Le_g.
Le Consistoire avait écrit, les parchemins avaient volés, et il était même aller rencontrer le Régent sur cette affaire, pour avoir les informations, parce qu'il paraît qu'on n'est jamais si bien servi que par soi-même et qu'il vaut mieux le bon dieu que ses saints. C'est donc un Capitaine de Lorraine plutôt fatigué qui s'amène à Vaudémont ce jour-là. Démêler le vrai du faux lui donne mal à la tête, et il commence à prendre en grippe pas mal de monde.
Des pétasses qui se la pètent, aux imbéciles qui viennent faire caguer, il les mettrait tous sur une liste noire et la balancerait à l'armée s'il ne se retenait pas. Mais bon, avait-il le droit de tuer une femme parce qu'elle était simplement débile ? Sans doute que non... et puis il fallait bien des pondeuses pour la Lorraine... Dommage de privilégier la quantité à la qualité, mais hein... il choisissait pas.
La gamine qui voulait entrer dans la famille des Ecorcheurs venait de se faire remercier. Elle n'avait pas su voir ce que le fils du Gaucher pouvait ressentir, et s'était contenter d'aller pleurer chez des personnes qui prenaient fait et cause pour elle, sans connaître les dessous de l'affaire. Comme c'était étrange de voir les partisans de Sparte soudain si actifs, depuis le décès de l'Empereur... Où étaient-ils lorsque la Lorraine avait eu besoin d'eux ? Terrés, occupés à se cacher sans doute.
Mais là n'était pas le but de la visite du Gaucher entre les murs de Vaudémont ce jour. Il s'approche de la ville, suivant le Colonel Promether, et met pied à terre devant les remparts. Dire qu'il y avait moins d'un an, il foulait ce même sol avec une autre armée et pas du tout pour les mêmes raisons. Le comique de la situation lui arrache un sourire.
D'un pas rapide, il se dirige vers les cachots, et la salle du tribunal en particulier, se présentant aux gardes, cherchant après trois personnes en particulier. Rapidement, on le conduit vers la cellule où se trouve Zarathoustra, et après que que la clé dans la serrure finisse par faire grincer la porte, il s'approche de l'homme.
Il s'adresse au garde.
Vous pouvez nous laisser.
Puis il se tourne vers l'homme.
Louis Track de Lioncourt, Capitaine de Lorraine. Pouvez-vous marcher un peu ? Je vous propose de faire quelques pas dans la cour en ma compagnie si vous le pouvez.
Difficile de se faire une idée de l'état de santé de l'homme qui est laissé là à croupir...
Des pétasses qui se la pètent, aux imbéciles qui viennent faire caguer, il les mettrait tous sur une liste noire et la balancerait à l'armée s'il ne se retenait pas. Mais bon, avait-il le droit de tuer une femme parce qu'elle était simplement débile ? Sans doute que non... et puis il fallait bien des pondeuses pour la Lorraine... Dommage de privilégier la quantité à la qualité, mais hein... il choisissait pas.
La gamine qui voulait entrer dans la famille des Ecorcheurs venait de se faire remercier. Elle n'avait pas su voir ce que le fils du Gaucher pouvait ressentir, et s'était contenter d'aller pleurer chez des personnes qui prenaient fait et cause pour elle, sans connaître les dessous de l'affaire. Comme c'était étrange de voir les partisans de Sparte soudain si actifs, depuis le décès de l'Empereur... Où étaient-ils lorsque la Lorraine avait eu besoin d'eux ? Terrés, occupés à se cacher sans doute.
Mais là n'était pas le but de la visite du Gaucher entre les murs de Vaudémont ce jour. Il s'approche de la ville, suivant le Colonel Promether, et met pied à terre devant les remparts. Dire qu'il y avait moins d'un an, il foulait ce même sol avec une autre armée et pas du tout pour les mêmes raisons. Le comique de la situation lui arrache un sourire.
D'un pas rapide, il se dirige vers les cachots, et la salle du tribunal en particulier, se présentant aux gardes, cherchant après trois personnes en particulier. Rapidement, on le conduit vers la cellule où se trouve Zarathoustra, et après que que la clé dans la serrure finisse par faire grincer la porte, il s'approche de l'homme.
Il s'adresse au garde.
Vous pouvez nous laisser.
Puis il se tourne vers l'homme.
Louis Track de Lioncourt, Capitaine de Lorraine. Pouvez-vous marcher un peu ? Je vous propose de faire quelques pas dans la cour en ma compagnie si vous le pouvez.
Difficile de se faire une idée de l'état de santé de l'homme qui est laissé là à croupir...