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[RP]Quoi ? mais c'est pas ce qui était prévu !

Riwenn


Toujours sous sa capuche, le vieux brandissait sa cuisse de poulet et escoutait ce qui se disait.

Quand il entendit la question du héraut et la response du jeune homme, il s'écria tout en improvisant une petite danse de la victoire.

Z'ai gagné ! Z'ai gagné ! Z'ai gagné !

Puis voyant que personne ne prenait réellement garde à lui, il se rassit, sourire aux lèvres dissimulé sous l'ombre du vestement, et admira la suite des événements. Qu'est-ce qu'il s'amusait !

Quand vint la remarque de la porte à ouvrir, il ne put s'empêcher de lancer son os rongé dans l'écuelle et d'intervenir.


Ouais, faut vraiment ouvrir z'te porte, z'me demande d'ailleurs qui z'est laizzé aller, parze que za ne zent pas la rose...

Et il se servit un godet de jus, à défaut d'alcool, pour faire passer le poulet. Il escouta le futur anobli. L'Ours avoir des amis ? L'homme retint un rire. Il avait trop à se préoccuper/s'occuper de son épouse pour avoir le temps d'aller chercher l'amitié. À quelques personnes près fort heureusement.

Suite à la tape dans le dos, il se leva de son siège, verre en main.

L'homme estait caractériel, il estait donc à n'en pas douter de la mesme famille qu'Erasme. Et qu'Abrie a fortiori.

La cérémonie allait commencer. Enfin. C'est qu'il allait finir par s'ennuyer le Riri. Ou pas.

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Héraldique européenne
Sakurahime
C'était sympa comme buffet, il y avait de tout. Elle aurait bien jeté un sort au poulet rôti par exemple, dont la peau était dorée et croustillante à souhait, mais le .... truc sous sa capuche avait trempé ses ptits doigts dedans, aussi s'abstint-elle de le suivre. C'est qu'elle avait l'estomac délicat en ce moment, et non son ventre n'était pas dû à une crise d'aérophagie!

Oublié le passage en cuisine avant de rejoindre la salle du trône, à croire que cet épisode n'avait été que rêvé, et que le ventre d'une femme enceinte était un puis sans fond...

Géraut l'avait accompagné et restait à ses côtés.
Il avait beaucoup de choses à apprendre mais mettait une bonne volonté très appréciable!
Une cérémonie d'anoblissement c'était aussi cela.
On ne faisait pas ça dans un petit coin en cinq minutes chrono. C'était un événements, parfois mondain, parfois plus intime, mais essentiel dans la vie de tout noble.

Deux personnes liaient leurs vies d'une façon très particulière. Parfois jusqu'à la mort, à l'instar d'un mariage.
Et quelque part, c'était ce qu'était la vassalité. Une union longue durée. Presque un viager. Presque.

Distraitement, elle écoutait, ou plutôt percevait des bribes de la conversation.
Mais bientôt, elle dû se rendre à l'évidence, cela ne se passait pas comme prévu.
Bon elle n'allait pas râler d'avoir travaillé pour rien, quoique, car le buffet compensait beaucoup le dérangement, mais tout de même...
Son sourcil se haussa et son agate se durci quelque peu, avant de se tranquilliser de nouveau lors qu'elle heurta du regard les mirettes suppliantes de son chevaucheur.

Elle lui adressa alors un doux sourire avant de poser son index tendu sur ses propres lèvres pour lui signifier qu'il ne devait rien dire. Puis dans un souffle, elle murmura:


Observe, tout ira bien.
Et si le sieur Rogy décide de refuser, c'est son droit le plus strict, le choix lui appartient.
Ce n'est pas un contrat que l'on passe à la légère, et quelque part sa colère est compréhensible, il doit avoir l'impression d'être le dindon d'une farce trop molle pour y avoir pieds.
A sa place, comment réagirais-tu si quelqu'un se prétendant ton cousin t'attirait sous un faux prétexte loin de chez toi pour t'apprendre non seulement qu'il est de ta famille mais qu'il veut aussi te prendre pour vassal sans te connaitre?
Moi, certainement pas très bien.
Alors il a le droit d'être énervé, surtout par notre stratagème.
Mais dis-toi aussi que le sieur Rogy a fait beaucoup de route, c'est donc qu'il est curieux et ouvert d'esprit, et donc ouvert à la conversation.
Alors voyons voir ce que le vicomte va faire pour le convaincre.


Elle lui tendit une belle tranche de pain avant de reporter son attention vers ce qui était désormais un trio, Abrie étant également entrée dans la danse.
Elle s'était elle-même convaincue que tout irait bien en donnant les explications à son chevaucheur, elle attendait maintenant de savoir comment.

Les tractations, ou plutôt les explications et argumentations, continuèrent un peu, avant que finalement, les rangs ne soient rompus et que le Bordelais ne s'approche d'elle.


Dame de Valrochelles-Bergendael nous pouvons commencer. Le farceur et votre obligé sommes à votre disposition.

Le sourire de la borgne s'élargit.

Fort bien messire Rogy, et je comprends parfaitement vos conditions.
Si un jour vous constatez cette divergence d'opinion à laquelle vous faisiez référence à l'instant, vous savez où me trouver.

Elle prit les caducées qu'elle avait posé - c'était lourds ces machins - à portée de main, au cas où le vieux s'approcherait trop - et se leva, ou plutôt roula sur sa chaise jusqu'à se mettre debout - et dire qu'il restait un peu plus de deux mois....

Géraut, servez un bout de tarte à la poire à notre ami à la capuche ici présent avant qu'il ne s'endorme et ne se mette à ronfler comme un sonneur, voulez-vous?

Elle attendit que ce soit fait et dès que Géraut eu pris sa place à ses côtés, légèrement en retrait, elle pu - enfin - lancer la cérémonie.
Elle abattit ses caducées sur le sol marbré en un coup sec qui résonna légèrement.


Nous allons procéder à l'anoblissement du Sieur Jacques Rogy, selon la volonté du Vicomte de Corneillan.
Celui-ci, après que son futur vassal ait ployé genou devant lui, lui demandera s'il accepte de devenir son féal homme.
Le futur ennobli devra alors répondre par l'affirmative ou par la négative.

S'il accepte, il devra alors prêter allégeance à son suzerain, en lui promettant aide armée (auxilium), fidélité (obsequium) et conseil (consilium), qui sont les devoirs du vassal. Je précise que ces trois notions sont indispensables pour la validité du serment.

Puis le suzerain répondra en retour au serment en assurant protection, justice et subsistance à son vassal, qui sont également les trois notions essentielles à la bonne marche de l'ennoblissement.

Il n'y aura plus qu'à sceller l’allégeance par un baiser de paix ou une accolade vassalique et l'anoblissement sera valide dès le moment où j'aurai scellé le contreseing attestant de la cérémonie.

Je précise enfin qu'il s'agit là d'un anoblissement issu de mérite, et non de mérite. Le futur anobli deviendra vassal de la couronne de Corneillan, non d'Armagnac et Comminges.

Messire Jacques Rogy, je vous demande donc de vous approcher et de mettre genou à terre devant le Vicomte.
Vicomte, nous vous écoutons.

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Capitaine de l'Ordre de la Dame Blanche
Erasme
    Il grogne légèrement, farceur farceur, il en a de bonnes c'pov vieux. Mais soit, il accepte sans broncher plus que ça. Après tout il lui conçoit cette petite vengeance surement bien mérité. Mais et après l'intervention de Sakura l'heure n'estait plus à la plaisanterie. Cette cérémonie prenait presque un semblant.

    Oui presque ... sans compter le petit vieux ... une pièce de théâtre à lui seul. Fichtre il se maudit un instant de l'avoir laissé pénétrer les lieux. Il se promit une chose toutefois ... plus jamais de pénétration incongrue. -tsss pervers ! je suis sur que tu penses à ce que je pense que tu penses ... bref-

    Il reprit une dégaine à peu plus formelle avant d'acquiescer aux paroles de sa héraut d'amie et de s'exécuter... hummmm ... comment qu'il allait s'y prendre ... bonne question. Il en ignorait le détail encore un instant avant de prendre la parole. Allez ... à l'impro finit-il pas décider.


      « Hummm .... »

    Stoooooooooooooop ! c'est mal parti. Enfin ... ça partait mal. Il ne se rappelait plus ce qu'il était censé y avoir après ce fameux "humm" .... peut être un second qui sait ...

      « Hummm .... »

    "Vas y franky c'est bon ... vas y franky c'est bon bon bon" ... si si il allait y arriver ... la troisième c'était la bonne !

      « Hum ... alors ... Jacques, nous savons qu'il vous semble peut être prématuré une telle action de nostre part, découvrant à l'instant mesme que vous faites partie de ma famille, ou que je fais partie de la vostre, à vostre bon vouloir. Néanmoins pour ce que j'ai pu en juger vous avez certaines valeurs qui me plaisent. Vous estes aussi diplomate qu'un ours ... mais bon je n'en dirais pas plus, je crains que ça ne soit l'hospice qui se fout de la charité.

      Je souhaite toutefois placer ma confiance en vous. Confiance que je sais entre de bonnes mains aux vu de l'homme que vous faites. Je ne vous demande pas de m'apprécier tout de suite, ni mesme m'aimer un jour, je vous rassure. Je souhaite plutôt par ce présent octroie me rapprocher d'une manière ... certes un peu spéciale... de vostre personne. »

    Et de finir par conclure tout de mesme.... - jacques voulez vous me prendre pour épouse ? *mais ferme la toi !* -

      « Vous, Jacques Rogy, en ce jour béni par Deos, consentez-vous à prendre la charge et la gestion des terres de Lanux et de leurs habitants ainsi que d'en faire un des représentants de vostre cousin qu'est nostre personne ?»

    Les cartes étaient posées, il ne restait plus qu'au joueur de révéler sa paire ou de la garder secrète à jamais. En bref c'était au Rogy d'accepter ou refuser désormais.

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Gerault
Finalement les choses s'étaient décantées, la Dame Blanche l'avait rassuré et après qu'il eut exécuté ses ordres et nourris la capuche, il vint se placer derrière elle.
Il écouta attentivement ce qu'elle disait, prenant quelques notes, puis le Vicomte pris la parole à son tour.
Il retenait maintenant son souffle attendant la réponse de Jacques Rogy, presque Seigneur de Lannux.

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Atelier de Dame Amarante. : Couleur Brocéliande
Jacques.rogy
Jacques sourit en coin.

Bien sur, et je vous garantie que je ne me ferais pas prier pour exprimer cette divergence le jorn où cela se produira.

Bah ouai pour le brun nul doute qu'un jour il claquerait la porte au nez du Vicomte. Il avait compris que ce dernier disposait d'un caractère aussi fort que lui, la délicatesse en moins. Et quand on ne prenait pas l'ours Rogy avec des gants souvent ça pétait. Allez en parler à sa fille tient, elle vous le dira.

Le Guyennois la suivit des yeux puis il grogna pour lui même. Il allait devoir baisser le genoux devant le cousin, devant un type sorti de nul part qu'il connaissait depuis à peine un quart d'heure. Cela le déplaisant au plus haut point. Ployez le genoux devant sa fille est une chose, devant un inconnu sous les yeux d'encore plus d'inconnus oui décidément ça lui déplaisait. Au moins, aucune de ses personnes n'était de Guyenne donc ça ne sortirait pas d'ici. Les épaules droites, le regard posé tour à tour sur Sakurahime sur le cousin fièrement, il écouta la héraut.

Il afficha un sourire jusqu'aux oreilles au mot négative. Après tout il pouvait encore un peu s'amuser. Comme demander, en gamin bien discipliné qu'il était -si si si on y croit- Jacques se mit à genoux... enfin presque. C'est que ses braies étaient toutes neuves, il ne voulait pas risquer de les salir. Il se dirigea vers le trône et en prit le coussin. Ce dernier se trouva mis à terre devant le futur suzerain.

Pardonnez de l'attente, mais au vu de la durée de notre rendez vous, je préfère autant être installer confortablement.

Et Jacques posa le genoux sur le coussin pour écouter la suite. Enfin c'était mal barré le voilà qui bégaille. Le brun ronchonna intérieurement, à ce rythme il allait finir par prendre racine. Haussement de sourcils, il l'appellait Jacques, le brun ne l'y avait pas invité. Décidément le cousin en prenait un peu trop à son aise. Et en plus il l'insultait, d'une il était trés diplomate pour peu qu'on lui cherchait pas des poux et de deux que les choses soient claires la charité c'est mon brun. Parce que celui dont on se fout depuis le début c'est bien de lui.

Il inspire profondément, calme, calme. Et miracle le vicomte lui tire un sourire pour la fin de son discours. Il ne put s’empêcher de lâcher.

A partir du moment où ce rapprochement n'est pas charnel, je peux envisager l'éventualité de vous apprécier un jour.

Il replaça ses mèches brunes amusé puis leva les yeux au ciel. En plus il était tombé sur une grenouille de bénitier! Bien ça veine ça encore... Bon c'est pas le tout quand faut y aller, faut y aller, chauffe marcel.

En ce jour, moi, Jacques Rogy, Seigneur d'Angludet, accepte de prendre votre épouse
*vengeance quand tu nous tiens* et vous même, mon tout nouveau cousin, pour suzerains. En tant que soldat de métier, une aide armée ne sera point compliquée à vous apporter. Je vous apporterais fidélité et conseil autant que faire se peut et comme le doit un vassal éclairé.

Et voilà affaire rondement menée, il avait même réussi à être aimable. Il commençait même à se dire que finalement avoir un cousin c'était une chance.
Erasme
    Le vescoms suivait désormais le déroulement de l'allégeance dont il estait un des acteurs principaux avec toute son attention. Si il avait douté un moment du choix de son cousin ... quelque peu compréhensible soit dit en passant, son récent changement de comportement lui confirma qu'il avait gagné le droit de sceller une couronne sur sa teste.

    Et ça ... ça ...


      « Prendre mon espouse ... rien que ça ... »

    Léger plissement de nez de l'ours et l'incurable grognement se fit entendre.
    Rahh !! il ne manquait pas de culot ce cousin ... sa langue avait fourché ? Mon oeil ! Que neni il avait bien choisi ... la petite ordure !
    Il s'avança vers lui l'étrangla ! encore et encore jusqu'à ce que la tête devienne aussi violette qu'une aubergine ! Tiens il l'avait bien mérité cette mort ! Ça lui apprendrait à parler ainsi de son épouse.
    Un léger crissement de pas le ramena à la raison. Il regarda le cousin devant lui, Blanche et son épouse ... ouf il n'avait fait que rêver tout cela. Il l'avait échappé belle.

    Il se contenta alors d'un sourire amicale qui se voulait plutôt bienveillant avant de respondre à l'allégeance de son cousin.


      « Fichtre mon cher vous estes d'une formalité ... décontractez vous un peu nous sommes en famille ! »

    Ah bah nan c'était pas la réponse à l'allégeance qui s'estait fait entendre. Des loupés ça arrive ... D'ailleurs, se dit-il, l'aurait peut être mieux valu dire ça au cousin après en avoir accepté le serment. Mais de toute façon il estait trop tard pour lui de faire demi-tour. Il toussota donc légèrement et reprit.

      « En retour à vostre allégeance mon cher cousin, je promets de vous apporter Justiciam, Pacem et Tutelam jusqu'à ce que Deos nous emporte. Et croyez moi bien si je vous dis que ça n'est pas prêt d'arriver ... »

    Il s'approcha de Blanche et saisit à deux mains la couronne qui ornait un couffin de soie rouge. Il en revint à son cousin et déposa l'ornement sur sa teste.
    Ca y estait, il avait dorénavant un cousin bling bling.


      « Cela fait de vous, Seigneur de Lannux. Et je place en vous toute ma confiance quant à la bonne gestion que vous saurez faire de ces terres ainsi que de ses habitants.
      Que vous aurez toujours une place privilégiée auprès de moi.
      Ce n'est pas tous les jours qu'on se découvre un cousin, n'est-il pas ? »

    Conclut-t-il finalement dans un sourire chaleureux après lui avoir accordé l'accolade vassalique.

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Sakurahime
Ohhh mais que c'était mignon! l'anoblissement pour tous, ça faisait toujours son petit effet, larme à l'oeil ou presque, elle assista finalement à la naissance d'un nouveau seigneur.
Lannux...
Malgré ce qu'elle avait pu dire et montrer à Gérault, elle avait craint un instant que cet anoblissement ne soit le premier avorté par refus de l'ex potentiel vassal.

Il n'en avait rien été, et heureusement, ou elle aurait certainement piqué une crise... tout ce boulot pour rien... elle en était malade que d'imaginer cette hypothèse infondée...

En elle, un des bébé choisi son moment pour trouver très drôle de jouer au trampoline sur sa vessie.
Il était temps de mettre fin à la cérémonie, avant que le guyennois ne change d'avis et qu'elle... bref.

Ses caducées s'abattirent de nouveau sur le sol marbré.


J'entends bien les serments ce jour échangés et dont je suis témoin.
Messire Jacques Rogy, désormais Seigneur de Lannux, par ce contreseing et ce blasonnement vous êtes officiellement reconnu par le titre sus-cité. Puissiez vous faire honneur à la Noblesse en général et à votre Suzerain en particulier.

Portez ostensiblement vos couleurs et veillez au Vivre Noblement. Gagez que j'y veillerai personnellement!

Je reste à votre disposition pour toute question et pour l'établissement de votre blason personnel complet.

En attendant, voici le document attestant de vos nouvelles conditions.
Avec toutes mes félicitations Messire!

Et de lui tendre le contreseing en question en souriant, même si pour qui la connaissait, le sourire était légèrement crispé... pour une raison tout à fait étrangère aux derniers événements.

Citation:
Par la présente, Nous, Sakurahime de Valrochelles-Bergendael dicte Blanche, Baronne de Virargues et Chevalier de l'Ordre de la Dame Blanche à l'Ecu Vert, Héraut dudit Ordre et Maréchale d'Armes de France en charge de l'Armagnac et des Comminges, faisons acte de la demande de Messire Erasme de Cardevac d'Havrincourt, Vicomte de Corneillan et Seigneur d'Aussat, quant à l'octroi d'une seigneurie se trouvant sur les terres de la Vicomté de Corneillan, Sise au fief nommé Lannux à Messire Jacques Rogy [Jacques.rogy].

Après recherches héraldiques dument entérinées, le Fief de Lannux est bien seigneurie de la Vicomté de Corneillan.

Après consultation d'armoriaux, l'écu se référant à ladicte seigneurie est : D'argent, à l'arbre terrassé de sinople, au lion léopardé de sable brochant sur le fût de l'arbre, accompagné en chef de deux étoiles du même, soit, après dessin :



Aux fins de complément du présent dossier, voici une lettre manuscrite de Messire Erasme de Cardevac d'Havrincourt, Vicomte de Corneillan, attestant de la volonté d'octroi d'une seigneurie à Messire Jacques Rogy:

Citation:



    De nous Erasme de Cardevac d'Havrincourt, Vicomte de Cornelhan,
    A vous Sakurahime de Valrochelles-Bergendael, Maréchale d'Armes de France, Héraut de l'Ordre Royal de la Dame Blanche et Héraut royal plénipotentiaire pour le Comté d'Armagnac et Comminges



      Blanche,


        Nous prenons en ce jour la plume afin de vous faire part de nostre souhait de voir nostre cousin, Jacques.rogy, devenir vassal de nostre vicomté de Cornelhan en devenant Seigneur des terres de Lanux.

        Que cette noblesse soit vue comme une récompense pour les actions de nostre cousin en Guyenne, et comme soutient de nostre part vis à vis de celles la.

        Nostre confiance en cette personne estant totale, nous nous assurerons par l'octroi de cette noblesse de voir nos terres et ses gens bien entretenus,

        D'avance nous vous remercions pour vostre disponibilité et ce avec nos amitiés,


      Faict à Aush le seizième de Septembre de l'an de grasce MCDLXI,



    En témoigne et preuve de quoi, Nous Erasme de Cardevac d'Havrincourt, Vicomte de Cornelhan, Seigneur d'Aussat, Enquêteur pour la Grande Prévôté de France,
    Avons décidé d'apposer nostre scel à la présente demande,



Par notre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements Héraldiques et nous engageons à être le témoin Héraldique des serments vassaliques échangés entre l’octroyant et l'octroyé.

Fait le IIe jour du Mois d'Octobre de l’an de grasce MCDLXI à Paris, en la Chapelle Sainct-Antoine.










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Capitaine de l'Ordre de la Dame Blanche
Gerault
La cérémonie était apparemment terminée, mouvementée, voire épique et instructive même si ce n'est pas dans le sens qu'il attendait.
En effet, Gérault n'était pas certain que c'était là le bon exemple pour lui apprendre le déroulement de ce genre d'office
Il faudrait certainement qu'il en voit d'autres et retiennent les éléments similaires comme partie réelle du cérémonial.
De plus, il se demande si le vicomte a bien tout saisi, il semblait à Gérault que Erasme voulait anoblir son cousin, or visiblement celui ci était déjà Sire d'Angludet, tiens c'est où au fait, d'où l'utilité toute relative d'accorder une nouvelle distinction à cet homme, certainement méritant au demeurant.

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Atelier de Dame Amarante. : Couleur Brocéliande
Jacques.rogy
Le guyennois sourit sa remarque avait fait mouche. Alors le voilà son point faible au farceur, son épouse. Il mit cette information dans un coin de sa tête, qui sait quand il lui prendrait le chou, Jacques pourrait s'en servir contre son tout nouveau cousin. En prime pour enfoncer le clou, il sourit charmeur à la jeune femme. Ah il avait voulu le prendre pour un lapin de trois semaines, il allait le sentir passer.

Hum enfin vu ce que je vois, Deos vous prendra bien certainement avant moi. Quel chanceux! Il profitera de votre humour.

Et bing! C'était sorti tout seul. Que voulez vous à force d'être compresser dans l'inconnu, bah on décompresse dans le connu. Hum il gigota et changea de genoux sur le coussin, c'est que c'était pas confortable comme position. Et apparemment le vicomte avait envie de faire durer le plaisir. Il fit la moue, rempli d'une profonde envie de lui dire magne toi bon sang. Et après ça c'était lui qui était formel. Ah enfin il était enjoint de se redresser.

Ce qu'il fit d'une traite. Le brun se frotta les genoux et remit sa chemise en place. Il se saisit du coussin qu'il balança avec force à celui qu'il avait identifié comme étant l'assistant du héraut. Puis il se laissa accoler, enfin pas de trop près non plus, faut pas pousser! Il ne se gêna tout de même pas pour écraser, de tout son poids, un pied d'Erasme. Jacques voulait lui faire comprendre que ce genre de surprise avait plutôt intérêt d'être exceptionnelle s'il ne voulait pas finir en pièce détachée, et cela cousin ou pas cousin. Parce que les choses les plus courtes sont souvent les meilleurs, il le relâcha vivement.

Hum, ne m'en voulez pas si je garde pour le moment ma confiance bien enfoui en moi. Il me faut plus que quelques courbettes et un blason pour m'amadouer voyez vous. Que l'on soit du même sang, si c'est bien véridique, ne m'assure de rien.

Il tourna la tête au son de la voix féminine. Un sourire ironique et amusé s'afficha sur son visage un instant. Il s'inclina devant la héraut avant de se saisir du document.

Je vous remercie Dauna. La vicomtesse et vous même êtes assurément les meilleures surprises de cette étrange réunion.

Arggg chiotte, c'est vrai qu'il avait deux blasons maintenant. Donc ca voulait dire refaire un truc pour les mélanger. Il ronchonna. Qu'est ce que les gens avaient à vouloir lui faire des surprises en ce moment. Ils pouvaient pas lui offrir un chien, une courtisane, une chemise, enfin bref un truc normal quoi. Il marmonna quelques paroles pour lui même puis il se tourna vers le cousin en question:

Maintenant que vous vous êtes bien amusé, que j'ai follement rit également, puis-je savoir pourquoi ne pas tout simplement m'avoir contacter? Et ensuite je boirais bien quelque chose.

Et ouai, les choses sérieuses commençaient. Certes Jacques n'était plus énervé, certes il avait accepté, certes ça l'avait même au final amusé. Cependant il n'en restait pas moins qu'on l'avait pris pour le ravi de la crèche, et malheureusement pour le vicomte, il était pas venu le temps des cathédrales mais bien celui des explications.
Lilya
[et pendant ce temps là]

La brunette se promena dans Auch.

Elle découvrit la ville, ses deux gardes du corps, la suivait comme son ombre. Enfin, là ils ressemblaient plus, à des porteurs, de deux mètres, que deux gardes.

Elle avait dévalisé les boutiques, en tissus, chaussures, et quelques vêtements pour son père et ses frères et soeurs, ainsi que pour ses propres enfants, et son fiancé.

Son père lui avait dit à 13H devant l'auberge près de ce castel.

Mais une heure plus tard toujours pas de son père. Elle commença à s'inquièter. Et si on l'avait emprisonné, battu, voir pire. Elle déposa les paquets dans une chambre, enfila son épée sur sa robe, oui quel idée de mettre une robe, quand on allait prendre un castel avec pour seuls aide, deux gardes du corps.

Elle mit son fouet autour de sa taille menue. Et la brunette d'un pas décidé, franchit les portes.

Elle ne trouva personne, bien sur l'heure de la sieste sans doute. Elle entendit la voix de loin de son père. Bon ouf il était vivant....

Elle se dirigea vers le bruit, et sans taper entra et tomba sur des gardes du corps.

Norf de norf.


- Bandes de clampins, libérez mon père, sinon je vous pourfends de mon épée.

Bon elle mentait un peu, avec deux gardes du corps, elle pourrait pas faire grand chose, mais bon. Déjà les gardes levait leurs épées près à l'arrêter

- Je suis Lilya Rogy, Vicomtesse d'Audenge, Dame de Fargues Saint-Hilaire, baissez vos épées, sinon je vous jure que ça va mal aller.

La brunette aux yeux violines, malgré sa petite taille ne s'en laissait pas compter. Nomého, elle avait affronté, les hommes d'église, pendant son mandat, ce n'était pas deux malheureux gardes qui allaient lui faire peur. Mal connaître la Lil' quand elle était en colère. Enfin la colère, on détenait son père, et elle avait peur pour sa vie.

- Je suis venue chercher Messire Jacques Rogy, Seigneur d'Angludet, si vous ne le libérez pas, je vous assure, que vous connaîtrez les flammes de l'enfer.....

Ses gardes se rapprochèrent d'elle prêt à la défendre. Bien la première fois, qu'ils ne contrariaient pas leur Vicomtesse. Non c'était le paternel, de la damoiselle, qui était retenu, et dieu sait, que le père, avait donné des consignes. Sa fille avait interdiction de faire la cuisine, et l'empêcher de faire sa "lil", comme faire des bétises, ou réfléchir. Mais là ils avaient rien vue venir, donc ils restaient la défense de la damoiselle


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Erasme
    Le vescoms s'était-il bien amusé ? telle estait la question qui demeurait ... hum pas assez à son gout certes mais bon un peu plus aurait été de trop apparemment.
    Son cousin avait l'air nettement moins patient que lui au final. Chose assez incroyable quand on le connaissait vraiment l'Ours.
    S'il passa sur les manières de malotru de son cousin, quoi que le coup du coussin envoyé à l'assistant de Sakura le fit sourire, il ne fut pas moins surpris de la question qui s'en suivit.

    Pourquoi ne pas l'avoir contacté ... hum ... mais qu'est-ce que voulait bien dire cette question. Il l'avait contacté. Rectification. Il l'avait fait contacter. Oui bon c'est presque la mesme chose il chipotait la le Rogy.
    C'est alors qu'il s'entendit respondre légèrement naïvement, ou plutôt se voulant naïf ...


      « Eh bien nostre héraut Sakurahime escrit formidablement bien.
      Aussi voulais-je vous faire l'honneur d'une missive écrite de sa main.
      Et puis dans l'absolue vous savez, vous y gagniez au change. Vous auriez perdu bien du temps à me déchiffrer. »

    Quoi ? il estait à côté de la question ? naaan pas vrai ! A peine eut-il le temps de se dire qu'il devrait peut être respondre à la vrai question qu'une espèce de folle furieuse fit irruption à l'entrée de la salle du trosne épée en main.
    Pardi il ne se rappelait pas que dans sa pièce de théâtre il y avait invité quelques guerriers ... Mais soit il fallait faire avec. Afin de pouvoir changer le script il se rapprocha légèrement du cousin, pendant que les gardes contenaient
    la dingue qui agitait son épée comme ... euh ... comme une dingue quoi, et lui murmura.


      « Dites ... euh ... elle est avec vous celle la ? »

    Bah ouais c'était pas qu'il ne voulait pas voir tous les fous de France débarquer dans la salle du trosne mais il aimait tout de mesme savoir qui estait présent, quoi que c'était pas forcément chose flagrante quand on voyait la présence du
    vieux "on ne sait trop quoi" affalé dans un coin de la salle. Toujours estait-il qu'il espérait avoir une response du cousin avant qu'il n'y ait un mort à l'entrée de la pièce.

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Jacques.rogy
Mais c'est quoi de cette réponse de m****? Franchement il abusait le cousin, il le prenait encore pour un crétin. Et encore c'était peu dire. Le brun sentit la moutarde imaginaire de nouveau venir lui chatouiller les narines.

Trés bien vous avez encore décidé de vous foutre de moi à ce que je vois... Donc... Quand vous aurez décidé d'arrêter de me prendre pour une pomme, vous savez où me trouver.

Il se dirigea vers ses affaires qu'il s’apprêtait à reprendre. Les plaisanteries les plus courtes sont les meilleurs, apparemment Erasme n'était pas de cet avis. Il n'eut que le temps de faire deux pas qu'une voix bien connu se fit entendre à l'entrée de la salle. Il se tourna surpris et regarda dans la direction. Norf ça c'était sa fille. Et compte tenu du ton utilisé elle n'était pas en mode bisounours. Jacques sursauta quand il sentit le souffle de sa saleté de cousin à son oreille.

« Dites ... euh ... elle est avec vous celle la ? »

Et beh voilà il avait enfoncé le clou. Si y avait bien une chose à ne jamais faire c'était attaqué sa progéniture. Il plongea son regard dans celui d'Erasme. Ses azurs avaient pris la couleur de l'océan de la Teste un jour de tempête.

Celle-là *dit il en appuyant sur les mots* comme vous dites, se trouve être ma fille, je vous prierais de lui donner le respect qu'elle mérite. Ce n'est pas une de vos domestiques, ni une de vos conquête d'une nuit.

C'était bien connu dans la noblesse, ils avaient pratiquement tous des maitresses. Sans prêter plus attention à son cousin qui avait décidément l'art d'être insupportable, il se dirigea vers la porte. Le guyennois n'avait aucunement peur pour sa fille non. C'était plutôt pour l'intégrité physique des gardes qu'il s'inquiétait. Repartir après avoir occis deux gardiens du castel d'Armagnac c'était pas des masses un fait d'arme valorisant.

Lilya tout va bien, tu peux remballer l'artillerie lourde... Je suis en vie. Enervé mais en vie.

Il lui tendit la main, ce qui fit redescendre l'atmosphère de suite et l'attira dans la salle du trône. Jacques apposa un baiser rassurant sur la tempe de sa fille avant de lui souffler.

Excuse moi de t'avoir inquiéter pour rien. Je te préviens ils sont tous arrangés. Surtout le moustachu là.

Il lui montra discrètement le vicomte.
Gerault
Et le spectacle continuait, il attrapa le coussin au vol et alla le remettre sur le trône d'où il n'aurait jamais du descendre.

Après être passé tantôt par toutes les couleurs de l'arc-en-ciel Gérault ne s'étonnait plus de rien, Ces gens n'avaient même aucune retenue en société et devant une femme enceinte.

Ces deux là étaient bien cousins sans aucun doute, l'hérédité jouait de ces tours parfois ..., la preuve flagrante fit d'ailleurs irruption intempestivement dans la pièce.

Si Abriellyn n'était pas son amie, il mettrait bien une distance définitive entre cette engeance et lui. Mais bon, Christos leur vienne en aide, nul ne peut être parfait surtout quand la génétique s'en mêle.

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Atelier de Dame Amarante. : Couleur Brocéliande
Lilya
Lil' vit son père s'approcher d'elle, et dire aux gardes de remballer leurs épées. Elle soupira intérieurement de soulagement, jusqu'à ce qu'il attire dans la salle.

Un baiser protecteur sur sa tempe, et la jeune femme passa son bras autour de sa taille.


Tu vas bien? On ne t'a pas torturé?

Un regard vers le moustachu, elle se demandait où son père et elle étaient tombés. Elle lui chuchota

- Rassures moi tu n'as pas couché avec la Dame ou fille de ce messire?

Ils étaient tous sur leur 31, et sentait son père, tendu comme un arc à ses cotés...

- Je peux faire une tourte vite fait tu sais.....Je dois tuer qui? car je ne sais pas ce que te voulaient.....ces gens....

Elle les regarda, d'un air méfiant, mais remit son épée dans son fourreau prête, à la dégainer, à la moindre alerte... Et se présenta de la seule manière qu'elle connaissait

- Bonjour gente gens, je suis Lilya Rogy, Vicomtesse d'Audenge, et Dame de Fargues Saint-Hilaire. Que vouliez vous à mon père?

Elle voulait une explication, on ne touche pas à sa famille, sans avoir des comptes à rendre...Bon d'accord elle prenait des cours de maintient, mais pour une vicomtesse vivre dans la foret dans une cabane, était loin l'image qu'on se faisait de la noblesse.

Un vieillard dans un coin, était affalé sur une chaise, est il mort? Vivant? lui seul le savait. Puis d'un ton plus bas vers son père


- C'est qui le vieux là bas? il a l'air mort....ou sur le point de le devenir? Un seigneur? il faudrait appeler, les curetons pour la dernière bénédiction...Ne me dit )as qu’ici les décorations ce sont des macchabées?

Et se dit le temps que les curés arrivent, il faudrait qu'elle s'en aille vite, avant que les hommes d'église l'enferme vita éternam.


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Erasme
    Résumons la situation ... Un héraut d'amie à costé de lui. Bien. Une espouse merveilleuse à son bras. Magnifique. Un assistant du héraut ... euh ... comment le qualifier ... peu instruit, idiot, inutile ?
    - en tout cas il avait l'air de bien brasser le vent c'était déjà ça - un vioc se tenant aussi bien qu'une bouse de vache après quelques heures en plein cagnard ...
    un nouveau seigneur passablement énervé et une jeune femme vescomtessa sortant de nulle part ...

    Eh beh vu comme ça ... cela faisait un joli tableau il fallait l'avouer.

    Il se lissa la moustache un instant pensif ... l'autre dubitatif ... Estait-il censé venir saluer la jeune femme ... hum bonne question.
    N'eut-il pas le temps de respondre à la vaine provocation de Lannux que déjà la noble venait réclamer des comptes.
    Pardi ... le vivre noblement n'estait pas encore quelque chose qui avait l'air d'avoir esté bien assimilé dans la famille.

    Bref passons les manières il s'inclina légèrement après s'estre approché de la jeune femme, pas trop près quand même, ce bourru de cousin serait capable d'y voir pas la une quelconque menace ... et ajouta aimablement.


      « Vescomtessa mes respects.
      Nous nous entretenions de quelques affaires de famille avec Lannux.
      Rien de dramatique soyez en assurée, il nous semblait toutefois que ce dernier apprécierait de connaistre un peu mieux les différentes branches de sa famille.
      J'espère ne point m'estre fourvoyé. »


    Vinrent quelques mots à l'intention du vieillard qu'il balaya d'un léger geste de main avant de ponctuer par quelques mots.

      « N'y prestez point attention. Ce petit vieux s'est perdu.
      Nous n'avions pas le courage de le mettre dehors dans son estat.
      Et puis pour tout vous dire tant qu'il se tient à carreau dans son coin, peu nous importe.
      Rassurez-vous donc, la mode n'est pas aux macchabées, pas encore. »

    Il détailla la jeune femme avant d'ajouter bien maladroitement.

      « Lannux est donc la vostre père. Ce cachotier nous avait bien caché qu'il avait une adorable fille. Quoi que je vous avoue que je le voyais moins âgé que cela ... »

    Il estimait à une vingtaine de printemps la fille Rogy ce qui devait faire du père dans les ... trente cinq, quarante printemps.
    Comme quoi l'amour et l'eau fraiche devaient faire des miracles.

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