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[RP] Le Capitaine lorrain face aux francs-comtois

Lesandre
Diraak secoua la tête.

Vous faites erreur, une grâve erreur. Nous sommes, comme vous avez pu vous en rendre compte, plusieurs Franc-Comtois rangé derrière notre Franc-Comtesse.

Votre erreur est compréhensive car vous ne connaissez pas la Franche-Comté et ses coutumes qui sont différentes de celles de Loraine.

Mais votre attitude va à l'encontre de ce qui était attendu par les personnes qui se sont présenté à vous ici. A savoir, des excuses sincères à notre Franc-Comtesse.
Kran
Soupire

vous ne semblez pas comprendre le souci que pose le refus d'excuses au Suzerain de la Franche Comté...
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Thybault
Pierre avait le sang chaud, c'était connu... très connu même. Il avait écouté ce "capitaine" de Lorraine... mais sa main allait désormais à la poignée de son épée.

Vous ne comprenez donc rien? Vous avez beau être fier comme des paons, on se demande de quoi vous pourriez bien être fier ! Un pays ridicule qu'une bande de monte-en-l'air à peine dégrossis mets à sac sans rencontrer de réelle résistance, obligez de demander à ses alliés d'assumer ses erreurs et son manque de trésorerie et de pouvoir...

Vous ne m'inspirez plus qu'un seul mot : Pitoyable.

La Franche-Comtesse a fait de gros efforts avec vous, elle a essayé de s'adapter, de jouer "franc-jeu", elle s'est excusée pour ce qui est évidemment une erreur, et tout ce qui lui a été répondu a été des insultes, toujours plus grave et toujours plus imbéciles. En l'insultant, vous insultez chaque comtois, et vous les traîner tous dans la boue. Vous sous-entendez soit que les comtois auraient laisser monter sur le trône une imbécile incompétente, soit une lion de judas ou autre brigande. Comprenez vous l'imbécilité de cette affirmation, mon bon?

Ensuite, vous avez osé -oui vous, avec votre duc- nous envoyez la lettre la plus menaçante que j'ai jamais lue dans toute ma carrière. "Envoyez nous l'agrément qui nous appartient de droit, ainsi que des hommes et des vivres immédiatement". C'était une lettre contenant un commandement! Un ordre ! Pour qui nous prenez vous? Pour vos chiens?

Et vous avez continuer ! Quand nous avons perdu une ville, c'est votre imbécile comportement qui est la goutte d'eau qui a fait débordé notre vase de patience ! Mais par Deos, vous croyiez sérieusement que vous alliez vous en sortir comme cela?

Aujourd'hui, devant toute la Franche-Comté, vous persistez dans votre aveuglément à attaquer l'honnêteté ou la compétence de notre Franche-Comtesse, et par elle, la capacité de jugement de tout les comtois. Espériez vous que nous trouverions cela "distingué"? Ou peut être que nous vous offrions une couronne de fleurs?

Je vais vous dire la suite : vous avez insulter la Franche-Comté, et vous l'avez -vous, représentant du peuple lorrain- trainez dans la boue. Soyez heureux que nous ne formions pas des troupes pour venir sur l'heure faire ravaler chacun de vos propos à la gorge de vos gens par la force, car ce n'est pas un duché qui ne sait pas endiguer une poignée de pouilleux qui nous résisterait.

Ah, et je suis Pierre du Val d'Haine, dict Martyn. Je suis Prévôt de Franche-Comté.


Le Prévôt n'était pas de bonne humeur.
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--Le.gaucher
Mais c'est pas en temps que Suzeraine que je l'ai insultée... A croire que vous n'avez pas écouté mes explications... Je parle dans le vide, vous avez de toutes façons raison, et j'ai de toutes façons tord ?

Il soupire, pensant qu'ils auraient pu être un peu plus ouverts d'esprit.

Vous avez raison, je ne comprends pas en quoi mon problème avec Riese ou son problème avec moi concerne la Franche Comté ou la Lorraine. Je ne vois pas pourquoi un conflit personnel privé est devenu une affaire d'Etat.

Je suis prêt à toutes les concessions envers la Franche Comté, terre voisine de la Lorraine, mais pas envers une personne en particulier... Elle a fait une affaire publique d'un problème relationnel qu'elle a avec moi... Et encore une fois, désolé de l'avoir traité de tous les noms d'oiseaux parce que je ne pensais pas qu'elle pouvait être assez stupide pour confondre retrait d'agrément et refus d'agrément... Je la plaçais trop haut pour faire ce genre d'erreurs.


Dépité, il reste un peu interdit, ne sachant plus quoi dire pour s'excuser envers la Franche Comté.

Et oui, je vois que vous êtes bien rangés derrière elle, vous n'avez pas écouté ce que j'ai dit... vous m'avez déjà jugé coupable, je le vois bien... aucun d'entre vous n'a pris la peine de me dire ce qu'il aurait fait à ma place et ce qu'il aurait pu dire ou faire dans ma situation.

Sombre, il regarde les documents, et les récupère.

Bien, je ferai ce que m'ordonnera mon Duc, vu que vous m'avez comdamné avant que j'ai eu le temps de m'expliquer et que vous refusez d'écouter mes propos, n'attendant qu'une chose, me voir à genoux.
Lesandre
Soupira

Nous élisons des conseiller qui choisissent une personne en tant que Franc-Comte ou Franc-Comtesse.

Plusieurs intervenant ici même sont nobles et on renouvelé leur allégence à la Franc-Comtesse Riese. C'est un serment de personne à personne.

Ce que vous nous montrez c'est un homme qui fait passer sa fierté avant l'intéret de son Duché.

Ce que vous nous montrez c'est un homme qui espère s'en tirer à bon compte par une pirouette en jouant sur les mots.

La Franc-Comtesse représentait la Franche-Comté là où vous l'avez insultée. C'était une pièce fermée pour raison de sécurité, pas une pièce privée dans un cadre privé.

C'est vous, qui ne comprenez visiblement pas.

Il n'y a encore eu nulle jugement de notre part, juste l'attente d'une réparation qui n'est pas venue sur des fait que vous ne niez pas. Nous vous avons laissé vous exprimer librement ici sans vous traîner au bûcher. Et ce n'est pas l'envie qui a manqué à l'un ou l'autre, je peu vous l'assurer
--Le.gaucher
Il écoute, et incline la tête.

J'obéïrais à mon Duc... Vous en faites une affaire d'Etat, cela dépasse mes prérogatives.

Je vous rappelle que je l'ai déjà suppliée pour l'intérêt de mon Duché.

Et vous vous trompez, il y a jugement puisque vous demandez réparation.

J'ai reconnu pour l'erreur de mes hommes et suis prêt à en assumer les conséquences, procès ou finance, ce que vous voulez.
J'ai reconnu avoir dépassé les bornes sous l'effet de la colère après l'avoir supplié.
J'ai reconnu n'avoir pas cru qu'elle pouvait être bête à confondre Retrait et Refus d'agrément.
J'ai reconnu l'avoir provoquée, vu que Vesoul est tombée alors que la pilleuse est listée chez nous.

Je présente mes excuses pour mes gars.
Je présente mes excuses pour avoir cru qu'elle était pas assez bête pour confondre Retrait et refus d'agrément, et l'avoir insultée de traitre plutôt que de l'avoir prise pour une imbécile... puisque c'est ce que vous voulez.
Je présente mes excuses pour mon tempérament de feu.
Mais je ne présente pas mes excuses pour l'avoir provoquée lorsque Vesoul est tombée.


Je vois pas ce qu'il vous faut de plus... Je le redis, si ce sont des excuses à genoux que vous attendez... ça n'arrivera pas. Je me suis déjà applatit devant elle... sans autre résultat que de me faire insulter.


Et il patiente de recevoir les ordres de Thomas.




Edit : correction des fôootes... et encore, il en reste sûrement ! lol
Thybault
Décidément, les paysans de lorraine n'ont pas les oreilles bien propre, et le cerveau bien huilé... sans doute à force de se faire taper sur la tête par un gueux ou l'autre...

Si on suit votre raisonnement :

- Si vous insultez la Franche-Comtesse pendant la cérémonie des allégeances, vous ne l'insultez "qu'en tant que personne privée"?
- Si vous l'insultez devant l'Empereur, dans une salle aux portes closes, alors qu'elle n'est là que parce qu'elle est Franche-Comtesse, vous n'insultez "que la personne privée" ?
- Si vous l'insultez dans un conseil militaire impérial où elle n'est là que parce qu'elle représente la Franche-Comté, vous n'insultez "qu'une personne privée"?

Votre argumentation est ridicule. Je crois qu'il est clair que l'incompétence n'est pas forcément là où vous la voyez.

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--Le.gaucher
Messire....

Veuillez me citer les propos insultant que j'ai tenu envers votre Franche Comtesse...

Au moins, je saurais de quoi je suis coupable...
Kran
Regarde l'homme de haut en bas, les yeux grands ouverts, stupéfait de l'arrogance à qui ce dernier laissait libre court, s'enfonçant de plus en plus dans le bourbier dans lequel il s'était enfoncé en venant narguer la Franc Comtesse en Franche Comté même, par des propos que le Comte jugeait fallacieux, honteux et inacceptables.

Il n'avait vraisemblablement pas compris la nuance d'insulte envers une simple personne, et celle envers la représentante d'un Etat, dans le cadre de ses fonctions, et des conséquences que cela portait. Pourtant, Diraak avait tenté une explication, Pierre aussi ... Mais rien n'y faisait. Le dialogue présent en revenait à nouveau au dialogue de sourd, comme souvent depuis un moment.

Lui qui avait octroyé ce premier agrément lors de son propre mandat de Franc Comte regrettait vivement l'ex Régente de Lorraine, pour qui il avait le plus grand respect, à contrario du Duc actuel, envers lequel, outre les griefs personnels qui alimentaient à vif son état d'esprit, il y avait conflit politique et d'honneur. Pas seulement d'honneur personnel, car en insultant la Franc Comtesse, non seulement il insultait la Franche Comté, quoi qu'il en dise ... Mais aussi Sa Suzeraine directe, et de facto l'honneur de toute la noblesse Comtoise et du peuple Comtois. "Pauvre Lorraine", pensa-t-il... Ce nouveau gouvernement Lorrain, en était même insultant pour ses prédécesseurs.

Le Comte répéta machinalement 2 phrases qu'il considérait outrancière:


"J'ai reconnu n'avoir pas cru qu'elle pouvait être bête à confondre Retrait et Refus d'agrément. "

Puis la seconde, en partie:

"parce que je ne pensais pas qu'elle pouvait être assez stupide pour confondre retrait d'agrément et refus d'agrément..."


Puis il s'adressa à l'homme.

...Vos propos sont insupportables. Et malgré nos mises en garde, vous insultez à nouveau, et par 2 fois au moins la Franche Comté par le biais de la Franc Comtesse.

Faites donc le pauvre incompris, allez-donc faire votre scène devant votre "Duc"... Nous vous avons expliqué le problème, le souci, c'est que vous ne le comprenez pas ... Ou ne voulez tout simplement pas. Pire encore, vous profanez à nouveau, à vive voix et en Franche Comté même.


Correction d'une ou 2 petites fautes d'orthographe très grossières

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Gaodon
Là où la Louve se rendait, ses Loups n'étaient jamais loin. La difficulté de la garde rapprochée résidait en l'équilibre d'une proximité suffisante à l'exercice de sa fonction, et d'un écart à conserver afin de ne point essuyer les tempêtes Saranéennes.

Aux côtés de Draugaran, notre Responsable, je suivais la Gouverneur. A chaque arrêt, nous marquions le notre. Je croisais les bras et observais la foule. Armes et gestes étaient passés en revue par trois yeux alertes. Quand la Rousse se leva précipitamment, je me fixai à elle, surveillant les alentours. Rien de particulier ne fut à signaler et l'inspection pouvait reprendre. Le ton montait, je fronçai les sourcils.


Voilà qui est fâcheux. Sois prudente.

Une main se posa sur un pommeau. Mes jumeaux croisèrent brièvement le solitaire en signal, et j'avançai prestement pour me placer à gauche de la Patronne, en protection. Je conservais un visage dénué d'émotion alors que mon travail était double. Mon devoir de Chien était de préserver la Louve, et celui d'Homme de préserver mon Assassine.
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Draugaran
Draugaran observait tout ce petit monde aux côtés de Gaodon, en retrait de Sarani, qui s'était manifestement laissée emportée par sa curiosité coutumière et dont elle avait suivit l'évolution avec un sourire goguenard aux lèvres.
Si son oeil analysait et identifiait ce qu'il se passait alentour, son esprit, lui était un peu ailleurs, ce qui pouvait donner l'impression qu'elle n'était pas concentrée, et quiconque aurait pensé pouvoir en profiter était bien naïf. Le fraîchement juge ne suivait donc pas la conversation mais pensait plutôt à ses dossiers.

Il arriva un moment tout de même où le volume sonore lui fit mettre de côté ses pensées et écouter plus attentivement. Gaodon l'avait remarqué aussi.


Ouaip, toi aussi.

Elle aussi avait remarqué que le prévôt montrait des signes d'hostilités, aussi s'avança-t-elle également pour se placer à la droite de Sarani, légèrement en arrière comme à son habitude, afin de lui laisser plus de latitude tout en assurant ses arrières. Cette fois, en tant que membre du parlement elle se concentra davantage pour suivre un minimum la conversation, sans pour autant avoir l'intention d'y participer, étant là avant tout en tant que garde.
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Quinlan
Le chevalier, lui aussi, était présent. Jusque la il gardait le silence. Après tout, la démarche du capitaine Lorrain n'était pas évidente... Il avait l'honneur d'être ici présent et d'affronter ce groupe de comtois qui lui réclamait des comptes.

Au début il était sur la défensive, quoi de plus normal... Par contre, il craint un instant voyant l'homme s'entêter encore et encore.

Puis ... Une lueur et ... Hé Ben non... A qu'il est parfois dur de ravaler sa fierté pour le bien de tous...

Dans un sens le chevalier comprenait le capitaine, qui fesait toi pour garder son duché. Le retrait de l'agrément avait été un solide revers... Il comprenait également que dans un coup de colère on puisse déraper ... Dire des choses que l'on ne devrais pas ... Il comprenait également qu'il puisse être difficile de s'excuser ...
Mais il ne comprenait pas que l'on puisse s'entêter a ce point ... De son propre aveux il avait insulté la franc comtesse ! On a coupé des têtes et pendu pour moins que ça ! Celle ci offre une chance a tous de sortir la tête haute et il refuse entraînant ainsi son duché et sa sécurité vers le retrait de l'agrément restant... Non il ne comprenait pas

Quand les discutions le lui permirent, il s'éclaircit la voix et s'adressa au capitaine :

"Quinlan de Monmouth, seigneur de Mallerey et chevalier du Lion d'or. Le bonjour, capitaine. Merci de d'accepter de venir ici vous expliquer.

Je comprends vos griefs et votre emportement. J'espère que j'aurais agit différemment mais je conçois qu'en voyant vos effort tomber a l'eau vous vous soyez emporté.
Cela dit je suis vassal de Franche Comté et vous comprendrez que je ne puisse laisser passer de telles paroles envers mon suzerain. Tout un chacun ayant un suzerain se doit de défendre son honneur. C'est ce que nous fessons ici.

Il me semble que si les rôles étaient inversés et que j'avais été insultant envers votre duc vous me demanderiez également des comptes. Ce serait normal.

Notre Franc Comtesse ne pouvait pas laisser passer cela. Elle nous représente tous, du simple serf au vicomte... Je trouve qu'elle permet a tous de sortir la tête haute. De simples excuses sincères sur les fausses accusations de traîtrise et d'appartenance au lions de judas suffiront a calmer les esprits...
Je ne vous dit pas de vous assoir sur les reproches concernant l'agrément. Vous êtes en droit d'être fâché. Mais vos mots n'étaient pas corrects pour exprimer votre courroux.

Risquerez vous l'agrément restant au risque de mettre votre sécurité en péril par fierté ?


Il était confus... Mais sincère il tentait encore de tendre la main a cet homme et lui permettre de sauver l'intérêt Lorrain.
Sans l'homme n'aurait il pas la même vision mais il aurait essayé.
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Elorie
Fredy suivait le debat en écoutant et analysant les propos de chacun,puis se décida à intervenir car une phrase du capitaine lorrain l'avait quelque peu choquée

Bonjour Capitaine ! Fredyanne Van Ansel !je me permet d'intervenir pour répondre à ce que vous avez précédemment dit !


Fredy reprit la phrase mot à mot


Citation:
Vous avez raison, je ne comprends pas en quoi mon problème avec Riese ou son problème avec moi concerne la Franche Comté


Tout d'abord ce n'est pas Riese mais Sa Grandeur Riese ! ensuite capitaine sachez que ce qui est fait contre NOTRE franc-Comtesse ,l'est également fait comme vous l'a dit pratiquement tout le monde ici même ,dirigé contre le peuple Franc-Comtois que nous sommes !

Ensuite ! .... Oui j'ai une bonne mémoire !

Citation:
Je présente mes excuses pour mes gars.
Je présente mes excuses pour avoir cru qu'elle était pas assez bête pour confondre Retrait et refus d'agrément, et l'avoir insultée de traitre plutôt que de l'avoir prise pour une imbécile... puisque c'est ce que vous voulez.
Je présente mes excuses pour mon tempérament de feu.
Mais je ne présente pas mes excuses pour l'avoir provoquée lorsque Vesoul est tombée.


Vous avez un tempérament de feu ? mais nous aussi !alors je vous demande s'il vous plait et ceci publiquement que vous fassiez vos excuses à l'encontre de notre Franc-Comtesse Riese !

Nous verrons après pour l'agrément qui je vous le rapelle est tout près d'expirer capitaine !

Merci si vous y mettez de la bonne volonté et de la bonne foi !


Fredy rejoingnit tous les amis et connaissances présents
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https://www.youtube.com/watch?v=Ti418ygPDtI. Très réaliste "Feu de joie"
Riese
Riese arriva. Bien sûr elle avait lu la lettre du Duc de Lorraine, en avait même reçue à titre privée pour lui dire d'attendre son retour pour prendre sa décision car le délai des 5 jours étaient compromis.
Elle devait voir avec le parlement pour ne pas de nouveau faire un débat sans fin. Elle avait demandé l'avis de ces parlementaires sur les représailles qu'elle demandait à la Lorraine. A ce jour n'avait rien était fait. Ils avaient toujours l'agrément comtois, certaines discutions avaient par contre cessés pour attendre l'accalmie entre les deux duchés. Que se soit sécuritaire ou diplomatique. Chacun des deux pôle attendant les réponses aux négociations qui n'avaient pas commencer.
Elle avait écouté d'une oreille l'intervention du Capitaine Lorrain. Elle n'aurait pas crut le voir ici en personne pour s'expliquer.

Il pensait que Riese l'avait condamné. Condamné à quoi? par quel tribunal. Aucun, elle demandait des excuses d'une pour les insultes et pour sa manière d'être. Arrogant dans dommage hein? à jouer au con... mais bon pas la peine de retenir tous les mots qu'il ose prononcer à son encontre. Elle était idiote ou voulait se faire passer pour une idiote...

Elle écoutait les interventions et fut étonné d'entendre certains, ravie de voir d'autre et regarda le capitaine. Devait elle parler, devait elle attendre de voir ce que lui voudrais le Duc de Lorraine. Cette situation allait engendrer surement d'autre surtout si on prends en compte l'annonce de la Savoie.
Puis, elle prit la parole.


Capitaine Louis quelle étrange surprise de vous voir ici. J'étais loin de penser que vous viendrait ici même pour parler de cela avec les comtois. Je note que ma personne ne vous importe que peux et que vous présenter vos excuses au peuple comtois. Mais pas à son représentant. Cela est assez anecdotique, vous ne trouvez pas?

Messire, Votre Grandeur Alexandrine, Gouverneur Saranie, Fredyanne, Draugaran merci pour vos diverses interventions ou présence mais je pense qu'il est temps de se calmer et de voir si il y'a moyen de résoudre ce litige entre nos deux comtés de manière diplomatique. Ou faut il en venir réellement aux mains.

Capitaine, je suis dans l'attente du retour de votre Duc pour savoir ce que je fais faire. Après tout, il reste encore une journée pour vous décider de faire des excuses publiques. Même si vous avez dit ne pas vouloir mettre de nouveau un genou à terre face à moi. Même si je suis une idiote, même si je suis une traitresse à l'empire, une lion de judas, une blonde qui joue au con avec l'agrément et qui récolte ce qu'elle sème en perdant une ville si je ne vous avez pas obligé à vous rendre à Baden pour avoir un agrément gratuit alors qu'on vendait le nôtre pour des PEAUX. Vous voulez que je continue Capitaine?

Maintenant, vous refusez ma requête, je traiterai cette affaire directement avec le Duc. Mais même si j'avais du mettre certains mots sur le compte de colère, je pense que vous allez trop loin dans votre manière de penser et de parler à un représentant d'un comté.

Certes vous n'êtes pas diplomate ou politicien mais un homme de terrain, mais cela ne vous empêche pas, vous non plus de réfléchir à ce que vous pouvez dire. Vous ne croyez pas ?


Elle se tut en espérant que les choses se calment ici un peu. Le but n'étant pas déclarer un combat sanglant.
Sauveur
Sauveur, debout, non loin de l'attroupement qui s'était fait autour du capitaine lorrain, comprenait la réaction de certain. Certes insulter la franc-comtesse, c'était insulter tous les comtois. D'autant plus que l'homme ne semblait pas le comprendre...

Cependant Sauveur n'avait pas envie de s'emporter ou de crier aux scandales. Il était tout de même content lorsqu'un homme, Quinlan de Monmouth, prit la parole. Le jeune sergent était du même avis et les propos de l'homme avait bien résumé ce que Sauveur pensait.

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Clovis Sauveur de Chéroy,
Comte de Champagnole, Comte du Lure, Vicomte de Châtenois, Vicomte de Saulx, Baron d'Arbois, Baron de Belrupt, Seigneur de Dommartin-lès-Toul
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