Alphonse.
Tout devenait flou.
Ses paupières se fermaient contre son gré. C'était donc ça que l'on ressentait en ces cas là. Ça qui arrivait lorsqu'on perdait beaucoup de sang. Ou bien était-il juste une petite nature qui sait.
Il avait une fois tranché la gorge d'un homme. C'était pour protéger sa sur lorsqu'ils parcouraient les routes. Il avait été mal lui même. Les mains en sang. La tête qui tourne.
Aujourd'hui aussi sa main était en sang mais cette fois c'était le sien. Et si il se sentait si mal ce n'était point d'avoir tué mais la douleur et le sang, son sang.
Rouge.
Il n'entendait que peu ce qui se passait autour de lui et tout lui paraissait à la fois aller très vite et en même temps il se sentait d'un coup simple spectateur. Comme si il n'était pas réellement présent.
Un coup. C'est ce qu'il ressentit. Mais celui là n'était pas comme le premier. Un regard, Alexans. Il était là et s'était placé devant lui. Surprise mais réconfort. Norf de norf.
Mais les bousculades continuèrent. Il ne tint rapidement plus. Seffondra. Un voile. Que se passait-il. Il sentit des coups de pieds, rouvrit les yeux et vit le visage de Vincent près de lui, entrain de s'affairait. Il appuyait sur sa plaie et le malmena en le tournant et serra fort, d'un coup sec pour stopper les saignements.
Merci ... Je ... veille.
il resserra la main autour de son épée et chercha du regard son Oncle et le Héraut, son Maître. Il les aperçut et vit le Duc, Zelgius. Sauf que ce qu'il vit en se retournant pour surveiller l'approche de la foule l'effraya au plus au point.
L'homme avec qui Alexans palabrait quelques instants plus tôt se jeta vers Zelgius, épée au clair. Alphonse n'eut ni le loisir de comprendre ni celui de réfléchir. Il se jeta lui aussi comme il pu, en travers de sa route. Se fit horriblement mal à sa plaie fraichement pansée et lâcha un cri de douleur qui fit se retourner plusieurs gardes vers lui et vers le drame entrain de se dérouler.
Il mit un genou à terre et s'appuya sur sa main senestre pour tenter de se relever mais n'eut au final le temps de faire quoi que ce soit. L'homme était déjà sur lui, furieux. un demi Alphonse à genoux ne ferait pas le poids si il voulait vraiment passer ....
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Ses paupières se fermaient contre son gré. C'était donc ça que l'on ressentait en ces cas là. Ça qui arrivait lorsqu'on perdait beaucoup de sang. Ou bien était-il juste une petite nature qui sait.
Il avait une fois tranché la gorge d'un homme. C'était pour protéger sa sur lorsqu'ils parcouraient les routes. Il avait été mal lui même. Les mains en sang. La tête qui tourne.
Aujourd'hui aussi sa main était en sang mais cette fois c'était le sien. Et si il se sentait si mal ce n'était point d'avoir tué mais la douleur et le sang, son sang.
Rouge.
Il n'entendait que peu ce qui se passait autour de lui et tout lui paraissait à la fois aller très vite et en même temps il se sentait d'un coup simple spectateur. Comme si il n'était pas réellement présent.
Un coup. C'est ce qu'il ressentit. Mais celui là n'était pas comme le premier. Un regard, Alexans. Il était là et s'était placé devant lui. Surprise mais réconfort. Norf de norf.
Mais les bousculades continuèrent. Il ne tint rapidement plus. Seffondra. Un voile. Que se passait-il. Il sentit des coups de pieds, rouvrit les yeux et vit le visage de Vincent près de lui, entrain de s'affairait. Il appuyait sur sa plaie et le malmena en le tournant et serra fort, d'un coup sec pour stopper les saignements.
Merci ... Je ... veille.
il resserra la main autour de son épée et chercha du regard son Oncle et le Héraut, son Maître. Il les aperçut et vit le Duc, Zelgius. Sauf que ce qu'il vit en se retournant pour surveiller l'approche de la foule l'effraya au plus au point.
L'homme avec qui Alexans palabrait quelques instants plus tôt se jeta vers Zelgius, épée au clair. Alphonse n'eut ni le loisir de comprendre ni celui de réfléchir. Il se jeta lui aussi comme il pu, en travers de sa route. Se fit horriblement mal à sa plaie fraichement pansée et lâcha un cri de douleur qui fit se retourner plusieurs gardes vers lui et vers le drame entrain de se dérouler.
Il mit un genou à terre et s'appuya sur sa main senestre pour tenter de se relever mais n'eut au final le temps de faire quoi que ce soit. L'homme était déjà sur lui, furieux. un demi Alphonse à genoux ne ferait pas le poids si il voulait vraiment passer ....
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