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[RP Ouvert] Quand La lorraine se recueille.

Thomas_sauveur
Hier l'annonce de la disparition de l'Empreur et de la Princesse était tombé sur le Duché de Lorraine comme tombe un voile noir devant les yeux d'une veuve. Tous avaient pleuré, tous s'étaient dans son coin recueillie à sa façon, cherchant soutiens et réconfort auprès des siens. Le Duc n'avait pas échappé à la règle et après s'être recueillie auprès de sa famille, venait le moment d'être soudé auprès du peuple de Lorraine, de l'Empire et de ses amis.

Il c'était habillé de blanc et noir, comme le demandait l'annonce du régent et c'était rendu au château. Son annonce était claire toutes institutions lorraine serait fermé pendant une heure et chaque membre devaient se rendre aux églises pour prier. Le Conseil Ducal n'échappait pas à la règle, le Conseil de guerre non plus, ainsi que toutes les autres d'ailleurs. Alors le Duc une fois au château envoya ses domestiques fermé tout les bureaux à clé et une fois chose faite déclara dans le grand hall.


Le Duché à perdu deux âmes précieuse, nous invitons tout baptisés, tout étrangers, tout Lorrains, toute personnes à prier en notre compagnie dans les églises. Déposer vos épées vous qui en avez pas besoin, que les soldats ajoute un ruban de deuil sur les leurs. Ne portez point de couleur car nous pleurons notre Empereur, ne portez pas de bijoux car nous pleurons notre Père. Que celui qui n'obéisse pas soit bannis et honteux. Prenons le temps de nous recueillir et pleurer nos amis, nos dirigeants.

Sur ses mots il dit ouvrir les portes du château et se dirigea à l'église la plus proche, sur la route on leva les drapeau gris d'une Lorraine en deuil, plus de rouge et de jaune, plus que du gris et de la tristesse. Thomas avancent ne pouvait que songer à Luisa, mais aussi à son père. Il était soucieux de l'état de Liz et de Lorenz, du cadet également et arrivant devant l'église, il stoppa attendant son Conseil Ducal et son Conseil de guerre, mais aussi les autres Lorrains et voyageurs, nouveau et ancien.
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Vitoria_eva
Nouvelle baptisée, elle l'était la Marquisette. Elle suivit Thomas de loin, elle portait une robe simple blanche d'un velours pour le temps qui changeait, avec une ceinture blanche. Elle avait fait faire remonter ses cheveux en chignon stricte avec un lien, blanc lui aussi. La noblesse de l'Empire serait en deuil.

Elle fit une génuflexion dans l'allée centrale de toute façon, il fallait aller à l'Eglise et ca, elle irait, maintenant, elle pouvait la fraichement baptisée. Elle ne comprenait pas ce qu'il s'était passé, on ne lui avait pas expliqué. Juste que le Vempereur est mort.


Le Vempereur est mort ! Vive le Vempereur.

Elle ne put s'empêcher de susurrer cette phrase, qu'elle avait entendu jadis mais pour une Reine dans ses histoires. Elle prit une place un peu au hasard et se rendit, attendant qui allait cérémonier ce mémorial.

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Angeline_darcy
Angéline avait appris la nouvelle, Constance lui avait confirmé la triste nouvelle... L’impératrice devait souffrir atrocement, son époux et son enfant. Elle ne pouvait imaginer son chagrin.

Elle sortit de chez elle quand le défilé passa sous sa fenêtre, tous se rendait à l'Eglise, se recueillir et prier pour l'empereur et sa fille.

Angéline, la tête basse, les mains jointes, elle prit dors et déjà dans la foule qui se formait petit a petit, soldats, le duc, et d'autres humbles gens.
Violette.
    La peine se manifeste différemment en chacun. On peut hurler de douleur, pleurer toutes les larmes de son corps, ou se murer dans le silence. C'est ainsi que la peine se manifestait chez la Spinalienne. Le silence après le choc, le silence après l'incompréhension, le silence après le déni, le silence après la si difficile résignation. Et les larmes, qui s'échappent, qui coulent toujours dans ce silence assourdissant.

    Violette n'avait plus vu Luisa depuis des mois. La jeune femme après sa grave blessure s'était retirée pour se soigner et se reposer. Depuis, elle se faisait discrète, ne sortait plus guère et si sa mémoire ne lui faisait pas défaut, la dernière fois qu'elle avait mis les pieds dans une taverne était également la dernière fois qu'elle avait vu Luisa. Cette petite blonde, adorable, chipie, devenue Princesse Impériale. Comment pouvait-elle être morte ? Comment ? A cette question s'en ajoutait une autre : Pourquoi ? Celle-ci s'adressait au Très-Haut, pourquoi l'avoir rappelée à lui si tôt ? A défaut d'avoir une réponse, Violette priait et allait encore prier pour son âme, pour leur âme.

    Car l'Empereur n'était plus. Car l'Empereur avait payé de sa vie en essayant de sauver la chair de sa chair. Violette ne l'avait rencontré que quelques fois, mais avait le plus grand respect pour lui. La tristesse était à son comble, la tragédie la dévastait mais elle essayait de n'en rien montrer. La brune pensait à Liz, à Lorenz et à Lothar. Ils avaient perdu un époux, un père, une fille, une sœur. Et c'était aussi pour eux que Violette allait prier. Pour qu'ils puissent faire leur deuil, pour qu'ils puissent vivre avec cette douleur, car on ne se remet jamais totalement.

    Les gens arrivaient auprès de l'église et Violette repensait à Luisa. Elle s'en voulait de ne pas avoir été plus souvent là pour elle. Luisa l'avait aidée, Luisa l'avait sauvée. Aujourd'hui Violette vivait décemment, avait des projets, et tout cela, c'était entre autres grâce à Luisa. Et jamais elle ne pourrait la remercier. Son cœur se serrait, à cette pensée elle réprima un sanglot et écrasa discrètement une larme sur sa joue. Violette souffla et regarda l'église. Elle aimait ce lieu, mais pas cette fois, pas aujourd'hui. Pas quand il s'agissait d'y entrer pour rendre hommage à une jeune fille et à son père, morts trop tôt.

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Le_g.


Le Gaucher était d'humeur massacrante en ce moment, oscillant entre la haine, la colère et la honte. Il avait échoué à protéger Luisa, échoué à protéger l'Empereur. Au moins, il avait réussi à protéger la Lorraine... Il soupire et suit le mouvement, sans un mot, il n'y a rien de plus à dire. Certaines personnes profitent pour baver dans son dos, il le sait, et il n'en a pas grand chose à faire.

En tenue de deuil, un cadeau d'un ami qu'il avait reçu avec beaucoup d'émotion, il se dirige vers l'église. C'était quand la dernière fois ? Le baptême de la petite vito... Une heure de prière et de silence pour ceux qui avaient perdu la vie dans le palais impérial embrasé.

Son visage, marqué de la brûlure du brasier était encore bien visible. En cet instant, il pensait à sa famille, ses amis, et à la famille impériale, à ce couple qui était un modèle sans faille. Ses yeux rougis, soulignés de noir à force de veilles et de gardes et autres travaux qui l'empêchaient de pouvoir dormir, observaient les visages, sans un mot.

Sa main vient se poser sur l'épaule de Vito qui avait bien connu l'empereur. Elle était sa soldadinette, sa mairinette... La petite jeune fille avait vu ce que l'Empereur n'était pour personne que ces proches, elle avait pu voir l'homme, sans voir la couronne. C'était un don précieux, de voir au-delà des apparences. Ludwig avait ce don, il leur avait offert une opportunité... C'était plus un ami qu'il avait l'impression d'avoir perdu, qu'un supérieur ou un maître.

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Nicolas_track
Parce que malgré tout, fallait serrer les dents et y aller. Le jeune homme s'était vêtu de noir de pieds en cape et avait suivi le mouvement par respect pour les rescapés,pour son père, pour la famille impériale,pour Ludwig et Luisa.

Toutefois, il n'avait aucune envie de se mêler aux autres. Il préfèra rester dans le fond, dans l'ombre, à l'abri des regards. Il ne voulait pas attrister de plus son père, avec sa mine défaite.

L'Eglise...à quoi servait cet endroit?

A louer un dieu assez cruel pour arracher la vie à une princesse de 13 ans? Un Dieu miséricordieux qui permettait souffrance et tristesse?
Il laissait deux princes orphelins et une veuve, en plus de leur avoir pris Luisa...
Foutaises que tout cela

Le gaucher junior serra ses poings au fond de ses poches, la mâchoire crispée, le regard haineux...Il n'avait qu'une envie..brûler l'endroit, déclarer la guerre à un pseudo Dieu qui n'infligeait que du malheur

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Lglvh
Chaque matin était un combat contre soi-même.
Il fallait se lever, affronter la journée qui commençait.
Il fallait passer outre les douleurs physiques et morales

serrer les dents...
faire son boulot, sachant pertinemment que quoiqu'on fasse, on serait toujours critiqué...

Nous, les écorcheurs avions donné tout se que nous pouvions pour ce duché
Pour la gloire? la gratitude?

Pas du tout...

Par amitié pour un duc
Par respect d'un grand homme qu'aujourd hui n'était plus.

Ce même homme que quelques mois aupparavent, j'avais envoyer caguer et se carrer sa canne dans le fion..langage de rustre face à un noble que j'avais mal jugé...

Ludwig m'avait donné une deuxième chance, avait pardonné mes écarts de conduite.
Malgré ma vie de voyou, je savais être reconnaissant et fidèle, suivant mon cousin dans sa mission. On aurait donné notre vie pour la famille impériale.

Plus qu'un patron...un modèle peut être..j'avais fini par admirer l'homme, le couple, la famille, le petit Lothar que je surnommais affectueusement,le petit prince des chiards, la douce et gentille Luisa, Liz,la femme, la confidente parfois et Lorenz,mon compagnon de déconnade et de beuverie.

Je m'étais préparé ce matin-là,m'habillant de sombre,mes mains gantées afin de masquer mes brulûres. J'étais un peu en retard, tout cela me demandait du temps,encore malhabile du bout des mes doigts.
Un costume de bonne facture fait sur mesure par le couturier ducal et offert par celui-ci


Je me rendis àl'Eglise, celle-ci déjà bien remplie. Je ne saluais personne, mine renfermée.

J'avisais Louis et Vito et me dirigeais vers eux...

Pas un mot ne fut prononcer

Je me contentais d'une caresse dans les cheveux de ma filleule et ma main blessée s'enfouit sous le bras de mon cousin...pour me donner du courage, pour lui en donner..On était là,l'un pour l'autreet il nous fallait encaisser ce coup dur..faire bonne figure..pour la veuve, pour les deux princes...
Amelliane
Amélliane avait encore beaucoup de mal à se faire à cette idée pour l'Empereur et Luisa. Elle avait plus côtoyé Luisa et sa mère quand elle allait à Epinal et ce n'était pas facile ce jour.

Elle avait revêtu une robe sombre et coiffer ces cheveux en chignon. La demoiselle avait suivit le cortège jusqu'à l'église. Elle repensait encore à Luisa et aux discussions qu'elles avaient échanger en taverne. Sa mère et son frère devaient être désemparer par un tel drame ...

Ce mois d'Octobre n'avait pas été très réjouissant, Floche avait été mis en terre un peu plus tôt et aujourd'hui c'était l'Empereur et sa fille.

Amélliane était parmi d'autre afin de leur rendre un dernier hommage. Elle garda la tête baissée perdu dans ses pensées.

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Elina
Ses derniers temps les drames ne cessait de s'enchainer, elle n'avait pas eut le temps de finir le deuil de son frère que qu'une terrible nouvelle lui vint, Heal son meiller amis, son frère, était à son tour partit au royaume du très haut... Ses derniers mois étaient synonyme de blanc et noir pour elle et la famille, mais à présent ce fut l'Empire entier qui se retrouvait en habit deuil.

L'empereur était mort...la princesse également. Il était étrange de se dire que cette gamine de l'age de sa fille était partit elle aussi.. Elle avait connut Luisa enfant, elle avait adoré cette gamine au boucles blondes, espiègle et taquine. Puis... leur relations s'étaient totalement détérioré, une fois l'enfant devenue adolescente. Elle avait même hais une simple fillette, elle ne savait comment elle en était arrivé là, mais c'était bien un fait. Quoi qu'il en soit elle porterait le deuil comme l'ensemble du peuple, elle avait perdu son l'Empereur. De plus c'était une signe de soutient aux membres de la famille impériales qui eurent la chance de s'en sortir vivant. Ses pensées se tournaient vers Liz, il n'y avait rient de plus affreux au monde que de voir son enfant partir avant soit même, sa vie s'était brisé à la disparition de Lénaïc, mais elle avait eut la chance d'avoir le soutient de son époux. Si Thomas n'était plus lui aussi, elle n'aurait jamais réussit à tenir debout.

C'est en soupirant de tristesse en pensant à l'Impératrice qu'elle s'habilla se matin là. Elle avait dégotait un couturier rapide et des plus efficaces parfait pour les tenues de dernières minutes. De plus c'était bien le seul couturier qu'elle ai trouvé, qui obtienne les faveurs de son mari. Si bien que celui-ci c'était empressé de commander une tenue pour lui et ses amis. Elle était toutes fière de se couturier Ducal. C'est donc dans sa robe aux couleurs du Deuil qu'elle alla chercher sa fille ainée dans ses appartements.




Tu es prête ma puce? On va rejoindre papa.

Elle prit tendrement la main d'Aelis, qui était bien attristé par la disparition de celle qui fut son amie. Elle lui avait donc promit d'aller avec elle au recueillement, pour qu'elle puisse faire une dernier adieu à Louisa. Comme toujours Sébastian étaient aux côtés des femmes Talleyrand, Hellina continuant à refuser d'avoir les gardes ducaux. Elle était certes Duchesse Consort, mais elle aimait pouvoir rester libre de faire ce qu'elle souhaitait.

En arrivant sur la place elle vit que déjà quelques personnes commençait à se rassembler. Elle salua Lestat et Louis d'un hochement de tête respectueux, et fit un discret signe de la main à Amelliane, avant d'aller rejoindre Thomas avec leur fille. Elle resta près de lui silencieusement et posa une main sur l'épaule d"Aelis.

Ça va aller Chérie?
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Naudeas..
Elle était encore présente à Epinal pour sa nièce, celle-ci avait prit de l'avance, voulant en être pour le Vempereur comme elle l'appellait. Naude regardait la gamine qui était forte, qui ne versait pas une larme. Elle savait qu'elle avait combattu à ses côtés, qu'elle avait le droit de le tutoyer, lui râlant dessus quand elle lui avait dit ça. Mais, la, c'était qu'en tant que Prime Ambassadrice du Languedoc, qu'elle porterait les couleurs, mais aussi noble de Savoie qui restait pour les terres d'Apremont.

Elle arriva devant la Cathédrale, pas encore assez de monde, juste assez pour qu'on ne remarque sa présence. Elle avait sorti de ses malles sa plus belle soierie noire, couleur qui ne la changeait pas beaucoup au final.




L'Inquisitrice fit une génuflexion, elle s'avança dans cette allée centrale qui n'avait rien de très réjouissant, regardant toujours alentour, remarquant les traits d'un jeune homme qui avait des airs de Louis, sans doute son fils qui semblait si en colère. Cela devait être sans doute compréhensible, mais elle ne savait pas trop pourquoi. Quand les êtres partent, on est toujours en colère contre tout le monde, mais ce jeune homme dégageait une telle haine. Elle secoua la tête puis repartit s'étant arrêter pour l'observer un peu.

Elle espérait que la Petite Marie sonnerait pour l'enfant qui serait mise en terre, elle l'avait rencontrée en Languedoc, avait apprécié, ce petit bout de femme. Et que toute les cloches pour l'Empereur, pour le peu d'échange qu'ils avaient eu, une pensée à son vieil ami Chlodwig aussi, elle espérait le voir, même si les circonstances ne s'y prêtaient pas, quelques affaires à terminer avec lui.

Elle continua sa progression quand elle reconnut la couleur chatoyante du parrain de sa nièce Vitoria, posant une main sur l'épaule, celle qui n'était pas endommagée, de celui-ci, pas assez encore proche pour une accolade, même si, une certaine confiance dégagée de ce jeune homme. Elle vit le visage marqué de Louis, elle l'enlaça, c'était son ami, une certaine fidélité, une certaine amitié s'étaient nouées entre eux qui ne s'expliquent pas. Mais elle lui avait promis sa protection peu importe ou cela serait, elle leurs murmura
"Désolée..." elle ne pouvait dire autres choses, elle aimerait trouver les mots, mais ils ne viennent pas.

Et enfin sa nièce qui semblait si forte. Elle se plaça à ses côté, lui prenant la main, comme pour lui transmettre la force qu'elle avait de ses amis partis souvent trop vites, ses mains en étaient marquées encore. La dernière fut pour l'enfant qu'elle avait perdu, seul Louis l'avait su. Elle lisait souvent les lettres de Vitoria, ou l'Empereur lui donnait des surnoms qu'elle aimait et qu'elle espérait honorer. La seule fois ou elle fut furieuse et quand elle partit aux combats, mais elle avait réussi et en fut fière. Elle, la guerrière mais ne lui dirait pas, préférant la voir jouer avec l'argent d'une mairie, qu'elle comparait à une garde de robe..


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Paul_
Comme pour accentuer la tristesse de l'instant, le temps était devenu gris et venteux. Quelques gouttes d'eau tombaient par intermittence. Paul leva les yeux et scruta le ciel. Ce dernier semblait verser quelques larmes pour la famille impériale. Pressant sa monture, il traversa la ville afin de gagner le lieu de culte. Une fois devant, il mit pied à terre et se dirigea vers l'édifice.
Il était vêtu de noir, comme demandé dans l'annonce. Il avait le visage grave et marchait d'un pas décidé pour entrer dans le lieu de culte. Il passa les lourdes portes et scruta l'intérieur. Il y avait des visages familiers, notamment ceux du conseil ducal. Il se signa puis s'enfonça dans la bâtisse religieuse afin de s'asseoir et de se recueillir afin que les âmes de l'empereur et de sa fille puissent gagner le paradis solaire et vivre pour l'éternité dans la plénitude et l'amour du Créateur. Il eut une pensée également pour la famille des défunts. Puisse le Tout Puissant alléger aussi leur peine. Il baissa la tête et se recueilli en silence.

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Palogar
Décidément les disparitions s'enchaînaient...

Cette année 1461 serait à tout jamais une année funeste.

Comme d'autres, il pénétra dans la cathédrale vêtu de noir.
Il adresse un signe discret au Duc, au capitaine et au prévôt puis vint se mettre aux côtés de sa sœur Amelliane.

Sur le chemin, il reconnut la silhouette d'Angeline d'Arcy, même s'il ne la connaissait pas.

Tiens la jeune femme que j'ai déjà croisé à la cathédrale.

Il embrassa rapidement Amelliane.

Tu vas bien j'espère soeurette ?
Cela fait quelques temps que je n'ai pas eu de tes nouvelles.
Trop accaparée par tes nouvelles charges pour donner signe de vie à ton frère ?


Puis il se mit à prier avec les autres.

Pour être franc, il ne connaissait que peu l'empereur Ludwig et sa fille Luisa. Il les avait croisé à plusieurs reprises bien sûr.
De l'empereur, il avait gardé l'image d'un homme compétent et juste. Un bon meneur d'homme. Quelqu'un qu'il respectait.
Une énorme perte...
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Cira
Et on recommence...

Debout, le teint pâle, les bras croisés sur sa poitrine, Cira attendait face à la fenêtre du hall que Sebastian arrive et l'emmène.
Le hall, le grand hall dans lequel elle avait craqué quelques jours auparavant. Elle avait tout simplement fondue en larmes, douleur des multiples pertes et fatigue des gardes n'aidant pas.

Des pas se firent entendre dans les escaliers et la jeune fille se retourna pour faire face à l'homme à tout faire de son père. Celui-ci avait toujours cet air calme et maître de lui qui rassura la jeune fille. Il serait là, il ne la quitterait pas, il la soutiendrait, elle en était certaine.

Attrapant un pan de sa robe de deuil qu'elle avait l'impression de ne plus quitter depuis 2 mois, elle glissa son bras libre sous celui de Sebastian et le laissa la conduire jusqu'au lieu de culte...

Arrivée aux portes de l'édifice religieux, la Mini-Raveline se pressa contre le bras du serviteur, souffla un coup et avança à l'intérieur. Plusieurs personnes étaient déjà présentes et elle connaissait la plupart des visages endeuillés.


Où souhaitez vous que je vous mène Damoiselle ?
N'importe mais pas devant. Je ne suis pas de la famille.

L'homme hocha simplement la tête et l'emmena à une place. Il se plaça à ses côtés et la laissa se recueillir. Cira et Luisa n'étaient pas les meilleures amies du monde mais elles étaient amies et il savait que la perte de la princesse affectait sa petite protégée.
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Amelliane
Palogar a écrit:
Il embrassa rapidement Amelliane.

Tu vas bien j'espère soeurette ?
Cela fait quelques temps que je n'ai pas eu de tes nouvelles.
Trop accaparée par tes nouvelles charges pour donner signe de vie à ton frère ?



Amélliane s'était mis à prier silencieusement quand elle vit Hellina à qui elle fit un petit signe de la main puis son frère arriva lui aussi. Elle lui fit une petite bise.

Ca va Palo et toi ? Navrée je n'ai pas eu trop le temps mais faudrait quand se voit un jour je dois te parler de quelque chose.

La demoiselle savait que ce n'était pas l'endroit ni le moment de parler, c'était surtout le moment de se recueillir et de prier ce qu'elle fit en silence.
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Tamira_blue
Tamira avait appris la mort de l'Empereur et de sa fille Luisa avec beaucoup de peine.
Elle n'avait jamais rencontré l'Empereur mais elle savait que c'était un homme droit et juste. Par contre elle avait souvent croisé Luisa en taverne et avait sympathisé avec elle.

En ce triste moment, elle pensait surtout à Liz qui devait être dans un désarroi terrible.

C'est toute vêtue de noir qu'elle vînt rejoindre les autres.
Elle les salua de la tête ou de la main.
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