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[RP] A l'auberge de La grenouille bleue

pnj
Tino entendit des festivités émanant de l'auberge ee Dame Attala.Intrigué,celui-ci frappa à la porte et entra dans l'auberge.

Bien le Bonsoir tout le monde.

Tino Vit tous ses amis présent en ce lieux.Après avoir salué La Gente Dame ainsi que toutes les personnes présentes,il se rapprocha de son ami le Sir Toon qui semblait il tenait une peinture en ses mains.

Et bien mon ami,vous êtes un artiste.Quel bel oeuvre que voilà!!!

Sur ces quelques mots Tino alla s'assoir à coté du Sir Toon et trinqua à la santé de la maîtresse de l'auberge.
Attala
Etonnée et rougissante, Attala prit avec précaution la toile que lui tendait Toon.
Que de compliments... Elle n'en avait pas l'habitude... quoi que, avec Kenrui, elle avait déjà eu un aperçu de discours galant!
Au moment où, pour une fois muette, elle réfléchissait à quoi répondre pour ne pas paraître niaise, elle vit la porte de l'auberge s'ouvrir à nouveau...
Un instant elle crut au retour de Rochelle... Mais c'est Tino, un nouveau narbonnais qu'elle avait eu l'occasion de croiser en taverne qui entra et salua. Avec Toon, ils formaient une belle paire de barbus buveurs de tisane... Et malgré tout piliers de taverne...

...Allez comprendre!

Elle salua le nouvel arrivant de la tête.

Fort belle tenue ma foi!

Avant de revenir à la peinture qu'elle avait en mains. C'était bien la première fois... Etonnant! Au fond, on apercevait son auberge, enfin la salle commune et devant, chacun des invités présents à la soirée était représenté. C'était tout simplement magnifique! Toon avait un véritable talent...Et cela ferait un souvenir de cette soirée spéciale!

Toute à sa contemplation, Attala en avait complètement oublié de remercier...
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Pffff.... bannière partie en fumée elle-aussi!
pnj
Jaccuzi entra dans l'auberge. Elle reconnu tout de suite Attala.

Salut, Attala. Sa fais longtemps ! Je me disais que j'allais te prendre une chambre, pour une semaine. Ce serait possible ?

La jeune femme sourit.
pnj
La jeune femme avança d'un pas soutenu à travers les rues.... Elle n'avait pas l'habitude du froid qui s'installait dans cette ville. A force de déambuler, elle se retrouva face à une auberge. Elle lui parait, vue de l'extérieur, une bien belle auberge à son goût. Elle se trouva face à la pancarde et lut ce qu'il y avait d'inscrit.

Hum, Au...ber...ge... de... la... gre... gre...nouille.... bleue. Original para un hostal. Vayamos a ver el interior al que esto se parece.

Dolaine savait parler un peu le français puisse qu'on lui avait appris pendant ses divers périples en france. Elle frappa à la porte d'entrée et entra dans la salle commune. Elle, qui avait greloté toute la journée, était contente de trouver un peu de chaleur. La jeune femme était un peu perdue dans cette salle. Elle se réchauffa les mains en les frottant l'une contre l'autre et chercha des yeux une personne à qui s'adresser...
Attala
Au secours!! Je fais comment moi avec la cohérence du récit en cours? Bon, alors on dit que tous les invités sont partis et... vite! vite! une idée... scrogneugneu...


Après la soirée joyeuse et nostalgique de la veille, Attala finissait de ranger sa vaisselle en baillant à s'en décrocher la mâchoire...
Fidèles à leur réputation, les sieurs Tino et Toon avaient été les derniers à partir en chantant à tue-tête dans la ruelle endormie les louanges de la Sainte Boulasse!
Avec tout le rangement, l'aubergiste avait à peine eut le temps de s'écrouler sur sa paillasse. Et ce matin, il avait bien fallu ranimer le feu pour réchauffer un brouet pour sa cliente.
Attala baillait une énième fois... quand Jaccuzi entra, fraîche et dispose, pour lui demander une chambre...
Attala mit un certain temps à réagir: ses pensées comme ses mouvements étaient engourdis... le froid? l'abus d'alcool? la fatigue? Allez savoir...

Une chambre? Une semaine? Ben pourquoi pas mais l'a-t'y pas un logis la fillote?

Au moment ou elle ouvrait la bouche pour répondre, la porte se fit à nouveau entendre.
Attala s'avança dans la salle commune et aperçut une autre femme.


Ben décidemment... pas le temps de souffler aujourd'huy!

La brune narbonnaise afficha un sourire de circonstance.

Bonjorn mes dames! Vous êtes les bienvenues à la Grenouille bleue!
Jaccuzi, je peux sans problème te loger à l'étage mais... pardonne ma curiosité... n'as-tu pas déjà un logement à Narbonne?
Quant à vous Dame, sachez que je me nomme Attala, tenancière du lieu... Oh, mais je vois que vous êtes transie! Venez donc vous réchauffez au coin du feu. On dirait qu'il gèle ce matin... Et puisqu'on y est...

Attala fila chercher trois gobelets qui avaient échappé au feu destructeur et aux lancers de Celticdom et les remplis de l'hypocras qui chauffait tranquillement sur le trépied.

Tenez! Buvez ça! Y'a rien de tel pour faire reculer la morsure du froid!
Santat!

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Jaccuzi bu son verre et se réchauffa auprès de la cheminée. Après cela, elle répondit

Oh si, j'ai déjà un logement ne t'en fais pas. Mais j'avais envie de venir te rendre visite et de passer un peu de temps à l'auberge. C'est pour moi... Comme des vacances ! Tu comprends ?

Jaccuzi regarda Attala d'un air malicieux.
pnj
Jeina avait marché toute la nuit. Epuisée par sa longue route, elle se rendit à peine compte qu'elle tenait encore debout et qu'elle était devant une auberge. Elle trouva la force de frapper à la porte et d'entendre une voix lointaine lui dire d'entrer. Elle poussa la porte avec les dernières forces qu'il lui restaient et s'écroula dans la pièce, la main fermée sur un étrange médaillon...
Attala
Encore!!!

Ce fut tout ce qui vint à l'esprit d'Attala en entendant à nouveau des coups à la porte.
A regrets, elle posa son gobelet d'hypocras et s'éloigna des deux femmes présentes pour se diriger vers l'entrée.

Qui que vous soyez... entrez!

Au moment où elle arrivait, la porte s'ouvrit en grinçant et une femme s'écroula à ses pieds, visiblement transie...

Par Christos!

L'aubergiste jeta un coup d'oeil à l'extérieur mais ne vit personne d'autre. Puis elle s'agenouilla sur la forme évanouie pour la secouer.

Sainte mère de Christos... qu'est-ce que je vas faire de vous? Réveillez-vous! Allez debout!

Mais rien n'y faisait, visiblement l'inconnue était bien vivante mais trop faible...Il fallait la réchauffer...
Attala se retourna.


Jaccuzi! Et vous aussi Dõna! Sans vous commander... accourrez ici! J'ai besoin de votre aide! On sera pas trop de trois pour la porter près du feu et voir ce qu'elle a...


Et sans plus attendre elle saisit sa probable nouvelle cliente sous les bras pour la transporter plus aisément.

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Oh Sainte Mère !

Jaccuzi accourra et aida les deux femmes à transporter l'évanouie. Attala eu le mauvais réflexe de l'allonger, mais Jaccuzi le corrigea immédiatement.

Non, il faut qu'elle soit assise !

Jaccuzi courru jusqu'à la cuisine et en sortit, un verre d'eau à la main. Elle fit une manoeuvre qui força l'évanouie à avaler l'eau et comme par miracle la femme se réveilla.

Oh, mon dieu ! Vous êtes vivante ? On a eu peur, vous savez !
pnj
Jeina se réveilla en sursaut. Devant elle se tenaient trois femmes qui avaient l'air inquiètes.

Où... où suis-je ??

La jeune femme crispa sa main droite mais n'y sentit qu'une chaine.

Mon médaillon, je... je l'ai perdu... NON !

Jeina se releva d'un coup mais ne put tenir sur ses jambes et s'écroula sur le sol.

Mon médaillon... je dois le retrouver...

La jeune femme, abattue, se mit à pleurer espérant retrouver l'objet cher à son coeur.
Attala
Allons bon! Qu'est-ce encore?

Se dit Attala en voyant la femme qui venait juste de reprendre ses esprits fondre en larmes.

De quel médaillon parle-t'elle?

Embarassée mais compatissante, elle se pencha vers l'inconnue.

Voyons Donã... Calmez-vous! Je suis Attala et vous êtes dans mon auberge.
Dites-nous plutôt comment vous vous nommez et d'où vous venez... Ensuite, si vous avez de quoi me payer, je vous promets un bon lit et vous retrouverez vos forces dès demain!
Pour votre médaillon, il doit pas être loin... Regardez donc dans votre giron! il ressemble à quoi d'ailleurs ce médaillon?

L'aidant à se relever, Attala la conduisit près du feu.

Tenez, asseyez-vous au coin de la cheminée et racontez nous ça pendant que je vous prépare une écuelle de brouet pour vous remplir la panse.

Attala était du genre à penser qu'on voyait les choses sous un meilleur jour l'estomac plein.

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pnj
Jeina regarda la Dame au nom d'Attala. Elle s'efforça de sourire mais ses larmes continuaient de couler. Elle repensa à sa route mouvementée et au médaillon...

Je...je me nomme Jeina. Je viens de loin, très loin... J'ai beaucoup voyagé ces derniers temps et...et l'on m'avait confier un médaillon... et je... je devais le donner à quelqu'un mais je n'ai pas finit ma route, pas encore. Le médaillon, je dois le retrouver.Vous ne pouvez méme pas vous imaginer le nombres de personnes qui sont à sa recherche...Une étrange légende l'entoure, des morts aussi, beaucoup de morts. Mais il doit parvenir jusqu'a son destinataire...

Jeina se tut un instant et regarda les dames qui devaient la prendre pour une folle... Elle attendit et mangea tout ce qu'on lui donna et annonça d'une meilleure voix:

Je pense que je vais rester un petit moment ici...Le temps de retrouver le médaillon. Quand à l'argent...

Jeina prit un couteau et coupa le bas de sa longue robe mauve. Il en tomba plusieurs écus. La jeune femme reposa le couteau et jeta le bout de sa jupe dans le feu. Elle sourit en voyant l'air étonné des Dames.

Simple précaution... il y a beaucoups de brigands sur les routes... Au faite, combien vous faut-il Dame Attala ??

Jeina sourit aux dames, posa l'argent sur une table et sortit au dehors à la recherche de médaillon...
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Dolaine accepta l'invitation au coin du feu par la femme qui se mommait Attala. Elle but une boisson qui semblait réchauffer le corps. Une autre dame fit de même car elle semblait connaître la maîtresse des lieux. Elle s'adressa à Attala avec son accent espagnol :

Ennn...chantée Señora Attala, je me pré...sente Señorita Dolaine... Je viens d'Espagne et suis en vo...ya...ge... Je cher...che une cham...bre pour la nuit....

D'un coup, Dolaine fut arrêtée dans son discours car une deuxième personne fit son entrée dans l'auberge. Elle s'écroula sous leurs yeux et toutes se précipèrent pour lui porter secours. Les trois femmes s'occupèrent de la personne qui était mal en point.... Lorsque celle-ci reprit un peu de force, elle expliqua aux personnes autour d'elle, l'histoire de son médaillon... Dolaine écouta avec attention en essayant de comprendre le plus possible. Les deux autres femmes semblaient bien gérer la situation. Puis, elle repartit en route pour rechercher son médaillon... Dolaine s'adressa à nouveau à Dame Attala :

C'est... hum.... tou...jours comme... hum... ça ici ??? Au...tant a..gi...tée...

Puis, elle lui sourit en attendant sa réponse en espérant qu'elle est compris ce qu'elle venait de dire....
Attala
Agitée... agitée.... c'est un bien grand mot Senoritã Dolaine... disons que ça vient et ça va...

répondit machinalement Attala en regardant machinalement les écus déposés par Jeina qui venait de partir à la recherche de son mystérieux médaillon.
Puis, se voulant rassurante, elle sourit, empocha prestement les dits écus et ajouta:

Mais je dois dire que malgré l'hiver qui s'annonce et la fermeture des frontières du Languedoc, je n'ai jamais vu autant d'estrangers à Narbonne! Notamment en provenance des royaumes espagnols... comme vous Senoritã... Je ne sais pas ce que cela signifie, mais si ça fait marcher mon commerce, j'en suis fort aise!

Attala tapota ostensiblement son aumonière rebondie puis reprit:

Bon, c'est pas le tout, mais pendant que Dona Jeina est sur les traces de son médaillon... je vous montre les chambres?
Suivez-moi par ici... Jaccuzi, Senoritã Dolaine, je vous précède...

Attala ouvrit la porte arrière...

Ohhhh! Regardez! Il neige!

L'aubergiste leva les yeux au ciel et admira un instant les premiers flocons qui tombaient.

Prenez garde à ne point glisser dans l'escalier! Les chambres sont en haut...

Arrivée à l'étage, elle ouvrit deux des chambres et laissa ses clientes choisir.

En ouvrant une des lucarnes pour aérer, elle jeta un coup d'oeil dans la ruelle en bas en tentant d'apercevoir la voyageurse au médaillon perdu... mais sans succès...
Mine de rien, Attala était légèrement inquiète. Ce médaillon devait être de grande valeur et cela risquait d'attirer des ennuis... surtout si d'autres personnes le convoitaient...

Bah... à la nuitée la milice patrouillera et la porte de l'auberge est solide... espérons que ça dissuadera les fredains éventuels...
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pnj
Je vais prendre la première chambre, je te remercie Attala. Quant à cette histoire de médaillon, il demeure tout de même un mystère... On ne sait pas pourquoi, ce bijoux est si important ! J'espère que ça ne rapportera pas de personnes indésirées à sa recherche, ici.

En vérité, Jaccuzi était paniquée. Elle n'avait pas peur pour elle, mais plutôt pour Narbonne et pour cette dame au médaillon perdu. Qu'allait-il lui arrivé ? Voyant qu'Attala était dans le même état, elle prit un ton rassurant et annonça, en tapotant l'épaule de l'aubergiste:

Mais ne t'en fais pas Attala. Narbonne est une ville tranquille, je ne pense pas qu'on aura de soucis. Et puis, nos brigadiers veillent, sur notre si jolie ville.

Jaccuzi sourit, puis reprit la parole :

Je te laisse, je vais m'installer tranquillement. Je serais là ce soir pour le dîner.

Jaccuzi entra dans sa chambre referma la porte et changea son petit, pour ensuite le coucher.
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