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[RP] A l'auberge de La grenouille bleue

Langededouceur
Lange s'avança et s'assis au pres d'Attala, son coeur battait fort, il sourit et timidement lui expliqua:

Vous m'avez dit que vous alliez vous faire baptisé. Alors j'ai pensée que ce livre d'heure vous plairais.



Le livre était en cuir avec au centre de la couverture un vitrail en forme de rosace trés finement peint. Il l'ouvrit et lui montra.
Toutes les pages était plus belles les unes que les autres enluminé de magnifique dessins au couleurs vives et doré a l'or fin




vous voyez vous avez une page par jour et des prieres , des textes le tout enluminé.

Il tira a lui le second livre en cuir egalement color]



Et puis j'ai penser qu'il serait bien que les gens qui passe chez vous puisse ecrire comment ils ont passer leur sejour dans votre auberge, alors voila un livre d'or pour votre auberge.


[color=darkblue]Puis tres gené il baissa la tete et doucement dans sa barbe dit:


si je vous offre se cadeau c'est que je vous estime beaucoup et je voulais vous faire plaisir.

Il rougit legerement.

regarda Attala et lui sourit timidement
Attala
Deux livres... un trésor pour une femme de sa condition, une richesse, une source à laquelle satisfaire son désir de connaissance et abreuver sa curiosité....

Vraiment, Messer Lange, je ne sais comment vous remercier... Je vas conserver précieusement ces ouvrages. Le livre d'or me fera des souvenirs et le livre d'heures me sera d'une grande aide pour approfondir ce que l'on m'a enseigné à l'archevêché en vue du baptême.
Je suis honteuse de ne rien avoir à vous offrir en retour... à moins que.... Hum... J'ai bien une petite idée d'une chose qui pourrait vous faire plaisir... mais ...motus!
En attendant, le moins que je puisse faire, c'est de vous inviter pour la pitance de ce soir! J'avais pensé faire des poulardes farcies à l'estragon à la broche... trois devraient suffire...

Attala se leva, disparut quelques instants dans l'arrière-salle pour revenir un gobelet d'hypocras à la main.

Venez donc vous asseoir près du feu et goûtez-moi ceci... ma spécialité!

Pendant que Langededouceur s'installait près de l'âtre, l'aubergiste remballa les ouvrages, les porta dans son coffre à l'étage, puis redescendit au poulailler pour s'occuper du sort des trois poules qui devaient servir de repas à ses clients et son invité. Pour les pauvres volailles le répit fut donc de courte durée.

Edit pour cause de censure italienne!!
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Pffff.... bannière partie en fumée elle-aussi!
Langededouceur
Citation:
Vraiment, Messer Lange, je ne sais comment vous remercier... Je vas conserver précieusement ces ouvrages. Le livre d'or me fera des souvenirs et le livre d'heures me sera d'une grande aide pour approfondir ce que l'on m'a enseigné à l'archevêché en vue du baptême.



elle etait ravie de son cadeau il n'en demandait pas plus.


Citation:
Je suis honteuse de ne rien avoir à vous offrir en retour... à moins que.... Hum... J'ai bien une petite idée d'une chose qui pourrait vous faire plaisir... mais ...motus!

Il la regarde et lui sourit

Je suis heureux que mon present vous plaise.

Citation:
En attendant, le moins que je puisse faire, c'est de vous inviter pour la pitance de ce soir! J'avais pensé faire des poulardes farcies à l'estragon à la broche... trois devraient suffire...


Voila en plus qu'elle l'invite a diner. Quelle joie de rester plus longuement a ces cotés.



Citation:
Venez donc vous asseoir près du feu et goûtez-moi ceci... ma spécialité!


Il la suivie et ce laissa faire. il s'assie pres du feu et la regardait partir reprendre le cours de ses occupations

Il degusta son verre a petite gorgée pensif et heureux:


Cette femme est charmante, elle devrait prendre plus de temps pour elle. Toujours a travailler pour les autres

il ce laissa rechauffé par le feu et par l'alcool il était bien. des mots lui parcourait l'esprit debut de poesie.

Quand attala reviens avec ses poules et ce dirrigea en cuisine il se leva, la suivie et lui dit:

Je peut vous aidez j'aime cuisiner, vous savez
Attala
Aider? Vous voulez m'aider!? Tudieu... un homme en cuisine... je demande à voir!

Une idée en tête, Attala s'approcha tenant les poules par le cou. Elle posa les volatiles avant de se pencher dans le foyer pour retirer le couvercle du large chaudron d'où s'échappa un nuage de vapeur. L'eau était prête. Elle saisit une des poules par les pattes et la plongea dans l'eau frémissante en expliquant:

Alors voilà... Si vous y tenez... J'vas vous demander de plumer les poulardes! Juste le temps de mouiller les plumes...

Tout en maintenant la poule d'une main, Attala attrapa un carré de toile qui séchait sur la crémaillère et le tendit à Langededouceur.

Assoyez-vous et mettez ça sur vos genoux. une fois la poularde ébouillantée, z'aurez plus qu'à lui arracher les plumes... Ca chauffe un peu les doigts mais c'est assez simple... Vous verrez!

Jugeant la peau prête, la cuisinière de la Grenouille bleue retira la volaille fumante de l'eau et la tendit à Langededouceur, l'air malicieux.

Allons Messer Lange... au travail!
Pendant que vous plumez les poulardes, je suis à costé. Je m'occupe des légumes pour la porée... C'est que j'ai des bouches à nourrir!
Quand vous aurez fini la première, appelez-moi pour que je vous prépare la seconde!
Et surtout, n'abimez pas les plumes! Elles me serviront pour remplir paillasses et oreillers...


Après ce flot d'ordres et de recommandations, la jeune femme fila dans l'arrière salle laver et couper les légumes. Amusée et vaguement honteuse du bon tour qu'elle venait de jouer à son "invité", en espérant qu'il n'en prendrait pas ombrage, elle souriait toute seule... Le souvenir d'un ami parti au loin lui revint.

Eh ben mon cher Kenrui... J'ai trouvé là une aide inattendue mais bienvenue... Et lui, il est prêt à aider en cuisine... talent rare pour un homme! Même toi tu ne t'aventurais pas à fourrer ton nez dans mon domaine... et pourtant tu as beaucoup de talents...
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Langededouceur
Citation:
Aider? Vous voulez m'aider!? Tudieu... un homme en cuisine... je demande à voir!


Lange eu un sourire amusé

Citation:
Alors voilà... Si vous y tenez... J'vas vous demander de plumer les poulardes! Juste le temps de mouiller les plumes...

Tout en maintenant la poule d'une main, Attala attrapa un carré de toile qui séchait sur la crémaillère et le tendit à Langededouceur.


Assoyez-vous et mettez ça sur vos genoux. une fois la poularde ébouillantée, z'aurez plus qu'à lui arracher les plumes... Ca chauffe un peu les doigts mais c'est assez simple... Vous verrez!

Jugeant la peau prête, la cuisinière de la Grenouille bleue retira la volaille fumante de l'eau et la tendit à Langededouceur, l'air malicieux.

Allons Messer Lange... au travail!
Pendant que vous plumez les poulardes, je suis à costé. Je m'occupe des légumes pour la porée... C'est que j'ai des bouches à nourrir!
Quand vous aurez fini la première, appelez-moi pour que je vous prépare la seconde!
Et surtout, n'abimez pas les plumes! Elles me serviront pour remplir paillasses et oreillers...



Il écouta les ordres et ce mis au travail en regardant Attala partir un peu deçu car il aurai aimé discuter avec elle tout en cuisinant.

Il se mis a plumer la poule tel un grand cuisinier.

Des souvenirs lui vint en mémoire : il se rappela de sa jeunesse passée au monastère, ayant les moines comme éducateurs et parents. Il avait tout appris la cuisine, le jardinage, l'entretien des locaux, la calligraphie, la reliure et l’enluminure durant ses 16 ans passé chez eux, alors trois poularde a plumer ne lui faisaient pas peur.

Quand il eu fini la première, il n'appela pas Attala et trempa la seconde dans l’eau qui bouillait sur l’âtre et la pluma. Il fit de même avec la troisième.

Il les positionna parfaitement alignées sur la table apres les avoir vidées et reservé les abats dans une ecuelle, puis fit un tas des plumes en séparant les grandes des autres les jugeant trop dur pour des oreillés.

Il alla rejoindre Attala dans l’autre pièce, lui fit un grand sourire et dit :


Puis-je vous aider pour le reste ?
Laure3
[Dans sa chambre à l’étage]

Laure s’était réveillée de bonne heure ce matin là. Corre était déjà parti cependant. Ils avaient trouvés le sommeil très tard dans la nuit. Les deux amis avaient énormément parlé. Laure savait que Corre avait voulu la préparer au pire. Tout en douceur il lui avait expliqué qu’il existait une éventualité pour qu’Ayrton soit… Non, elle n’arrivait pas à prononcer ce mot et encore moins à l’imaginer. Il fallait qu’elle chasse cette idée de sa tête.

La jeune femme était seule dans la pièce, Julia était partie comme tous les matins au marché avec la nourrice. Elle ne voulait pas que la fillette en soit affectée même si à un moment ou à un autre il faudrait lui parlait. Elle arpentait la chambre de long en large, essayait de s’occuper par moment mais elle n’y arrivait pas.

Des pas résonnèrent dans le couloir, certainement un habitant de l’auberge. Des coups se firent entendre à la porte. Corre ??? Non, elle venait de passer un moment à la fenêtre et ne l’avait pas aperçu et il était encore trop tôt dans la journée pour qu’il rentre, sauf si… Elle ferma les yeux et prit une profonde inspiration avant d’aller ouvrir.

Face à elle, un jeune homme, encore un enfant qui lui tendait un parchemin tout froissé. La propriétaire de l’auberge, Attala était derrière lui. Certainement était elle monté avec lui pour être sur du motif de sa visite. Elle prit le parchemin entre ses mains et lança un petit sourire à Attala pour lui montrer que tout allait bien puis elle dit merci au jeune homme. Elle alla chercher une pièce qu’elle lui glissa dans la main avant qu’il ne fasse demi-tour et qu’il ne reparte comme il était venu sans un mot. Le regard des jeunes femmes se croisa aussi étonnées l’une que l’autre. Attala retourna à ses occupations et Laure rentra dans sa chambre.

Ses yeux se posèrent à nouveau sur le parchemin qu’elle ouvrit presque par obligations, ces pensées étant ailleurs. Elle resta pétrifiée devant le courrier ouvert. Cette écriture… Ayrton ??? Mais comment ??? Elle ravala ses larmes et parcourut la lettre…


Laure,
Quand tu auras ce courrier, je serai loin. J’avais monté une jolie mise en scène pour ma disparition mais contrairement à mon habitude, j’ai eu quelques remords.


Laure resta bouche bée devant ses mots. De quoi parlait-il ? Quelle disparition ? Elle ne comprenait plus rien… Elle poursuivit.

Tu m’as tant donné que je ne pouvais te laisser croire à ma mort. Donc, non, je ne suis pas mort ! Je suis juste un homme qui aime la vie comme j’aime dire et par-dessus tout qui aime profiter de la vie. Je vais te briser le cœur par ces mots mais je te les dois. Quelque part, je t’ai aimé mais pas assez pour rester à tes côtés ni aux côtés de celles qui t’ont précédées et celles qui te succèderont… Tu es la seule cependant qui a réussi à me donner des remords. Je te tire mon chapeau. Mais nos chemins se séparent tout de même ici. Adieu. Ayrton.

Son sang s’était glacé dans ses veines. Elle ne savait plus faire un mouvement, plus aucun son ne parvenait à sortir de ses lèvres. Il lui avait menti… une parmi tant d’autres… elle avait été abusée… Cette froideur dans ses écrits, comment cela pouvait il être possible ? Il en été presque amusé ! Elle ne pouvait y croire. Ses larmes roulaient sur ses joues, la pièce se mit à tourner autour d’elle, elle sentit ses jambes flageoler puis ce fut le trou noir… Elle s’écroula inconsciente sur le sol.
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Attala
Occupée dans l'arrière-salle, l'aubergiste tendait l'oreille au cas ou Langededouceur aurait eu du fil à retordre avec les poules... Mais étonnement, elle n'entendait ni juron, ni imprécation... Son "assistant" semblait sans tirer admirablement.
Alors qu'elle finissait ses préparations, des coups ébranlèrent la porte de l'auberge et un jeune homme entra. C'était un porteur de missives. Après les salutations d'usage, il déclara avoir un message à remettre à Donã Laure. Par précaution, Attala le mena jusqu'à la chambre en question avant de redescendre. Sa tâche accomplie, le messager repartit aussitôt.

Mesme pas le temps de lui proposer un gobelet d'hypocras...

A ce moment, Langededouceur qui était resté discret jusque là, s'avança vers l'aubergiste, le sourire aux lèvres.

Citation:
Puis-je vous aider pour le reste ?


Eberluée, Attala aperçut les poules plumées sur la table... Il avait accompli sa tâche sans aide et en un temps record!

Ma foi Messer Lange... vous estes un homme fort surprenant! Mais je voudrai point abuser... Si...

Soudainement, un bruit sourd retentit à l'étage. Etonnée, Attala leva la tête.

Qu'est-ce qu'y se passe là-haut?
Pardonnez-moi Messer Lange mais... je vas voir!


La jeune femme ouvrit la porte de la cour sans voir ce que faisait Langededouceur, monta rapidement l'escalier et toqua la porte de chacune des quatre chambres avant de les ouvrir... Rien... Rien...

Mon Dieu!! Donã!! Donã!! Sainte Maria... Réveillez-vous!

Avec inquiétude, Attala s'agenouilla près de la femme inconsciente, la secouant légèrement aux épaules... Pas de blessure apparente, mais la Dame ne bougeait plus.
Sans relever la tête, l'aubergiste cria du plus fort qu'elle pouvait:



Messer Lange!! A l'aide!! J'ai là une cliente sans connaissance!! Accourrez prestement!


Elle avait besoin de lui pour étendre la Dame sur le lit, assurément plus confortable que le plancher, et voir s'il était possible de la ranimer.

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Langededouceur
Citation:
Ma foi Messer Lange... vous estes un homme fort surprenant! Mais je voudrai point abuser... Si...


Lange sourit content de son effet de surprise

Citation:
Soudainement, un bruit sourd retentit à l'étage. Etonnée, Attala leva la tête.

Qu'est-ce qu'y se passe là-haut?
Pardonnez-moi Messer Lange mais... je vas voir!


Il suivi Attalla sans courrir,

Citation:
La jeune femme ouvrit la porte de la cour sans voir ce que faisait Langededouceur, monta rapidement l'escalier et toqua la porte de chacune des quatre chambres avant de les ouvrir... Rien... Rien...

Mon Dieu!! Donã!! Donã!! Sainte Maria... Réveillez-vous!


Lorsqu’il entendit Attala, il accéléra le pas,
Il arriva sur le pas de la porte a l’instant même ou


Citation:

Messer Lange!! A l'aide!! J'ai là une cliente sans connaissance!! Accourrez prestement!



Ils vit Attala a genoux devant le corps inerte de Laure

Oh Mon dieu !

Il s’approcha et s’accroupi pour mieux voir l’état de Laure. Il vit qu’elle respirait. Il la pris délicatement dans ses bras et alla la posé sur le lit, puis se retourna vers Attala :

Elle s’est évanouhie ! auriez vous des sels ou du vinaigre ?
Attala
En entendant Langededouceur, Attala fut surprise. Elle ne le savait pas si proche. Se reculant, elle le regarda prendre les choses en main.

Des sels? ... Du vinaigre?... Evanouie!?

Apparemment, c'était moins grave qu'il n'y paraîssait.

Du vinaigre? Pour sûr que j'en ai! De la piquette de Montpelhier... J'y cours!

En tournant les talons, elle marcha sur ce qui semblait être une missive...

Oh!... le courrier!

Sans réfléchir, elle se pencha, ramassa la missive froissée et la fourra dans son corsage avant de descendre l'escalier quatre à quatre, manquant trébucher sur une poule qui avait échappé au massacre...

Scrogneugneu... Fichu volatile! Déguerpis de là!

En entrant dans la salle commune, l'aubergiste jeta un coup d'oeil contrarié aux poules... mortes et plumées celles-là! Qui attendaient d'être vidées, farcies et cuites.

Si ça continue, y z'auront rien à se mettre dans la panse au souper! Mais ma parole... c'est qu'il les a vidées itou... C'est pas Dieu possible! Qu'est-ce qu'il me réserve encore comme surprise?

Puis de farfouiller dans ses réserves en commentant à haute voix.

Bon, ce vinaigre.. Ah! Le voilà! Un pichet... un gobelet? Non! Triple buse... y va pas lui donner à boire! Quoi que... ça serait radical. A sentir? Hum... un carré de tissu devrait faire l'affaire.

En revenant dans la chambre au pas de course, Attala tendit le pichet à Langededouceur qui était penché sur sa cliente, toujours inconsciente.

Tenez! Je présume que vous savez ce qu'il faut faire? Moi, j'aurai plutôt choisi le remède préféré de mes frères... une bonne paire de claques! Enfin, ce que j'en dis... Je me doute que c'est pas des façons de faire avec une Dame comme celle-ci...

Rougissante, la jeune femme finit par se taire. Encore une fois elle parlait trop et à tort.
Sentant le papier contre sa poitrine, elle sortit la lettre de son corsage, hésitant à la lire... Mais la curiosité l'emporta.

Une aubergiste bavarde et curieuse... étonnant non?

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Langededouceur
Lange était rester près de Laure en essayant de la faire revenir a elle en lui tapotant les mains, mais rien ni fit.
A l'arrivée d'Attala, il la regarda, prenant le pichet qu'elle lui tendait avec le carré de tissus,il posa sa main sur celle de la jeune femme, restant un court instant ainsi, puis il l'as retira en la caressant doucement, il eu un tendre sourire,


Il sourit a la reflexion d'Attala et lui dit:

Ce sera en dernier recours.[/ b]

Il mis du vinaigre sur le morceau de tissus et le presentat devant le nez de Laure, tenant de l'autre main sa la tête de la cliente pour la relevé doucement, en esperant que cela fera effet.

Du coin de l'oeil il vit Attala regarder un parchemin

[b]C'est a cause de cela qu'elle s'est evanouie?
Laure3
Laure sentit qu'on la souleva mais elle était incapable de revenir à elle. Des voix dans le loin lui parvenaient mais le choc avait été trop grand.

Lange lui mit un linge imbibé de vinaigre qui la fit lentement revenir à elle. Elle tournait la tête lentement pour oter cette odeur de dessous ses narines. Ses yeux s'ouvrirent doucement. Elle aperçut deux silhouettes à ces côtés, puis un moment après les reconnuent. C'était Lange et la propirétaire de l'auberge, Attala.

Elle les regarda tour à tour se demandant ce qui se passait. Puis elle vit le parchemin dans les mains de l'aubergiste. Tout lui revint en tête, le courrier d'Ayrton, sa trahison, sa douleur....

La tête lui tournait à nouveau mais Lange la maintenait. Aucun son n'était encore sortit de ses lèvres. Les larmes lui revenaient aux yeux puis roulèrent le long de ses joues. Elle regarda Lange et lui murmura :

- Je veux voir l'un de mes amis. Pensez vous qu'il soit possible de les faire prévenir ?

Elle ne se sentait pas la force de se lever. Mais il le fallait, Julia allait rentrer et il était hors de question que l'enfant voit sa mère ainsi.

Elle esquissa un sourire et leur dit :

- Je vous remercie de m'aider ainsi...

Puis avec l'aide Lange, elle se leva doucement.

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Mounira
Mounira venait d'arriver à Narbonne. Insctivement, ses pas la conduire devant son ancienne maison. Elle eut un pincement au coeur et serra fort sa fille Candice dans ses bras. C'état ici où elle aurait du grandir, avec son père... Mais la mort l'avait rappelé, laissant la jeune femme seule avec sa fille. Elle avait alors décider de retourner à Carcassonne pour refaire sa vie, mais aussi pour être plus proche de sa famille. Et puis elle était là, de nouveau, pour une semaine. Voyant que sa fille s'était endormie, elle décida de passer dans une auberge pour y passer les quelques jours de sa venue.

C'est ainsi qu'elle se retrouva devant la lourde porte de l'auberge de la Grenouille bleue, espérant qu'Attala lui ouvre vite; il faisait froid en cette saison. Elle frappa trois coups tout en souriant. Elle était à Narbonne, ville de son coeur, tout allait pour le mieux.


Toc, Toc, Toc !!

En attendant, elle pensa à Jaccu qui lui manquait énormément, et qu'une fois installée dans l'auberge, elle passerait la voir avec Candice... Sans se douter que la mort avait encore frappé...
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Heureuse mère de Candice,
Triste, sans savoir que penser......
Attala
Embarrassée de son indiscrétion et outrée de ce qu'elle venait de lire, Attala rendit la lettre à Laure.

Tenez Donã, et pardonnez-moi d'avoir lu ce.. ce tissu de vilenies qui explique le choc que vous avez dû ressentir et vostre évanouissement. Dire qu'il existe des hommes... des individus de ce genre... Ca fait froid dans le dos!
Dites-nous qui est cet ami que vous voulez avoir près de vous? S'il s'agit de Messer Correba...

Citation:
Toc, Toc, Toc !!

Attala s'interrompit. Il lui semblait avoir entendu des coups.

Allons bon, je crois qu'on vient de heurter la porter... encore un client! Je vous abandonne un instant mais je vous confie aux bons soins de Messer Lange.

Après un sourire contrit à Langededouceur pour se faire pardonner de l'étrange situation dans laquelle elle l'entraînait, l'aubergiste repartit pour le rez-de-chaussée.
Les poules étaient toujours sur la table à attendre qu'une main experte daigne les farcir!
Elle alla ouvrir.

Qu'est-ce...? Mounira! Mounira... Bonjorn! De retour à Narbonne? Ca me fait plaisir de te revoir! Sais-tu que j'ai entendu parler de toi et de tes exploits de ... souleuse? C'est bien comme ça qu'on dit?
Je cause, je cause.. mais il fait froid!Entre!
C'est gentil de venir me rendre visite. Je suis un peu débordée en ce moment... Comment vas-tu? Et qu'est-ce qui t'amène dans nostre bonne ville?

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Pffff.... bannière partie en fumée elle-aussi!
Laure3
Laure prit le courrier que l'aubergiste lui tendait. Elle le posa sur sa table de chevet. Quand celle lui lui dit :

- Tenez Donã, et pardonnez-moi d'avoir lu ce.. ce tissu de vilenies qui explique le choc que vous avez dû ressentir et vostre évanouissement. Dire qu'il existe des hommes... des individus de ce genre... Ca fait froid dans le dos!
Dites-nous qui est cet ami que vous voulez avoir près de vous? S'il s'agit de Messer Correba...


La jeune femme lui répondit :

- Ne vous en faites pas d'avoir lu ce... enfin nous nous comprenons ! Et pour mon ami, je sais que Corre est parti à la chasse à l'ours. Mais si ça ne vous ennuie pas, je préfèrerai ne pas rester seule... Je peux peut être vous être d'une aide pour votre repas...

Laure les regarda avec un air supliant. Elle avait décidé qu'elle ne verserait une larme de plus pour Ayrton. Il s'était joué de ces sentiments, malgré la douleur, elle ne se rendrait pas malade pour lui, il n'en valait pas la peine... Il fallait qu'elle tourne la page, qu'elle n'y pense plus, ça serait dur mais il le fallait... pour elle et surtout pour Julia. Il ne fallait pas qu'elle voit sa mère dans cet état. Pour le moment, il était préférable qu'elle ne reste pas seule, cela lui éviterait de trop penser...

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Mounira
Mounira sourit quand Attala vint lui ouvrir. Elle rentra à sa suite dans l'auberge avec Candice dans les bras. Narbonne... il ne manquait que son ange qui n'avait pas put venir à cause de l'ost... et de la soule aussi.

Citation:
Qu'est-ce...? Mounira! Mounira... Bonjorn! De retour à Narbonne? Ca me fait plaisir de te revoir! Sais-tu que j'ai entendu parler de toi et de tes exploits de ... souleuse? C'est bien comme ça qu'on dit?
Je cause, je cause.. mais il fait froid!Entre!
C'est gentil de venir me rendre visite. Je suis un peu débordée en ce moment... Comment vas-tu? Et qu'est-ce qui t'amène dans nostre bonne ville?


Bonjorn Attala !! Ca commençait à faire un petit peu que je 'étais venue à Narbonne... et ça me manquait ! Et puis maintenant avec la soule... j'ai du mal à échapper aux entrainements ! Sinon...

En passant en taverne, la jeune femme avait apprit que sa meilleure amie n'était plus de ce monde, et qu'elle n'était pas venue à temps pour la voir une dernière fois... Elle ne put empécher une larme de couler le long de sa joue.

Ca va pas très fort, non... Jaccu... Jaccu...

Mounira étouffa un cri et pleura de plus belle. Tous ces bons moments passés avec elle faisaient partis du passé désormais... Plus de tisanes, pourtant infectes... il n'y avait qu'avec elle qu'elle en buvait...
Séchant ses larmes, elle esquissa un sourire et montra Candice.


Et voici la petite, elle a un peu grandit depuis la dernière fois, c'est pour ça que je suis venue peut-être plus tôt que prévu... mais pas assez tôt visiblement...

Une autre larme coula sur sa joue et elle dû s'assoir sur une chaise pour ne pas s'écrouler par terre devant tout le monde...
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Heureuse mère de Candice,
Triste, sans savoir que penser......
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