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[RP] A l'auberge de La grenouille bleue

pnj
Dolaine écouta attentivement Dame Attala... et lui sourit. L'aubergiste était contente d'avoir des clientes étrangères qui faisaient tourner son affaire. Dolaine était sûre qu'une chambre ici serait parfait pour la nuit. Elle aurait de quoi s'alimenter et se reposer dans un lieu assez calme. Puis, Attala proposa la visite des chambres.

Muy vamos !

Dame Attala ouvrit la porte et........ surprise la neige tombait... Les trois femmes regardèrent, un instant, la neige venant du ciel. Pour Dolaine, la neige était tout nouveau car dans son pays, il neigé très peu voire pas du tout ! Elle suivit le conseil de l'aubergiste concernant les escaliers et elles arrivèrent toutes à l'étage des chambres. Dame Attala ouvrit deux des chambres qu'elles possédaient. Les deux jeunes femmes n'avaient qu'à choisir leur chambre parmi les deux proposées.

Je..... vais..... pren....dre la... deu...xième... cham...bre. Gracias Señora Attala ! Voy a hacer lo mismo. Et... je... pren...dre... le dîner... ici ... ce soir !

Dolaine fit un sourire à l'aubergiste et entra dans sa chambre. Elle referma la porte et s'installa tranquillement en attendant le dîner...
Attala
Après avoir installé ses clientes, Attala avait fait un saut jusqu'au marché pour se réapprovisionner. Il y avait foule malgré la neige. Un pélerinage était apparemment en cours et faisait halte à Narbonne...
En rentrant à l'auberge, Elle prépara de quoi rassasier des dames affamées puis alla chercher quelques oeufs auprès des poules dans la cour arrière de l'auberge.
Avec surprise, elle vit là deux pigeons porteurs de messages. Rapidement, l'aubergiste récolta les oeufs sous le ventre des poules caquetantes et retourna au chaud pour lire son courrier.
La première lettre était de Kenrui, à présent installé à Montpensier et toujours à la recherche d'une promise, qui lui demandait de venir le rejoindre... Tout en lisant le message de son ami, Attala souriait avec nostalgie.
La seconde lettre commencait par:
Citation:
/SPAN>Bonjour ma petiote


Sans avoir besoin de regarder la signature, Attala se mit à rire.

Ce bon frère Isaac! Comment a-t'il su où j'étais? Comment va-t'il? Voyons... Miséricorde!!

Citation:
Il faut que tu fixes une date afin que je puisse descendre dans le Sud pour pouvoir participer à ton baptème. Cela me fera un long voyage mais j'en profiterai pour étudier quelques livres.


Le moine semblait décidé à venir...
Aussitôt, la jeune femme ressentit un fort sentiment de culpabilité.


Et moi qui n'ai même pas commencé la pastorale...

Accaparée par l'auberge et le travail aux champs, Attala avait complètement oublié sa promesse de se faire baptiser.


Faut dire aussi que les bondieuseries et moi... ça fait deux! Et faut pas s'y tromper, la grenouille de mon enseigne n'a rien d'une grenouille de bénitier!

Mais une promesse était une promesse et dès demain elle irait à l'archevêché pour étudier le dogme...
En attendant, elle ressortit dans la cour et monta à l'étage prévenir ses clientes que le repas était prêt.

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Pffff.... bannière partie en fumée elle-aussi!




















pnj
Jeina avait finit par retrouver son médaillon. Elle rentra tard la nuit dans l'auberge. Ne voulant réveiller personne, elle prit une plume et écrivit un mot qu'elle posa sur le comptoire.
Citation:
Je ne ve pa vou dérangé plu lonten. Je vé repartir, le médaillon me lésse pa le choi...

Jeina relut son mot et soupira.
Citation:
Veillé escusé mon écritur, je né pa labitude...


Jeina prit son col qu'elle avait laissé sur une chaise, le mit et sortit en courant, vers les remparts de la ville.
Attala
Allongée sur sa paillasse dans un coin de la salle commune, Attala s'était réveillée en sursaut en entendant la porte de l'auberge s'ouvrir...
Aussitôt, elle s'était raidie, terrorisée à l'idée qu'un malandrin soit entré. N'osant ni bouger, ni respirer, mais les yeux grands ouverts, elles avait observé avec angoisse la forme qui se mouvait dans la pièce à la lueur du feu.
L'intrus n'était pas resté longtemps, mais cela lui avait semblé une éternité. Une éternité passée à se demander s'il allait la tuer, la violer, mettre le feu à l'auberge, monter à l'étage s'en prendre à ses clientes... Et puis l'ombre était repartie. Et Attala avait reprit son souffle, le corps trempé de sueur.
Avec précaution, elle se leva, s'attendant à tout moment à voir la porte s'ouvrir de nouveau...
Puis, soudain, en colère contre elle-même et son imprévoyance, elle fonça, ferma et barricada l'entrée en se demandant bien pourquoi elle avait oublié de le faire...?

Arg... Pardieu! J'attendais l'estrangère partie à la recherche de son médaillon... Mais vu la visite que je viens d'avoir l'histoire qu'elle nous a contées devait être vraie!

Peu rassurée, la brune aubergiste fit de la lumière et inspecta les lieux.






Sur une table elle aperçut un parchemin et, approchant la flamme de la bougie, déchiffra le message.
Un gros soupir de soulagement lui échappa.


Loué soit Aristote! C'était donc elle! Ben par ma foi, cette drôlesse doit être un peu dérangée mais pas démunie... Elle m'a payé et fort généreusement une nuité dont elle n'a même pas profité!


Attala souffla la chandelle, remit une bûche dans la cheminée pour conserver une chaleur agréable dans la pièce et retourna s'allonger bien décidée à finir sa nuit tranquillement avant que les matînes ne carillonnent.
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pnj
Lorsque Dolaine entendit la voix de Dame Attala, elle sut qu'il était l'heure de dîner. Elle sortit de sa chambre et se diriga vers la grande salle commune... Elle vit que l'aubergiste avait préparé un bon repas. Dolaine s'installa à une table et dégusta avec appétit ce délicieux repas qui lui faisait mettre en essence toutes ses papilles gustatives.

Gracias Señora Attala ! Vo...tre... dî...ner... est.... bon. Gracias !!!

Puis, Dolaine quitta la salle commune et se réfugia à nouveau dans sa chambre. Elle s'endormit rapidement après le bon repas qu'elle venait de prendre...

Le lendemain matin, après avoir passé une bonne nuit agréable, elle se précipita dans la grande salle avant que Dame Attala ne soit debout. Elle entra discrètement et posa sur la table une bourse bien rempli d'écus pour la chambre. Dolaine laissa un petit mot qui accompagné la bourse.

Citation:
Gracias Señora Attala ! Gracias por su acogida y su gentileza ! Je... hum... doit partir.... rápidamente. Hasta la vista Señora Attala !


Dolaine quitta l'auberge en douce, à la fraîcheur matinale pour continuer sa route vers une autre ville....
Attala
Quand les matînes carillonnèrent, Attala était debout depuis longtemps.
Enfin, debout est un bien grand mot... Plusieurs fois, elle avait dû plonger la tête dans le tonneau d'eau claire pour éviter de s'endormir ... Il y avait trop à faire...
Pour le moment, elle aérait et battait les courtepointes des chambres vides en maugréant après certaines mauvaises habitudes de certaines clientes... comme celle de quitter une auberge au petit matin en pensant ne réveiller personne...


Mais qu'est-ce qu'elles ont donc ces femmes du Sud à avoir la bougeote?! On dirait qu'elles ont le Sans-Nom à leurs trousses...
Au moins, la jeune Horlane est repartie au grand jour vers Montpelhier, ses forces retrouvées... m'a laissé une jolie somme!

A présent, il ne restait plus que Jaccuzi à l'auberge, Jaccuzi et son marmot.
Mais l'aubergiste savait que de ce côté là elle serait tranquille un bon moment étant donné que le dit marmot avait tenu sa jeune mère éveillée une bonne partie de la nuit...

Y doit faire ses dents...

Le ménage terminé, Attala redescendit pour trouver deux pigeons envoyés l'un par Rochelle:


Citation:
En effet, le lendemain de notre arrivée à Montauban, celle ci a été prise par des espagnols qui ont dévalisé la mairie. Le pire de tout c'est qu'avec mon accent Occitan, ils m'ont pris pour l'une des leurs. J'ai subis un interrogatoire musclé..... Je ne vous explique pas ma frayeur..... Du coup nous avons laissé tomber leurtauban et sommes partis dans le village d'a coté, cahors.
Je ne sais pas du tout si nous y resterons. La guyenne est vraiment dans un sale etat.... Plus d'argent et des gens qui se dechirent sans cesse. C'est usant.....


Ah... encore ces espagnols! J'espère que Cahors sera plus accueillante pour eux...

Attala soupira, tracassée. l'autre courrier était de Kenrui:


Citation:
je vais me rapprocher de toi car apres mon voyage je vais dans le duché de guyenne. je serai plus pres ^^ et je passerai te rendre visite a Narbonne ^^


Attala était partagée entre la joie et l'inquiétude: joie de revoir bientôt un ami et inquiétude de savoir qu'il allait s'aventurer dans un duché envahi de brigands et affaibli par les querelles... Elle se promit, dès qu'elle aurait un moment, de répondre à ses amis.


En attendant, la journée va être longue... j'vas faire un tour aux champs, cueillir du gui pour la veillée de Noël, filer à l'archevêché pour me renseigner sur ce fichu baptême, pis y'a encore l'hypocras qui infuse à filtrer, des victuailles à négocier au marché...
Allez! Zou! courage ma fille... et si j'commençais par aller prendre un p'tit remontant en taverne? Voilà une bonne idée! Ca va me requinquer...
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La porte de l'auberge s'ouvrit timidement et Amydrion entra. Il regarda tous autour de lui et contempla avec admiration l'auberge. Il faisait une chaleur agréable à l'intérieur.

Voici donc la fameuse Auberge de la Grenouille Bleue!

Il chercha une place ou s'installé et s'assit.
Attala
L'arrêt en taverne avait duré plus longtemps que prévu... difficile de s'arracher à la bière et à la convivialité qui y régnaient.
Mais à présent, Attala se hâtait car il lui restait encore à s'occuper de son hypocras qui infusait depuis trois jours en prévision de la veillée de Noël.
A cette idée, un sourire espiègle naquit qur ses lèvres... En l'honneur de ses frères, elle avait décidé d'attraper sous le gui tous les hommes qui lui tomberaient sous la main... et peu importe le quand-dira-t'on:


J'ai une coutûme familiale à respecter par Christos!

En entrant dans l'auberge, Attala vit un jeune homme assis près de la cheminée.


Tiens... un client?

En entendant du bruit, l'homme se retourna et l'aubergiste reconnut le vagabond dont elle avait fait la connaissance quelques heures plus tôt en taverne.


Oh... Bonne journée à vous Amydrion! Vous êtes venu jeter un coup d'oeil à mon auberge? Ou vous voulez que je vous enseigne le peu que je connais en occitan?

Attala lui fit un clin d'oeil au souvenir de leur conversation en taverne et ajouta:

Vous tombez bien... Vous allez m'aider à filtrer mon hypocras et en échange je vous le fait goûter! Et pis vous m'raconterez ce qui vous amène à c'te heure...

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Amydrion se retourna et écouta l'aubergiste avec attention. Il sourit aux propos d'Attala et se leva.

Si je peus aidez ^^

Tiens, Bonjour Aubergiste!

Celà le fit sourir. Amydrion était d'Humeur joyeux et content. Il fallait donc faire attention a son humour dévastateur.

Ce sera avec un très grand plaisir que je vais vous aidez a filtrer votre .... heu ... c'est quoi déja? Votre truc ...

Si vous me le faîte pas gouté...

Il regarda d'un aire géné Attala.

Alors, qu'est-ce qui m'anène? Ben rien de très spécial en fait. Je passais devant votre auberge, et je me suis dit : Une grenouille bleue? Sa existe? Alors par curiosité je suis venu voir! Et j'ai aussi entendu quelques rumeurs à propos de cette auberge .... comme quoi que la patronne offrait de très bon Hypocras.

Zut, elle va me le faire gouté à coup sûr!
pnj
Jaccuzi entra. Attala n'était pas au guichet alors pour ne pas la déranger, elle prit un crayon et un parchemin, puis elle écrivit:

Citation:
Bonjour, Attala. Je suis partie de ton auberge un peu plus tôt que prévu, une nuit. Alors pour ne pas te réveiller, j'ai emporté la clef avec moi et je n'ai pas payé. Je suis revenue aujourd'hui, mais ne t'ai pas trouvé alors je t'ai déposé ce mot. L'enveloppe qui est à côté contient l'argent que je te dois, ainsi que la clef de la chambre. A bientôt. Jaccu.


Jaccuzi posa l'enveloppe contenant les écus à côté du message et cacha le tout derrière le comptoir. Après cela, elle repartit, refermant avec soin la porte de l'auberge.
Attala
En écoutant le discours d'Amydrion, Attala sourit et retroussa ses manches.

A la bonne heure beau moustachu! Vous m'avez l'air plutôt dégourdi et j'aime ça!
Les grenouilles bleues j'sais point si ça existe mais c'était ma fantaisie de nommer mon establissement ainsi...
Quant à l'hypocras, je tiens la recette de mon père... qu'Aristote le garde! Et y dois être prêt pour ce soir.
J'vas chercher mes ustensiles et j'vous explique comment on procède... bougez pas!

L'aubergiste collecta tout ce dont elle avait besoin: louches, carrés de tissu propre, tonnelets... et les rassembla sur le comptoir.
Ce faisant, elle vit une lettre posée là. En la lisant, elle secoua la tête stupéfaite.

Ben décidemment... ma grenouille est un vrai moulin à vent... ça arrive, ça repart... mais au moins, ça rapporte!
Le bon côté, c'est que j'ai plus à me soucier d'aucun client pour l'instant...

Bon... alors voilà!

Elle enleva le couvercle de bois qui fermait le chaudron où infusait l'hypocras.


Sentez-moi cette bonne odeur d'épices!

Tendant une louche à Amydrion, elle entreprit de lui expliquer ce qu'elle attendait de lui...
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Attala
[une matinée de janvier]

Quelques jours après la veillée de Noël qui s'était révélée riche en surprises, Attala était à l'étage.
Elle venait d'avoir une idée pour améliorer le confort de ses clients. Après avoir fouillé dans ses coffres et dans l'écurie attenante à la bastisse, son projet commençait à prendre forme...
En fait, l'aubergiste avait dans l'idée de proposer une salle d'étuve aux marchands poussiéreux et aux dames courbattues par les soubressauts des voitures ou des longues chevauchées.
Pour être honnête, la salle d'étuve en question était un petit réduit doté d'une minuscule fenêtre et situé entre deux chambres. Un grand baquet tenait lieu de bain. Les draps de bains et les serviettes étaient rèches et rapiécés... Elle n'avait pas trouvé mieux... Mais le lieu était à l'abri des regards. Quelques chandelles habilement disposées le rendraient chaleureux et intime.
Après maints allers et retours pour rassembler les objets nécéssaires à l'endroit, Attala s'arrêta, satisfaite.



Ouf! Une bonne chose de faite! Reste encore le souci de l'eau à chauffer et à monter... Mais les riches marchands et les nobles ont toujours dans leur suite un ou deux valets qui pourront s'acquitter de la tâche.

Attala ferma la porte de sa nouvelle "salle de bains" et descendit à la salle commune pour s'offrir un gobelet d'hypocras bien mérité. Elle le dégusta près de la cheminée en pensant aux récents changements survenus dans sa vie...

Saint Noël a été plus que généreux avec moi...
D'abord, il y a eu les quatre moutons achetés grâce aux écus gagnés en tissant des vêtements pour qui veut. Quatre moutons bien dodus qui paissent dans un enclos hors les murs. Quatre moutons nommés Chapi, Chapo, Esteban et Tao, sur une idée de Kiara, narbonnaise un brin originale...
Ensuite, il y a eu cette rencontre en taverne avec la femme du nouveau Coms, Dame Nanelle d'Euphor qui m'a proposée de devenir médiatrice comtale... J'ai fini par accepter... par curiosité!
Et pis y'a eu cette barque venue d'on ne sait où et qui a échoué devant la porte de l'auberge.

Attala sourit et termina son gobelet

Eh ben... Si on m'avait dit à l'été dernier que je traverserai tout le Royaumes pour m'installer ici, à Narbonne... Et que j'y ferai de belles rencontres....
Hum, ça mérite une autre tournée!

La jeune femme alla se servir et leva haut son gobelet en citant de mémoire.

Où l'amitié est bonne
Où l'amour se donne
Des louanges je chanterai pour toi, Narbonne!

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Jaccuzi entra accompagné de son fils qu'elle tenait dans ses bras. Elle avait envie de rendre visite à son amie. Elle souria à Attala:

Coucou, Attala. Je viens te rendre une petite visite accompagné du petit Romaric, déclara Jaccu.

Jaccu fourra Romaric dans les bras d'Attala. La jeune femme regardait les mûrs magnifiquement tapissés et la pièce chaude et chaleureuse qui les entouraient.


Et bien tu as fais de ce petit bout d'maison, un vrai paradis ! Bravo, franchement, dit sincèrement Jaccu.
Attala
Tenant Romaric à bout de bras, Attala regardait alternativement le marmot et sa mère d'un air aterré...
La dite mère, Jaccuzi était entrée dans l'auberge à l'improviste et lui avait planté son rejeton dans les bras en devisant gaiement.
Attala n'osait bouger de peur de faire tomber son fardeau qui, en plus, commençait à gigoter.
C'était la première fois qu'elle tenait un enfant... En tant que petite dernière de la fratrie, elle n'avait jamais eu l'occasion de jouer avec un bambin ou même de s'en occuper.
En voyant que l'enfant la regardait, Attala tenta un sourire que Romaric lui retourna tout en gigotant de plus belle!

Un asticot! Qu'est-ce qu'il a à bouger comme ça?

Pas décidée à prolonger l'expérience, Attala profita de ce que Jaccuzi se rapprochait d'elle pour lui rendre son enfant. Soulagée...

Bonjorn Jaccuzi! Heureuse de te voir! Mercé pour tes compliments!
A ce que je vois, tu vas bien et ton petit... Il est magnifique! Et très...heu...dynamique!
Je dois aller au marché. Tu m'accompagnes et tu me racontes ce que me vaut ta visite?

De peur de devoir reprendre le paquet gigotant, Attala alla chercher deux grands paniers d'osier et ouvrit la porte à son amie en lui faisant signe de passer devant.

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Attala remuait dans tous les sens et durant un instant Jaccuzi se demanda à quoi était dû tout ce rafut.

Euh, oui... Si tu veux, je t'accom...

Jaccu n'eut pas le temps d'en dire plus qu'Attala l'avait déjà poussé hors de l'auberge. Sur le chemin du marché, Attala était très silencieuse et ce n'était pas du tout dans son habitude. La jeune femme avait une mine triste...

Que se passe-t-il Attala ? Je pensais que ma visite allait te faire plaisir, mais tu n'as pas une mine réjouie.
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