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[RP] A l'auberge de La grenouille bleue

Langededouceur
Lange était rester près de Laure alors qu'attala etait descendu pour ouvrir a la porte.

Il regarda Laure et vit qu'elle était vraiment pas bien et que ce n'etait pas le moment pour elle de rester seule.


Citation:
Mais si ça ne vous ennuie pas, je préfèrerai ne pas rester seule... Je peux peut être vous être d'une aide pour votre repas...


pour moi j'y voit q*aucun inconvéniant.

Nous pouvons descendre rejoindre Attala, je pense que l'on sera pas trop de trois pour tous faire


Il lui sourit en l'invitant a se levé et a sortir de la chambre.
Laure3
Laure sourit lorsque Lange lui dit qu'il ne voyait aucun soucis à ce qu'elle reste un peu avec eux.

Elle se leva et descendit à sa suite pour rejoindre Attala.

L'aubergiste était occupée avec une dame. Pour ne pas la déranger, Lange et Laure se dirigèrent vers la cuisine en silence. Une fois dans la cuisine, le jeune femme regarda Lange et lui dit :

- Je suis vraiment navrée de vous causer ces soucis. Je vous remercie d'avoir accepté mon aide.

Lange lui répondit par un sourire. Il poursuivit ce qu'il faisait avant de monter l'aider. Laure enfila un tablier et commença à couper les légumes qui serviraient d'accompagnement aux volailles. Ils continuèrent leur travail en parlant de banalités. Laure était reconnaissante à Lange de ne pas évoquer ce qui venait de se passer. Elle espérait que Corre ne rentrerait pas trop tard de sa chasse. Elle avait tellement besoin des bras de son ami...

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Attala
Après avoir fait asseoir Mounira qui visiblement venait d'apprendre une triste nouvelle, Attala alla chercher un pichet du meilleur remède qu'elle connaissait... de l'hypocras!
Après en avoir bu plusieurs rasades, Mounira parvint, entre deux reniflements, à expliquer la cause de ses larmes. Jaccuzi était morte, décédée d'une maladie soudaine, laissant derrière elle le brigadier Sylla et Romaric leur rejeton, seuls.

Ben ma foi... pour une nouvelle...

Machinalement, l'aubergiste s'assit et se versa à son tour un, deux puis trois gobelets d'hypocras qu'elle but d'un trait... avant de réagir enfin.

Triste nouvelle... Paix à son âme! Voilà un homme privé de sa femme, un marmot sans sa mère et une ville sans tribun... Ca va de mal en pis à Narbonne, moi j'te le dis! Entre not'e Maire disparue, l'ours qui s'balade, les brigands qui pullulent comme la mauvaise herbe et maintenant...
Boudiou! Ben ma pauvre, j'ai l'impression que tu vas entamer ton séjour ici par une cérémonie funéraire...

Pour surmonter cette douloureuse nouvelle, Attala remplit à nouveau leurs gobelets.

Faut bien ça...

Tant et si bien que très vite...

Oh! Il est vide!

L'aubergiste se releva avec une sensation de légèreté étonnante pour retourner chercher de quoi étancher leur peine.
Dans l'arrière salle une autre surprise l'attendait. Son invité et sa cliente étaient là tranquillement occupés à trancher des légumes!
Attala sursauta... C'était le monde à l'envers! Instinctivement, elle tourna la tête vers la salle...

Ben oui-da, j'rêve point... j'suis bien chez moi...

Heu... Fallait pas vous déranger... Notez, c'est bien gentil à vous mais... Hum... mes légumes sont déjà prêts. Heu... dans le chaudron à vostre dextre... Y'a qu'à les mett'e sur l'feu... Enfin, je dis ça... c'est vous qui voyez...
Ca vous dirai une p'tite lichée d'hypocras?

La jeune femme remplit à nouveau le pichet mais le posa brusquement sur la desserte avec maladresse, manquant le faire tomber.

Scrogneugneu! J'allais oublier... mes poulardes!!

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Pffff.... bannière partie en fumée elle-aussi!
Mounira
Mounira écoutait ce que lui disait Attala. C'est vrai que ça allait pas fort à Narbonne. Pour une fois depuis 1 mois et demi, elle avait trouvé le courage de revenir seule avec Candice... et là... Encore, il y aurait eu son ange, il l'aurait consolé... Mais il n'avait put venir. Elle se demandait si elle ne ferait pas mieux de repartir le soir même avant qu'il n'arrive autre chose de plus grave encore, même si se serait dur. Avisant la bouteille d'hypocras à moitié vide et sa choppe vide complètement, elle se reservit et but cul sec, comme pour oublier. Oublier le passé... encore un fois.

Elle poussa un profond soupire et regarda Candice qui dormait, sans ce soucier de quoi que se soit. Elle l'enviait. Elle enviait son innocence, son insouciance... Son regard se posa sur sa choppe vide, encore une fois...

*Oh non... n'oublie pas que tu repars ce soir... et pense à Candice, t'as voisine n'est pas la pour la garder lorsque tu seras ivre...*

La jeune femme se leva et alla plutôt à la cuisine chercher un grand verre d'eau. Elle y découvrit deux personne et Attale qui venait juste d'y partir. Elle salua les deux personnes qu'elle ne conaissait pas et murmura à Attala :

Je crois que je vais repartir... Ce...ça va pas trop... Faut mieux que je retourne à Carcassonne et que je reviennes un peu plus tard avec... avec mon ange...

Mounira regarda l'aubergiste et esquisa un sourire. Elle retourna dans la pièce principale, posa quelques écus sur le comptoir pour l'accueuil et pour l'hypocras. Elle prit Candice dans ses bras et ferma tout doucement la porte de l'auberge en glissant un "aurevoir" discret...
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Heureuse mère de Candice,
Triste, sans savoir que penser......
Langededouceur
Laure et lange vit arrivé Attala toutes étonner de les voir là.

Lange sourit en la voyant se retourner pour s’assurer qu’elle était bien chez elle

Il lui sourit tendrement, ce disant qu’elle avait peut etre pris un peu trop d’hypocras.


Citation:

Heu... Fallait pas vous déranger... Notez, c'est bien gentil à vous mais... Hum... mes légumes sont déjà prêts. Heu... dans le chaudron à vostre dextre... Y'a qu'à les mett'e sur l'feu... Enfin, je dis ça... c'est vous qui voyez...


Oh je suis navré j’avais pas vu !

Laure ne voulais pas rester seul alors je me suis permis de l’invité a nous aidez.

Il pris les légumes préparés et les mis dans le chaudron, et y ajouta ceux qu’il venait de faire.

Ils ne seront pas de trop car apparemment nous serons plus nombreux.
Citation:

Ca vous dirai une p'tite lichée d'hypocras?


C’est pas de refus mais sans en abuser alors !

Citation:
La jeune femme remplit à nouveau le pichet mais le posa brusquement sur la desserte avec maladresse, manquant le faire tomber.

Scrogneugneu! J'allais oublier... mes poulardes!!




Dites nous ce qu’il faut faire et nous le ferons. Tu … euh ! vous y mettez quoi comme farce dans vos poulardes ?

Puis il regarda attala en lui souriant
Attala
L'air un peu perdu, Attala regarda Mounira repartir sans essayer de la retenir... à quoi bon?

Mercé et adissiatz Mounira! Bonne route!

Puis elle revint à ses deux assistants inattendus mais pleins de bonne volonté.

Mes poulardes....

Un peu confuse, elle tenta d'expliquer à Langededouceur où se trouvait l'estragon et ce qu'il fallait en faire.
En lui parlant, Attala souriait béatement.... Il faut dire qu'elle venait de découvrir que son invité avait un double qui agissait et parlait comme lui! Bizarre....

Tiens... Ils sont deux? J'savais pas qu'il avait un besson...

Puis, pas très stable sur ses pieds, elle vogua vers la cheminée pour faire mine de surveiller la cuisson du repas assise sur un tabouret.
Peu de temps après, grâce à Laure et Langededouceur, tous les ingrédients du repas cuisaient.
Et heureusement, car les deux marchands qui logaient aussi à l'auberge ne tardèrent pas à rentrer.
Mais Attala ne remarqua rien car, sous l'effet combiné de l'hypocras et de la chaleur du foyer, elle venait de s'endormir adossée à l'âtre!

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Pffff.... bannière partie en fumée elle-aussi!
Langededouceur

Lange écoute attentivement les recommandations d’Attala, en s’amusant de son etat, et ce met au travail aider de laure.

Au bout d'un moment, il remarqua qu’attala s’était endormie.

Aillant mit les poulardes au feu il murmure a laure :


Tu peut surveillé le feu je vais allez allonger notre hôte qui a besoin de repos

Dis moi tu sait où est sa chambre ?



Il s’approcha d’attala doucement puis passe un bras sous le sien et et l’enlace puis passe l’autre doucement sous ses genoux et la soulève.

Lange était tout chose d’avoir attala dans ses bras il la regardait.
Il ne pouvait ôter ses yeux de ce visage si beaux et si doux


il se dirigea vers sa chambre
Attala
Allongée dans la barque, bercée par le mouvement de l'eau, Attala se prélassait. Les rayons du soleil jouaient entre les branches et réchauffaient par instant son visage.
Son père était parti au château faire son rapport au Sire de la Tournelle. Elle avait donc un après-midi pour elle. Et Adrian, son plus jeune frère, avait promis de lui montrer un coin de rivière riche en poissons.
Attala l'attendait en souriant à l'idée de la pêche qu'ils allaient faire... Mais soudain, un remous plus appuyé manqua de faire basculer l'esquif. La jeune fille battit des pieds et des mains pour ne pas tomber à l'eau en râlant:

Je t'attends, tu lambines! Et en plus tu manques me faire chavi...

En ouvrant les yeux, elle vit Langededouceur penché vers elle et s'aperçut qu'elle reposait sur un lit!?

Qu'est-ce...? Par Aristote! J'ai dû m'endormir... Oh! Ma pauvre tête!
Messer Lange? Que faisons-nous dans cette chambre? Mon client ne va pas apprécier de voir que je me prélasse dans son lit....

En voyant Langededouceur sourire, l'aubergiste se demanda se qu'il devait bien penser d'elle...

Y doit me prendre pour une poivrote à présent.... Bah... chacun ses défaults!
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Pffff.... bannière partie en fumée elle-aussi!
Langededouceur
Apres avoir déposée Attala sur le lit elle ouvrit les yeux et surprise


Citation:
Qu'est-ce...? Par Aristote! J'ai dû m'endormir... Oh! Ma pauvre tête!
Messer Lange? Que faisons-nous dans cette chambre? Mon client ne va pas apprécier de voir que je me prélasse dans son lit....



Lange sourit, il ne voyait plus qu’elle et était émerveillé par cette jeune femme, son parfum, sa fraîcheur. L’avoir eu dans les bras et la sentir si près de lui l’avait transporté.

Se n’est pas votre chambre ?

Je pensais que… tu ….vous……aviez besoin de repos……


Lange bafouillait, et ne su quoi dire. Son cœur battait fort dans sa poitrine et ce qu’il ressentait n’était pas nouveau pour lui, mais jamais ce n’avais été aussi fort.

C’était la première fois que tous cela lui faisait perdre ses moyens.

Il la regarda puis lui pris la main. Et s’assis sur le lit a ses côtés.



Attala je euh…..
mon cœur euh….
Enfin je euh….
Vous me ….
Je vous …


Il inspira pronfondement et ce jeta a l'eau

Mes sentiments, pour vous, ne vont que grandissant

Mon cœur, quand auprès de vous je suis, va bringuebalant

Toutes mes pensées, à votre personne, sont portées

Et les heures, à vous espérée, sont éternité

Etre près de vous, est ma plus belle quête

Je vous aime et votre bonheur je souhaite



Etonné d’avoir pu dire tous cela il la regarde et lui sourit tendrement
Attala
Un hoquet, deux inspirations et dix battements de coeur plus loin, Attala était encore en train de tenter de comprendre ce qu'elle venait d'entendre et de remettre de l'ordre dans ses idées plus que confuses...la faute à l'alcool ou à la déclaration?
Cette journée n'en finissait pas de dérouler ses surprises.
Elle se sentit d'abord flattée.

Un poème!? Pour moi!

Langededouceur était donc également poète? La liste de ses mérites s'allongeait, s'allongeait....
Mais même si son coeur battait la chamade, Attala s'interrogeait...

L'amour....j'y connais point grand chose, mis à part le costé sombre: ruptures, rancoeurs et reproches... A quoi le reconnaitre si...?

Cependant, le jeune homme attendait sa réaction.


Que dire? Que dire? Aristote! Christos! Venez à mon secours!

Attala rougissait, perdait pied. Ses sentiments étaient par trop confus, il lui fallait du temps.

Messer Lange... mercé pour ce charmant poème. Encore une de vos... de tes qualités et je... que... je suis honorée. Mais cet amour me semble si soudain, nous nous connaissons à peine... je ne sais que dire... Je crois qu'il va me falloir du temps pour digérer la nouvelle... quant à mes sentiments... ben, c'est un peu confus. Je sais que je t'apprécie beaucoup mais je ne puis en dire plus pour le moment...

Hésitante, Attala regarda Lange qui tenait toujours sa main en espérant qu'il avait compris un mot du charabia qu'elle venait de débiter. Et qu'il n'en prenait pas ombrage. Elle ne voulait certes pas le peiner mais elle nageait en plein brouillard!
Soudain, un bruit de pas lourd dans l'escalier l'alerta.


Je pense qu'il vaut mieux que je me lève et que nous sortions de là... Ou, si j'en crois mes oreilles, un de mes clients va se poser des questions en nous voyant tous les deux dans sa chambre, sur son lit....

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Pffff.... bannière partie en fumée elle-aussi!
Correba
Corre était épuisé, mais plus moralement que physiquement, la chasse à l'Ours n'avait pas rencontrés le succès espérer.

Avant le départ tomber sur le cadavre de Jaccu, puis cette recherche d'Ayrton infructueuse, comment allait t'il annoncer à Laure qu'il n'avait pas su le retrouver, voilà le village, d'abord retrouvé Céline et lui rendre Typhon, la pauvre elle doit être morte d'inquiétude sans son typhon.
Celui-ci par contre c'est bien amusé apparemment, il gambade, sautille dans tous les sens. Voilà c'est fait Céline a récupérer Typhon en bon état et heureux.

Maintenant comment annoncer à Laure. Corre s'avance vers l'auberge, prend une grande inspiration et ouvre la porte.



-Hola la compagnie


Personne , un peu de bruit dans la cuisine, Attala probablement.
Parle plus fort pour qu'elle entende, en se dirrigeant vers l'escalier.



Coucou Attala, je suis rentré, je monte voir Laure


Monte les escaliers deux par deux, puis en passant devant la première porte de la chambre, ...
Tiens elle est ouverte, Corre y jette un oeil puis Oh Attala sur le lit et Lange a ses côtés.
Grand sourire.


Je suis de retour, je vais voir Laure et après je devrai vous parler aussi.

Comment Laure est dans la cuisine?

Bon ben je redescend, merci.



Les quitte et redescend les escaliers.
Vois Laure enfin, lui sourit lui ouvre ses bras.


Tu vas bien?
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Laure3
Laure était toujours en cuisine. Lange était parti monter Attala dans sa chambre pour l'étendre sur son lit. Le temps passait et aucun des deux ne redescendait, la jeune femme sourit en se disant qu'il avait raison d'en profiter, ces deux là semblaient plutôt bien s'entendre.

D'un coup, elle entendit la porte d'entrée s'ouvrir puis la voix de Corre résonna :


- Hola la compagnie

puis...

- Coucou Attala, je suis rentré, je monte voir Laure.

Laure se précipita mais Corre avait déjà monté les marches à toute vitesse. Elle entendit des voix, Attala ou Lange lui auront dit qu'elle était en cuisine donc elle poursuit de tourner dans la marmite en s'assurant de la bonne cuisson du repas.

Corre pénétra dans la cuisine. Il lui souriait en lui ouvrant les bras, il se voulait joyeux... Il lui demanda comment elle allait... La jeune femme savait qu'il devait être mal et que pour lui, il s'apprettait à lui dire qu'il n'avait pas retrouvé Ayrton. Comment pouvait il en être autrement puisqu'il ne s'était jamais perdu. Elle regarda Corre avec tristesse et prit dans sa poche la lettre qu'elle lui tendit en lui disant.

- Il n'a jamais disparu... Ce n'était que mise en scène...

Laure respira profondément, elle s'était promis de ne plus pleurer cet homme. Elle ne le haissait même pas... Elle avait juste mal d'avoir été dupée. Elle regarda Corre et lui dit d'une voix ferme :

- Je veux que tu lises ceci, puis ensuite nous n'en reparlerons plus jamais. Je dirai à Julia qu'il est parti. Plus jamais je ne veux entendre son prénom...

Elle se retourna et reporta sa attention sur le plat.

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Correba
Citation:
Corre pénétra dans la cuisine. Il lui souriait en lui ouvrant les bras, il se voulait joyeux... Il lui demanda comment elle allait... La jeune femme savait qu'il devait être mal et que pour lui, il s'apprettait à lui dire qu'il n'avait pas retrouvé Ayrton. Comment pouvait il en être autrement puisqu'il ne s'était jamais perdu. Elle regarda Corre avec tristesse et prit dans sa poche la lettre qu'elle lui tendit en lui disant.

- Il n'a jamais disparu... Ce n'était que mise en scène...


Corre devint livide, étonné de la nouvelle, il prit la lettre la lu


Citation:
Laure respira profondément, elle s'était promis de ne plus pleurer cet homme. Elle ne le haissait même pas... Elle avait juste mal d'avoir été dupée. Elle regarda Corre et lui dit d'une voix ferme :

- Je veux que tu lises ceci, puis ensuite nous n'en reparlerons plus jamais. Je dirai à Julia qu'il est parti. Plus jamais je ne veux entendre son prénom...

Elle se retourna et reporta sa attention sur le plat.


Au fur et a mesure qu'il la lu son étonnement se transforma en colère, la fin du voyage ne s'était pas bien passé entre les deux hommes, pour Laure il vait pris sur lui. Mais là s'en était trop. Il valait mieux pour lui que jamais il ne recroise sa route.

Corre respira profondément, il était devenu froid, ses yeux impassibles,son cerveau imaginait déjà les souffrances qu'illui infligerait, mais là c'est pas le moment, Laure avait besoin de lui. Une autre respiration, oubliez Ayrton, être là pour Laure.

Il s'approcha d'elle sans mot dire. Se plaça derrière elle et la pris dans ses bras la serrant très fort, lui apportant son réconfort de sa bouche le nom Ayrton venait d'être bannit.


-Je suis là si tu as besoin. Tu nous prépare quoi de bon?

Puis se rend compte que son odeur n'a pas vraiment sa place ici , une partie de chasse n'est pas faite pour l'esthétique, un bon bain était plus que nécessaire.

- Oups je flaire là, je vais prendre un bain. Je peux te laisser le temps de mon bain?
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Laure3
Laure n'avait pas pu voir l'étonnement sur le visage de son ami puis la colère qui avait suivi. Elle l'entendit froisser le courrier et se lever. Corre était venu se placer derrière elle et la serrer très fort dans ces bras. Puis il lui murmura :

- Je suis là si tu as besoin. Tu nous prépare quoi de bon?

La jeune femme sourit, elle se laissa aller contre son ami. Lui seul savait lui redonner le sourire. Elle se rendait compte qu'il avait toujours était là pour elle, l'un des seuls qui ne l'avait jamais trahi. Sa présence à ses côtés était bien plus qu'importante. Elle sentait ses bras l'entourer et au delà du geste complice, c'était pour Laure un soutien réel.

Son comportement ne laissait rien paraitre de ce qu'il devait ressentir. Car elle savait qu'il ne supportait pas qu'elle souffre. Ils étaient tellement proche.


- Oups je flaire là, je vais prendre un bain. Je peux te laisser le temps de mon bain?

Elle posa ses mains sur les siennes et lui répondit :

- Oui, bien sûr, vas-y ! Je t'assure que je vais bien !

Il la fit se retourner et ils se sourirent. Corre déposa un tendre baiser sur la front de Laure et quitta la pièce sans rien ajouter. Les paroles entre eux étaient inutiles, ils se comprennaient par un regard. En le regardant sortir, le jeune femme se rendit compte qu'il ne lui restait plus que Julia et Corre à présent, sa fille et son ami de toujours...

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Langededouceur
Il regarda attala étonner, comme lui, d’ailleurs de ce qu’il venait de dire. Ce regard perdu fit battre encore plus vite son cœur qui prenait apparemment un malin plaisir a envoyer des salves de canons dans sa poitrine.

Il ce demanda un moment, si il avait bien fait de dire tous cela et n’aurait-il pas du ce taire ?

quand Attala lui répondit, il sourit, libérer, au dire de la jeune femme. Elle ne l’avait point repoussé, c’était plus qu’un espoir.

Doucement en lui caressant la main avec douceur il lui dit :


Tu as raison prenons le temps de nous connaître mieux, je te promet de m’habiller de patience.
Et te demande de me pardonner d’avance si quand mon cœur me presse je suis un peu trop entreprenant. Tu sait je n’arrive pas toujours a le contrôler, dit –il en souriant.


Son cœur a cet instant aimerai qu’il la prendre dans ses bras mais lange se maîtrise et n’en fait rien.

Il entendit du bruit dans l’escalier.

Attala n’avait pas plutot dit :


Citation:

Je pense qu'il vaut mieux que je me lève et que nous sortions de là... Ou, si j'en crois mes oreilles, un de mes clients va se poser des questions en nous voyant tous les deux dans sa chambre, sur son lit....


Que la porte s’ouvrit.
Ouf ! c’etait corre.

Il était autant etonner que nous.

Puis il reparti vers la cuisine.

Lange regarda Attala et lui sourit


Je peux te demander une chose ?

Je souhaite comme toi que nous nous connaissions mieux, j’aimerai t’invité a passer un moment ensemble rien que nous deux. Je t’invite a ma maison je te préparerait une de mes spécialité et nous pourrons bavarder, et si le temps si prête nous irons nous promener.


Lange lui fit son plus beau sourire, empreint de douceur et très légèrement suppliant espérant avoir une réponse positive.

Puis approcha la main de la jeune femme, qu'il tenais, pres de ces levres et lui deposa un tendre baiser sur le dos de sa main douce
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