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[RP] Le Cidre & La Rose - Auberge de Joshin et Arfast

Atolchamb


le regard embuer du jeune homme amena donc une reponse tout du moins aussi embrumer que l'allure.il regarda a nouveau sa douce qui ne savait plus ou se mettre a un point d'en perdre la parole.

mais!mais !mon oncle!!je suis pas devin moi!!qu'en sais je !!
ah oui meli!!c'est pour quand au fait?
Joshin


Un rapide coup d'oeil à son mari, comment allait-il prendre la nouvelle? Elle n'était pas franchement surprise, à dire vrai. Une impression indéfinissable, qui ne datait bien sur pas de maintenant...Un certain rayonnement qui émanait de Melisende, une certaine rondeur dans les gestes, un peu d'alanguissement... rien qui puisse vraiment se décrire, mais tout un ensemble de choses qui faisaient qu'à la fin on se disait: mais c'est bien sûr...Mais tout ça signifiait que...évidemment... C'est pour celà qu'elle regardait son mari, mais apparemment, il faisait comme si tout était normal et naturel. Elle comprit , connaissant sa délicatesse, qu'il ne voulait pas les embarrasser, et elle écouta avec intérêt la réponse de son neveu.
Mais bien sûr, c'est vers Meli qu'il se tourna, pour qu'elle prenne le relais:

ah oui meli!!c'est pour quand au fait?

Elle sourit et alla embrasser la jeune femme. Hier encore presqu'une enfant, comme son mari d'ailleurs...

- Nous sommes ravis. Et François et Anne vont être très fiers de leur cousin ou cousine...

_________________
Melina_de_valverde


Son "meuh non !"la fait sourire. elle l'adore ! Et même le fait de lui dire qu'il surveillait la réparation du fût ne peut que la faire rire...
Il est si ...

bin oui ... Comment vous décrire un homme que vous adorez plus que tout... c'est impossible ... je l'aime, il m'aime.. nous nous aimons !

Elle est perdue dans ses pensées quand d'un seul coup

Citation:
tata joshiiiiiinnnnne,j'ai un cruc treeeessss important a te dirrrrreeuhh


Joshin a tout juste le temps de lui demander de s'exprimer distinctement que comme par enchantement apparaît leur CR,


Hey c'est ton oncle maintenant ! oh oui pardon .. donc ... leur oncle.


Tout fait qu'elle se met soudainement à rougir.
Le truc important, ...elle le connaît et pour cause, mais ce n'est pas le " truc " qui se dit simplement... et de surcroît l'arrivée impromptue d'Arfast finit de la déstabiliser.


Citation:
Content de vous voir ici très chers ! Que nous vaut donc le plaisir de votre visite ?


Son mari ne lui laisse pas le temps de répondre. Un regard rapide, un baise main et voilà tout simplement, très directement qu'il leur annonce qu'ils attendent un heureux évènement.


Elle ne sait comment réagir, rouge comme une pivoine.
Et alors Arfast, élégamment, leur demande

Citation:
Et c'est pour quand ?

repris de choeur par Atol.

Elle ne peut s'empêcher un léger sourire, regarde tour à tour son mari, leur oncle et tante et leur répond

et bien si tout se passe bien, l'enfant devrait naître...
Coup d'oeil vers Atol... fin février, dans la dernière semaine ...

Et tout en disant cela, elle serre davantage la main de son mari, heureuse et fière de faire partie de leur famille, embrassant Joshin qui vient les féliciter.























Elena.


Le jeune neveu des maîtres et sa jolie jeune femme n'étaient pas restés très longtemps, en définitive. Ils étaient rentrés chez eux avant Noël, et, comme il était normal, il n'y avait eu personne dans l'auberge pour les fêtes. On disait chez elle: Per Nadal, cada ovella al seu corral *
Et c'est ainsi que celà s'était passé dans ce qui était désormais son seul foyer.

Puis la dame était revenue de son moulin un matin, tout affairée:


- Elena, laissez tout, je m'occuperai des enfants. Allez vite à l'auberge, et faites un grand feu dans la salle. Ensuite, préparez les deux plus belles chambres. Je passerai au marché, et viendrai vous rejoindre. Il faut que tout soit parfait.

Elena prit sa cape, sans poser de questions, comme toujours. La curiosité la tenaillait quand même, elle avait rarement vu la dame aussi pressée et exigeante. Que tout soit parfait, que tout soit parfait... elle ferait de son mieux, bien sûr, mais la grande bâtisse devait être bien froide. Et puis, que lui ramènerait-elle du marché, pour assurer un repas convenable? Elle se demanda qui étaient ces gens, et fit une grimace. De toutes façons, celà ne la regardait pas. Elle ferait ce qu'elle avait à faire, voilà tout. Elle allait sortir, lorsque la dame la rappela:

- Tenez, prenez quelques bougies supplémentaires, et laissez-les en réserve dans les chambres. Elles ne seront pas de trop. La dame aime coudre, et le messire écrit beaucoup. Du moins, c'était ainsi autrefois... j'espère que rien n'a changé. Vous savez, ce sont deux grands amis, le messire connait le maître depuis toujours, et la dame a eu bien des malheurs. Alors, je voudrais que leur séjour ici leur soit agréable, et qu'ils aient envie de revenir. Je sais que je peux compter sur vous.

Voilà, l'explication était donnée. Et en même temps, le petit compliment qui va bien, qui ne veut pas dire grand'chose, mais qui fait toujours plaisir. Bien sur que la dame pouvait compter sur elle. Et puis si la visiteuse avait eu des malheurs, et bien on essaierait de lui préparer quelques douceurs. Les chagrins résistaient bien mal à la gourmandise, elle l'avait toujours pensé. Elle se hâta, en espérant avoir le temps de terminer avant leur arrivée
.


*(hrp: Pour Noël, chaque brebis dans son étable)
Arfast


Arfast aussi s'affairait. Il était rentré à la maison au moment où Joshin en sortait, elle lui avait tout annoncé. Heureux de revoir ce vieil ami et la Baronne de Beaune-en-Gâtinais, il décida d'arranger le tout à leur convenance. Il fit préparer la petite salle commune de l'auberge où il posa deux ou trois instruments musicaux, puis courut vérifier que tout était en ordre. Voyant qu'il avait un peu de temps avant l'arrivée de leurs amis, il alla jeter à Estel sa nourriture quotidienne, qui lui donnait quelque rondeur même et nourri aussi Vifargent.

Puis il rentra. Vérifia qu'il y avait des légumes en abondance dans la cave et demanda à Elena si elle avait besoin d'aide pour terminer ses tâches.

Celle-ci répondit qu'elle avait terminée.

Il prit donc un instant et s'assit près du comptoir, attendant le retour de son aimée.
Mumbly
Mumbly se présenta à la taverne ,accompagné de sa douce Juliette.Il s'avança vers le comptoir et attendit quelques instant.
Ne voyant venir personne ,il héla.
Holà aubergiste,je voudrais une chambre pour ma compagne et moi.
Joshin


En revenant du marché, elle s'était arrêtée au bureau d'accueil, attirée par une voix qu'elle avait aussitôt reconnue. Puis elle rentra rapidement à l'auberge, il y aurait beaucoup à faire.
Son mari l'attendait, souriant et empressé. Elle savait le bonheur qu'il avait à recevoir Elisel et Elmer, et en secret, se réjouissait de lui apporter une autre bonne nouvelle. Après avoir laissé ses achats à la cuisine, elle vint s'asseoir auprès d'Arfast:


- Mon coeur, un bonheur n'arrive jamais seul, dit-on. Dans ce cas particulier, nous pourrions dire qu'une visite n'arrive pas seule. Bien qu'à vrai dire, ce soit plus qu'une visite.

Elle faisait durer un peu le mystère, souriant avec malice. Mais elle ne résista pas au regard interrogateur de son mari:

- Je viens de croiser notre ami Mumbly, il revient s'installer à Patay avec sa compagne, nommée Juliette.

Son mari éclata de rire:

- Ce sont de belles nouvelles, en effet. J'en suis bien heureux, et nul doute que Octo sera content, et les taverniers aussi..

Elle rit aussi, celà leur rappelait de si bons souvenirs.. Elle se leva:

- Ils resteront chez nous quelques jours, Je vais leur préparer une belle chambre.

Elle venait à peine de finir de parler, qu'elle entendit une voix puissante:

Holà aubergiste,je voudrais une chambre pour ma compagne et moi.

Elle s'avança avec son mari, et sourit à Mumbly:

- Les aubergistes sont heureux de vous accueillir, et une belle chambre sera prête dans un instant pour vous. Comme nous sommes heureux de ton retour, Mum, et en si charmante compagnie!

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Elmer
Les tours et détours de sa baronne d'amie dans toute la ville se terminaient.
Maintenant qu'elle avait dépensé son pécule de voyage dans des emplettes dignes d'une noble, Elmer se défila de sa douce présence pour aller voir
- enfin - ses amis devenus aubergistes.

Il entra dans la tav ... l'auberge, et chercha du regard les uniformes.

Elmer aperçut ses amis, plus ancrés au fond du lieu de débauche Gienlesque, et s'approcha d'eux:

" Ciao vous deux, alors vous voila aubergistes maintenant ?? Je ne peux pas rester longtemps nous devons repartir ce soir pour Orléans, il faut travailler à la mine de sel .. de pierre parait-il. Et je dois repasser à Montargis je manque d'argent. Nous repasserons vous voir dans une quinzaine je pense, avec Eli. "

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Joshin


Elmer était venu, comme une tornade. Le temps avait filé, pendant qu'ils bavardaient et commentaient sans fin le présent et le passé. Joshin et Arfast étaient un peu déçus de les voir repartir aussi vite, mais promis, juré, ils revenaient dans une quinzaine de jours.

- Elmer, pas de faux-fuyants, rendez-vous ici même dans deux semaines, avec Elisel, sans faute. Je voudrais bien avoir un peu le plaisir de bavarder avec vous deux, et Arfast meurt d'envie de faire de la musique avec toi. Alors, nous comptons sur vous.

Ils raccompagnèrent leur ami, et rentrèrent dans l'auberge. D'autres amis étaient là, Mumbly était arrivé avec Juliette, et celà leur apportait beaucoup de plaisir aussi. La jeune femme semblait charmante, et Mumbly rayonnait. N ul doute qu'ils passeraient de bons moments ensemble, tous les quatre.

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Joshin


Elmer n'était pas revenu, et Elisel non plus. L'auberge était bien triste et vide, depuis quelque temps.
Joshin avait pensé pouvoir recevoir dignement leur neveu Atol et sa femme, lorsqu'ils étaient venus à Patay pour le baptême de Nabot. François et Anne, prévenus de leur prochaine arrivée dans le village, se faisaient une joie de les voir. Mais ils n'étaient pas venus, ils ne leur avaient pas fait signe, et elle les avait simplement aperçus à l'église, lors de la cérémonie. Puis, plus de nouvelles. Les enfants avaient été déçus, et elle ne comprenait pas non plus très bien. Sans doute avaient-ils eu trop d'occupations, et sans doute aussi avaient-ils maintenant d'autres amitiés qui leur importaient davantage.
Elle ne comprenait pas très bien, mais il y avait tant de choses qu'elle ne comprenait plus dans son village! Elle l'avait pourtant aimé, ce village qui l'avait accueillie et qui était celui de son mari, mais elle ne le reconnaissait plus. Ce matin, passant au marché de bonne heure pour faire la surprise d'un bon repas pour son gourmand de mari, elle avait constaté, une fois de plus, qu'il n'y avait pas une seule miche de pain à la vente. Les boulangers étaient-ils donc partis? Que faisaient ils de la farine qu'ils lui achetaient pourtant régulièrement?
Puis, devant la mairie, elle avait lu la grande déclaration affichée par le nouveau maire. Là encore, bien des choses lui semblaient pour le moins obscures, et elle supposait qu'on expliquerait les dangers qui menaçaient Patay. Par ailleurs, les calculs pour définir le prix du blé, et par là-même de la farine, toutes choses qui la concernaient de près, ne l'avaient pas convaincue.
Il est vrai qu'elle était fatiguée. Il est vrai que parfois la fièvre la consumait, ce qui l'inquiétait beaucoup, sans qu'elle en parle. Peut-être ses capacités de compréhension en étaient amoindries. Elle demanderait à son mari de lui expliquer.
Elle n'en parlerait à personne d'autre, à quoi bon? La veille, elle avait fait l'effort d'aller jusqu'à la taverne, ne voulant pas se couper de tout le monde du fait de sa fatigue. Bien mal lui en avait pris, et elle le regrettait amèrement. Elle avait pensé, sur l'instant, que les trois personnes présentes étaient, comme elle, quelque peu fatiguées et un peu endormies, de ce fait. Mais ce n'était pas celà, bien sûr que non, puisque les conversations allaient bon train lorsqu'elle était arrivée: simplement, sa conversation ne les intéressait pas, et elle avait eu l'impression, fugitive mais combien douloureuse, qu'elle les gênait. Elle était partie le coeur gros, et, rentrée à la maison, avait commencé à se poser des questions, questions pour l'instant sans réponse.
Elle regarda leur belle auberge, se souvint de tous leurs projets, de tous leurs rêves, de tous les bons moments qu'ils y avaient vécus. Elle était chère à son coeur, et elle chère aussi à son mari, elle le savait. Puisque le temps semblait un peu plus clément, elle ouvrirait largement les fenêtres pour faire entrer le soleil. Un jour ou l'autre, des visiteurs reviendraient peut-être...Et peut-être aussi qu'un jour où l'autre, elle se plairait de nouveau dans son village.

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Dams.


Dams, en ce jour, allait effectuer sa dernière garde en tant que meneur des maréchaux de la ville...
Lundi, à nouveau, il aurait du temps, il en etait heureux, sourire aux lèvres, il se destinait à occuper son temps de manière plus romantique mais aussi à élever ses moutons, tisser et pourquoi pas voyager...

Cela faisait un momment déjà qu'il n'avait pas vu son amie Joshin et qu'il n'était pas retourné à l'auberge où ils furent lui et sa fille hebergés de bon coeur, lors d'une periode difficile...

Il y a quelques jours, il eut vent que Josh etait un peu malade, grippée...

En ce debut d'après midi, il se rendit donc à l'auberge.
Ne voulant pas deranger, il deposa un petit paquet devant la porte avec une missive...

Il était ecrit:

Joshin mon amie,

J'espère que tu te portes bien et je caresse l'espoir de bientot te revoir afin de papoter comme nous aimons le faire et certainement nous chamailler !
J'ai cru savoir que tu etais souffrante, alors il m'est venu l'idée de te confectionner cette echarpe faite de laine de mouton, bien chaude que tu trouvers dans le paquet.
Par ces temps changeant d'hiver, elle ne pourra t'apporter que des bienfaits.
Salue Arfast pour moi et embrasse tes enfants, sans oublier Elena.

Dams.


Le jeune se dirigea vers les remparts, le coeur enjoué en pensant à demain, lundi 14 jour de la Saint Valentin où il retrouvera et se consacrera à sa douce Lucky.

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Joshin


En fin d'après-midi, elle revint à l'auberge pour tout fermer. Il n'y avait ni voleurs ni brigands, à Patay, et les portes et fenêtres pouvaient rester ouvertes sans crainte.
Devant la porte, justement, un paquet et sur le dessus une missive. Elle les retourna dans tous les sens, entra et s'assit à la table pour lire le courrier.
Son ami Dams...Il en avait passé du temps, dans cette auberge, avec sa fille Faustine, veillé par Elena qui adorait la petite. Elle ouvrit le paquet, lissa du plat de la main la belle écharpe et pensa que son mari, en bon tisserand, saurait aussi l'apprécier.
Ses yeux s'emplirent de larmes, touchée et émue. Allons, la journée qui avait si mal commencé se terminait bien, sur une note d'amitié et d'espoir, et c'est ce qui importait après tout.
Elle referma tout, prit le paquet et la missive, et rentra chez elle. Dès demain, elle enverrait un pigeon à son ami pour le remercier.
Demain serait une journée importante pour tous les amoureux, et elle avait ouï dire qu'il en serait ainsi pour son ami. Tant mieux: Arfast et elle espéraient que Lucky et lui trouveraient ensemble le bonheur et la stabilité.

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Joshin


Quelques jours après, Joshin revint rapidement jusqu'à l'auberge en fin de journée. Tout était prêt pour leur départ, et le soir même, ils quitteraient Patay avec l'armée.
Elle entra, et jeta un coup d'oeil dans la grande salle. Bien sûr, tout était en ordre, comme aussi dans les chambres à l'étage: mais n'importe, elle avait plaisir à en faire le tour, comme pour mieux graver tous les détails dans son esprit .
Elle n'était pas inquiète, à proprement parler: c'était leur devoir de soldats que de partir, et depuis si longtemps, elle avait acquis une sorte de tranquillité fataliste. Le Très-Haut veillerait sur eux, elle n'en doutait pas.
Comme Elena et leurs amis veilleraient sur l'auberge, en leur absence. Là aussi, c'était une certitude rassurante.
Elle sortit, ferma doucement la porte, et revint vers leur maison. Il leur restait à faire leurs adieux aux enfants, et celà, par contre, devenait de jour en jour plus difficile...

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Dams.


Dams avait reçu des nouvelles fraiches ce matin de son amie Joshin qui se trouvait stationnée à Verneuil avec son groupe de soldats et son epoux Arfast.

Le jeune homme fut tiré du lit avec une energie debordante et il lui repondit lui longuement.
Comme dit dans sa missive, il commençà par se rendre à l'auberge, saluant chaleuresement Elena ainsi qu'Anne et Francois.
Il passa un momment avec eux, prenant une colation tous ensemble et se rendit dans le jardin, effectuer quelques travaux d'entretien, rendant service.
Elena avait deja bien assez de travail comme cela.

Tout allait bien, il quitta cet endroit tout sourire, satisfait pour se rendre à l'eglise...

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Jec60
Jec arriva par la porte sud en fin d’après-midi. Le visage rougi par le vent glacial, il s’était réchauffé au local de la douane et avait taillé une bavette avec le sieur Armocrist. La petite prune qu’il se vit offrir avait été un excellent remontant et l’avait rendu joyeux.

Une fois renseigné sur l’endroit où se situait l’auberge de Joshin et Arfast, il s’y dirigea afin d’y descendre le temps de son séjour à Patay.

Lorsqu’il pénétra dans l’auberge, il sentit tout de suite qu’il allait se plaire.

Ohé ! Y a quelqu’un ? lança-t-il en tendant l’oreille.

Haussant de temps à autre un sourcil, il attendit les propriétaires près du comptoir.
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« Tu reconnaîtras la justesse de ton chemin à ce qu'il t'aura rendu heureux » Aristote
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