Willyam_vonferradler
Ayant été convié à la cérémonie de remise des médailles, Willyam saffaira pour être présentable malgré la tenue peu raffinée. Certes, la vie paisible auprès de sa douce et de sa fille lui permettait de souffler et notamment doublier le passé houleux, il fallait cependant penser à sortir de ce cocon idyllique et reprendre des habitudes sociales. Une bonne occasion pour faire de plus amples connaissances avec le peuple accueillant de ce Comté.
Des vêtements chauds, enfermés sous la cotte de mailles puis une tunique simple, la plus propre. Il ajusta les ceinturons et surtout lépée provenant de lhéritage de son père. Epée ayant déjà beaucoup et vaillamment servi. Il enfila une chaude cape, ajustant à nouveau sa tenue par confort. Il se souvint alors de lépoque où il portait cet uniforme dofficier. Léger moment nostalgique, rapidement effacé lorsquil vit sa fille chaudement emmitouflée dans des couvertures par les soins de sa douce moitié. Il lui esquissa un sourire dans sa barbe légère, avec un regard paisible et amoureux.
Il admira ensuite sa dame dans sa tenue et sa beauté éternelle. Il se rendit vers la porte et louvrit. Il tourna la tête vers elle, avec cet air dours tranquille. Il détaillait sa douce du regard puis murmura doucement : « Tu viens ? ». Tendant sa main pour quelle le rejoigne ils prirent la route pour se rendre à cette cérémonie.
Déjà de nombreuses personnes étaient présentes. Raison de plus pour se faire silencieux pour ne point perturber lassemblée. Main gauche sur lépée, bras droit mêlé à celui de sa douce, il savança vers la foule pour assister à la cérémonie. Un peu discret, reconnaissant des têtes familières, il sourit et restait silencieux pour ne pas déranger.
_________________
Des vêtements chauds, enfermés sous la cotte de mailles puis une tunique simple, la plus propre. Il ajusta les ceinturons et surtout lépée provenant de lhéritage de son père. Epée ayant déjà beaucoup et vaillamment servi. Il enfila une chaude cape, ajustant à nouveau sa tenue par confort. Il se souvint alors de lépoque où il portait cet uniforme dofficier. Léger moment nostalgique, rapidement effacé lorsquil vit sa fille chaudement emmitouflée dans des couvertures par les soins de sa douce moitié. Il lui esquissa un sourire dans sa barbe légère, avec un regard paisible et amoureux.
Il admira ensuite sa dame dans sa tenue et sa beauté éternelle. Il se rendit vers la porte et louvrit. Il tourna la tête vers elle, avec cet air dours tranquille. Il détaillait sa douce du regard puis murmura doucement : « Tu viens ? ». Tendant sa main pour quelle le rejoigne ils prirent la route pour se rendre à cette cérémonie.
Déjà de nombreuses personnes étaient présentes. Raison de plus pour se faire silencieux pour ne point perturber lassemblée. Main gauche sur lépée, bras droit mêlé à celui de sa douce, il savança vers la foule pour assister à la cérémonie. Un peu discret, reconnaissant des têtes familières, il sourit et restait silencieux pour ne pas déranger.
_________________