Marc
Non, ça n'est pas de la violence conjugale. Déjà, pour que c'en soit, il aurait fallu qu'ils soient mariés la brune et lui. Quelle idée ils avaient eu de faire croire en leurs épousailles à une bonne petite partie de la famille Corleone. Encore elle quand son père apprendra le mensonge, elle s'en tirerai avec une engueulade; mais lui il devra passer par la case marravage de tronche en règle et raccourcissement sub-ceintural avec un couteau rouillé en prime. Le détail du couteau rouillé est important oui.
Toujours est-il qu'aujourd'hui elle allait enfin lui offrir sa main. Directement dans la tronche et avec un cri rageur certes, mais elle lui offrait gratuitement quand même. La générosité d'Agnesina ne connaissait aucune limite quand il s'agissait de distribuer les gnons apparemment. Et ça lui plaisait bien pour être honnête. Depuis son foutu anoblissement, il n'avait pas pu tabasser quelqu'un en combat singulier pour se défouler. Parce que les duels lui, il adorait ça ! Il en perdait la plupart , voire la totalité, mais il adorait ça. La vantardise mal-placée avant le combat, l'excitation mêlée à un peu de trouille pendant, et l'odeur de la sueur et du sang après.... Ça lui avait affreusement manqué en fait. Et Arsène avait dit qu'elle ouvrirait des paris. Que demander de plus ! Il foutrait une humiliation monumentale à la Corleone et ça pour de l'argent en plus ! Comme le monde est bien fait aux Miracles.
Et cerise sur le gâteau, après s'être tapé la sur, il pourra se farcir le frère. Gabriele et lui étant loin d'entretenir des relations cordiales, ça lui ferait d'autant plus plaisir de lui casser la tronche par la suite, dans un autre combat. D'y penser, il s'en frottait les mains.
Le terrain n'était pas réellement préparé. Il avait décidé que ça se ferait là, dans ce coin de la Cour, au croisement de deux rues qui se concurrençaient par leur saleté et pestilence propres,totalement arbitrairement. De toute manière, il ne conaissait pour ainsi dire pas la Cour et ne pouvait donc pas connaitre le meilleur endroit pour se foutre sur la trogne. Ceci dit ici il y avait un peu d'espace, pas trop, juste assez pour s'arracher mutuellement des bouts d'oreilles et casser des nez, des tibias, des bras, des cou*lles... Le tout dans une ambiance joyeuse et bon enfant. Kof kof. Ça lui semblait donc être un bon coin. De plus, les badauds passant par là serait potentiellement parieurs et assisterait à la déchéance d'Agnésina Tempérance Corleone. Encore un bon point sur le choix du lieu.
Il ne pleuvait pas, il ne glisserait donc pas dans la boue comme la dernière fois. Le temps était gris, il était gris tout autant à l'idée de fermer sa grande bouche à sa "promise".
Et c'est ainsi qu'avec un sourire qui ne le lâchait plus, il pu appeler sa douce et tendre à le rejoindre :
Allez Agnesina, viens prendre ta branlée qu'on rigole ! Et dépêche toi, j'ai pas que ça à foutre !
Et ajoutant une précision pour contrer le caractère fourbe qu'il suspectait chez la demoiselle:
J'te rappelle que c'est à mains nues. Donc pas de lames qui sortent de nul part pour voir si le vermeil me sied bien au teint. Il ajouta dans un bref mouvement de tête vers Arsène la Psychopate qui trainait non loin pour voir le massacre : Et je repète aussi que l'équipe du vainqueur n'a pas le droit de prélever un trophée sur le perdant hein ?
Il se plaça mieux sur ses pieds et releva sensiblement sa garde. Ça sentait la dérouillée. Mais qui jouerait la victime dans le spectacle ?
Quand tu veux. Les femmes d'abord.
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Toujours est-il qu'aujourd'hui elle allait enfin lui offrir sa main. Directement dans la tronche et avec un cri rageur certes, mais elle lui offrait gratuitement quand même. La générosité d'Agnesina ne connaissait aucune limite quand il s'agissait de distribuer les gnons apparemment. Et ça lui plaisait bien pour être honnête. Depuis son foutu anoblissement, il n'avait pas pu tabasser quelqu'un en combat singulier pour se défouler. Parce que les duels lui, il adorait ça ! Il en perdait la plupart , voire la totalité, mais il adorait ça. La vantardise mal-placée avant le combat, l'excitation mêlée à un peu de trouille pendant, et l'odeur de la sueur et du sang après.... Ça lui avait affreusement manqué en fait. Et Arsène avait dit qu'elle ouvrirait des paris. Que demander de plus ! Il foutrait une humiliation monumentale à la Corleone et ça pour de l'argent en plus ! Comme le monde est bien fait aux Miracles.
Et cerise sur le gâteau, après s'être tapé la sur, il pourra se farcir le frère. Gabriele et lui étant loin d'entretenir des relations cordiales, ça lui ferait d'autant plus plaisir de lui casser la tronche par la suite, dans un autre combat. D'y penser, il s'en frottait les mains.
Le terrain n'était pas réellement préparé. Il avait décidé que ça se ferait là, dans ce coin de la Cour, au croisement de deux rues qui se concurrençaient par leur saleté et pestilence propres,totalement arbitrairement. De toute manière, il ne conaissait pour ainsi dire pas la Cour et ne pouvait donc pas connaitre le meilleur endroit pour se foutre sur la trogne. Ceci dit ici il y avait un peu d'espace, pas trop, juste assez pour s'arracher mutuellement des bouts d'oreilles et casser des nez, des tibias, des bras, des cou*lles... Le tout dans une ambiance joyeuse et bon enfant. Kof kof. Ça lui semblait donc être un bon coin. De plus, les badauds passant par là serait potentiellement parieurs et assisterait à la déchéance d'Agnésina Tempérance Corleone. Encore un bon point sur le choix du lieu.
Il ne pleuvait pas, il ne glisserait donc pas dans la boue comme la dernière fois. Le temps était gris, il était gris tout autant à l'idée de fermer sa grande bouche à sa "promise".
Et c'est ainsi qu'avec un sourire qui ne le lâchait plus, il pu appeler sa douce et tendre à le rejoindre :
Allez Agnesina, viens prendre ta branlée qu'on rigole ! Et dépêche toi, j'ai pas que ça à foutre !
Et ajoutant une précision pour contrer le caractère fourbe qu'il suspectait chez la demoiselle:
J'te rappelle que c'est à mains nues. Donc pas de lames qui sortent de nul part pour voir si le vermeil me sied bien au teint. Il ajouta dans un bref mouvement de tête vers Arsène la Psychopate qui trainait non loin pour voir le massacre : Et je repète aussi que l'équipe du vainqueur n'a pas le droit de prélever un trophée sur le perdant hein ?
Il se plaça mieux sur ses pieds et releva sensiblement sa garde. Ça sentait la dérouillée. Mais qui jouerait la victime dans le spectacle ?
Quand tu veux. Les femmes d'abord.
Ceci n'est pas une melée générale. Mais n'hésitez pas à intervenir si vous souhaitez assister au combat dantesque (bruhuhum) avec votre pantin, ou juste parier sur l'issu de l'affrontement.
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