tailler la face. Voilà nos armures, Vador!
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Le petit vador lui était très loin des préoccupations de confort de son frangin. Le lieu l enchantait .Pensez donc il avait tout un chateau rien qu a lui mmmm ou presque , et il y avait mille babioles poussiéreuses qui représentaient a ses yeux autant de jouet.

Quand il se présenta avec lupin dans la grande salle a manger ,il se planta a coté de lui et écouta son père .Chouette il allait etre garde,cela enchanta le gamin mais il ne pu s empêcher de faire une petite moue quand celui annonça qu il ne serait que sous chef derrière son frère. La deception fut grande sur le coup mais c était la décision du paternel et celle ci ne se discutait pas .
Mais comme pour tout les gamins celle ci passa très vite et a l ordre [color=violeta vos postes][/color] il semit au garde a vous comme un vrai petit soldat puis fit un salut militaire reglementaire ;c était rigolooooo .

La langue coincé sur le coin de ses lèvres ,il s appliquait a suivre son frangin en faisant le "pas de l oie" comme les soldats . une ,deux,une,deux.Ils arrivèrent a la salle d arme . ouaiiiiiiiiiiii y avais plein d arme .Dans l excitation le gamin tapa sur une petite table vermoulu qui s effondra de suite.Les yeux ébahis ,vador regarda sa main puis la table enfin pour pouvoir dire "

wouaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa tu as vu comment que je suis fort lupin? ben même que je suis plus fort que toi et que ben meme ca devrait etre moi le chef"

Se sentant un surhomme ,il vit une massue ,il s en approcha et essaya de soulever l énorme objet .GNééééééééééééééééééé .

raaaaa ben meme que y a quelqu un qui a fait une blague et la collé au sol pfffff c est pas rigolo

effectivement ,l énorme arme ne bougea pas d un iota.Vador regarda son frangin qui semblait avoir le même problème .

Crotte de bique! Comment qu'on va faire pour avoir l'air de deux gardes? Il faut bien qu'on nous reconnaisse quand même!
- Viens, Vador, j'ai une idée! Il faut qu'on trouve les cuisines!

c est vrai ça comment ils allaient faire? heureusement qu il avait un frangin qui n était pas la moitié d un con; Parce que mine de rien vador il était super fier d avoir un grand frère. Et si on regarde le gamin vous pourrez y lire dans ses yeux un tout petit peu d admiration pour son grand frère.
Mais pffff pourquoi donc voulait il aller a la cuisine.

Bingo!Voilà nos armures, Vador!

Il était vraiment tombé sur la tête .vador ne compris pas de suite ou voulait en venir lupin.

pffffffffffff n importe quoi.c est nul les cuisines ,les cuisines c est pour les filles . Puis y a rien pour faire un gateau .moi z en voit pas des armes

Il regarda son frangin et ne savait vraiment pas pourquoi il souriait comme un benêt .a peine le temps

hey lupin tu crois qu on pourra avoir une papaculte? on pourra jeter jeter alba super loin hi hi hi hi hi .

Le blond ne remarqua pas tout de suite la perplexité voire la déception de son frangin.
Tout à sa joie, il se saisit d'une passoire qu'il mit sur sa tête et d'un rouleau à pâtisserie qui lui servirait de gourdin.

Puis il revint vers Vador, se posta devant lui, les poings sur les hanches.

- Les cuisines c'est pour les filles? Mais qu'est-ce que tu racontes? On n'est pas dans une cuisine ordinaire, Vador! Ici c'est de la cuisine de compétition d'abord!

Puis comme son frère faisait remarquer qu'il n'y avait même pas de quoi fabriquer un gâteau:
- Et depuis quand tu sais faire des gâteaux, toi? Et puis d'abord les crêpes c'est bien meilleur! Tu te souviens d'Ame la boiteuse, à Rohan? Et ben, même qu'elle m'a donné la recette des crêpes avant de partir alors on pourra en manger tout plein, jusqu'au plafond!

Il accompagna sa diatribe d'un geste en direction du mur au dessus de leurs têtes.

Mais l'heure n'était pas à la cuisine, l'heure était à l'armement.
Puis il ôta la passoire de sa tête pour la mettre sur celle de Vador et lui tendit le rouleau à pâtisseries.

- Tiens, c'est ça ton arme. Avec ça tu pourras assommer tous les barbares qui essaieront de s'en prendre à notre château, foi de Lupin!

Fronçant les sourcils, il leva son bras, se grattant la tête.
- Une pataculte? Hum... ça doit pouvoir se trouver oui! Mais je suis pas certain que Papa serait d'accord qu'on jette Alba par dessus bord...

Les deux frères savaient pertinemment que leur soeur était la favorite de Raoul. A cause qu'elle était sa seule fille et qu'elle ressemblait terriblement à Blanca avec ses grands yeux noirs et sa petite bouille d'ange.

Lupin attrapa une seconde passoire et quelques spatules en bois. Avec son idée de catapulte, son frère venait de lui donner une idée. En usant de sa fronde, il pourrait balancer les ustensiles sur quiconque approcherait d'un peu trop près leur château.

- Allez, viens suis-moi Vador! On retourne sur les remparts maintenant! En avaaaant!

Crissement de roues dans la cour du château, en rêve! encore eut-il fallu qu'il y ait une cour digne de ce nom dans l'enceinte du fief Des Darc.

Une calèche vient de faire son apparition dans la flore et la faune qui s' est installée aux abords du château, du fait de la densité de la végétation. Pour pouvoir crisser de la roue, il aurait donc fallu que la dite entrée se soit faite à grande vitesse, et la réalité est toute autre.

Le cheval tirant la calèche a dû adopter le pas lent de l'armée de valets au nombre de un, vieux et arthritique qui plus est, que Dame Pervenche avait prévu, mais à la base pour une toute autre raison. Le pauvre homme doit dégager avant lui des murs de ronce et de lianes voire même de baobabs pour permettre à son employeuse de ne pas salir sa jolie toilette à un million d'écus en restant à l'abri dans sa voiture.

Mais plus vite enfin!! nous ne serons jamais arrivés!! Maman! qui aurait pu imaginer qu'on laisse une demeure s'enlaidir de telle manière! Il nous faudra un siècle de labeur pour arriver à en faire quelque chose digne de ....


Chplock!!!

la phrase ne sera pas terminée, laissant planer un suspens sans nom sur le caractère urgent de la mise en conformité de la demeure.


En effet, la roue de droite vient d' heurter un rocher, un menhir, un pic, un cap, que dis je, une péninsule qui n'avait vraiment rien à faire là, et la tête de la passagère, la porte de son véhicule qui s'ouvre à la plus grande surprise de dame Pervenche, qui laisse échapper un cri.

Sacré foutu bordel de chiotte! Bon, qu'à cela ne tienne! en avant!

L'essieu est brisé, il ne lui reste plus qu'à finir son odyssée à pieds.

Le pauvrette arrive donc enfin devant une porte massive, déjà poussée, permettant un accès à une cour dont le pavé raisonnait à chaque coup de talon.

Croisant les bras sur la poitrine, sa robe déchirée et ses botttes crottées, la dame attend que le valent annonce à grands cris son arrivée.

OYEZ OYEZ! veuillez ouvrir à Dame Pervenche!!!

Et voilà que les deux frangins étaient de retour sur le chemin de ronde.
Alba avait du se perdre dans l'immensité du château ou laisser les deux frangins à leurs délires d'armement, mais à vrai dire ils n'en avaient cure et ils n'auraient d'ailleurs pas su dire à quel moment la petite fille les avait abandonnés.

Quoi qu'il en soit, ils étaient à leurs postes, revêtus de leurs armures de pied en cap et prêts à en découdre avec tout assaillant potentiel qui se présenterait devant les grilles du château des Rousses.

Soudain un couinement retentit à l'extérieur, alertant les sens du blond, qui fut aussitôt sur le qui-vive.
Un O.R.N.I. - nda: un objet roulant non identifié - était en approche des remparts.

- Psssst! Vador! Viens voir ça! murmura Lupin en se penchant aussitôt au dessus du mâchicoulis et faisant signe de venir à son frère.
Lorsque le jeune Vador l'eut rejoint, son grand frère tendit l'index vers la cariole immobilisée. Une dame vêtue comme un sapin de Noël, hurlant comme une furie sur le vieux débris qui l'accompagnait en descendit et se mit à avancer en direction de la porte du château.

- C'est quoi ce truc?

Il faut préciser à nos lecteurs à ce point de l'histoire que les deux jeunes Darc n'avaient pas tellement fréquenté le beau monde jusqu'alors et encore moins des dames de cour du niveau d'une dame Pervenche.
Pour l'heure, tout ce que Lupin pouvait voir étaient la coiffure en escoffion qu'elle arborait.

Instinctivement, Lupin empêcha son frère de faire le moindre mouvement.

- Attention! Elle a des cornes de dragon sur la tête, Vador! Je crois bien que c'est une sorcière! Si on l'attaquait maintenant, elle serait capable de nous transformer en crapauds ou en cafards!

Craignant d'être repérés, Lupin entraîna son frère sur le sol, dos au mur.
Soudain le bruit de la porte du château qui tournait sur ses gonds retentit, suivie par des bruits de talons.

- Elle est entrée! Vite il faut qu'on l'arrête avant qu'elle ne nous transforme tous en insectes! fit Lupin en se relevant.

- Surtout ne la regarde jamais dans les yeux Vador! C'est grâce à ça que les sorcières jettent leurs sorts maléfiques!

Lupin détala sur le chemin de ronde jusqu'à l'escalier qui menait vers la cour intérieure.
Par chance, dame Pervenche leur tournait justement le dos et ne sembla pas les entendre arriver.

Le jeune blond fouilla dans sa besace et se retourna vers son frère.

- Bon. Voilà notre plan. Toi tu vas viser le vieux serviteur avec la fronde. Il n'a pas l'air bien coriace, ça sera un jeu d'enfants. Pendant ce temps, moi je vais me faufiler derrière la sorcière et je vais lui balancer de la farine dans les yeux pour l'aveugler, comme ça elle ne pourra plus nous jeter de sorts.

Tout en parlant, Lupin avait pris un peu de farine dans sa main gauche, souvenir de leur passage aux cuisines.

- Prêt? A l'attaaaaaaaque!
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C est donc équipé d une passoire sur la tête et d un rouleau de pâtisserie qu il portait sur l épaule que vador montait la garde sur les remparts .Son frangin l avait équipé de la tête au pied . Il allait de droite a gauche toujours en faisant le pas de l oie .
Cela l amusait beaucoup de marcher comme un soldat "une deux une deux une deux" et concentré dans sa gestuelle ,on pouvait pas dire vraiment que le jeune vador était un gardien de première catégorie au point qu il ne vit pas arriver la fameuse calèche .
Par contre quand l essieu se brisa ,Le petit vador se figea sur place.Un coup d oeil rapide a lupin pour voir si lui aussi il avait bien entendu et déja se dernier l invita a venir voir la chose.

c est quoi ce truc?

le nain ,bien plus petit que son frangin essaya tant bien que mal de voir mais son nez dépassait a peine la muraille.

hey moi aussi ze veux voir

finalement a force de persévérance et de rétro pédalalage avec ses petites jambes il réussi a apercevoir la bourgeoise. alors que lupin remarquait la forme conique de la coiffure ,ceux qui marqua vador dans un premier temps c est que la dame était rousse .UN long frisson lui traversa l échine .faut dire que le paternel avait dit tellement de chose horrible sur ces créatures atteintes de roussitude .
Son frere l invita quelques instant a ne pas bouger .

Attention!Elle a des cornes de dragon sur la tête,Vador!Je crois bien que c est une sorciere! si on l attaquait maintenant , elle serait capable de nous transformer en crapauds ou en cafards!

Vador lui répondit en chuchotant

hey moi je veux pas être transformé en crapauds ,les crapaud ben ca bave . puis t as vu la sorcière ben elle est rousse .ben meme que papa il a dit que les rousses ca pu et qu ils sont malades et que c est contagieux.

Mais le chef avait parlé et il allait falloir entrer en action. Le petit vador était loin d être rassuré mais il ne dit rien et voulait faire bonne figure devant son grand frère. Il ecouta les consignes avec la plus grande attention.

Faut qu on l arrête avant qu elle ne nous transforme tous en insectes. ....... surtout ne jamais la regarder dans les yeux Vador .c est grace a ça que les sorcières jettent leurs sorts maléfiques!......Toi tu vas viser le vieux serviteur

Je veux pas être mangé par un oiseaux moi .

Vador délaissa son rouleau a pâtisserie ,et attrapa sa fronde. Il y plaça un cailloux et

a l attaqueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

il suivit son frère en courant tout en se répétant sans arrêt qu il fallait pas qu il regarde la sorciere dans les yeux.de se fait il baissa la tete et courru en regardant ses pieds et ce qui devait arriver ,arraiva. PAFFFFFFFFF choc dans les jambes de la sorcieres .Le petit rebondit et se retrouva cul a terre.Il leva la tête pour voir se qui était arrivé et la le drame il rencontra le regard de l intruse .La frayeur l attrapa ,pour sur il allait etre transformé en cafard . Il se redressa et partit a font la caisse en hurlant ,chercher son père .

Ouinnnnn PAPAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ,vais etre transformer en cafardddddddddd ,la sorciere elle m a attaquéééééééééé .PAAAAAAAAPAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA viens viteeeee faut des renforts avant que lupin soit lui aussi transformé en crapauddddd ouinnnnnnnnnnn

Il disparu au détour d un couloir mais on continuait a l entendre .

Patience n' a jamais rimé avec Pervenche, et à dire vrai, ne rimera jamais. Non, jamais! Et pendant que la jolie jeune femme, ignorant le plan sournois dont elle sera rapidement la victime, frotte ses frusques zonéreuses , tentant vainement de se redonner un air présentable, son regard épluche les murs qui l'entourent.

Une belle bâtisse, certes, mais elle devait l'avoir été il y a bien longtemps dans un passé fort lointain. Oui, les tours tenaient encore droites, fières, s'élançant vers le ciel gris de Franche Comtée. Non, aucun lézarde ne venait serpenter sur les murs de pierre conférant à la demeure une solidité qui lui semblait éternelle. Mais alors, question entretien, tintin! tu r'passeras!

Comme on semblait visiblement vouloir tester ses nerfs en la faisant poireauter comme la première soubrette de passage dans la cour humide, elle entreprend alors de faire la liste des travaux absooooooooooooolument nécessaires, le coût des matériaux, le salaire des employés, le sien y compris naturellement, le prix du beurre et celui de la crémière.

Un puits, au centre de la cour toutefois parait lui être un atout, si tant est que l'eau n'est pas empoisonnée par le corps en putréfaction d'un âne mort, voire même par un des habitants du château. Elle se penche par dessus la margelle et tente d'en voir le fond quand...

Quand enfin, miracle! une voix ou peut être même deux! Les indigènes semblent enfin prêts à l'accueillir comme il se doit, et leur enthousiasme est très prononcé dans le patois local, auquel malheureusement, Dame Pervenche ne comprend rien.

Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhh la Taaaaaaaaaaaaaaaaaaaaack!

Ya ya! yes! daaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa! mouarf!

Alors qu'elle pivote sur ses talons, un choc dans ses jambes lui fait baisser les yeux sur un blondinet haut comme 3 pommes, qui non content de ne pas s'excuser tandis qu'il a le fondement contre la dalle, se relève pour détaler en braillant de plus belle.


Heyy!! petit ! reviens! Rhoo, mais quel étrange phénomène!

Suivant le mioche des yeux, et pas que, elle tombe alors sur un autre drôle, mais plus âgé et grand en taille que le premier.

Hey! toi la baaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah....

Et sa bouche, autant que ses yeux, s'arrondissent d'effroi sur le masque blanc que prend son visage.