Miya
« La justification, c'est le début du mensonge. »
Il fut/fait un temps où les filles navaient dautre vocation que le mariage, dautres rêves quun prince, une looongue robe garnie de broderies qui balaie dignement le sol, soulevant la poussière, crottin de cheval, déjection dinvités trop bourrés ou autres saletés dont la multiplicité des couleurs nenfante quun noir sordide et répugnant.
Une tête perdue dans des coiffures hideuses à rajout se tordant en spirales qui tripotent leur cul ondoyant au rythme des chants exécrablement pénibles.
Il fut/fait un temps où, par hypocrite délicatesse des procédés, on organisait des fêtes pour célébrer lunion avec ou sans amour, quest-ce quon sen fout Il fut/fait un temps où les filles naspiraient quà pourrir en bonne poule ridée, suivant lprocess à 4 étapes PouleHeureuse0.1 qui depuis na pas dautres versions, alors ça commence justement par le mariage : 1) Patauger pompeusement dans la gadoue ! Pour rentrer ensuite dans une boucle interminable de 2) Poule Farcie 3) Poule pondeuse ou lseul Exit se trouve dans la 4) Poule crevée.
Alors imaginez un peu langoisse ! Parce que malgré ses répugnances, cette fois, la luciole était obligée dassister à ce mariage ! Il se trouve que cest justement le SIEN ! Il se trouve quelle a une robe brodée, des bas de soie et des souliers tous brillants.
Il se trouve quelle a passé la veille à envoyer les invitations, oui faut pas sattendre à en recevoir une semaine à lavance, abusez pas.
Alors pour la traîner hors de sa douce oisiveté fallait de lingéniosité, de la volonté et du savoir-faire, fallait Tynop. Et puisque ce charmant duo platine se faisait pas scrupule des irrégularités, quil jubilait carrément de les cracher dans la tronche du Monde ils se marient à leur façon, sbourrent la gueule à leur façon et sréveille à leur façon !
12 Heures Plus tard dans lplumard nuptial : « Le sort d'un ménage dépend de la première nuit. »
de Honoré de Balzac
Et cette première nuit, « première », mon il dailleurs, sachève enfin par les suaves palpitations du jour. Pelotonnée sous une cape, la luciole savourait la douceur de latmosphère, le parfum dune épaule sous son nez, la délicate chaleur dun pied entre les siens, le tout agissait à la façon dun baume apaisant.
L'horizon qui présente les lueurs brillantes et rosées de laurore, la douce excitation de la peau sous les tendres caresses du soleil, du tout beau ou tout germe fleurit et parfume, en passant par la tendre rosée chatoyante jusquaux doux bruissements tissés par les papillons et aut conneries dun matin féérique et SURTOUT cette nausée qui lui serre tout à coup les entrailles, ce mal de crâne et cette gorge qui pique déshydratée et qui lui rappellent en chur jubilant et mauvais la pinte quelle sest tapée la veille !
Oh nature et ta somptuosité je nai envie que dune chose. Dégueuler!
Aussi fraîche quune pomme pourrie, jeunesse, ardeur et élan réunis, la luciole est éjectée pour filer maladroitement, sur une ligne serpentine, séloigner comme elle peut, et donc pas loin, du plumard nuptial. Et cest donc la main appuyée sur un tronc darbre, splendidement agrémentée dune alliance au doigt, une robe blanche mise à lenvers et aussi sale quun vieux torchon de cuisine et une crinière subissant une violente explosion capillaire que la blonde a gerbé la tambouille dau moins une semaine auparavant. Le front livide et la mine terreuse elle sessuie la bouche avec le chiffon immonde que fut sa robe de mariée et traîne ses pas indolents pour vérifier le pouls de son mari. On ne sait jamais mais on nest pas pressé.
Arrivée, les yeux se plissent, les traits smélangent, les paupières papillotent et lcerveau analyse mal, très mal ! SON lit ! DEUX corps ! Une ROUSSE Un blond SON blond PAS SA Rousse
Ptain !! TYNOP ! Tes aussi romantique que lentrejambe dune catin en fin de carrière, je viens juste de partir Hurenkind* !
Et cest parti
Ce soir : Mariage, engagement et autres folies
Le rite de préparation de la mariée était des plus gracieux. Entourée par ses merveilleuses demoiselles dhonneur, le bain a été pris, le dos comme la moindre parcelle de son joli corps doucement frottés, la crinière brossée et les rires sonores des pucelles emplissaient tendrement lespace. Stop ! Elles sont quatre ! Arsene Corleone, Alida, le borgne et Grayne, je recommence !
Le rite de préparation de la mariée était des plus hilarants ! Entourée par ses terribles demoiselles dhonneur, le bain a été pris à coups dbière renversée en heurtant violemment les chopes lune contre lautre! La crinière a été brossée à coup de doigts vengeurs de cest MON verre espèce de voleuse ! Et les rires épais des brutes emplissaient grassement lespace. Voilà qui est plus crédible.
Alors la débauche a commencé au petit matin exterminant les germes de panique qui fleurissaient dans son coeur. Une mariée qui ne stresse pas est une mariée aux intentions bien ourdies, chose qui dépasse la blonde alors la boisson était bien nécessaire. Le moment venu, la luciole, pompette, saoule, complétement bourrée shabille dans la foulée, les bas, les gants, les souliers luisants, la robe, le voile LA TOTALE ! Défait sa lourde crinière dorée et creuse ses fossettes. Belle, fraîche, les joues fleuries les iris brillent de mille étoiles face au géant feu dcamps.
Conclu et scellé ce soir t'es à moi!
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Il fut/fait un temps où les filles navaient dautre vocation que le mariage, dautres rêves quun prince, une looongue robe garnie de broderies qui balaie dignement le sol, soulevant la poussière, crottin de cheval, déjection dinvités trop bourrés ou autres saletés dont la multiplicité des couleurs nenfante quun noir sordide et répugnant.
Une tête perdue dans des coiffures hideuses à rajout se tordant en spirales qui tripotent leur cul ondoyant au rythme des chants exécrablement pénibles.
Il fut/fait un temps où, par hypocrite délicatesse des procédés, on organisait des fêtes pour célébrer lunion avec ou sans amour, quest-ce quon sen fout Il fut/fait un temps où les filles naspiraient quà pourrir en bonne poule ridée, suivant lprocess à 4 étapes PouleHeureuse0.1 qui depuis na pas dautres versions, alors ça commence justement par le mariage : 1) Patauger pompeusement dans la gadoue ! Pour rentrer ensuite dans une boucle interminable de 2) Poule Farcie 3) Poule pondeuse ou lseul Exit se trouve dans la 4) Poule crevée.
Alors imaginez un peu langoisse ! Parce que malgré ses répugnances, cette fois, la luciole était obligée dassister à ce mariage ! Il se trouve que cest justement le SIEN ! Il se trouve quelle a une robe brodée, des bas de soie et des souliers tous brillants.
Il se trouve quelle a passé la veille à envoyer les invitations, oui faut pas sattendre à en recevoir une semaine à lavance, abusez pas.
Alors pour la traîner hors de sa douce oisiveté fallait de lingéniosité, de la volonté et du savoir-faire, fallait Tynop. Et puisque ce charmant duo platine se faisait pas scrupule des irrégularités, quil jubilait carrément de les cracher dans la tronche du Monde ils se marient à leur façon, sbourrent la gueule à leur façon et sréveille à leur façon !
12 Heures Plus tard dans lplumard nuptial : « Le sort d'un ménage dépend de la première nuit. »
de Honoré de Balzac
Et cette première nuit, « première », mon il dailleurs, sachève enfin par les suaves palpitations du jour. Pelotonnée sous une cape, la luciole savourait la douceur de latmosphère, le parfum dune épaule sous son nez, la délicate chaleur dun pied entre les siens, le tout agissait à la façon dun baume apaisant.
L'horizon qui présente les lueurs brillantes et rosées de laurore, la douce excitation de la peau sous les tendres caresses du soleil, du tout beau ou tout germe fleurit et parfume, en passant par la tendre rosée chatoyante jusquaux doux bruissements tissés par les papillons et aut conneries dun matin féérique et SURTOUT cette nausée qui lui serre tout à coup les entrailles, ce mal de crâne et cette gorge qui pique déshydratée et qui lui rappellent en chur jubilant et mauvais la pinte quelle sest tapée la veille !
Oh nature et ta somptuosité je nai envie que dune chose. Dégueuler!
Aussi fraîche quune pomme pourrie, jeunesse, ardeur et élan réunis, la luciole est éjectée pour filer maladroitement, sur une ligne serpentine, séloigner comme elle peut, et donc pas loin, du plumard nuptial. Et cest donc la main appuyée sur un tronc darbre, splendidement agrémentée dune alliance au doigt, une robe blanche mise à lenvers et aussi sale quun vieux torchon de cuisine et une crinière subissant une violente explosion capillaire que la blonde a gerbé la tambouille dau moins une semaine auparavant. Le front livide et la mine terreuse elle sessuie la bouche avec le chiffon immonde que fut sa robe de mariée et traîne ses pas indolents pour vérifier le pouls de son mari. On ne sait jamais mais on nest pas pressé.
Arrivée, les yeux se plissent, les traits smélangent, les paupières papillotent et lcerveau analyse mal, très mal ! SON lit ! DEUX corps ! Une ROUSSE Un blond SON blond PAS SA Rousse
Ptain !! TYNOP ! Tes aussi romantique que lentrejambe dune catin en fin de carrière, je viens juste de partir Hurenkind* !
Et cest parti
Ce soir : Mariage, engagement et autres folies
Le rite de préparation de la mariée était des plus gracieux. Entourée par ses merveilleuses demoiselles dhonneur, le bain a été pris, le dos comme la moindre parcelle de son joli corps doucement frottés, la crinière brossée et les rires sonores des pucelles emplissaient tendrement lespace. Stop ! Elles sont quatre ! Arsene Corleone, Alida, le borgne et Grayne, je recommence !
Le rite de préparation de la mariée était des plus hilarants ! Entourée par ses terribles demoiselles dhonneur, le bain a été pris à coups dbière renversée en heurtant violemment les chopes lune contre lautre! La crinière a été brossée à coup de doigts vengeurs de cest MON verre espèce de voleuse ! Et les rires épais des brutes emplissaient grassement lespace. Voilà qui est plus crédible.
Alors la débauche a commencé au petit matin exterminant les germes de panique qui fleurissaient dans son coeur. Une mariée qui ne stresse pas est une mariée aux intentions bien ourdies, chose qui dépasse la blonde alors la boisson était bien nécessaire. Le moment venu, la luciole, pompette, saoule, complétement bourrée shabille dans la foulée, les bas, les gants, les souliers luisants, la robe, le voile LA TOTALE ! Défait sa lourde crinière dorée et creuse ses fossettes. Belle, fraîche, les joues fleuries les iris brillent de mille étoiles face au géant feu dcamps.
Conclu et scellé ce soir t'es à moi!
Hurenkind : Allemand --> Bâtard.
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