--Le.gaucher
Les menaces sur l'agrément ne prenaient pas, parce que justement, il avait prévu le coup, il savait de quoi Riese était capable et là, devant les Francs Comtois, il comprenait qu'elle les avait tous à sa botte, à lécher ses pieds. Il observe, écoute, encaisse les coups, et s'abstient de répondre. Le seul qui aura un regard plus intéressé sera le chevalier qui se présente et qui est le seul qui jusqu'à présent aura donné les informations qui les dérange tous tellement.
Vrai qu'il avait poussé loin ce jour-là sous l'effet de la colère contre Riese et son incompétence qui avait fait s'écrouler deux semaines d'organisation de défense et d'armée d'un simple claquement de doigts. Il inspire calmement, et regarde le chevalier.
Navré, mais au vu des échanges avec votre Franc Comtesse, ce retrait ne mettrait pas aujourd'hui en péril la défense du Duché de Lorraine... Je ne pouvais pas permettre que la Lorraine fasse les frais d'une nouvelle erreur, comprenez-le, et donc de faire confiance à votre Franc Comtesse. Ces menaces ne prennent donc pas, et je ne suis pas ici à cause de cela. Je suis d'ailleurs étonné qu'elle ne l'ait pas déjà retiré. Je suis ici parce qu'elle a fait une affaire d'Etat qui déchire la Lorraine et la Franche Comté d'une affaire qui aurait du être close depuis longtemps, et qu'en fait, elle n'a pas supporté sans doute, et ce qui a déclenché toute cette affaire, de constater que c'est le retrait qui a fait que vous avez perdu Vesoul, et que je m'en sois amusé, voyant qu'elle récoltait ce qu'elle avait semé.
Puis il écoute Riese, et serre les dents. Encore une fois, elle fait étalage comme une commère de marché, une lavandière ou une marchande de poissons ou de tapis... et énumère tout ce qu'elle a contre lui.
Bonjour Comtesse. Et bien oui, je viens face au... tribunal qui m'a jugé coupable d'insultes envers vous et m'a condamné à présenter des excuses. Merci de l'invitation pour ma défense...
Hum, il réalise qu'il est encore en train de la provoquer, vu qu'elle ne l'a pas invité à se défendre avant que la sanction ne tombe. Il esquisse une légère inclinaison de la tête, mais reste debout, face à elle.
Vous venez de bien résumer la situation... Je vous présente mes excuses pour vous avoir traitée de Lion de Judas.
Les poings serrés, il se redresse, bouche fermée, et serrant les dents pour s'empêcher de lui balancer d'autres vérités à la tronche, se récitant la devise de la Lorraine : l'amour de notre patrie est notre loi.
Vrai qu'il avait poussé loin ce jour-là sous l'effet de la colère contre Riese et son incompétence qui avait fait s'écrouler deux semaines d'organisation de défense et d'armée d'un simple claquement de doigts. Il inspire calmement, et regarde le chevalier.
Navré, mais au vu des échanges avec votre Franc Comtesse, ce retrait ne mettrait pas aujourd'hui en péril la défense du Duché de Lorraine... Je ne pouvais pas permettre que la Lorraine fasse les frais d'une nouvelle erreur, comprenez-le, et donc de faire confiance à votre Franc Comtesse. Ces menaces ne prennent donc pas, et je ne suis pas ici à cause de cela. Je suis d'ailleurs étonné qu'elle ne l'ait pas déjà retiré. Je suis ici parce qu'elle a fait une affaire d'Etat qui déchire la Lorraine et la Franche Comté d'une affaire qui aurait du être close depuis longtemps, et qu'en fait, elle n'a pas supporté sans doute, et ce qui a déclenché toute cette affaire, de constater que c'est le retrait qui a fait que vous avez perdu Vesoul, et que je m'en sois amusé, voyant qu'elle récoltait ce qu'elle avait semé.
Puis il écoute Riese, et serre les dents. Encore une fois, elle fait étalage comme une commère de marché, une lavandière ou une marchande de poissons ou de tapis... et énumère tout ce qu'elle a contre lui.
Bonjour Comtesse. Et bien oui, je viens face au... tribunal qui m'a jugé coupable d'insultes envers vous et m'a condamné à présenter des excuses. Merci de l'invitation pour ma défense...
Hum, il réalise qu'il est encore en train de la provoquer, vu qu'elle ne l'a pas invité à se défendre avant que la sanction ne tombe. Il esquisse une légère inclinaison de la tête, mais reste debout, face à elle.
Vous venez de bien résumer la situation... Je vous présente mes excuses pour vous avoir traitée de Lion de Judas.
Les poings serrés, il se redresse, bouche fermée, et serrant les dents pour s'empêcher de lui balancer d'autres vérités à la tronche, se récitant la devise de la Lorraine : l'amour de notre patrie est notre loi.